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Flic

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Jusqu'à présent, aucun journaliste ne s'était lancé un tel défi : infiltrer la police. Valentin Gendrot, adepte des reportages en immersion, a osé. Il a suivi une formation express avant d'intégrer un commissariat durant six mois. Celui du 19e arrondissement de Paris, un secteur réputé sensible. Une arme à la ceinture, le journaliste sous couverture a rejoint une brigade dont certains membres tutoient, insultent et distribuent régulièrement des coups à des jeunes hommes noirs, d'origine arabe ou migrants qu'ils surnomment " les bâtards ".
Ce livre dévoile les coulisses d'une profession souvent accusée de violences, de racisme et au taux de suicide anormalement élevé. Un récit urgent, tant pour les victimes des violences policières que pour les policiers eux-mêmes.

152 pages, Paperback

First published January 1, 2020

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About the author

Valentin Gendrot

5 books3 followers

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14 (1%)
Displaying 1 - 30 of 94 reviews
477 reviews36 followers
October 3, 2020
Je ferme ce livre et je suis en colère. Ca fait deux fois que je lis des bouquins "d'immersion" écrit par des journalistes jeunes blancs cisgenres et hétéro (l'autre c'est "Judy, Lola, Sofia et moi" de Robin D'Angelo). Dès la préface je suis dégoûtée, parce que des auteurs - et une (1 !) autrice - en immersion sont cités, et rien sur le bouquin "Le Quai de Ouistreham" de Florence Aubenas (je suis pas spécialiste mais ce bouquin il m'a marquée) : pourquoi ? C'est pas immersif le ménage ? C'est pas neutre une femme ? BREF. Je ne comprends pas pourquoi ce point de vue, mix de vie perso (qu'est-ce qu'on s'en fout de la taille de ses biceps, du fait qu'il nique pas) et de cette immersion franchement dégueulasse, de la même manière que dans le bouquin de D'Angelo. On se retrouve à lire l'amitié de l'auteur avec les pires connards, dans le plus grand des calmes. En fait il y a suffisamment de témoignages de victimes, de flics minorisé.e.s et/ou sexisé.e.s, pour ne pas avoir cette version-là. Ce type se permet, sous son vrai nom, de ne pas porter assistance à personne en danger, de faire de faux témoignages, de se taire tout simplement. Mais stop ça va trop loin. J'avais pas besoin de ce bouquin pour détester la police en tant qu'institution raciste sexiste violente, et comprendre en même temps (et oui je suis multitâche comme une bonne femme) que les policier.e.s sont des personnes avec des galères des difficultés etc. Mais OH SURPRISE c'est que des blanc.he.s ! Epargnez-vous cette lecture, écoutez plutôt les podcasts "Gardien de la paix", "Justice pour Adama", "Sans blanc de rien, "Kiffe ta race", lisez Rokhaya Diallo, Françoise Vergès, regardez les 3 émissions "Décolonisation" sur arte. Les sources ne manquent pas, l'internet est à vous. Mais pas ce témoignage de lâcheté. On n'avait pas besoin d'un flic blanc qui ferme sa gueule supplémentaire. Anecdote personnelle : je suis allée témoigner sur demande dans le comico du bouquin, j'y suis restée 20mn max, et pendant que je donnais mon témoignage, j'ai entendu un flic dans les couloirs qui gueulait "Putain j'ai envie de me faire sucer moi !". C'est ça la police française, des types qui se croient tout permis, partout, tout le temps, avec des armes et couverts par tout un système d'impunité hyper opaque. Oh tiens il est 13h12 je vais me faire une tisane.
Profile Image for Jeannot.
258 reviews2,244 followers
Read
September 10, 2020
Je ne vais pas donner de note à ce livre car c'est assez difficile honnêtement. Même si le travail accompli est assez dingue, je crois que j'ai un peu de mal avec la démarche. C'est un livre qui se lit très vite, mais on a parfois presque plutôt l'impression de lire un polar, et ce mélange de genres me brusque un peu. Je ne sais pas si c'était le meilleur moyen de montrer les dysfonctionnements de la police, je crois que j'aurais aimé plutôt entendre parler des victimes et des concernés. Je ressors de ce livre avec un goût amer, comme son auteur.
Profile Image for Marion Ottaviani.
65 reviews14 followers
September 11, 2020
2,5/5

Après avoir longuement hésité entre un 2 et un 3, j'ai décidé de donner la moyenne à ce livre. Journaliste spécialisé dans ce type d'enquête, Valentin Gendrot y raconte son infiltration de deux ans dans un commissariat du 19e arrondissement à Paris, entre violences quotidiennes, machisme et remarques racistes. Au fur et à mesure que le temps passe, il commence à dépasser sa mission première pour se faire accepter du groupe et faire ses preuves (c'est ce qu'il appelle son "syndrome du bon élève").

