Un roman envoûtant, aux influences et ressorts multiples. Lire-Magazine Littéraire L'éternité n'empêche pas l'impatience : Noam cherche fougueusement celle qu'il aime, enlevée dans de mystérieuses conditions. L'enquête le mène au Pays des Eaux douces la Mésopotamie où se produisent des événements inouïs, rien de moins que la domestication des fleuves, l'irrigation des terres, la création des premières villes, l'invention de l'écriture, de l'astronomie. Noam débarque à Babel où le tyran Nemrod, en recourant à l'esclavage, construit la plus haute tour jamais conçue. Tout en symbolisant la grandeur de la cité, cette Tour permettra de découvrir les astres et d'accéder aux Dieux, offrant une véritable « porte du ciel ». Grâce à sa fonction de guérisseur, Noam s'introduit dans tous les milieux, auprès des ouvriers, chez la reine Kubaba, le roi Nemrod et son architecte, son astrologue, jusqu'aux pasteurs nomades qui dénoncent et fuient ce monde en train de s'édifier. Que choisira Noam ? Son bonheur personnel ou les conquêtes de la civilisation ? Dans ce deuxième tome de la saga La Traversée des Temps , Eric-Emmanuel Schmitt met en jeu les dernières découvertes historiques sur l'Orient ancien, pour nous plonger dans une époque bouillonnante, exaltante, prodigieuse, à laquelle nous devons tant. Une pure merveille. J'attends la suite ! Clarine Bouquine La formidable et joyeuse érudition d'Eric-Emmanuel Schmitt emporte le lecteur. On attend le troisième tome. La Vie
Eric-Emmanuel Schmitt is a Franco-Belgian playwright, short story writer and novelist, as well as a film director. His plays have been staged in over fifty countries all over the world.
L’Odyssée humaine continue. Le tome 1 « La traversée des temps » nous avait laissé sur un redoutable cliffhanger digne des plus grands écrivains de polars. Le tome 2 « La porte du ciel » s’ouvre sur la suite directe, Noam de nos jours, avant de réouvrir les portes du passé. Après le Néolithique, nous sommes en Mésopotamie au troisième millénaire. L’homme nomade se sédentarise, il vit « en société » dans des villes telles que Babel. Babel, aujourd’hui l’Irak, est principalement connue pour sa tour, « celle qui permettra aux Dieux de descendre parmi les hommes », mais aussi pour la partie de la Bible qui lui est consacrée. C’est là que Noam sera amené à se rendre, après son étrange réveil dans la grotte, toujours à la recherche de Noura, l’amour de sa vie.
« Je préfère ne pas » vous dire s’il la retrouve ou non,
« Je préfère ne pas » vous expliquer comment Noam l’immortel revient à la vie,
« Je préfère ne pas » vous donner trop d’indices qui vous gâcheraient votre lecture.
Si « La porte du ciel » est plus proche de l’histoire biblique, sachez que la maestria d’Éric-Emmanuel Schmitt vous fait totalement oublier cet état de fait. J’ai été si focalisée par le destin et l’histoire personnelle de Noam que je suis entrée au cœur de Babel sans faire de rapprochement. Ma connaissance de la Bible est certes assez limitée, mais ce que l’auteur fait avec ses personnages, qui il cache derrière eux est tout simplement sensationnel. Le début du roman est truffé de réflexions sur l’immortalité et du rapport entre l’homme et le temps. Lorsqu’on ne meurt pas, peut-on dire que l’on est vivant ? Noam navigue dans les eaux d’une prise de conscience aiguisée sur sa vie d’homme : toujours perdre des gens que l’on aime, rencontrer sa propre descendance même lointaine, vivre dans le souvenir et l’attente de Noura. Si « La traversée des temps » narre l’histoire de l’humanité, il ne faut pas oublier que c’est avant tout une magnifique et grande histoire d’amour entre deux êtres qui se perdent, se retrouvent, et se perdent, encore et encore à travers les siècles. En conséquence, ce tome 2 va également fouiller dans les questionnements relatifs à l’amour. Peut-on aimer deux personnes en même temps ? Quelles sont les barrières de la fidélité ? Et de manière plus générale : qu’est-ce que la fidélité ?
