Ce livre est en gros caractères en corps 20. Après s’être inscrite sur un site de rencontres, une jeune femme tombe éperdument amoureuse. Très vite, ils font le grand saut et une passion à cent à l’heure commence jusqu’au jour où, quelques mois après le début de leur rencontre, il la quitte sans raison. Dévastée par la douleur, elle décide de réinventer sa vie et concrétise son projet d’ouvrir une boutique de décoration. Ce livre est plus qu’une histoire d’amour ou de rupture. C’est avant tout la résilience d’une femme, prête à se relever pour aller toujours plus haut, toujours plus loin... Une invitation au bonheur !
Heureusement je n’ai pas acheté ce livre parce que j’aurais regretté avoir dépensé de l’argent là dedans. Ce livre crie « bobo parisienne » riche, blanche et privilégié dès la couverture et c’est bien pire quand on l’ouvre. Je voulais tenir jusqu’à la fin mais ce n’est pas possible. La 1e chose qui me vient à l’esprit sont les soirées ringarde « chic et choc » d’il y a quelques années. La bourgeoise qui se veut avant-gardiste et rebelle à utiliser des mots comme « baiser, plan cul, bander ». Ça n’apporte rien a l’histoire. Enfin « l’histoire » celle de la bourgeoise qui se veut féministe mais quand même pas trop, faudrait pas casser les codes sociaux, qui râle parce que les enfants se mettent en travers de ses parties de jambes en l’air, prétentieuse, qui tombe amoureuse d’un pauvre mec, mais bon, il est bon amant. Bref, un ramassis de clichés mal écrits, qui se veut révolutionnaire sans l’être, et qui tombe dans le vulgaire. Qu’on écrive des scènes de sexe, quand elles sont bien écrites, ok. La, c’est juste à faire grincer des dents tellement c’est malaisant ! Je n’ai jamais mis un livre en vente sur internet aussi rapidement que celui là ! Bref : un livre de bourgeoise pour les bourgeoises avec un gros problème sur le consentement
Alignement des planètes ? Présages ? Lueurs brouillées envoyées par une quelconque bonne étoile ? D’un évènement douloureux et cruel, une rupture inattendue, peut naître une étincelle dans l’esprit d’une femme. « Dans les mois noirs et les nuits blanches qui suivirent, elle se demandera longtemps comment un homme peut faire l’amour trois fois dans la nuit à une femme qu’il va quitter le lendemain. Peut-être justement parce qu’il sait qu’il va la quitter. Lui jurera que non, la veille, il ne le savait pas. » Ce second roman de Géraldine Dalban-Moreynas narre un instant de vie où l’on se prend un train à grande vitesse en pleine figure. La narratrice, Elle, a déjà une fille. Elle rencontre un homme, veuf, père de deux garçons. Après un été merveilleux passé tous ensemble, où l’harmonie et le bonheur parfait font loi, cette petite famille recomposée décide de vivre sous le même toit. Passé 40 ans, l’heure n’est plus à tergiverser sur le bien-fondé d’une décision aussi rapide. Elle l’aime, il l’aime, il n’y a guère plus de choses à réfléchir. Pourtant, cette vie tous ensemble n’est pas de tout repos. Il faut s’habituer aux enfants de l’autre, au linge qui déborde de la panière, au frigo vide, aux hurlements d’adolescents frustrés, aux heures de boulot qui viennent s’ajouter cruellement à un emploi du temps déjà bien chargé. Toi-même tu sais, si dans ta vie tu as été le chef d’orchestre d’une famille recomposée… « Elle a toujours été libre et, tout à coup, elle devient prisonnière des désirs et des besoins des autres qui passent désormais avant les siens. Elle s’oublie dans cette vie pour eux. Elle se perd. Elle se noie. Le nous tue le je à petit feu. » Sans raison, sans signe annonciateur, sans dispute qui vomit des mots difficiles à reprendre, après une nuit parfaite, il annonce sans la moindre explication : « Nous. Nous deux. C’est fini. »
Phrase glaçante qui tombe comme un couperet, lancée sans précaution aucune et sans justification : c’est simplement fini. Elle refait les cartons, prend sa fille sous le bras et s’en va vivre ailleurs. « Elle a lu dans ses yeux que c’était trop tard. Il n’était déjà plus là, il était déjà parti. Elle a senti que tout ce qu’elle pouvait lui dire glisserait dorénavant sans le toucher. Elle a vu qu’il avait fermé la porte et qu’elle n’avait plus aucun moyen de l’atteindre. » Toi-même, tu sais…
Life is a bitch. Il faut se relever du sentiment de trahison, apprendre à canaliser ses angoisses, cesser d’espérer avoir une explication, retourner à sa vie d’avant la boule au ventre et la tête ailleurs, et savoir prendre soin de soi pour ne pas dépérir. Direction Marrakech pour se ressourcer, s’enivrer de lumières, de parfums, de cet ailleurs vital qui vit au son du muezzin. Alignement des planètes ? Présages ? Lueurs brouillées envoyées par une quelconque bonne étoile ? La renaissance est proche après un bilan personnel délicat à entreprendre, quand le destin s’est un peu payé sa tête. « Mon job m’emmerde, ma vie sentimentale est un fiasco, je sais, ça n’a jamais été une grande réussite, mais là je touche le fond. Je ne te parle pas de ma vie sexuelle qui se rapproche de celle d’un bigorneau, et encore, je me demande si un bigorneau ne baise pas plus que moi. J’ai des clients à qui je n’ai plus rien à dire, qui me demandent des trucs impossibles (…) » Toi-même tu sais, qu’un jour pourtant identique à tous les autres devient un jour singulier où tu envoies tout valser…
« Elle voulait juste être heureuse » est le récit de cette femme terrassée par la douleur et l’incompréhension qui rebondit en ayant le courage de regarder bien en face le passé lentement construit et l’avenir timide, incertain, un peu flou à l’horizon. Elle affronte les opinions des proches qui découragent, les doutes omniprésents, le manque de trésorerie. Elle rencontre des hommes qui traversent sa vie, profite du moment, mais ne pleure plus quand ils la quittent. Elle a déjà trop pleuré. Elle chancelle, elle s’effondre, elle se relève. Elle avance, même à petits pas. Elle construit, pierre après pierre un chemin de traverse à sa vie confortable.
