Léna n'a que vingt ans, mais sa vie est en suspens. Depuis la mort accidentelle de son premier amour, ni les sorties ni les amis ne l'intéressent. Elle ne sait d'ailleurs plus trop ce qui pourrait trouver grâce à ses yeux. Pour continuer à avancer et lutter contre les phobies qui empoisonnent son quotidien, elle s'accroche au vertige procuré par ses aventures nocturnes lorsqu'elle escalade des bâtiments urbains abandonnés. Autant dire qu'elle n'était pas prête pour l'arrivée de Tom, qui surgit un jour dans son existence et bouleverse le système de protection qu'elle s'était construit. Le graffeur libre et insouciant aime la vie à mille à l'heure et les sorties en bande, tout ce qui tétanise la jeune femme. Comme la hauteur, Tom lui donne le vertige, une sensation terrifiante et excitante à la fois. Et Léna ne sait plus si elle doit fuir ou sauter dans l'inconnu. Adèle Ninay a grandi en banlieue parisienne. Elle en a gardé un goût prononcé pour la culture urbaine, en particulier pour le graff et le rap. Nous deux sur le toit du monde est son deuxième roman.
Déjà j’ai beaucoup aimé le personnage de Tom, je l’ai trouvé très sympa et qui change de l’archétype du mec de romance. On reconnaît également bien la plume de l’auteure, qui ne m’a pas dérangé. Le personnage de Léna avait une psychologie assez particulière mais qui est très intéressante à aborder, et qui a une bonne continuité avec l’histoire assez originale ! J’ai beaucoup aimé l’environnement de l’histoire, le monde urbain m’a plu, ainsi que le monde des catacombes.
Je conseille ce livre si l’on aime les histoires originales et le monde de l’urbex !
J'ai beaucoup aimé l'histoire. La façon dont Léna affronte le deuil est bien représenté. Tom est un personnage formidable, créatif et gentil, avec Léna ils forment un très beau couple. Annabelle est toujours très enthousiaste et chaleureuse c'est très agréable ! Ce livre mérite donc un 4⭐/5 je m'attendais à une fin un peu plus détaillé je pense, mais l'histoire reste tout de même incroyable !
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Merci aux éditions Hugo New Romance pour l’envoie de ce roman.
J’ai eu un peu peur lors des premiers chapitres je vous avoue, car le personnage principal avait un langage ultra familier qui m’a vraiment repoussée.. J’ai continué malgré tout, et je ne regrette pas, car ça s’est atténué au fur et à mesure et ça a aussi été pour le coup une bonne lecture. J’ai trouvé les sujets super bons ! Le côté urbex et graff, c’est peu courant (ou en tout cas, j’en ai jamais lu), et je trouvais ça super intéressant de pouvoir découvrir tout ça. Malheureusement on a été plus dans le graff du personnage masculin (Tom), que dans le sujet de l’urbex de Léna, qui pour moi a été vraiment survolé et qui aurait vraiment être beaucoup plus approfondis. Léna est un personnage vraiment intéressant. Bon, elle m’a fait levée les yeux plusieurs fois, son comportement est parfois vraiment pénible. Mais ses TOC et son besoins de liberté à travers l’urbex est bien travaillé. On comprend à quel point les TOC peuvent être des épreuves quotidiennes et demandent beaucoup de travails sur soi-même. Sa rencontre avec Anna va la bousculer, mais est nécessaire (sans le savoir), dans sa guérison. Et j’ai trouvé ça super. Anna, devient importante pour elle. Elle est solaire, et joyeuse, pleine de vie. Je l’ai adoré tout le long. Elle m’a fait bcp rire ! C’est plutôt une bonne lecture. Ça se lit vite, et c’est assez léger. Quelque passages qui auraient pu être plus approfondis, mais c’est doux et c’est parfait pour l’été !
Je remercie les éditions Hugo New Romance pour l’envoi de ce roman.
Malheureusement, encore une fois, ce n’est pas une chronique des plus positives que je vous apporte aujourd’hui. Il faut savoir que Nous deux sur le toit du monde était un roman qui me faisait de base vraiment très envie. Bien que je n’étais pas trop parvenue à apprécier le premier roman d’Adèle Ninay, Pas nés sous la même étoile, j’avais tout de même envie de laisser une seconde chance à l’auteure.
Ici, l’histoire semblait originale et touchante, les thématiques me parlaient énormément, pourtant j’ai l’impression d’être légèrement tombée de haut lorsque j’ai enfin pu découvrir ce roman. En soi, il n’est pas mauvais, mais je pense que c’est peut-être tout simplement moi qui ne suis pas faite pour les écrits d’Adèle Ninay. Après, il y a également deux ou trois choses qui m’ont dérangée.