Noam est un personnage riche en enseignements. Avant son départ vers Babel, avant de connaître la nouvelle destinée des hommes, il persiste à vivre en harmonie avec la nature, en accomplissant des rituels que nous avons tous oubliés et que je souhaite rappeler ici, pour notre bien commun. « Je pratiquais la rêverie que m’avait enseignée Tibor, cette décontraction du cerveau qui, cessant de désirer, de consommer, de faire, abandonne tout rapport utilitaire avec l’univers, et se laisse pénétrer par ses forces. » Il insère dans le récit son expérience du monde, reliant toujours le passé au présent par l’insertion de données scientifiques, géographiques, philosophiques et bibliques. Tout ce qui relève des croyances des hommes et de leur mode de vie à Babel est décrypté ici. Nous avons beau être au 3e millénaire, les constats et les réflexions sont les mêmes qu’aujourd’hui. Ce parallèle entre passé et présent rend le récit passionnant et questionnant. « Le futur est le miroir du passé. Le temps n’avance pas, il tourne en rond, il se répète. Nous avons l’avenir dans le dos. » Depuis des siècles, l’homme a toujours voulu plus, mieux, sans jamais se satisfaire de ses acquis et cette course éperdue perdure. « L’homme franchit une limite en se dressant au-dessus de la nature, en ignorant sa place dans l’univers, en s’estimant supérieur à tout ce qui n’est pas lui ; il crée des villes, il invente l’écriture, les sciences, les hiérarchies sociales et, malgré les défaites ou les impasses, ne reviendra jamais en arrière. Babel ne s’est pas terminée avec Babel, Babel n’a jamais cessé de gratter le ciel, Babel renaît, se transforme perpétuellement. L’échec accompagne l’ambition, il ne l’interrompt pas. De dépassement en dépassement, l’aventure folle se poursuit. L’avenir reste un chantier ouvert. » Nemrod est ici un brillant exemple de la soif inaltérable de l’homme.
Noam au présent prend du recul sur son aventure. C’est sans doute cette analyse, fine, perspicace, intellectuellement honnête que je préfère. Grâce aux Intermezzos, le suspense est conservé quant à son sort et les épreuves qu’il affronte. Sa sagacité, son discernement et la subtilité de ses analyses en font un personnage attachant, haut en couleur et réellement fascinant. La religion, dans sa globalité, ce « torticolis mystique » qui pousse les yeux des hommes vers le ciel, justifie parfois de commettre des atrocités en son nom est finement analysée au fil du temps, avec authenticité et perspicacité. Avec recul.
Ce tome 2 aura été riche en enseignements et en questionnements. Profondément humaniste, « La porte du ciel » décrypte sans phare l’humanité dans son ensemble. « Voici ce que j’évoquais au début (…) : il y a l’homme et il y a l’humain, l’homme est fait, l’humain reste à faire. » Il est aussi riche en émotions, riche en rebondissements, riche en originalité créative, riche en imagination. Ce fut un plaisir de lecture intense, hypnotisée par la plume d’Eric-Emmanuel Schmitt.
Pe cât de mult mi-a plăcut primul volum din seria "Străbătând secolele", pe-atât de tare m-am chinuit să termin acest al doilea volum... Poate e traducerea de vină, nu știu, dar nu m-a atras deloc - dialoguri/acțiune repetitivă, totul se învârte în cerc - același fir narativ din primul volum, doar că pe un fir istoric diferit.
De altfel, latura istorică a cărții este și cea mai atractivă, însă, pentru a păstra o amintire frumoasă legată de această serie la care autorul ține atât de mult, o voi asocia strict cu cel dintâi volum - "Paradisuri pierdute".