Elle ne voit pas forcément les signes qui sont pourtant tous là :
M comme Milo
M comme Marrakech
M comme Montmartre
M comme Manhattan
M comme bleu Majorelle
M comme rue Mansart
M comme le nom d’un Concept Store
Celle qui affirmait « Elle voudrait être une toute petite chose fragile dont on s’occupe comme d’une pierre précieuse. » s’efface peu à peu pour laisser place à une autre, métamorphosée, plus forte, plus déterminée, moins encline aux compromis, moins attentive à ses émotions de femme qui aurait besoin des yeux d’un homme pour se réaliser.
Géraldine Dalban-Moreynas raconte son changement de vie où comment un petit miracle est né d’une douleur qui aurait pu la tuer. « On ne meurt pas d’amour » n’est-ce pas ? Le savant mélange des mots tendres et des mots crus met toute la lumière sur la pureté des émotions qui valsent dans un gigantesque tourbillon. Entre Marrakech, Manhattan et Paris, elle réussit parfaitement à transmettre cette lutte entre cœur et raison qui ne cesse, au fond, de nous tourmenter. Ce besoin fondamental de retour à l’essentiel, être soi, entreprendre, monter un projet qui lui ressemble quitte à jeter au feu les promesses d’un confort facile résonne dans toutes les pages. « Je ne veux pas plus de fric. Je ne veux rien de tout cela. Je veux juste vibrer, la routine me fait crever, savoir aujourd’hui ce que je ferai dans dix ans aussi. J’ai besoin de prendre de l’émotion dans la gueule pour sentir que je suis vivante. » Toi-même tu sais…
Le rendez-vous est pris pour un autre rêve à réaliser en septembre 2023. C’est important les rêves, c’est par eux qu’on avance. Ça empêche de sombrer, ça sort la tête de l’eau, ça permet d’y croire encore un peu… dans ce monde de fou où tout va à 100 à l’heure et où la vitesse finalement vous interdit de prendre le temps de réfléchir… à qui vous êtes, à ce que vous voulez vraiment faire de votre existence, à vos priorités. Et si l’on se remettait « Soi » au cœur de tout ? « Je ne veux pas dormir, je veux me réveiller. Je n’ai pas besoin de cachets, j’ai besoin de projets, de savoir que faire de ma vie. » Toi-même tu sais…
The first page of the story feels like a promise to the reader: the boyfriend of the main character breaks up with her, out of the blue without any explanation. I expected to find out either: why he broke up with her or, how did she recover? We are left at the end of the book, with none of that. The last few chapters seem to offer at least, some explanation. But no, it falls flat. The main character is dull. I felt nothing for her. We know more about the flights she took, than her feelings.
Quelle déception ! Ce récit qui est en fait une autobiographie et une vitrine publicitaire pour « l’autrice » n’a aucune profondeur. Je me permets d’écrire autrice entre guillemets car le travail d’écriture proposé est médiocre. 2 ou 3 passages sont à retenir et laissent entrevoir l’espoir d’une amélioration mais cet espoir est vain. Les dialogues sont simplistes et les personnages n’ont aucun intérêt ni construction. Le résumé est bien loin de ce qu’est vraiment le récit. Je n’ai vu aucun intérêt à cette lecture et encore moins de plaisir. Je pensais lire un récit parlant du deuil d’une relation et de la reconstruction après une rupture dans lequel on suivrait le développement psychologique du personnage grâce à l’expression de ses sentiments et ses émotions. Finalement, la rupture vécu par le personnage principal (et donc l’autrice) n’est qu’un prétexte pour évoquer sa marque et son projet professionnel.