En fait, malgré ce que semble laisser penser le résumé, Nous deux sur le toit du monde est une histoire relativement simple, peut-être trop simple pour moi. Dans un premier temps, on nous décrit l’héroïne, Léna, comme quelqu’un d’accro aux sensations fortes. Elle a pour habitude de monter sur le toit des plus hauts bâtiments de la ville et fait très souvent de l’urbex. Braver les interdits et se mettre en danger, c’est pour Léna un moyen d’échapper aux souvenirs de son premier amour. Bon… Jusque-là, tout cela était vraiment très prometteur. Toutefois, j’ai vite déchanté quand je me suis rendu compte que le titre et le résumé ne reflétaient finalement pas à 100% l’histoire.
Certes, nous suivons quelquefois Léna lors d’une sortie sur un toit ou dans les catacombes par exemple pour y faire de l’urbex, mais ce côté de l’histoire est vraiment très peu présent dans le récit. En réalité, Léna passe plus de temps à suivre Tom pour prendre des photos de ses graffs et c’est bien là le problème. On peut vraiment compter sur les doigts d’une main les fois où Léna part en vadrouille… Pourtant, quand je vois comme titre Nous deux sur le toit du monde, je m’attends réellement à voir les deux protagonistes sur les toits de la ville.
Or, à aucun moment Léna et Tom vont se retrouver sur un toit. Pour tout vous dire, je pensais que Léna allait partager sa passion avec Tom, mais au final c’est plutôt Tom qui entraîne Léna dans son monde. Ça n’a l’air de rien comme ça, peut-être que vous allez dire que j’exagère, pourtant c’est vraiment quelque chose qui m’a déçue. J’avais énormément d’attentes de ce côté-là et pour moi, on est vraiment restés en surface. J’ai eu la sensation que cette thématique était surtout là pour faire joli.
De même, j’ai eu un gros problème avec la thématique du deuil. En toute franchise, la prétendue détresse émotionnelle de Léna de m’a fait ni chaud ni froid. Je n’ai rien ressenti, je n’ai pas été touchée alors que, vu le résumé, je m’attendais à ce que ça soit le contraire. Quand on me parle de la perte d’un premier amour, je m’attends vraiment à ce que ça soit bouleversant, je veux que ça me prenne aux tripes. Malheureusement, je suis restée totalement de marbre face à l’histoire de Léna. De plus, le décès de son premier amour n’est pas non plus tellement abordé, ce n’est pas assez travaillé et approfondi selon moi. Là aussi, on reste très en surface, il n’y a aucune émotion, aucune véritable raison d’être touché par ce qui se déroule sous nos yeux.
Autre point qui m’a dérangé; la temporalité dans le récit. Sans entrer dans les détails, il y a parfois des sauts assez importants dans le temps. Ça peut être 1 mois, 3 mois, quelques semaines… Bref, j’avoue que c’est perturbant d’avoir autant d’ellipse temporelle. Surtout que cela nous empêche de nous rendre réellement compte de l’évolution des personnages. Je ne suis pas contre les sauts dans le temps, ça peut quelquefois être intéressant, cependant c’est venu ici parasiter ma lecture. Plutôt que de prendre le temps de développer les sentiments des personnages ou leur psychologie, on passe au contraire très vite dessus.
Pour ce qui est des personnages, sans surprise, je ne peux pas dire si je les ai aimé ou détesté. Disons que tous les points cités au-dessus m’ont empêchée de m’attacher à eux pleinement. Comme je le disais, le travail autour de leur psychologie n’était pas assez approfondi et donc, je ne suis pas parvenue à me rendre compte de leur évolution. Léna était pourtant un personnage intéressant et qui avait beaucoup de potentiel. Elle traversait une période de deuil, elle avait des TOC, sa passion pour l’urbex était plus qu’originale… C’était vraiment un personnage que j’attendais au tournant. Néanmoins, étant donné que toutes ces thématiques (le deuil, les TOC et l’urbex) n’ont été pour moi que survolées, eh bien Léna est passée d’un personnage ayant du potentiel à un personnage totalement quelconque.
Quant à Tom, je ne sais pas vraiment ce que je peux dire sur lui. Certes, il est gentil et très doux avec Léna, mais hormis ces deux qualités, je n’ai pas retenu grand-chose de lui. En plus, ayant seulement le point de vue de Léna, c’est compliqué dans ces conditions de parvenir à cerner entièrement le personnage de Tom. D’ailleurs, j’ai été surprise par le choix de l’auteure de ne pas mettre plus en avant Tom car je pensais qu’il y aurait une alternance de point de vue. Du coup, on en apprend pas beaucoup sur son passé, à part ce qu’il veut bien nous dévoiler. Du moins, j’ai eu cette impression.
En ce qui concerne la romance, c’est encore un point qui m’a fait, à de nombreuse reprises, grincer des dents. Je ne sais pas si c’est dû aux personnages, à leur personnalité ou tout simplement au contexte de l’histoire, mais pour moi, le couple que forment Léna et Tom fait très banal. Déjà, entre eux, ça démarre vraiment trop vite. À peine le temps de se rencontrer qu’ils sont déjà dans les bras l’un de l’autre. Je ne sais même pas si on peut parler d’un coup de foudre, en tout cas je ne l’ai pas ressenti comme tel. Je n’ai ressenti aucune alchimie, aucune tension entre eux. C’est simple, si quelqu’un m’avait dit qu’ils étaient faits pour être ensemble, je ne l’aurais pas cru. Certes, ils ont tous deux une passion commune, ils se comprennent sur certaines choses, mais à côté de ça, leur couple ne faisait pas assez réel pour je puisse croire à leur relation. De plus, les réticences de Léna à vouloir se mettre en couple pour ne pas trahir la mémoire de son premier amour… Pour moi, c’était une fausse excuse.