Je suis vraiment partagée. D'un côté, j'ai trouvé ce regard de l'intérieur intéressant par moments, la narration plutôt bien construite et le récit rapide à lire. De l'autre, la démarche de l'auteur ne m'a pas semblé aboutie, car je n'ai pas appris grand-chose de nouveau. J'ai parfois eu l'impression qu'il enfonçait des portes ouvertes, en "découvrant" certaines réalités qui sont pourtant omniprésentes dans les médias (il suffit d'une simple recherche Google pour s'en rendre compte). Tout le monde a déjà entendu ces noms : Théodore Luhaka, Adama Traoré, Cédric Chouviat. Les faits nous sautent aux yeux depuis des années.

Mon problème vient également de ses choix, qui deviennent de plus en plus discutables au fil des pages. Ainsi, il contribue à camoufler le passage à tabac d'un jeune garçon de 16 ans par l'un de ses collègues en mentant dans un procès-verbal. À un autre moment, il observe un membre de sa brigade tabasser un migrant et le relâcher dans la nature sans intervenir. Lui-même essaie de justifier, de rationaliser ces décisions, mais le fait est qu'il reste peu convaincant et se rend, par la force des choses, complice du système qu'il veut dénoncer. Cette posture pour le moins ambiguë m'a vraiment posé problème tout le long du récit.

Malgré les soucis que j'ai rencontrés, ce livre pourra peut-être servir de piqûre de rappel aux personnes qui doutent encore de l'existence des violences policières en France. Il soulève des questions sur le rôle de la répression et des prisons dans notre société, que j'aimerais beaucoup approfondir dans d'autres ouvrages.
Profile Image for Tom Mooney.
917 reviews398 followers
December 5, 2021
A brilliant book that not only exposes the daily brutality and racism of officers in the French police but also shows the awful conditions those officers work under. The clipped prose suits the story so well. The use of scenes - almost vignettes - rather than deep dives into the daily grind also lends itself perfectly to this type of reportage. And I'm pleased he didn't try to draw too many conclusions, just presented what he did and left it up to the reader to decide where blame lies for the systemic problems he encountered. I loved it.

My only criticism lies with the English publisher, Scribe. I can't ever remember reading a book with so many typos. There were probably 20 in a book barely 200 pages long. That is just so, so lazy and does an excellent book, its author and translator a real disservice.
Profile Image for Blanche.
291 reviews99 followers
September 27, 2020
Un peu mitigée.

Il y a un vrai travail de journaliste, une infiltration assez impressionnante et des sacrifices personnels flagrants. De plus, c'est un livre qui se lit bien, l'écriture est fluide et agréable.

Malheureusement, je suis restée bloquée sur ma question initiale "l'infiltration justifie-t-elle de laisser son éthique personnelle de côté ?". Si le livre rend compte d'un malaise dans la police et chez les policiers, j'ai vraiment eu du mal avec certains passages de l'enquête. La violence de l'institution policière est connue depuis quelques années maintenant, et ce n'est pas une surprise de savoir que certains flics sont racistes, violents, misogynes. C'est cependant assez difficile de lire la retranscription d'un mineur qui se fait tabasser par des flics, juste parce qu'il a ouvert sa gueule.

Je pense que cette enquête est efficace pour sensibiliser des gens qui ne le seraient pas encore à la question des violences policières. Pour celles et ceux qui sont déjà au courant, qui lisent des articles, écoutent des podcasts, ça peut vite être une redite violente et difficile à lire.

(Edit : j'ai noté ce livre, mais ça ne veut pas dire grand chose)
Profile Image for Laurianne.
219 reviews13 followers
January 14, 2021
"Je deviens un flic comme les autres, insensible et désabusé." Malheureusement, j'ai bien peur que ce soit ce qu'il s'est passé.

Noter ce livre m'est difficile car que note-t-on la démarche ou le livre ?

La démarche m'a paru très intéressante au premier abord. Pourtant très vite, face aux violences, aux acharnements et aux humiliations quotidiennes auxquelles Valentin Gendrot assiste impassiblement, je me demande s'il ne s'est pas pris à son propre jeu. Si je peux comprendre les enjeux de l'infiltration, couvrir ces bavures et ces agressions sous prétexte de craindre de se "faire traiter de balance dans tout le commissariat" et de "prioriser [sa] place d'insider" ne vaut pas mieux que de les commettre.

Quant au livre en lui-même, je n'ai pas bien compris son principe. Le récit, s'il a l'avantage de se lire de façon fluide, a le défaut de se confondre avec le genre du roman et d'atténuer les violences racontées. Qui est le garçon de 16 ans roué de coups pour avoir écouté de la musique ? Quel est son prénom ? Que lui est-il arrivé ensuite ? En garde-t-il des séquelles ? On ne voit jamais les victimes, or, ce sont elles qui m'intéressent.
Le récit du journaliste est égocentré. En plus de trouver des excuses à son comportement, son enquête se confond avec sa vie personnelle, on y apprend ses relations avec son père, ses dates, ses habitudes de consommations. Ce n'est pas pour connaître sa vie que j'ai lu ce livre.