"-Suntem născuți pentru a trăi în mijlocul naturii, nu într-o lume artificială, ridicată din cărămizi și pietre lipite cu bitum. Of, și meterezele astea! De ce apără oamenii? De pămănt, de apă, de vânt, de soare, de animale sălbatice? Nu, de alți oameni care și ei se ascund în spatele meterezelor lor. Fortărețele au creat războaiele! Nu au fost concepute pentru a apăra, ci, mai degrabă, pentru a stârni. Cu cât vor fi mai multe cetăți, cu atât vor fi mai multe lupte, iar războiul nu va înceta niciodată. Ce fac oamenii în spatele zidurilor - se invidiază - fac și cetățile între ele. Ațâță cele mai urâte sentimente ale noastre: gelozia, vanitatea, lăcomia, frica. Oamenii caută câștigurile care să-i ridice deasupra vecinilor, speriindu-se la gândul ratării. Ratare a ce? Să reușești nu înseamnă să ai patru case, fiindcă niciodată nu ai să locuiești în mai mult de una, și, înăuntru, tot tu ești, nu un altul. Nu trebuie să ai mai mult, ci să trăiești mai bine."
Nie pamiętam dokładnie fabuły z pierwszego tomu, więc miałam na początku trochę problem z wgryzieniem się w ten. Powoli jednak fabuła nabierała kolorów i sensu, nie od razu jednak poczułam przyjemność z lektury. Trochę stron mi to zajęło, ale kończę książkę oczarowana. I bardzo się cieszę, że pod ręką mam tom trzeci i mogę kontynuować przygodę z Noamem i Nurą.
Jestem zachwycona pomysłem Schmitta na tę serię i niezmiennie uwielbiam pióro tego pisarza (i to, jak jego książki przekłada Łukasz Müller).
« La Porte du ciel », c’est le deuxième tome de la saga « La traversée des temps » d’Eric-Emmanuel Schmitt qui romance l’histoire de l’humanité. Dans ce tome, nous sommes en Mésopotamie, là où les premières villes voient le jour et la source des premières avancées techniques et technologiques de l’humanité. C’est une période sur laquelle je connais peu (et - je dois l’avouer - qui ne m’intéresse pas plus que ça), mais la plume de Master Schmitt nous emporte aux côtés de l’immortel Noam avec une fluidité folle et une beauté sans égal.
J’ai été passionnée par les aventures de Noam, Sarai et Abram et par les connaissances qu’on retire de cette lecture. Encore du grand E.E. Schmitt 💛
Dans ma critique du premier tome de cette saga (paradis perdus), à laquelle j’ai donné deux étoiles et que je mentionne que je fus vraiment déçu par le récit plus que banale, je mentionne entre autre que j’allais tout de même commencer la lecture du second tome car je l’avais déjà acheté. J’ajoutais que si je voyais le même genre de banalité dans l’histoire ennuyeuse, j’allais simplement cesser la lecture de cette série.
Et bien j’en suis à la page 150 environ et ce que je craignais s’est produit. Ce 2e tome se veux une continuité d’une histoire banale, sans aucune profondeur, remplie de banalités et tout simplement ennuyeuse. Je suis tellement déçu. Je m’attendais à une grande frasque historique me transportant de période de l’histoire à une autre avec des personnages enlevants et intéressants. C’est tout le contraire que l’auteur offre. Noam continue sont histoire et cette fois c’est Nouram qui se fait enlever et celui-ci part à sa recherche. 150 pages de phrases creuses remplies de descriptions inutiles qui n’en finissent plus. Je suis incapable de continuer et je ne me vois tout simplement pas lire cette saga qui compterait au finale 7 ou 8 livres.
Si vous voulez lire une histoire grandiose sur plusieurs périodes de l’histoire avec des personnages intéressants et une subtance historique, lisez La Source de James Michener. Vous serez servi avec un livre qui vous marquer pour le reste de votre vie.
En conclusion, désolé M Schmidt mais votre projet n’est pas pour moi.