Ensuite, il m’a manqué de la maturité, on avait parfois l’impression de lire un roman de la collection New Way. Ils ont peut-être 20 ans, mais par moments ils font d’avantages penser à des adolescents dans leurs manières de parler ou de se comporter. De même, les scènes intimes ne sont pas assez détaillées, trop peu développées à mon goût. Il faut savoir que Léna s’adresse quelquefois directement au lecteur et lors d’une scène intime, elle dit : « On fait l’amour. Je ne vais pas donner de détails non plus, c’est intime. ». C’est bien joli tout ça, mais si je lis de la New Romance, c’est aussi pour ce genre de scène. Pour moi, les scènes intimes font clairement partie de l’histoire d’un couple. Elles sont, je trouve, importantes pour rendre une histoire d’amour plus crédible, pour permettre de donner de l’intensité, de la profondeur et de l’émotion au roman. Car oui, bien que cela soit des scènes de sexe, elles servent à se rendre compte de l’évolution des sentiments au sein du couple. Malheureusement, je n'ai rien vu, rien ressenti de tout ça. La romance entre Léna et Tom, comme tout le reste du roman, m’a laissée indifférente.
En conclusion, Nous deux sur le toit du monde n’a malheureusement pas été une très bonne lecture pour moi. Sur le papier, l’histoire avait tout pour me plaire, elle avait énormément de potentiel, toutefois je trouve qu’elle n’a pas été assez exploitée. C’est vraiment dommage car le roman se lit très vite et facilement. La plume d’Adèle Ninay n’est absolument pas désagréable à lire, elle possède un style bien à elle qui la différencie des autres auteur(e)s de New Romance. Son style est brut et percutant, certes ça ne peut pas plaire à tout le monde, mais ç’a le mérite d’être singulier. Malgré tout, cela n’a pas suffi pour me faire apprécier ma lecture. Je suis certaine que ce roman trouvera son public comme cela a déjà été le cas pour Pas nés sous la même étoile. Je pense tout simplement que c’est un style de roman qui n’est pas fait pour moi. Dans tous les cas, n’hésitez surtout pas à vous faire votre propre avis.
Je vais être honnête avec vous, je n’avais pas prévu de lire Nous deux sur le toit du monde ce mois-ci. Et puis en retombant sur le résumé, je me suis sentie attirée par l’univers décrit et par les difficultés rencontrées par l’héroïne, alors je me suis lancée.
Et le premier constat que je peux faire c’est qu’effectivement ce livre va au-delà des apparences. Il parle de nombreux sujets peu évoqués, surtout en romance et enveloppe le tout d’art et de lumière. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié le monde de l’urbex et celui du graff. Bien qu’ils soient juste effleurés, je trouve qu’ils apportent une dimension très agréable à l’ensemble.
« Je suis forte à ce jeu, ne rien dire sur moi et laisser parler les autres. »
De plus, je me suis prise d’affection pour Léna et Tom bien que ce n’était pas gagné d’avance. En effet, j’ai admiré le courage de la jeune femme, mais j’ai eu du mal à me mettre à sa place et de ce fait de comprendre toutes ses réactions. J’ai eu envie de la soutenir, envie de l’épauler, mais aussi envie de la secouer pour lui faire ouvrir les yeux sur le monde et sur le mal qu’elle arrive à faire bien malgré elle.
« Je nage à contre-courant dans une époque où tout le monde veut exister, être vu, suivi, liké. Moi, je veux m’effacer, devenir transparente. Et j’y réussis assez bien. »
Car sous sa carapace se cache une femme que la vie a brisée bien trop tôt, mais elle met également sur son chemin des personnes capables de la sortir de la spirale dans laquelle elle se trouve. Annabelle, Sam et Tom possèdent ce dont Léna a besoin sans qu’elle ne le sache vraiment et cela rend la situation d’autant plus émouvante. Or il est nécessaire pour elle de ne pas briser la promesse qu’elle a faite et qui l’empêche d’avancer à présent.
« Léna, la vie est un risque à prendre. »
Lorsque les sentiments tentent de percer son armure, lorsque ses émotions s’embrouillent et que son cœur commence à prendre le pas sur sa raison, la situation devient de plus en plus complexe. Rongée par sa culpabilité, elle va totalement se refermer sur elle-même. Durant cette phase, j’ai eu mal pour ses amis, mal pour Tom qui se montre patient et compréhensif. Je pense qu’ils souffrent et qu’ils agissent avec autant de bienveillance possible, mais nous avons tous nos points de rupture et nos limites.
