Depuis quelques mois, Édouard et sa bande - des adolescents sans histoire - ont une façon un peu machiavélique de gagner facilement de l’argent de poche : séquestrer des personnes âgées vulnérables le temps de leur les détrousser à même leur compte en banque, pour ensuite les remettre en liberté sans une égratignure. Leur manège se passe sans la moindre effusion de sang, jusqu’au jour où, cédant à la tentation de faire un dernier coup, le quatuor s’en prend à la mauvaise personne.
J’ai rapidement été charmée avec le livre Politiquement incorrect de Pierre-Luc Lasalle aux éditions du Parc en face il y a quelques mois. La même chose s’est produite avec ce roman.
Ce livre raconte l’histoire de quatre adolescents qui décident de kidnapper des personnes âgées en vue de leur voler de l’argent dans leur compte bancaire. Alors que leurs coups se déroulent à merveille, le quatuor décide d’en effectuer un dernier avant sa retraite. Toutefois, bien des surprises les attendent puisqu’ils s’en prennent à quelqu’un de très important.
Ne vous laissez pas influencer par la page couverture. Personnellement, je trouve qu’elle donne l’impression que ce livre s’adresse à de très jeunes ados, voire pré-ados. Or, ce n’est pas du tout le cas. Le roman vise davantage des ados avec une certaine maturité et est également excellent pour les adultes.
Une des choses que j’adore lorsque je lis, c’est le fait de lire plein de références, blagues et inférences liées à la culture générale et à l’actualité. Avec ce roman, j’ai été complètement servie, même si ces références peuvent être complexes à comprendre pour les ados. Pour les adultes, toutefois, c’est un vrai bijou. De plus, le langage utilisé est très courant et on utilise plusieurs expressions urbaines populaires. Bien que le narrateur de l’histoire soit omniscient, celui-ci n’hésite pas à commenter, accompagner le lecteur, préciser certains passages et faire plusieurs blagues en bas de page. Enfin, un élément que j’adore avec cette maison d’édition est sans aucun doute l’entrevue avec l’auteur à la fin du livre. Pour ma part, je suis toujours curieuse d’en apprendre plus sur les auteurs lorsque je termine mes lectures. Bref, cette lecture est très originale, drôle et captivante. C’est définitivement un coup de cœur pour moi!
Il m'a fallu apprivoiser le style de l'auteur pour celui-ci. J'avais des attentes élevées, compte tenu de ma très grande appréciation d'Olivia Vendetta. Je réaliste que je n'étais pas le public visé par celui-ci, entre autres à cause des touches d'humour qui m'ont laissée perplexe.
D'abord, j'ai eu du mal à saisir l'intention de l'auteur. À quel public s'adresse ce récit? C'est une collection jeunesse, mais le langage est trop vulgaire et la violence, trop crue pour ce type de public. On fait des références "jeunesse" et on prend - faussement, ça donne le ton! - le lecteur pour un idiot en ajoutant des références et des notes en bas de page sarcastiques destinées à faire rire - j'imagine? - plus qu'à nous éclairer sur l'histoire.
Par ailleurs, les lieux communs pleuvent; certes, l'auteur le nomme explicitement dès le début, mais les clichés demeurent des clichés, et même rassemblés en quantité phénoménale, ils ne se transforment pas en récit éloquent et intéressant pour autant. Ça donne une étrange caricature du milieu INTERLOPE - mot répété au moins 32 fois - dont les criminels auront des noms les plus ridicules les uns que les autres. D'ailleurs, qui est ce Jimmy Diamond? Un criminel détesté des autres, mais encore? J'avoue que ça relève de l'exploit, cette façon de raconter une histoire autour d'un personnage pourtant nommé dans le titre, mais qui joue un rôle de figurant dont on ignore presque tout.
Bref, ça m'a un peu fait penser à la superbe télé-série C'est comme ça que je t'aime, qui aborde le crime organisé d'une façon totalement loufoque.
3.5⭐ un livre d'ado dans lequel on parle d'enlèvement, de crime organisé et de la loi de Murphy. C'est une lecture rapide. L'auteur parsème son roman de notes humoristique et de références hilarantes.