Poarta cerului reprezintă prima dorință a omenirii de a-și întrece limitele. Este un punct de plecare pe un drum fără cale de întoarcere. Răul oricum era infiltrat printre oameni, doar că acum acesta capătă alte proporții datorită evoluției cunoștințelor. Seria a ajuns la nivelul următor și cred eu că a făcut-o într-un stil mare. Mi-a plăcut totul, de la idee la punerea acesteia pe hârtie.
L’histoire éternelle de Noam se poursuit sans relâche, aussi captivante que dans le premier tome. Toutefois, je me suis sentie obligée de supprimer une étoile en raison de la prévisibilité du récit. Si on parle d’une femme intelligente, angélique, merveilleuse, assurez-vous que Noam retrouvera sa Noura. Si on parle de l’incarnation du mal, Noam est sur le point d’être nez-à-nez avec Derek.
✨ En lui offrant une perpétuité, l’écriture a changé l’homme. De simple inventaire des objets, elle est devenu le conservatoire des âmes : elle a lutté contre la détresse, nourri l’orgueil, flatte le narcissisme, développé l’individualisme. Par elle la fatuité a crû autant que la civilisation.
✨Il est plus aisé pour un intelligent de faire l’imbécile que l’inverse, impossible même pour un imbécile de faire l’intelligent.
✨ Il y a deux sortes d’humains : les arbres et les cailloux. Les arbres existent par leurs racines, les cailloux roulent d’eux-mêmes. L’arbre pousse dans la forêt, entouré des autres et s’étiole aussitôt qu’il quitte sa terre. Le caillou dévale les chemins selon sa propre dynamique ; si un obstacle l’arrête, il repart et il ne s’immobilise qu’au plus bas.
Même si j’ai, au départ de mes lectures, une légère difficulté à me plonger dans cette saga, l’auteur arrive à me happer et j’en viens à dévorer les paragraphes vers le milieu des romans. C’est un plaisir d’en apprendre plus sur l’histoire de l’humanité en suivant l’histoire de Noam, même si bon nombre de « rebondissements » sont assez prévisibles. Bien hâte de lire la suite !
Noam wyrusza w długą i niebezpieczną podróż aby odnaleźć swoją ukochaną Nurę, której pożąda od zarania dziejów. Droga którą musi przebyć będzie pełna różnych trudności. Do Noama dojdą wieści się, że władca Nimrod szuka najpiękniejszej kobiety na świecie i zacznie się wyścig z czasem. Król Nimrod wydaje rozkaz stworzenia Babelu wykorzystując rzeszę niewolników, których zadaniem jest wzniesienie wieży tak aby sięgała nieba.
Podróż przez czas czyli Brama do nieba to książka nie o jednej tematyce, motywie czy wątku. Króluje tu różnorodność. Głównym wątkiem jest podróż Noama w celu odnalezienia pięknej Nury, która została porwana. Bohater w czasie wyprawy napotyka przeszkody, które utrudniają mu w dotarciu do ukochanej, ale poznaje też osoby które będą dla niego znaczące a co więcej odegrają spore role w pewnych aspektach.
Powieść ta to nie tylko miłość lecz dzikie rządze, pragnienia czy chęć zdobycia władzy czyli coś co jest z nami od zarania dziejów aż po dzisiejsze czasy. Dostajemy różne położenia geograficzne, polityczne i mogłabym tak wymieniać i wymieniać. Nie brakuje tutaj lubieżności, ale w takich książkach kompletnie mi to nie przeszkadza wręcz bez tego byłoby nijak bo ludzkie fantazje, doznania sięgają od samych Adama i Ewy. Mamy tutaj nawiązania do Biblii, ale to idzie się zorientować praktycznie od początku.
Brama do nieba ma wyrazisty, specyficzny klimat, który może nie być dla każdego. Napisana jest przystępnie i tak mnie pochłonęła, że przeczytałam ją w jeden dzień. Może takim minusem jest, że na początku akcja jest zbyt powolna, ale później dzieje się sporo.