Si j’ai aimé les sujets abordés et la complexité de Léna, tout comme la relation qui a pris forme sous mes yeux, il est vrai que j’ai eu un peu de mal avec les dialogues et le ton employé. Cela vient peut-être du fait que je suis plus âgée et moins « dans le coup », mais c’est un point de vue tout à fait personnel bien évidemment.
Nous deux sur le toit du monde est une lecture agréable qui expose des faits douloureux. C’est un texte sur la reconstruction, le travail de deuil et le fait de reprendre enfin goût à la vie grâce à l’amour et à l’amitié. La morale est belle, les personnages attendrissants alors si l’aventure vous tente, je vous invite à vous lancer et à l’apprécier.
J'ai littéralement dévoré ce roman en même pas 24 heures ! Très addictif. Ce n'est pas un coup de coeur et je ne lui mets pas 5 étoiles parce que le point de vue de Tom aurait été un réel plus je pense. La peine de Léna je ne l'ai pas vraiment ressentie à travers les mots de l'auteure peut-être que si j'aurais ressentie cette émotion la note changerait.
L'histoire de manière générale est douce et légère, c'est agréable à lire. Le vocabulaire est si familier que tu as l'impression de parler à une copine à toi, je pense même que pour certaines personnes ça peut-être dérangeant mais dans mon cas j'ai bien aimé.
Ça m'a fait du bien de lire une petite romance avec de l'urbex en plus c'était top et qui se déroule à Paris !!
littéralement ma meilleure lecture de 2023 jusqu’à maintenant ! ce livre était tellement émouvant et beau et bien écrit, l’histoire est tellement touchante
On ça faire la rencontre de Léna qui est dans une passé assez difficile depuis la mort de son premier amour. À à peine 20 ans, elle doit faire face à la mort de son premier amour à la suite d'un accident de voiture et depuis elle n'arrive plus vraiment à vivre. Elle reste dans le passé et s'est éloigné de tous les objets connectés de la vie. C'est comme si elle vivait dans un autre siècle. Au court de l'une de ses sorties urbex, elle va croiser le chemin d'une fille qui va la faire rencontrer Tom. Ce dernier est loin d'être un homme pour Léna à première vu. Il chamboule sa vie, il la déstabilise complètement. Les deux vont se confronter à deux mondes complément différents et peut être que c'est cette confrontation qui va leur donner l'envie de découvir plus.
C'est un peu par curiosité que j'ai pris ce livre. Je ne savais pas vraiment dans quoi j'allais m'embarquer. C'était une histoire qui avait l'air sympa, donc je me suis dit que je pouvais bien tenter. En plus c'est également une découverte pour l'auteure que je ne connaissais pas du tout.
Au niveau de la plume, je l'ai trouvé assez fluide. Le récit se lit sans trop de difficulté et les pages se tournent facilement. De ce côté là, il n'y a pas eu de problème. C'est une plume que j'aime bien et qui nous permet de passer un très bon moment. Après dans un roman la plume ne fait pas tout, l'histoire et les personnages jouent sur le ressenti du lecteur.
Malheureusement pour moi, je suis ressortie un peu mitigée de cette lecture. J'ai bien aimé découvir l'histoire des personnages, leur passé, leur présent et même leur futur, mais voilà. J'ai eu un peu de mal à m'attacher à eux ou même à m'identifier sur certains points. J'ai trouvé qu'ils manquaient quelque chose pour qu'ils m'inspirent quelque chose de fort. En fait cela ne l'a tout simplement pas fait pour moi au niveau des personnages, ça arrive et ce n'est pas grave. Il faut des personnages pour tout le monde, mais ceux-là n'étaient pas pour moi.
Au niveau de l'histoire, je l'ai trouvé assez sympathique dans son ensemble. J'ai bien aimé découvrir les lieux d'Urbex de la ville. On sent que le groupe de personnes est passionne par ce qu'il fait et par les découvertes d'endroits particuliers. J'ai vraiment ressenti cela lors de la visite des catacombes, j'ai pu voir que chaque personne du groupe avait hâte d'y aller et de se retrouver à l'intérieur de ce labyrinthe pleins d'os et de squelettes.
Dans l'ensemble j'ai plutôt bien aimé le livre même si ce n'était pas une très bonne lecture pour moi. J'ai aimé suivre l'évolution de Léna et comprendre comment elle en était arrivée là. C'est un sujet vraiment intéressant à lire et à découvrir. Mais malgré tout, les personnages ne m'ont pas trop conquise, mais c'est comme ça.
Ce roman a été une vrai bouffé d'air frais ! Les premiers chapitre j'ai eu quelques doutes, la narration est à la première personne et Léna a un langage très familier et en général c'est un nogo pour moi. Ça me sort complètement de l'histoire et je n'arrive pas à m'attacher à l'histoire. J'ai au final trouvé que c'était une vraie valeur ajoutée au roman. Cette simplicité du langage de Léna nous permet de vraiment comprendre ses émotions et son vécu.