Version courte: Un roman atypique qui semble à la fois tenir du roman policier, des intrigues de crime organisé et des tribulations d'adolescents, sous un épais verni d'humour à plusieurs visages, "Jimmy Diamond est une merde" n'est pas ce qu'on pourrait attendre de lui au premier coup d'oeil. C'est pourtant un lecture réellement divertissante, addictive, comique, ludique et même ...éducative?! Avec quatre ados qui sont plus que le cliché qu'on leur colle, des chefs de gang de et de mafia colorés, un policière en quête d'émancipation et une ordure notoire dont le nom est connu de toutes les grandes pointures, la table est mise pour le huis-clos partiel le plus déjanté et jubilatoire de son genre! Et comme il est un peu seul dans son genre, ce roman, difficile de contester cette dernière phrase...
Version exhaustive : Si je devais vous expliquer mon ressenti global face à ce roman, je vous raconterais cette courte anecdote: Un jour de grande chaleur, nos parents nous ont offert une "slush" ( Barbotine). Entre la rouge et la bleue se trouvait une slush NOIRE. Je vous laisse imaginer notre expression de dégout à nous, enfants, devant cette masse mouvante couleur goudron, dont on flairait l'ignoble goût de réglisse noire en grimaçant. Plus téméraire que les membres de ma fratrie, j'ai tenté cette sorte, qui a un goût de...limonade?! Wouah! Mais en fait, c'est vraiment original ce truc! Et j'en ai prit un verre complet. Donc, moralité: Ne vous laissez pas berner par cette couverture aussi laide que mal adapté à son lectorat, les ados et jeunes adultes, en plus du nom un peu foireux, parce que ce roman est en réalité original ( et étonnamment rafraichissant)!
Autant être honnête avec vous, quand j'ai vu, avec mes collègues ce roman, avec un titre pareil et cette couverture peu esthétique, on s'est tous interrogé sur ce dernier. Sorte de blague pas claire, roman peu crédible, on l'a jugé assez rapidement, en fait. Néanmoins, comme je craque souvent pour les romans atypiques et qu'en tant que libraire, je voulais être fixé, je me suis mis sur son cas. À l'origine, ce roman devait porter le titre : "Jimmy Diamond est une ordure", que je préfère, personnellement, avis partagé par mes collègues jeunesse.
Si je devais donner un comparatif via la littérature adulte, je vous dirais que je lui trouve plusieurs similarités avec la populaire série pince-sans-rire et déjanté du "Bourbon kid". Moins violent, mais aussi explosif: les évènements s'enchaînent joyeusement comme une ligne de dominos qui s'écroule. Il y a aussi les nombreuses allusions ou appellations à connotation infernale, comme les noms des gangs, par exemple, ou la chanson "Highway to Hell", d'AC/DC. En outre, on a plusieurs références cinématographiques , comme dans la série d'Anonyme, avec lui aussi des références de films de Série B ou de mafia. Un petit gang de jeunes à la moralité douteuse qui se retrouve mêlé aux affaires d'un gang criminalisé ( des motards et des mafieux), ça fait aussi très Anonyme. Par contre, il n'y a aucune dimension fantastique dans cette débâcle. On a aussi un langage cru, beaucoup de jurons ( dont des "sacres", ces jurons typiques du Québec inspirés de termes chrétiens et plusieurs vilains mots anglais). On ne censure pas en littérature Jeune Adulte, c'est un de ses grands privilèges! À sa décharge, le milieu criminel n'est en effet pas un modèle de langage raffiné. Néanmoins, le tout n'est pas mal écrit non plus et certains personnages s'expriment très bien.
Alors qu'avons nous côté scénario? Un groupe de quatre vieux ados entre 16 et quasi-18 qui veulent faire de l'argent, tout en conservant une certaine forme "éthique", une sorte de code "Arsène Lupin", si on veut . C'est ainsi qu'ils ont commencé à enlever des personnes âgées ( que des hommes), les garder "au frais" dans leur entrepôt le temps de leur soutirer deux fois 1000$, un peu avant minuit, puis juste après. Pas de violence, toujours polis, presque courtois, ils les redéposent ensuite dans le quartier avec assez en poche pour appeler un taxi. On a aussi une policière qui veut faire carrière en tant que SD ( Sergent Détective), mais est confrontée au fait que son père est une Légende du corps policier dont l'Ombre porte loin. Nous avons également Raymond Leduc, équivalent du "Parrain" pour son gang de motards criminalisés, les "Satan's disciples" ( Référence manifestement aux "Hells Angels", un gang de motard criminalisés qui ont fait régner la terreur dans tout l'Amérique du Nord, dans les années 80). Ce dernier devait être la dernière victime des quatre ados, parce qu'il devenait évident qu'ils ne pourraient pas continuer à être chanceux ad vitam æternam et que tôt où tard, ils feraient une gaffe ou seraient trop confiant. Et bien, disons que ces possibilités étaient tout-à-fait plausibles, mais c'est finalement le fait d'être tombé sur LA mauvaise personne, un poisson qui s'avère être un grand requin blanc. Bref! Ça va barder! Littéralement.