Bref, malgré le caractère inédit de l'infiltration, je n'ai pas appris grand chose et aucune information, à mes yeux, ne justifie son inaction face à de telles situations.
Profile Image for Diana.
569 reviews38 followers
August 15, 2023
This was incredibly easy to read. I raced through it in less than 24 hours.
It was a brave undertaking to infiltrate the French police force after undergoing training as an ADS ‘security assistant’, the lowest rung on the police ladder. After three months of training Valentin is licensed to carry a weapon and assist in police operations. Initially assigned to transport duties in a psychiatric facility, Valentin toughs it out until he is transferred to the 19th arrondissement, an area of Paris riddled with street crime, drug offenses and domestic violence. Working in a station he witnesses police brutality, racial profiling, corruption and misogyny, himself becoming hardened but conflicted by the day to day operations of the station. While the book focuses on the ‘Fight Club’ mentality of the force, it also brings up issues of inadequate screening of police force candidates, insufficient training, inadequate renumeration and the disturbing frequency of suicides in French police force staff.
Very interesting read.

2023 non- fiction- reader - challenge - Crime
2,828 reviews73 followers
January 14, 2025

“We have time to learn how to use handcuffs, to fire a gun, but no time to learn how to support a woman who is the victim of abuse.”

Jeez! Who would ever have thought that?...Yet another undercover investigation exposes yet another widespread case of jumped up police officers getting away with being corrupt, racist, lying bullies?...

“The unspoken rule is crystal clear: whatever happens, cops stick together.”

This documents a well-established culture of sickening behaviour and what happens when you give power with impunity to ignorant, racist thugs and let them loose in your city. This is shocking, but not really surprising, as long as the police are seen to be doing the work and enforcing the policies that they are told to by ruling politicians, then of course they are going to be given "extra privileges" and exceptional allowances and granted far-reaching powers which are rarely questioned or challenged in any meaningful way - unless it becomes too embarrassing and politically sensitive.

“The constant violence is starting to take its toll. What’s astonishing-besides the violent incidents is realising that officers feel they’re completely untouchable.”

This works really well with the use of cats too, the furry felines allow the artists to express a rich spectrum of some truly cunning and awful characteristics and human traits, which look all the more creepy and sinister when done through animal form. Good on you Gendrot!
Profile Image for Samuel Babajee.
8 reviews5 followers
March 27, 2021
Je m'attendais a trouver un livre qui allait me faire reprocher à la police qu'elle était inhumaine mais (mal)heureusement ce qui surprend par ce livre c'est qu'on y voit la banalité des policiers qui subissent et agissent de manière totalement et pleinement stupide, corrompue, bonhomme. Mais la ou je pense que Flic était un livre éclairant c'est parce que l'auteur y raconte les concessions et les compromissions de son investigation. D'ailleurs même si l'auteur décrit les inégalités et les injustices de la police, cette dernière est dépeinte de manière humaine et il y a une grande empathie (non justifiée ou pas) pour ces hommes bloqués par une institution, un passé, une quotidienneté. Au final les gens subissant ces inégalités sont des gens depersonnifiés, ce sont des images (un Indien, un modou, un guinéen etc) qui sont pris dans des systèmes à une facette.
Et ce qui rend le regard de l'auteur captivant est l'expression de son dégoût face à sa propre complicité.
Profile Image for Camille.
603 reviews40 followers
Read
October 18, 2021
Je ne vais pas mettre de note car je pense que ce n'est pas la peine. Il n'y a pas à aimer ou non ce livre, c'est un témoignage essentiel sur la police française, ses dérives et ses problèmes.
A lire !
Profile Image for lesewürmchen.
56 reviews3 followers
September 12, 2023
absolute empfehlung!
der journalist valentin gendrot arbeitet 6 monate undercover bei der pariser polizei und veröffentlicht mit diesem buch seine schockierenden erlebnisse.
die konkreten situationen im polizei-alltag werden in einen gesamtkontext gebracht und mit statistiken zahlenmäßig veranschaulicht.
ich mochte die nüchternen schilderungen der konkreten situationen, aber auch der gedankenwelt des autors sehr. doch auch die einordnung der einzelnen situationen und die hervorhebung der struktur der probleme waren wichtig.
ich finde, dass gendrot in seinem experiment dennoch eine rote linie überschritten hat. er ist stillgeblieben, als seine kollegen menschen verprügelten und misshandelten. er hat in uniform dabei zugesehen und ist still geblieben. ja, wenn er etwas gesagt hätte, wäre seine deckung aufgeflogen aber wäre das nicht okay gewesen? hätte nicht genau das intervenieren sogar zu hilfreicheren erkenntnissen geführt? wo wäre seine grenze gewesen?