Un des vrais plus de ce roman sont les relations entre les personnages, que cela soit les amitiés, les relations amoureuses ou encore les relations amoureuses. L'histoire de Léna est assez tragique et triste car elle a perdu son premier amour dans un accident de voiture et on la suit 2 ans plus tard avec tous les stigmates de cette perte.
Mention spéciale pour tous les personnages secondaires, Annabelle avec sa détermination et sa volonté de bien faire, Tom par sa douceur et sa force de caractère. Sam aussi est un personnage que j'ai beaucoup aimé dans sa simplicité.
En arrière plan de l'histoire on a le monde de l'urbex et des graff que je connaissais pas du tout. Je ne me serais pas naturellement dirigé vers ces thématiques mais elles permettent encore de comprendre Léna sa volonté de vivre et sa volonté d'observer le monde !
Voir notre petit bulldog ressortir de sa carapace un orteil par un orteil faisait vraiment chaud au cœur. J'ai souvent eu envie dans le roman de prendre Léna dans les bras et lui dire qu'elle se débrouillait très bien et que tout allait s'arranger. J'ai aimé toute l'empathie que m'a fait ressentir ce roman. Le début de l'histoire, comment Léna en est arrivé là est triste, mais je trouve que ce roman ne m'a pas rendue triste mais m'a ému!
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Nous deux sur le toit du monde – Adèle Ninay
Une romance magnifique, SURPRENANTE et originale.
« -Léna, la vie est un risque à prendre. »
Léna Bestheim est différente. Elle est unique. Elle n’est pas aimable, très introvertie. Au Québec, l’expression « avoir un caractère de cochon » s’applique totalement à elle. Elle tient tout le monde à distance et a peu d’amis. Elle passe ses journées au travail, en remplissant ses rayonnages et a une routine bien établie. Cependant, le soir, cette routine saute en plein vol, puisqu’elle fait de l’urbex (de l’exploration urbaine). Sa véritable passion, c’est la photographie et le contexte de l’urbex s’y apprête bien puisque lors de ces « périples », elle prend tout en photo.
« Le principe, c’est de s’introduire en cachette dans des endroits interdits, difficiles d’accès comme les tunnels du métro, les catacombes, les chantiers… »
Elle fait cela afin d’oublier… Léna a à peine vingt ans et a vécu des évènements qui bouleversent une vie. Et elle en n’est pas sortie entière de ce traumatisme. Elle accumule les TOC, de grosses phobies (à vous de les découvrir). Elle voit un psy, prend des médocs, parle de Ben (l’homme qu’elle a aimé et qu’elle a perdu tragiquement). Elle reste loin de toutes sortes d’ondes, fait de nombreuses crises d’angoisses et de multitudes de cauchemars. Cependant, le soir, elle oublie en sortant faire de l’urbex et de la photographie. « Plus c’est dangereux plus ça me plaît. » …Vous voyez à quel point elle est contradictoire.
« Je nage à contre-courant dans une époque où tout le monde veut exister, être vu, suivi, liké. Moi, je veux m’effacer, devenir transparente. »
Un soir, lorsqu’elle grimpe au sommet d’une tour sur un chantier, Léna fait la lumineuse rencontre d’Annabelle… qui rapidement l’appellera « Bulldog » à cause de son côté anti-sociale. Et plus Léna, avec son nouveau surnom, essayeront de repousser Annabelle, plus celle-ci voudra se rapprocher d’elle. Léna réalisera rapidement qu’elle aime de plus en plus la joie de vivre et l’humour de cette dernière. Alors, lorsqu’Annabelle lui présentera Tom, le graffeur… la vie de Léna changera à tout jamais. Cependant, est-elle prête à faire entrer quelque d’autre dans son cœur, dans sa vie sans dessus dessous?
« -… Je suis un peu dingue. -Et alors? T’es différente, c’est ce que j’aime chez toi. Elle me plaît, ta dinguerie. Je veux dire : t’es belle, intelligente, drôle, et tu as beaucoup de talent, même si tu ne le vois pas encore. Il faut bien que t’aies quelques défauts. Je lève mes fesses de ma chaise pour lui rouler une grosse pelle. -C’est la chose la plus gentille qu’on m’ait jamais dite. »
J’ai adoré l’originalité de l’histoire. Adèle Ninay nous entraîne dans une romance avec de nombreuses expressions françaises qui font la beauté de son histoire. Elle nous fait découvrir l’urbex (l’exploration urbaine) avec des jeunes personnages intrigants et passionnants. Malgré quelques longueurs dans le texte, l’originalité et la plume envoûtante de l’auteure font que l’histoire est très entraînante. C’était la première fois que je lisais l’une de ses histoires et j’ai été agréablement surprise.