( À partir d'ici, la critique peut contenir des divulgâches- des commentaires impertinents)
Dans les romans jeunesse, j'observe deux façons de traiter les clichés. Il y a les auteurs pas très inspirés qui reprennent de vieux clichés doublés de stéréotypes en se croyant vainement originaux ( hélas, très nombreux chez les auteurs américains, je constate), et il y a les auteurs/autrices qui s'amusent à reprendre des clichés pour mieux les malmener. Ici, on est dans cette dernière logique. On nous présente d'emblée les personnages avec leur "archétype" type, pour mieux constater par la suite qu'ils ne s'y prêtent pas tant que ça au final. Voici:
Édouard, l'archétype du Boy scout beau bonhomme nés avec un surplus de qualités , d'ailleurs au centre d'un triangle amoureux qu'il ne soupçonne pas ( entre un gars et une fille, ce qui est somme toute rare), qui au final n'est ni le meneur, ni le plus intelligent. Charismatique, certes, mais pas très stoïque ni très courageux. Il a en outre la particularité de bégayer quand il a peur.
Liam, la grande perche à chevelure rousse en pétard, qui est supposé être le "geek" de service à lunettes, a en fait un côté sombre et téméraire qu'on ne lui soupçonne pas à priori. Pour une fois qu'on a un personnage qui a l'air d'un Intello, mais qui tire vers le "Bad boy". Il a aussi le béguin pour Édouard et il a un frère qui est "du côté obscure de la force", disons.
Will ( Nom complet), surnommé le Kid ( Référence à Billy the Kid et Charlie Chaplin) est le petit jeune du groupe, qui se régale volontiers de briser les règles et a une petite propension aux comportements à risque, développe une certaine admiration pour Liam. Il me fait surtout l'impression du jeune qui aime le risque et la violence sans en avoir l'expérience.
Enfin, notre personnage féminin, Vanessa, est pour sa part une rare représentante du port du hidjab ( on lui suppose donc une confession musulmane) et à mon sens, elle est à la fois la Cheffe et l'Intello, bien qu'on aura pu la caser au début comme la fille qui suit juste pour avoir le beau chef, ce qui n'est pas totalement faux non plus. Mais, elle est plus rusée, songée et a un meilleur sens pratique que tous les autres de son groupe, en plus d'être stoïque et pragmatique. Elle a d'ailleurs le mérite d'avoir impressionner le Chef du gang criminalisé Raymond Leduc. Ce qu'elle voulait faire de l'argent gagné est également louable - bien que gagné de manière questionnable.
Nous avons également ce vieux bonhomme, Raymond Leduc, chef des Satan's disciple, qui est un homme très intelligent et observateur. Un homme d'expérience, quoi! Pas le genre vieux débris grabataire à moitié sourd, il a également un côté fleur bleue.
Petite mention spéciale au personnage Vincenzo Ivaldi ( 3e du nom), le chef de la mafia calabraise, surnommé très justement "Il Insegnante" ( L'enseignant/Le prof), qui a un esprit cartésien, un côté veille école très élégant, assez de principe pour un représentant du crime organisé et un physique terre-à-terre et intellectuel qui a plus en commun avec le prof de science que le sanguinaire parrain caricatural. Je l'aime bien ce personnage!
On a aussi une jeune policière qui cherche à sortir de l'ombre parentale d'une sommité de la Police, un chef de gang rival albinos sans pitié et complexé, un jeune Chef Mafioso calabrais qui ressemble plus à un professeur de sciences à QI élevé, un gardien de sécurité perfectionniste et trop jovial, avec en prime un vieux libraire zélé amateurs de vieux classiques littéraires.