“Zum letzten Mal ziehe ich die marineblaue Diensthose aus, lege das Koppel ab und streife das Polohemd mit dem aufgeflockten Schriftzug POLICE über den Kopf. Ich stopfe alles durcheinander in meine Tasche, knalle die Spindtür zu und sprinte, immer zwei Stufen auf einmal, die Treppe ins Erdgeschoss hinauf und durch den Ausgang.
Ich eile die Straße entlang, ohne mich umzudrehen, wie ein Flüchtender. Ich versuche zu ordnen, was ich in den sechs Monaten hier erlebt habe, in meinem Kopf brennt ein betäubendes Feuerwerk aus Erinnerungen ab. Die Ohrfeigen für die Gewahrsamshäftlinge an meinem allerersten Arbeitstag; der Selbstmord des Kollegen vom Revier; die ständigen rassistischen Äußerungen und Verhaltensweisen; die Alltäglichkeit von Beleidigungen der Bürger; das allgegenwärtige Duzen; ein Jugendlicher, der vor meinen Augen zusammengeschlagen wird; ein Kollege, den die Falschaussagen der anderen - und meine eigenen - decken; ein Migrant, der im Mannschaftswagen mit Schlägen traktiert wird.
Zwei Jahre meines Lebens kommen zum Abschluss. Es ist Zeit, wieder meine wahre Haut zu zeigen, es ist Zeit, diese Geschichte zu erzählen“.
Profile Image for alexander shay.
Author 1 book19 followers
February 29, 2024
I wanted to read this book mainly for the premise: a journalist getting inside the police and sharing the corruption he witnesses with the world. Not vastly dissimilar from a rough draft I'm working on (which is why I wanted to read this book). The art of all the cat people was an interesting choice, still able to portray race, emotions, and individuality, and part of why I was interested in the graphic novel adaption specifically was due to that.

But, however, I found this book to be a bit confusing. There were no chapter or section breaks, no way of telling how much time had passed unless the narrator or a text box specified "a few weeks later" or similar, which was not done nearly enough. It felt like time even jumped back and forth a fair but but I can't be certain because dates weren't used very often. I would have read the actual book instead, but since it's in French and I can't read French, this translation of it was my only option. I'd be curious to see how much the two texts differ and how much artistic license was taken by both the translator and artist(s).

That said, this book still exposes a dark side to policing. As someone only more recently aware of atrocities like this, specifically of those committed within the North American context, it was eye opening to read of a police system from elsewhere, and saddening to see that the same events are occurring. I would like to think these things are worse in France, but I suspect the level of brutality exposed in this book is only so shocking because Gendrot found a way to report on it that others in other cities and countries have yet to do. In other places it is still too well hidden.
67 reviews3 followers
October 8, 2021
Cop is a quick read which jumps out of the starting gates and never lets up. Rather than inject his ego into the story, Valentin acts as the everyman and records the events unfolding in front of him with a neutral gaze.

He is neither overly sympathetic nor harshly critical of his fellow officers. Rather, he understands that they are people, ordinary people, put in a difficult position. His comments on domestic abuse and the almost complete lack of training that officers receive is a strong point, he quickly realises how difficult it is for officers to jump in and resolve very difficult issues such as domestic violence.

The book offers no great revelation but, where the interests lies, for me at least, is the detail it offers of everydau France in the modern age.

An interesting read and Gendrot deserves praise for embedding himself in his story in this way. His writing and research carries on the tradition of the new journalism style.
Profile Image for Jack.
21 reviews
July 4, 2023
I think making the characters anthropomorphic did nothing to add to the book. It creates no clever metaphor and merely adds ambiguity to distinguishing between characters (this may be on purpose, but it only detracts from the reading experience). While the willingness to go undercover is bold and terrifying, I felt it could've gone deeper. Moments of great reflection are too few, and the conclusion presents few revelations.
Profile Image for Dustyloup.
1,324 reviews8 followers
February 1, 2023
4.5* En français ci dessous
Note that I read the graphic novel and not the book. Thierry Chavant & Mathilda did such an excellent job on both the colours and the drawings. Each and every person/cat, no matter their status (either police force or "bastard") or origin is recognisable with a unique style and expressions of their own. The colours in particular really add to to the the story's sense of place and emotions.
Gendrot's experience made me think of Nellie Bly's investigative reporting. His neutral position was interesting because despite the bad behaviour that he witnesses, he acknowledges the institutional factors that contribute to and perpetuate actions which should be considered inadmissable.