J'ai passé un moment agréable, mais je suis restée sur ma faim. Je m'attendais tout le long à ce que la mention des dates à la fin des chapitres aboutisse à une date clef, ou à un événement marquant, mais non. Ou alors quelque chose m'a échappé!
Roman ? Non… récit égocentrique de la nana qui se la raconte trop. Toute ressemblance avec une situation existante est un indice supplémentaire de la taille de son surmoi. Nul, prétentieux, ridicule par moments (ces descriptions de réunions d’agence sont tellement pitoyables de suffisance, ça se regarde tellement…)…
Aide mémoire : elle emménage avec un mec dans une super maison de la villa Léandre perpendiculaire à la rue Junot, tout est merveilleux puis franchement moins, puis il la plaque par sms, elle n’a plus qu’à dégager avec sa môme pour se reconstruire. Ensuite on erre de poncifs en caricatures, la warrior qui rebondit tout le temps, jouit à répétition parce que c’est tellement une femme décomplexée et à l’aise dans sa féminité (!), entre deux avions, New-York, Casa, Rabat, Marrakech pour acheter un ryad comme on achète un pain au chocolat.. et puis une vie de femme amoureuse pourave avec finalement que des histoires de merde.
J’avoue… cette femme m’intrigue autant qu’elle me fascine, j’aime et admire son esprit d’entrepreneur mais je déteste son arrogance et cet air pédant qu’elle arbore en permanence, son compte instagram est le reflet de ce livre. Bref.. elle me met en colère. Mais qu’est-ce que ça dit de moi ?
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malheureusement ou bien heureusement j'ai pas pu le lire jusqu'au bout , la description des scènes de sex était trop vulgaire à mon goût et puis l'héroïne qui se croit en train de se reconstruire alors qu'elle tombe tout le temps dans sa dépendance d'avoir un compagnon qui fait le bon amant ! j'ai attendu pendant plusieurs chapitres qu'elle va se rendre compte enfin que pour être vraiment heureuse elle doit l'être de l'intérieur en se reconnectant avec soi même, et en n'attendant rien de personne ! si elle n'arrive pas à atteindre ce sentiment de la pleine indépendance sentimentale et la pleine conscience personnelle, aucun homme sur la terre ne sera capable de la rendre heureuse, mais en vain j'ai du abandonné cette lecture , et puis le bonheur et l'amour ne se résument pas dans les impulsions sexuelles , une femme dans la quarantaine qui a une mentalité d'une gamine de 14 ans ! enfin bref ce livre n'est pas pour moi
Je ne comprend pas le message de ce livre. J'ai l'impression de lire l'histoire d'une femme bipolaire, qui agit de manière impulsive pour fuir sa peine, qui refait toujours les mêmes erreurs et tombe toujours sur les personnes traumatisées. Beaucoup de passages sont assez problématiques. La fin du livre est bizarre, car ça ne montre aucune évolution, aucune suite, elle continue d'être sur le mauvais chemin.
J’ai beaucoup aimé, c’était mignon, c’était facile à lire. Je regrette juste qu’on en sache pas plus sur beaucoup de choses, mais je comprends la « rapidité » d’écriture puisqu’on est censés être dans sa tête, pas un regard extérieur sur sa vie. Mais franchement belle découverte dans la librairie d’occasion, je l’ai pris un peu au pif parce que le titre m’intriguait et je ne regrette pas !
Je n'ai pas vu l'intérêt de ce roman. Le style est assez particulier (et parfois très cru alors que ce n'est pas nécessaire) et je n'ai pas pu m'attacher à l'héroïne (mentionnée seulement par "elle"). Dommage.
Rarement lu un livre aussi nul. La quatrième de couverture n’a finalement pas grand-chose à voir avec l’histoire racontée. Pendant les trois quarts du récit, l’autrice ne parle que de son projet professionnel, et surtout d’elle, encore et encore. Malheureusement je n’y ai trouvé que peu d’intérêt.
C’était sympa à lire. On peut dire que c’est l’histoire d’une femme qui découvre ce qu’est le ghosting mdr. Ou alors, plus réellement, résumer à travers les premières lignes du livre : « Dans les mois noirs et les nuits blanches qui suivirent, elle se demandera longtemps comment un homme peut faire l’amour trois fois dans la nuit à une femme qu’il va quitter le lendemain. Peut-être justement parce qu’il sait qu’il va la quitter. Lui jurera que non, la veille, il ne savait pas. »
Ma lecture la plus inutile de l'année... Je pensais retrouver un semblant de vie d'une maman solo, hors rien ne tient... L'enfant semble être qu'un vague accessoire, le cliché de la maman solo qui galère alors qu'elle vit comme une bobo dans les quartiers chics de Paris... Ca se veut larmoyant, c'est surtout énervant...