Une plume envoûtante, une histoire particulièrement originale, une romance douce et des aventures entraînantes. « Nous deux sur le toit du monde » vous en fera voir de toutes les couleurs, j’ai passé un moment particulièrement agréable, surtout que j’ai déjà fait de l’urbex ET du graff (hihi). 9/10
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Date de sortie : 17 mars 2022 (France)
Résumé : Léna n’a que vingt ans, mais sa vie est en suspens. Depuis la mort accidentelle de son premier amour, ni les sorties ni les amis ne l’intéressent. Elle ne sait d’ailleurs plus trop ce qui pourrait trouver grâce à ses yeux. Pour continuer à avancer et lutter contre les phobies qui empoisonnent son quotidien, elle s’accroche au vertige procuré par ses aventures nocturnes lorsqu’elle escalade des bâtiments urbains abandonnés. Autant dire qu’elle n’était pas prête pour l’arrivée de Tom, qui surgit un jour dans son existence et bouleverse le système de protection qu’elle s’était construit. Le graffeur libre et insouciant aime la vie à mille à l’heure et les sorties en bande, tout ce qui tétanise la jeune femme. Comme la hauteur, Tom lui donne le vertige, une sensation terrifiante et excitante à la fois. Et Léna ne sait plus si elle doit fuir ou sauter dans l’inconnu.
Ce livre me tentait bien, mais en voyant des avis mitigés, j’anticipais un peu ma lecture. Finalement, ce roman fut une belle découverte pour moi !
Léna est spéciale dans son genre et je l'ai bien aimée ! Ça m'a demandé un petit temps d'adaptation pour comprendre l'univers dans lequel j'entrais, pour m’adapter à Léna et à la plume aussi, mais ça ne m'a pas pris si longtemps et j’ai passé un bon moment ! Léna est le style de fille bourrue, qui n'a pas grand-chose à faire de tout. Son surnom dans l’histoire est bulldog et il lui va parfaitement ! Elle a des TOC, des phobies et malgré son côté antisocial, on l'apprécie par ses parts de vulnérabilité. Elle se sent entre autres comme la ratée de la famille, elle est très différente des autres. Elle connaît une belle évolution au cours du roman, elle devient notamment petit à petit un peu plus sociale, elle s’ouvre au monde. Comme d'autres personnes, je m'attendais à ressentir son deuil autrement, à avoir le cœur qui se serre, voire avoir les larmes aux yeux, mais Léna a ses façons, son deuil s'exprime différemment et cela ne m’a personnellement pas empêchée d’être touchée par ce qu’elle vivait. En somme, Léna est le genre de personnages auquel on s’adapte et qu’on s’attache petit à petit. Je l’ai donc finalement bien aimé ! De plus, j'ai apprécié les personnages secondaires. Sam, Annabelle, Tom. Annabelle est aussi unique en son genre, elle est un petit rayon de soleil et est déterminée. Quant à Sam, il est également déterminé et même si on le voit un peu moins, on remarque qu’il est là pour Léna. J’ai bien aimé Tom, le fait qu’il ne soit pas un badboy au passé tortueux. On découvre un être sensible, j’ai trouvé qu’il changeait des personnages masculins dont on a l’habitude.
La plume était très familière, mais cela ne m'a pas dérangée ! Selon moi, ça collait bien aux personnages, à l'univers. Les chapitres sont assez courts, alors le roman se lit vite ! Je ne les voyais pas défiler durant ma lecture, et puisqu’ils ne sont pas longs, je me disais souvent « allez, un de plus ». La romance, quant à elle, était mignonne.
Bref, un autre exemple comme quoi il faut toujours se faire son propre avis ! J’ai personnellement bien aimé ce roman, il se lit vite et on entre dans un univers quelque peu particulier : avec l’urbex et le graff, on se retrouve en quelque sorte dans la marge de la société, et la personnalité bourrue de Léna renforce cette impression d’univers spécial. Je me suis rapidement adaptée à cet environnement que j’ai bien aimé, ça fait changement et c’est ainsi rafraîchissant à mon avis. On s’attache petit à petit à Léna et aux autres personnages. J’ai pris le livre tel qu’il se présentait à moi et je n’ai pas été déçue ! Je ne peux que vous inviter à en faire autant.
Je sais toujours pas rédiger des avis, mais ça ne va pas m'empêcher de répéter pendant 15 lignes que c'est un coup de coeur. Je remercie du fond du cœur Hugo Newromance et Adèle Ninay car, rappelons-le, sans leur concours je n'aurai peut-être jamais lu ce livre.