Noam poświęcił się, stracił sporo, musiał przechodzić różne metamorfozy a tu będzie czekać na niego „niespodzianka”. Powiem tylko tyle, że przebiegłość kobiet nigdy nie zaginie. Kobiety to istoty, które zawsze będą krok naprzód. Mnie się ta historia podobała a raczej dobra robota, którą autor wykonał. Mogłabym pisać w nieskończoność o Bramie do nieba, bo dzieje się tu multum rzeczy. Czy miłość zwycięży? Tom 2 można czytać na luzie bez znajomości 1.
Un roman si bien recherché, intelligent et touchant (des larmes ont même été versées à la fin). Un peu plus de longueurs que le premier, mais une excellente lecture tout de même ! Bien hâte de lire la suite.
Druga część zdecydowanie gorsza. Pierwsza książka zachwyciła a tu coś nie klei się. Czasami zachwyca a czasami nudzi. I dużo więcej wulgaryzmów oraz erotycznych opisów...
Bardzo nierówna i niekonsekwentna książka, ponieważ nudna opowieść przeplata się z ciekawymi epizodami, które faktycznie wciągają czytelnika, lecz jest to jedynie ułamek wśród kilkuset stron. Zdecydowanie zbyt wiele niespodziewanych momentów, które mają za zadanie popchnąć akcję w właściwym kierunku, co często spotykam się z brakiem zrozumienia przyczyny zaistnienia owego momentu. Postacie są jednowymiarowe, nawet Noam, który zachowuje się stale tak samo przez całą książkę. Książka również cierpi na moralizatorski ton, ponieważ zły Babel i Nimrod alias Derek są opozycją dla dobrego Kiszu i Ku-Baby, co nieumila czytania. Skoro jest to podróż przez czas (ludzkości), czemu jedynie autor nawiązuje do kultury judeo-chrześcijańskiej, marginalizując inne tradycje? Już tutaj mam problem, czyli na fundamentalnym poziomie, bo znów się ukazuje historia, która pomija inne wierzenia, religie, kultury oraz tradycje. Nawiązaniu do Eposu o Gilgameszu zostaje poświęcone dosłownie kilka stron, gdy historia Abrahamie i Sarze stanowi jedną z głównych akcji. Jeszcze wstawki z współczesności... wszystko tak luźno powiązane, że już mnie nic nie zaskoczy ;)
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Aspects positifs - Encore une fois j'aime beaucoup l'idée du concept. Créer une histoire de fiction en utilisant l'Histoire, le fictif tissant des liens dans les faits et la réalité. J'aime le personnage de Kubaba, une chance qu'elle était là. Le dernier 15-20% était accrocheur et vraiment bien écrit.
Aspects négatifs - Bien que j'aime le concept, ce n'est plus assez pour m'accrocher. La phase de l'Histoire que ce deuxième tome couvre m'est, personnellement, moins intéressante. D'autant plus que le livre était BEAUCOUP trop long, il y avait vraiment des immenses longueurs. Ce qui allume et motive les actions des personnages est tellement banal... Ça m'a tout pris pour ne pas DNF (ne pas finir) ce tome. L'histoire se répète beaucoup trop également (peut être un clin d'oeil à l'Histoire qui fait de même, mais bon..): chercher Noura, trouver Noura, Noura dupe Noam, perdre Noura.. et ainsi de suite... Peut on avoir quelque chose de nouveau SVP, je vais m'endormir. Sans compter le fait que je ne crois pas et ne comprends pas l'obsession avec celle-ci (?!). Si c’est de l’amour, l’auteur a fait un piètre travail à le bâtir pour qu’on veuille voir les personnages réunis et bien ensemble. Le pont entre les livres est mal tissé selon moi. Les commentaires misogynes, sexistes et dégradants teintés du regard masculin toxique et des standards de beauté du 21ème siècle dans un livre historique, ÇA C'EST NON! Merci. TERRIBLEMENT décevant d'un auteur tel qu'Éric-Emmanuel Schmitt!
