Et si nos peurs, nos peines, nos hontes et nos contradictions étaient aussi sacrées que nos joies ? Si elles étaient une porte d’entrée vers une connexion à nos profondeurs, aux autres et au monde ?
Dans le secret des cercles de parole comme dans son histoire personnelle, Camille Sfez a fait l’expérience de cet état émotionnel si inconfortable et dont notre société ne sait que faire : la vulnérabilité.
Dans cet ouvrage, elle lui donne le visage d’une déesse, pour mieux nous inviter à pénétrer dans son temple. En déposant à ses pieds nos masques et nos armures, en acceptant d’être touché·e par la vie, nous ouvrons notre coeur à une plus grande sensibilité, à une écoute subtile et à l’émerveillement.
Un essai en profondeur sur ce que peut amener la vulnérabilité. J'ai adoré certains passages qui ont touché la sensibilité et ont renforcé ma profonde conviction en l'importance de contacter cette part de nous. Mais j'ai parfois trouvé la lecture compliquée.