Si vous aimez : • Society romance • New Romance • Grumpy x sunshine • Urbex • Reconstruction • Graffiti / street art LANCEZ-VOUS. (Et même si vous aimez pas)
🌇 C'était ma première Society romance et autant vous dire que ce ne sera certainement pas la dernière ! 🌇 Vraiment, l'univers était incroyable. On était plongé au cœur d'un univers singulier et urbain. Les sujets abordés étaient sensibles et hyper touchants, entre TOC et deuil on a bien été servis. 🌇 Les personnages étaient juste INCROYABLES. Bon évidemment, c'était Annabelle ma préférée parce c'est une pile électrique chargée positivement 24/7. Mais notre petite bulldog préférée m'a beaucoup comblée également. Je me suis tapée quelques barres aussi, il faut dire qu'elle a battu plusieurs records en matière de sarcasme. 🌇 Parlons de Tom. Tom, Tom, Tom. En dehors du fait que ce soit un artiste de l'ombre, bien graffeur, bien hyper romantique, bien canon et bien THE PERFECT MAN, qu'est-ce qu'il a pour lui le petit monsieur ? BAH TOUT. Carrément va falloir que je refasse les stocks de post-it rose là, ça devient grave. Mais je vous souhaite tout de même à tous d'avoir un Tom dans votre vie, ça l'égayerait bien si vous voulez mon avis. 🌇 Ensuite l'urbex. L'URBEX. Oui, oui vous avez bien entendu ce roman fait littéralement RÊVER. Et les photos de Léna. Non mais je VEUX les voir. On m'a vendu du rêve là. ET LE BRÉSIL AUSSI. 🌇 Finalement, je lisais sans avoir l'impression de lire. Et tout ça dans un temps record, parce que oui, 379 pages en 2 jours et demi avec les cours c'est un temps record pour moi (#slowreader). On remercie surtout la plume hyper fluide, la lecture dans le bus (malgré le jugement d'absolument tout le monde, encore heureux qu'il n'y ai pas eu d'abdos sur la couverture) et l'heure de permanence passé sur cette PEPITA à me faire juger par les élèves et les surveillants.
Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Hugo roman pour l'envoi de ce roman qui fut très addictif ! Nous nous retrouvons plongés dans un roman sur le thème de la confession, comme une sorte de journal intime d'une personne en détresse qui se renferme peu à peu sur elle-même. Nous suivons une jeune femme de vingt ans, solitaire, en pleine reconstruction suite à un évènement tragique qui a chamboulé le cours de sa vie à tout jamais. Or, c'est la rencontre avec de nouvelles têtes qui va lui permettre de mettre un pied devant l'autre pour espérer entrevoir à nouveau la lumière de la vie. Les personnages sont très attachants et poignants avec des passés difficiles (à nous faire verser quelques larmes). Il s'agit d'une histoire d'amour mais aussi d'amitié que l'on peut qualifier de "doudou", pleine de rebondissements qui malmène notre petit cœur. Toutefois, c'est une histoire d'amour qui sort des sentiers battus et qui ne ressemble en rien à ce que j'ai pu lire auparavant. En ce qui concerne la plume de l'auteure, elle est très fluide et envoûtante. En effet, elle nous emporte dans son univers avec beaucoup d'humour, ce qui m'a fait franchement rire. Elle parvient à nous toucher en plein cœur et nous place en tant que confident de son héroïne tout en nous faisant passer de la joie à la tristesse. J'ai particulièrement aimé le rythme qu'impose l'auteure avec des chapitres assez courts. En somme, c'est un livre qui vous donnera le sourire mais qui va vous émouvoir tout autant. C'est un véritable coup de cœur pour ma part, je recommande grandement sa lecture !
Le thème prédominant du livre m’a beaucoup touchée. Le deuil est quelque chose de compliqué et tout le monde ne le vit pas de la même façon. Léna m’a beaucoup attendrie, elle est tellement douce, déterminée, pure et détruite à la fois. On ressent tous ses troubles à travers l’écriture de l’auteure, ses sentiments sont très bien retranscrit. La douleur qu’elle ressent due à la perte de Ben et de ses regrets m’ont beaucoup touchée et marquée. La voir évoluée tout au long du livre est vraiment appréciable et nous touche encore plus car on a l’impression d’être avec elle durant sa “guérison” et ses remises en questions. J’ai eu plus de mal avec Tom au début mais j’ai appris à l’aimer tout au long de ma lecture. Sa façon d’être avec Léna et très touchante. Attention, il m’a quand même mise sur les nerfs à certains moments, j’avais envie de le secouer mais à la fois je comprenais sa position et son point de vue. Le livre est très bien écrit et nous donne envie de voir comment leur histoire va évoluer, que ce soit entre eux ou même chacun de leur côté. Ma lecture a été agréable et prenante, les chapitres ne sont pas trop long ce qui rend notre lecture plus fluide. J’ai versé quelques larmes à certains moment du livre tant il pouvait être poignant. Je recommande fortement se livre qui va vous bouleverser et vous touchée comme si vous y étiez.
J’ai beaucoup aimé découvrir la « society romance » à travers ce livre ! L’histoire était originale avec des personnages attachants aux psychologies qu’on voit rarement dans des livres.
J’ai bien aimé la façon dont l’autrice nous mettait au cœur de la tête de Léna sans aucun filtre, cela a permis de réellement comprendre ce à quoi elle fait face avec ses TOC et son deuil et comment elle les gère. Ainsi, le langage familier se prêtait parfaitement à la personnalité de la protagoniste donc il n’était pas particulièrement dérangeant.
J’ai aussi beaucoup aimé la personnalité d’Annabelle qui cherche toujours à pousser Léna vers le haut avec sa bonne humeur, de même que celle de Sam avec son petit côté taquin tout au long de l’histoire. Petite mention spéciale au docteur Mandel que j’ai trouve hyper attachant tout au long du livre, on voit qu’il fait réellement attention au bien-être de Léna et j’ai trouvé ça adorable. J’ai naturellement aussi adoré le personnage de Tom qui est très différent de ce qu’on retrouve habituellement dans les livres de new romance avec sa passion pour le graff et son éternel besoin de liberté.