J'ai moins aimé celui-ci que Paradis Perdus. J'avais beaucoup aimé la communion avec la faune et la flore dans le premier volume, et je n'ai pas retrouvé cet intérêt dans La porte du ciel (ce qui tient probablement au fait que l'humain commence à vivre en société et à développer l'urbanisation). La partie de la vie de Noam qui se déroule chez les pasteurs était super intéressante et j'ai regretté que leurs modes de vie ne soient pas décrits plus en profondeur. E.E Schmitt s'est essentiellement concentré sur les débuts de la civilisation, et donc sur le mode de vie des babéliens plutôt que des éleveurs de moutons.
Ce que j'ai mieux apprécié en revanche, comparativement à Paradis Perdus, ce sont les notes de bas de page. Elles apportent un complément d'informations bien plus soutenu que précédemment, et le fait qu'elles soient rédigées du point de vue Noam permet de ne pas interrompre la narration. L'ensemble est très fluide.
Cependant, Schmitt a-t-il appris à démasculiniser son regard sur les femmes ? Non. En fait, j'ai trouvé qu'il avait empiré : dans Paradis Perdus, certaines descriptions/références m'avaient titillée ; dans La porte du ciel, j'en viens carrément à me demander ce qui peut se passer dans sa tête pour que les hommes soient à ce point obsédés par le sexe et la nécessité de tout décrire (objets, paysages, nature) en comparaison avec la sensualité, les rondeurs, les courbes d'une femme...ou parfois en comparaison avec les organes génitaux féminins (??????)
J’ai beaucoup d’admiration pour Éric-Emmanuel Schmitt pour ses recherches historiques. Cette fois-ci, on retrouve Noam et Noura en chassé croisé avec toile de fond, la construction de la Tour de Babel. Difficile d’en faire un résumé détaillé tant il y a de l’action. Et naturellement, l’auteur a le talent de nous terminer cela sur un autre suspense. Je l’ai lu en vacances en un temps record.
Myślałem, że ciężko będzie autorowi przebić genialne "Raje utracone", a tu proszę, "Brama do nieba" zawiesza poprzeczkę jeszcze wyżej.
Noam kontynuuje snucie swojej historii, tym razem zabierając nas do Mezopotamii, w której za sprawą działań Nimroda powstaje wieża Babel. Szukając swojej ukochanej, trafia do miasta i rozpoznaje w królu swojego (można już chyba powiedzieć, że odwiecznego) wroga, Dereka. Stara się nie tylko udaremnić działania króla i masowe porywanie kobiet, ale także spokojnie przeżyć i rozwijać się u boku bliskich, co nie zawsze jest możliwe i zmusza go do wielu wyrzeczeń.
Autor snuje historię bardzo powoli, nawiązując do licznych przekazów biblijnych, wielu legend i mitów. Za jego sprawą Noam staje się nie tylko zwykłym bohaterem, ale mostem łączącym przeszłość z przyszłością, czynnym uczestnikiem ważnych w dziejach ludzkości wydarzeń. Posiadając wiedzę sprzed tysięcy lat i możliwości z teraźniejszości, przekazuje całkiem ciekawą i wartościową wiedzę (w formie przypisów, więc nie warto ich pomijać!).
W pogoni za swoją miłością, Nurą, spotyka nowe osoby, z którymi nawiązuje nić porozumienia. Niejednokrotnie spotyka się z osobami, które w jakiś sposób są z nim spokrewnione - będąc świadom swojej nieprzemijalności często przez to cierpi. Ich miłość, burzliwa i wystawiona na próby, jest również okraszona chęciami i nadzieją, która daje szansę na jakąkolwiek przyszłość, niepewną, ale jednak.
Derek-Nimrod jako antagonista jest niejednoznaczny, jego szaleństwo i nieprzemyślane działania sprawiają, że ciężko darzyć go sympatią, ale wiedząc o jego przeszłości można uzasadnić wiele jego decyzji. Jego konfrontacja z Noamem przebiega w bardzo stonowany sposób - gdzieś on tam w tle jest, czasami wychodzi przed szereg i burzy codzienność bohaterów, aby znowu zniknąć i działać zza kulis, poświęcając wszystkie swoje myśli wieży.