A noter que j'ai lu la BD pas le livre :
Pour commencer, le travail de Thierry Chavant et Mathilda est juste magnifique!
Chaque chat/personne, peu importe leur statut (policier, "bâtards"...) ou leurs origines, est reconnaissable, avec un look et des expressions identifiables. Et les couleurs, le palette et le camaïeu, font vraiment parti de l'histoire et l'aliment. On peut vraiment sentir l'émotion.
Gendrot m'a fait penser au travail de Nelly Bly.
Sa position était relativement "neutre" et lui permettais de se rendre compte des facteurs systématique, multiples, complexes... Qui sert à perpétuer les comportements "inadmissibles"
Profile Image for es•ka .
22 reviews2 followers
January 3, 2021
Très rapide et facile à lire (d’où les 2 étoiles)

La banalité prend vite sa place dans le récit et dans l’infiltration du journaliste...
Je m’attendais peut-être à des chapitres plus durs et plus révoltant
Rien de surprenant dans les faits et gestes de certains de ces anciens collègues quand on s’intéresse déjà un peu au sujet ou que l’on suit les informations autres que sur BFMTV.
Des personnes qui se prennent pour des cowboys à cause d’un Tonfa accroché à leur ceinture ...

A titre très personnel j’aurai aimé en apprendre plus, j’ai trouvé la recherche (statistiques etc...) un peu bâclée, une sorte de journal sans grande conviction,
je ne doute pas de la difficulté à se faire passer pour une personne que l’on est pas ou que l’on ne veut pas être mais je suis un peu restée sur ma faim tout de même

Je vais plutôt aller lire les livres de Mathieu Rigouste
Profile Image for Meline.
27 reviews4 followers
January 3, 2025
Bon.


Franchement je sais pas
Journalistiquement c’est intéressant, ca fait toujours rever certain.es les infiltrations et parfois ca se justifie
La je ne suis pas sure

On “apprend” des choses, assiste à des scènes choquantes mais qui sont en réalité dites et répétées par les principaux.les concerné.es depuis des années
Racisme homophobie sexisme oui mais pourquoi aurait on besoin qu’un journaliste homme cis blanc s’infiltre et participe (indirectement même si ne rien dire et falsfier un rapport est une participation directe à la violence) à ce system qu’il dit vouloir documenter et dénoncer

Je respecte le taff et la difficulté de la tâche mais franchement il n’etait pas obligé de s’infliger ça
Écoutons les témoignages et abolissons cette institution

Bref lisez plutôt défaire la police
Profile Image for Clémence.
165 reviews21 followers
April 11, 2022
Des exemples concrets, parmi pas mal qui sortent depuis quelques temps - une nouvelle démonstration, s'il y en avait besoin, du manque de formation de la police, milieu profondément raciste et mysogine.
18 reviews
February 17, 2021
Excellent livre sur les conditions de travail des flics en France. Entre chocs et peines, cette infiltration donne des événements brutes.
Profile Image for Alma.
31 reviews
August 28, 2022
Je l’ai lu y’a vla longtemps mais c’était très bien fait, j’adore ce genre d’enquête
Profile Image for Valentin Ennajjari.
4 reviews
December 31, 2021
Je ne comprends pas les mauvaises notes excessives (moins de 3 étoiles) données à cet ouvrage. Certes, le style est loin d'être incroyable, il y a quelques manques (la vie des collègues aurait mérité d'être mieux infiltrée pour comprendre leur mal-être, essayer de dire non à la dernière bavure où un migrant se fait tabasser gratuitement afin de voir ce qui arrive à un flic qui "balance", plus de détails sur le travail dans l'asile de "fous"...) mais tout de même ! Quel courage !
Valentin Gendrot a sacrifié près de deux années de sa vie à infiltrer la police, il a pris des risques en s'exposant directement, il s'est impliqué dans son travail de journaliste puis a eu le courage d'en faire un livre qui pourrait bien lui coûter quelques passages au tribunal (notamment pour le passage où il couvre un collègue).
Ceux qui disent que le livre est à charge contre les policiers, je trouve que c'est exagéré. Soit vous ne l'avez pas lu intégralement, soit vous le n'avez pas lu du tout et jugez sans savoir. De nombreux passages sont consacrées au mal-être policier : conditions de travail difficiles, vétusté des locaux et des équipements (voitures comprises), une politique du chiffre qui force à des interventions sans intérêt, une quasi non-sélection (on peut tous devenir ADS), une formation ridicule (3 mois à peine pour un ADS, très peu de cours sur la déontologie ou de préparation psychologique), aucun respect de la part de la population, des horaires décalés qui ne conviennent pas à la vie de famille (taux de divorces élevés), des traumatismes psychologiques non résolus (peu de psychologues, omerta viriliste quant aux sentiments), hiérarchie déconnectée du terrain, décisions de justice incompréhensibles, et salaire de misère... De tout cela résulte un taux de suicide alarmant.
Les policiers ne côtoient pas la misère, ils pataugent dedans.
Le livre est aussi glaçant quant aux profils de certains policiers. Les comportements racistes, homophobes et sexistes sont monnaie courante. En témoignent les bavures dont est régulièrement témoin Valentin : passages à tabac de migrants ou de jeunes "bâtards -comprendre des noirs ou des arabes- , gifles de gardés à vue récurrentes, usage de privilèges dans des conditions inappropriées -gyrophares pour aller acheter un sandwich-, insultes gratuites...
Mais aussi les discussions whatsapp retranscrites telles quelles où on parle de "bâtards, de sales pds, de modous..." , où on espère que le type qui est mort était un "bobo" ou un "modou"...
Bref, des profils de tonton beauf qui lâche des blagues racistes à table à Noël. Sauf qu'on parle de personnes qui sont censés nous protéger, qui possèdent des pouvoirs, une arme...
Et toutes ces bavures sont couvertes par les collègues et la hiérarchie ! Edifiant... On a parfois l'impression d'être dans un autre pays que la France mais non, tout ce qui est décrit se passe bel et bien chez nous.
Valentin précise (je ne me souviens plus exactement des chiffres) que sur l'année 2019, sur toutes les plaintes déposées contre la police, aucune n'a abouti à des sanctions. Aucune. Et que si on prend d'autres années en compte, il y a eu 5 sanctions, jamais assorties (ou rabaissées par la suite en appel) d'impossibilité d'exercer les fonctions de gardien de la paix.
Honteux. Scandaleux.
Et en lisant certains commentaires, je vois qu'on n'est pas prêts de se remettre en question.
Profile Image for Julie Kasinski.
26 reviews3 followers
September 9, 2020
Une immersion qui pose les bonnes questions

