Nombreux sont ceux qui aspirent aujourd'hui à devenir mangaka ou éditeur manga. Mais saviez-vous que ce n'était pas la seule manière de travailler dans le manga ?
C'est ce que va découvrir Kokoro, embauchée dans une maison d'édition pour avoir fait une prise de judo à son président. Affectée à l'éditorial manga, elle va peu à peu faire connaissance avec l'univers qui l'entoure… À la différence de Bakuman qui présente un huis-clos entre un auteur et un éditeur souhaitant créer le prochain hit shonen, Réimp' ! offre une description plus réaliste et seinen, avec une multitude de personnes : commerciaux, libraires, graphistes, assistants… tous là pour porter l'œuvre jusqu'à son lecteur. Les mangaka ne sont évidemment pas en reste, avec une galerie de personnages qui nous semblent étrangement familiers : le grand auteur légendaire passé de mode, l'ex-hitmaker qui n'arrive plus à vivre de son art, la jeune autrice hésitante, le jeune prodige torturé… Avec un style brut mais sensible, l'autrice décrit avec fougue la passion qui habite tous ses personnages.
Et petit bonus exclusif pour l'édition française : un entretien avec un professionnel du secteur, pour comprendre les similitudes et les différences de son métier avec le Japon.
Très belle surprise ! Je m’attendais à une histoire dans la veine de New job, new life mais on en est très loin. L’héroïne est hyper attachante, les personnages qui gravitent autour d’elle semblent avoir tous quelque chose à raconter. En plus de tout ça, l’autrice nous offre une vision très humaine de l’industrie du manga et ça marche super bien.
Dans ce manga super intéressant et rafraîchissant, on plonge dans l'industrie japonaise du manga en suivant une toute jeune éditrice. Avec ce tome, on découvre en particulier le métier de représentant commercial. J'imagine que les autres tomes présenteront en détails d'autres métiers, donc je suis curieuse de lire la suite. À la fin, une petite interview d'un professionnel de l'édition compare ce qui est dans le manga et la réalité du métier en contexte français. Une vision très positive de l'édition, parfois un peu trop (j'ai eu le sentiment que le manga encourageait le côté "métier passion qui ne compte pas ses heures" qui est plutôt malsain je trouve).
Je recommande vivement ce premier tome qui peut être tout aussi bien considéré comme un One-Shot tant l’histoire qui y est contée se clôt à la dernière page sans pour autant laisser sur un cliffhanger. Ça m’apparait moins effrayant en sachant ça que de voir le nombre total de la série et se poser la question à savoir si l’on est prêt à un tel investissement ^^* (quoiqu’à 9, ça n’est pas non plus le pire qu’on puisse faire ahha)
Le style de dessin en surprendra certains, mais les personnages y ont tant de coeur que les traits organiques en renforcent l’émotion et amplifie l’attachement que l’on aura pour le titre 🥰
Solo por la historia del presidente y por la de «¿Se venderá?» merece la pena leerlo. La verdad es que siempre había visto al editor de manga como esa persona que acosa a los autores antes de una entrega. Es bonito ver otra parte, aunque sea siempre desde un punto de vista sesgado para este manga. Sinceramente me ha gustado mucho. Creo que lo peor es que cuesta 10 euros (¿pero qué le pasa al manga en España?) y que como me lo han dejado es difícil que la continúe. Pero vaya, al menos, este primer tomo merece la pena leerse.
Je connaissais déjà les « dessous » des maisons d’éditions japonaises mais le lire c’est autre chose. On peut voir les différences avec les ME françaises et l’interview en fin d’ouvrage montre cette différence. Le personnage principale est vraiment attachant et hyper enjoué ce qui correspond bien au dicton français « l’édition c’est par passion ». J’ai beaucoup aimé cette lecture et j’espère que le manga va autant faire parler de lui que Le Train Pissenlit.
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Me interesan bastante los mangas sobre el mundo editorial, pero este me ha costado un poquito. No sé si ha sido la traducción, la composición o qué, pero perdía el hilo.