Enfin, on ne peut contourner Jimmy Diamond, dont la légendaire réputation de parfaite raclure de l'humanité n'est plus à faire, mais qui étonnamment, pour un personnage dont le nom figure dans le titre et abondamment cité par les autres personnages comme la dernière des ordures, est aussi le plus incroyablement absent du décor. On ne le verra que durant quelques minutes, mais c'est en même temps ce qui est drôle: on en attends parler, tr��s négativement, mais on ne le croise pas. Un personnage absent à la manière de Légende, dans le premier tome de "Caraval" ( S.Garber).Bref, une sacrée palette de personnages. Si on reste sur certains clichés, on sort des stéréotypes.
Le traitement des personnages se veut féministe ( égalité des sexes, je rappelle), ce qui est quand même excellent si on tient compte du machisme du milieu criminel et on y trouve une certaine diversité ethnique avec les personnages de Vanessa, le SD Massoud et la policière Garon.
À propos des thèmes, sachez que monsieur Meunier a été journaliste durant une dizaine d'année sur le sujet des gangs criminalisés, ce qui explique les nombreuses explications sur ces groupes, sur leur moeurs, leurs différences, leur codes, leurs enjeux et les rivalités entre elles. J'ai réellement trouvé cet aspect intéressant. Toute la question entourant l'intouchabilité des femmes, du code d'honneur familiale et des différences entre générations étaient souvent ramenées pour expliquer le contexte ou les actions des divers personnages.
J'observe une fâcheuse tendance de répétition sur les mots "milieu interlope" ( Franchement monsieur Meunier, en tant que journaliste, un petit emplois de synonymes n'aurait pas fait de mal), mais que je peux facilement pardonner vu la diversité des formes dans le roman, dont un court acte de théâtre, des clin d'oeil au lecteur, des bas de pages assez tordants ( qui me rappelle ceux de "Félicratie") et des commentaires sur les références, quant à elles nombreuses, d'ailleurs. Il y a une petite préférence pour Harry Potter, mais on a aussi des références à Star Wars, Indiana Jones, le Hobbit, le seigneur des anneaux, plusieurs films cultes, un bon nombre de livres classiques, etc. Je note aussi - comme l'auteur nous invite à le faire d'ailleurs - la présence de nombreux faits scientifiques, des Lois de physique, entre autre ou même des personnages historiques, comme Fibbonacci. Effectivement monsieur Meunier, on en apprend avec vous, c'est presque subtile! ( notez le sarcasme sympathique ici).
Côté fin, elle est aussi explosive qu'on peut l'imaginer, avec quelques hasards commodes en surplus, très "Hollywood", comme l'étaient les films de Mafia et de gangsters états-uniens. Une fin en clair-obscure, où les notions de Bien et de Mal se partagent la vedette.
Je conçois toutefois que ce genre de roman à versant humoristique et volontairement absurde sur certains points ne sera pas aux goûts de tous. L'humour est un élément très personnel en lecture comme dans les autres domaines culturels, il faut donc, à mon avis, avoir une certaine "inclinaison" pour ce genre,
Au final, ce roman aux figures de styles très imagés, est un drôle de mélange décapant entre un roman policier, un demi huis-clos criminel, sur fond d'humour tantôt ironique, tantôt trash, tantôt pince-sans-rire, le tout agrémenté de sauce tabasco. Il devient le premier roman jeunesse Jeune Adulte a recevoir ma mention ( très peu officielle) d'"Olibrius", parce que c'est une sorte de roman inclassable qui sort des conventions, moqueur à sa façon et hautement divertissant.
Et en toute franchise, avoir enfin ce genre de roman en jeunesse, c'est un soulagement. Oui, c'est parfois cru, c'est rempli de sacres, mais ça reste un bon roman qui nous sort des conventions, qui est féministe ( égalité des sexes) et qui ne se prend pas au sérieux! Et en ces temps difficiles de pandémie, ça fait du bien au moral. Oh, d'ailleurs, il y a une allusions aux masques, on est donc dans le contexte de la pandémie le temps d'une scène.
Pour un lectorat Jeune Adulte, 17 ans+.