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant les premières pages du livre de Valentin Gendrot. Je redoutais une immersion qui s'apparenterait presque à une sorte d'émission de second plan en mode "Vis ma vie de flic", se concentrant davantage sur l'infiltration en elle-même que sur le véritable milieu de la police.

C'est bien ce milieu que l'on "découvre" (je mets le mot découvrir entre guillemets, car pour bien d'entres nous les révélations de ce livre sur la police ne sont pas une découverte, mais une confirmation), au travers des yeux de l'auteur. On est loin de l'image romancé du bon flic qu'on voit dans les films du dimanche. On voit plutôt celle que l'on dénonce depuis ces dernières années: formation "low-cost", loi du silence face aux bavures policières, présomption de culpabilité vis-à-vis d'une population à majorité jeune, masculine et de couleur, déshumanisation de cette partie de la population, mais également précarité des conditions de travail et sur-suicide.

Ce livre me pousse à m'interroger davantage: qui est vraiment responsable? Ces policiers à qui l'ont apprend à peine le code de déontologie? Leurs formateurs? La hiérarchie qui ferme les yeux? Leurs conditions de travail, leur salaire ou l'absence d'actions réelles face au suicide des policiers? Ou simplement le racisme et la violence qui sont totalement acceptés dans la culture policière?

C'est le phénomène de déshumanisation qui m'a vraiment marqué. Quand est-ce que la ligne a été franchie? A-t-il toujours existé dans la police?
Cette perception mêle insidieusement une présomption de culpabilité et une déshumanisation. Un « bâtard », dans l’inconscient de certains policiers du 19e arrondissement, ne mérite ni « exemplarité » ni « impartialité », bref ne mérite pas le respect. Et cela ne dépend pas de ce qu’il a fait, cela dépend de ce qu’il est. Une fois cette déshumanisation établie, tout devient justifiable, comme le fait de tabasser un adolescent ou un migrant.


L'ouvrage finalement nous interroge également sur la méthode de Valentin Gendrot. Et là aussi j'ai mille questions: l'infiltration ne va-t-elle pas en elle-même à l'encontre de la déontologie journalistique? Lorsque Valentin ne dénonce pas une bavure policière "pour pouvoir en dénoncer mille" ne va-t-il pas trop loin pour son livre? Comment ses anciens collègues ont-ils réagi à la publication du livre?

Si vous cherchez des réponses tranchées, vous ne les obtiendrez pas avec ce livre. En revanche, il pousse à la réflexion. Et c'est ce que j'ai apprécié dans cet ouvrage: il pose les bonnes questions à un moment où chacun d'entre nous devrait se les poser et chercher également, en nous, quelle est notre part de responsabilité.
Profile Image for Manuel Acosta.
199 reviews7 followers
May 3, 2021
Termino este libro con un sabor agridulce. No conocía este sistema francés de poder acceder a una policía de bajo coste, con poca preparación, sin pasar rigurosos controles sobre todo psicológicos, que hace que sea posible un juego peligroso en el que cualquiera puede acceder a un arma con total legitimidad y lo que es peor, hacer uso de ella amparado en su condición.

El periodista Valentin Gendrot es un experto en infiltrarse en empresas, ya lo hizo en Lidl y en Toyota, para luego contarlo en sus libros. Ahora se infiltra en la policía francesa pero en lo que ellos llaman Adjunto de seguridad (ADS) o auxiliar de policía, el rango mas bajo en el estamento policial francés.

En Poli, el autor contará su experiencia desde las pruebas de acceso, la formación durante tres meses de academia, su posterior destino a un hospital psiquiátrico, hasta llegar a su esperado destino, una comisaría en el distrito 19 de París.