Schmitt odnosi się do wielu biblijnych sytuacji, w których główną rolę odgrywa Noam i Nura - nigdy nie są bohaterami stojącymi z boku, zawsze wszystko rozgrywa się wokół nich (pomimo usilnych starań Noama o to, żeby tak nie było). Pojawiająca się postać Abrahama i wdrożenie jej do całej historii nie wywołuje przesytu, a jeszcze bardziej urozmaica całą historię.
Poza historią przeszłości dostajemy również krótkie rozdziały dotyczące działań Noama współcześnie. Jest to bezpośrednia kontynuacja tomu pierwszego, więc cel jest taki sam (w jego przypadku zawsze taki był) - odnaleźć swoją ukochaną.
Encore meilleur que le premier! J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai été ébloui et épaté par l'histoire... Les personnages sont de plus en plus attachants et que dire de Roko. C'est impressionnant comment l'auteur réussit à nous faire vivre l'histoire à travers une histoire comme si nous effectuions un retour dans le temps. Les notes de bas pages sont un petit bijou qui me fait faire des allers-retours entre la Mésopotamie et le 21e siècle. Je lisais sans fin à travers ce panorama de la pensée humaine, j'ai déjà hâte d'entamer le 3e tome!
La traversata dei tempi, l'ambizioso progetto di Schmitt di voler ripercorre il dipanarsi dell'intera umanità fin dai tempi più remoti, continua in questo secondo tomo. Passeremo dal Neolitico allo sviluppo della civiltà nell'antica Mesopotamia, tra i ben noti Tigri ed Eufrate, fino alle sommità dell'immane Torre di Babele. Grazie ad un incalzante susseguirsi di colpi di scena ben intrecciati ai minuziosi cenni Storici (e personali note dell'autore), il lettore viaggia tra il puro intrattenimento ed un piacevole ritorno sui banchi di scuola, per non finire mai di imparare e ricordare.
La période dans laquelle le récit se déroule, ainsi que les références à la tour de Babel dont le parallèle avec le constant égocentrisme de l'humain, m'ont plu.
Cependant, je donne une étoile de moins que le tome précédent, car je pense qu'il y a eu une opportunité manquée de donner plus d'interactions entre le personnage principal et l'antagoniste, ce qui aurait créé une plus grande tension pour le troisieme tome. En d'autres termes, la table n'a pas été mise au complet (lol), mais mon appétit pour le prochain est tout de même présent.
Eric-Emmanuel Schmitt e magistral în acest volum: de la modul în care continuă să-și construiască personajele principale, la antiteza dintre babelieni și păstori, la fenomela Kubaba, la intermezzo-uri, la notele de subsol scrise de Noam, totul se țese minunat și te subjugă, te cucerește de nu știi când au trecut 500 de pagini și abia aștepți următorul volum.
J’ai adoré ce tome 2 de la traversée des temps. Meme si c’est une longue lecture, je n’ai pas pris beaucoup de temps pour lire ce livre. Le premier tome était quand même mieux mais bon je met quand meme 5 etoiles parce que j’adore cette saga. J’ai hate de lire le tome 3 meme si c’est dans longtemps puisque j’attend qu’il sorte en format poche.
Ce second tome est tout aussi bon que le premier; les personnages sont bien construits, vivants et attachants, les informations historiques toujours aussi intéressantes à lire et la trame tient le lecteur en haleine. Vivement la suite!
Comme le premier tome, ce livre est un chef d'oeuvre que tout le monde devrait lire. Tout est juste parfait, l'intrigue, les personnages, l'insertion de l'Histoire dans l'histoire ainsi que des mythes bibliques, la langue est très fluide, c'est vraiment la meilleure saga que j'ai lue de ma vie.
Dalsza podróż przez czas, tym razem do epoki brązu i kształtowania się pierwszych miast. Okrutny Nimrod snuje plany budowy ogromnej wieży Babel, mającej sięgać siedziby bogów i nieba. Noam próbuje odnaleźć ukochaną, przy okazji odkrywając zalety pisma klinowego.