Pour les bibliothécaires et profs: Oui, je le redis, il y a des "f**k", des sacres, du joual, des vilains mots de temps à autre, mais côté violence, rien de bien méchant sauf une fusillade entre gangsters, et rien côté sexe. Si ce n'est du langage injurieux, c'est très accessible, même aux 13-16 ans.
** Qu'est-ce que cette mention? Une petite nouveauté personnelle de libraire qui aime mettre de l'avant les romans atypiques, originaux et inclassables ( ou presque). Ça n'a donc rien de très "glorieux", mais ça vous donne une idée du genre de roman présent ici.
Catégorisation: JAD, Jeune Adulte QC, 17 ans+, Fiction humoristique ( teinté de Polar) Note: 8/10
Ébouriffant. Voilà le premier mot qui me vient en tête pour parler de ce roman d’Hugo Meunier, qui arrive en littérature ados (jeunes adultes) avec un style bien à lui qui se ressent entre autres dans le narrateur « omniscient en esti » (interpelant son lectorat pour lui rappeler qu’il est mieux de ne pas aller sur tiktok s’il veut avoir une chance de comprendre, par exemple), ainsi qu’une histoire qui mélange psychologie adolescente, mauvaises idées, motards, mafia, quête de pouvoir, recherche de soi, manipulations et trahisons (et encore, j’ai fait une sélection). Unique en son genre dans le paysage littéraire québécois, ce roman me semble être un tout ou rien : soit on aime beaucoup, soit on déteste ! Pour ma part, je penche du premier côté.
Ça se veut un roman pour jeunes ados, mais l'écriture d'Hugo Meunier est parfaite pour tous les groupes d'âges (il y a quelques sacres cela dit). Une bonne dose d'humour et une intrigue bien ficelée, une fois de plus, qui fait en sorte qu'on ne sait jamais où nous amènera le punch. Un bon petit "policier" humoristique qui se déroule dans le milieu du crime organisé. Ça se lit tout seul!
3,5/5 Une bande d'adolescents a trouvé une façon un peu sordide de faire de l'argent : kidnapper des personnes âgées, retirer des sous de leur compte e et les remettre en liberté, le tout sans violence. La bande commence à faire parler d'eux, ils décident de faire un dernier coup, mais vont s'attaquer à la mauvaise personne...
Voici une lecture pleine d'action et d'humour qui met en scène une bande d'ados qui fait la rencontre malgré eux de la mafia! Tout au long du récit, on se demande qui est ce Jimmy Diamond du titre du roman que tout le monde traite de tous les noms. J'ai trouvé le langage assez cru et c'est quand même violent. Disons que ça se démarque des autres livres pour ados que j'ai lus! Somme toute, je me suis bien amusée avec ce livre qui permet de décrocher sans se casser la tête!
J’ai bien aimé cette épopée rocambolesque de jeunes délinquants qui se mettent les pieds dans les plats solidement. Et quand the shit it the fan, je peux vous dire que ça vaut la peine. Lecture agréable, à donner à un p’tit bum.e.s qui dit que lire c’est plate!
3,5 ! Le changement de registre de langue dans la narration m'a dérangée un peu. Le narrateur se met à sacrer à un certain moment, je ne trouve pas ça nécessaire et surtout pas cohérent. Toutefois, c'est un détail, l'histoire est bonne!
C'était bon mais sans plus. Je n'étais pas interpellée plus qu'il faut par l'histoire ou les personnages. Ça se lit bien par contre et c'est une bonne lecture "brain-off"
Abandon à presque la moitié. Je m'attendais à un roman pour ados, mais la partie sur la mafia prenait beaucoup trop de place à mon goût. J'avais pas de fun.
Une bonne histoire d’adolescents rebelles qui tombent sur la mauvaise personne. Mafia, police, gangstérisme, tout y est! Une lecture très crue. Disons que le langage utilisé est très intense.
Honnêtement, J’ai dévoré ce livre. Du vrai bonbon. L’histoire est accrocheuse, intrigante. C’est une lecture remplie de rebondissements. C’est crus. C’est drôle. Les commentaires du narrateur omniscient et les notes en bas de pages sont un vrai délice pour les yeux. Ça m’a permis de mettre mon cerveau à off. Ça m’a fait décrocher et sourire plus d’une fois.
Si tu as envie de lire quelque chose de différent et de plonger dans le milieu du crime organisé d’une façon.. plutôt loufoque, et bien lis ce livre.