Durante este tiempo Valentin será testigo pero también parte implicada en asuntos de violencia y abuso policial, verbal y físico, vivirá el suicidio de uno de sus compañeros y conocerá de primera mano las condiciones en las que trabajan los policías franceses, casi siempre faltos de medios y con escasa atención a sus peticiones por parte de sus superiores.

Ahora bien, si para poder documentar un trabajo periodístico, siendo policía al fin y al cabo, es capaz de dejar pasar esos abusos policiales, de mentir incluso en un informe oficial y de mirar hacia otro lado cuando las cosas no son realmente como deberían ser, pues es que realmente algo falla y en esa denuncia, que viene a ser este libro, él queda incluido también.

Este libro, de lectura muy rápida , con capítulos cortos pero certeros, queda a medio camino entre un diario y un trabajo periodístico, en el que el autor aporta pocos datos y estadísticas, los cuales hubieran servido para tener una visión más global del problema, y en el que desgrana el día a día en su trabajo como ADS reflejando de manera directa y sin tapujos las incontables ocasiones en los que la policía se excede en sus funciones. Realmente hay algunos capítulos muy duros y violentos en los que el racismo, las vejaciones e incluso el maltrato físico son la rutina diaria.

He echado en falta quizás una mirada algo más profunda hacia el lado de las víctimas y también sobre la motivación que lleva a sus compañeros a ejercer este tipo de conductas que según el autor, aunque no son realizadas por la mayoría de los agentes, bien es cierto que acaban contaminando al resto, y sepultando bajo capas de ilegalidad la labor de servicio y protección que de verdad realiza la policía. En Francia y en cualquier sitio.
347 reviews9 followers
November 15, 2020
Je suis complètement passée à côté de la sortie de ce livre en Septembre ! J'en ai entendu parler en début de semaine, je l'ai commandé et lu d'une traite une fois reçu. J'ai adoré.
👮‍♂️ Journaliste et habitué aux infiltrations dans différentes institutions (comme Lidl), V Gendrot décide d'infiltrer la police. Pour cela, il s'inscrit aux concours nationaux, fait 3 mois de formation à St-Malo, puis exerce 18 mois à Paris (une douzaine de mois 'chez les fous', puis un peu moins de 6 mois au commissariat du 19è), dans la fonction d'ADS (adjoint de sécurité).
🔫 Il décrit les scènes dont il est témoin, la violence et le racisme qui font parti du quotidien, mais également le suicide d'un collègue, le mal-être généralisé.
📚 Un livre à lire ! Et qui fait assez écho à la série Engranages, dont je regarde la saison 8 en ce moment !
Profile Image for Lolita .
100 reviews12 followers
December 28, 2020
Bonne lecture, difficile à noter, en soit. Je n’y mets que trois étoiles car je trouve que nous n’apprenons finalement pas tant de choses.... il y a une confirmation des archétypes qu’on peut se faire des flics mais rien de « nouveau » à mon sens. J’ai tout de même aimé l’ambivalence du point de vue de Valentin : à la fois il critique les actes de certains, tout en relevant le taux de suicide dans ce métier / les difficultés du poste / mais aussi le fait que par manque d’effectif, on ne prend même pas les personnes en fonction de leur moralité alors que la police est censée incarner une certaine morale. C’est bien écrit mais ça ne casse pas non plus trois pattes à un canard à mon sens, et puis ça se lit super vite
16 reviews
September 25, 2020
Entrer dans la police. Très simplement par une formation de trois mois, en infiltration pendant 6 mois dans un commissariat. Pas d’aventures extraordinaires, d’enquêtes impossibles, d’affaires exaltantes. Juste la vie des flics aux quotidiens. A lire pour tous les curieux et les fans de la série engrenages.
10 reviews1 follower
February 10, 2024
Ace story and how journalism should be. Not sure why they were cats.
Profile Image for Emma.
70 reviews30 followers
July 10, 2022
Cop [original: Flic] is an entry-level easy narrative of a journalist who goes undercover as a cop in the French police force. The book is narrated from the journalists point of view who describes his day-to-day activities throughout what I’m pretty sure is 2019.

I heard about this book thanks to a Konbini interview with Gendrot which discussed some of eyebrow raising discoveries he had made about the French police force. I was interested in the text as I was curious as to what new insights it would offer compared to Enforcing Order: An Ethnography of Urban Policing where Fassin examines the logic and the conditions that make police brutality possible. As another review notes, there have been many other texts exploring this subject between Fassin in 2005 and Gendrot in 2020. So what does Cop add?

To be honest, not much I think. It perhaps is a good update in some areas since the declaration of the emergency state in 2015 and the legal developments in policing that came as a result. It also establishes the on-going issues of police brutality and suicide rates within the force are still, exactly that: on-going.

But I didn’t really pick the book up for the content per-say. I could tell from the first few pages that Gendrot’s own perspective was more of a middle-road one whereas I personally align with the absolute abhorrence for the police that Gendrot’s father expresses in the book. I say this as an abolitionist living in a colonised country so I believe it denialism to consider the police as anything other than a state-mandated means of controlling and eliminating unwanted components of a country’s population. I also take note of the point mentioned in other Goodreads review of this book that narrating from within the mindset of the police force is probably not the best way to expose just how horrific police brutality is. One major drawback of this book is Gendrot has a double focus: exposing police brutality but also showing their poor working conditions. I would argue that one cannot fully do justice to both.

I was interested to see Gendrot’s approach – his methodology so to say – in infiltrating the force. He doesn’t really explain explicitly why he feels the need to go undercover other than as an urge. I think the underlying implication is that he feels his colleague are more likely to revela more of their activities in front of him if they believe he is one of them. I would support such an argument but at the same time, Gendrot, due to his ideneity as a seemingly white straight cis-man, will only ever be pricy to a certain type of experience in the police force. He cannot claim to understand what it would be like to be a woman in the force or a person of colour. Not that he does but nor does he acknowledge the limits of his own gaze.

What I found to be particularly lacking was a reflective epilogue. The book ends with his last day as a cop. I felt this really left out a just-as-important component of a book that marketed itself as a unprecedented infiltration. What type of red tape did he have to go through to publish such a book? How did he feel after he left the job considering his own worries about betraying the force or finding himself going in too deep? He mentions in the book that he wants to expose elements of the police force to hopefully inspire change – but what change exactly? The book is presented in such a way that it seems we readers are expected to just take it as a blow-by-blow account: nothing more nothing. Which makes for an enjoyable read and, to a certain extent, an eye-opening one. But what progress does this book actually make? That is harder to say.
Profile Image for Ann Aunymus.
91 reviews
April 24, 2025
Même si le résumé proposé par son éditeur l’affirme, Valentin Gendrot n’est pas le premier journaliste infiltré dans un milieu qui n’est pas le sien. Bien d’autres ont été sous couverture. Ici, le reportage est censé explorer la face cachée de la police française. Pour la dévoiler au monde entier, l’auteur n’hésite pas à poser sa candidature à un poste de policier auxiliaire sous sa véritable identité. Il n’a aucun mal à le faire puisqu’à l’époque il a 29 ans et n’a pas d’emploi fixe malgré sa carte de journaliste. Il est pigiste, ce qui veut dire qu’il travaille en free-lance en écrivant des articles pour tous les journaux qui font appel à ses services. Sans employeur attitré ou définitif, il dispose de son temps et peut postuler pour être policier. L’aventure va durer deux ans pour lui. Elle commence avec une formation express de trois mois, un passage au service de prise en charge des urgences psychiatriques et se termine au commissariat du XIXème arrondissement. Valentin Gendrot touche un salaire de moins de 1400 euros qui lui permet (à peine) de vivre et il travaille honnêtement pour le contribuable français dont il assure la sécurité. En plus d’un emploi « alimentaire » insuffisant pour louer un appartement correct, le jeune homme poursuit son ambition : révéler la réalité « secrète » du quotidien des policiers. Il n’oublie pas son reportage et note tout ce qu’il voit. En attendant, il passe au moins 24 mois en tant que « flic ». C’est long, très long et il ne rêve que d’une chose : démissionner. C’est ce qu’il fait et après, il écrit son ouvrage… Et là, quelle déception ! Sous le soleil, rien de nouveau. Le lecteur découvre ce qu’il sait déjà depuis toujours puisque le sujet a été abordé de nombreuses fois. Les clichés aussi ont la peau dure. Ainsi, Valentin Gendrot révèle que les « flics » sont des racistes (et cela quelle que soit leur origine ethnique), qu’ils persécutent les étrangers, les non-occidentaux, qu’ils passent leur temps à frapper les innocents, qu’ils insultent tout le monde, qu’ils traitent les citoyens « Noirs, Arabes et autres » de « bâtards », qu’ils font absolument tout ce qu’ils veulent. Bref, la Police Nationale recrute des bons à rien violents qui se croient tout permis. A part l'arrogance (des flics), la profession est difficile, ennuyeuse, pénible et les policiers se suicident. Par ailleurs, Valentin Gendrot décrit les bavures de ses collègues qu’il juge vulgaires. Il mentionne les passages à tabac répétés de « bâtards », agressions gratuites pour un oui ou pour un non. En bref, « Flic : un journaliste infiltré dans la police » n’offre rien de bien croustillant ou d’exclusif. Bien au contraire, cela sent le réchauffé, le déjà vu dans toute la presse.

Je ne révèlerai pas tout sur ce travail d’infiltration. Mais vous pourrez trouver sur mon blog la suite de ce commentaire, plus complet :

https://allebei.blogspot.com/2025/04/...

J’ai lui ce livre mais je ne le conseille pas particulièrement. Je n’ai pas appris grand-chose. Dommage…
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