J’ai trouvé la relation entre Léna et Tom très bien amenée et très « vraie » car elle s’inscrit bien dans ce que pourrait être la réalité.
En bref, une chouette lecture que je recommande :)
J'ai dans un premier temps craqué pour la couverture puis je me suis plongée dans cette histoire qui sera très émouvante et prenante. Je ne dirai pas qu'on nous emmène dans le monde de l'urbex car il n'est présent qu'en toile de fond mais ce milieu sera très métaphorique de la vie de notre héroïne. Elle est à l'abandon mais ne demande qu'à être découverte, même si elle n'en a pas conscience.
j'ai passé un excellent moment de lecture avec le roman d'Adèle Ninay. L'histoire est magnifique, les personnages sont écorchés vif et leur psychologie est donc très intéressante à découvrir. Nous voyageons au côté de nos héros et nous espérons qu'ils trouveront l'apaisement nécessaire à un éventuel bonheur à deux.
Ok alors au début j’ai vraiment pas aimée, j’accrochais pas à la plume, j’accrochais pas au personnage de Léna et du coup sur les 50 premières pages je ne savais pas quoi en penser.. Mais heureusement il restait 300 autres pages pour me convaincre mdr!
J’ai tout aimé finalement dans ce livre, le plot était sympa et les deux personnages plutôt original. On ne voit pas souvent des protagonistes féminines qui travaillent à Leroy Merlin mdrrr. La relation entre Tom et Lena étaient super attendrissante, j’ai adorée Tom qui était super prévenant avec elle. Même le third act breakup aka la trope que je hais le plus, ne m’a pas dérangé parce que c’était logique et bien ficelé! Bref c’était définitivement une bonne lecture.
Ok alors au début j’ai vraiment pas aimée, j’accrochais pas à la plume, j’accrochais pas au personnage de Léna et du coup sur les 50 premières pages je ne savais pas quoi en penser.. Mais heureusement il restait 300 autres pages pour me convaincre mdr!
J’ai tout aimé finalement dans ce livre, le plot était sympa et les deux personnages plutôt original. On ne voit pas souvent des protagonistes féminines qui travaillent à Leroy Merlin mdrrr. La relation entre Tom et Lena étaient super attendrissante, j’ai adorée Tom qui était super prévenant avec elle. Même le third act break aka la trope que je hais le plus, ne m’a pas dérangé parce que c’était logique et bien ficelé! Bref c’était définitivement une bonne lecture.
Rien n'est enjolivé dans cette histoire, tout est à l'état brut, totalement ancré dans la réalité, c'est d'ailleurs ce qui m'avait déjà énormément séduit dans son premier roman. Les personnages sont malmenés, confrontés à l'amitié, l'amour, la vie, dure, parfois injuste, avec ses hauts et ses bas. Ici, on s'aime, on rit, on se déteste, on s'excuse, on se pardonne, c'est un flot ininterrompu de sentiments qu'on se prend en pleine face et qui vous tord les tripes.
Vous l'aurez compris, j'ai adoré. Alors foncez lire ce roman !
Une histoire touchante à laquelle j’ai tout de suite accroché. L’ambiance était vraiment incroyable, j’ai vite été plongé dans la ville, ses rues, ces tours… J’ai admiré la force de caractère de Léna et j’ai trouvé tous les personnages touchants. Surtout Anna, Tom et le docteur Mandel que j’ai adoré ! Mention spéciale à la petite référence à Fixpen Sill ahah !!
C'est le deuxième roman d'Adèle Ninay que je lis et je n'accroche pas avec la plume. Je la trouve trop familière... Mais j'ai quand même bien aimé comment étaient abordés les sujets du deuil (alors que je déteste cette trope d'habitude) et des angoisses. Malheureusement j'ai trouvé la relation entre les deux personnages beaucoup trop rapide, il m'a manqué un peu plus de profondeur...
romance touchante qui aborde pleins de sujets importants (TOC, anxiété, deuil…) on trouve ENFIN un perso masculin cis-het bienveillant et non avec un comportement patriarcal extrême (comme on le voit ET banalise trop souvent dans la new romance)
J'ai adoré se livre tant de rebondissements Une belle histoire d'amour qui commence mal mais qu'au final se termine plus que bien Franchement je vous le conseille à tous parce que même si j'ai pas lu beaucoup de romans pour l'instant c'est mon roman préféré dans tout ceux que j'ai
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L’histoire nous emporte dans un monde où la reconstruction et le deuil d’une personne chère à notre cœur sont en premier plan. Ce qui m’a beaucoup touché, c’est l’évolution de Léna au fil des pages, sa thérapie avec le psy qui l’aide même inconsciemment et ces nouvelles amitiés qui se lient ou s'approfondissent notamment avec Sam, son collègue toujours de bon conseil et drôle quand il le veut.
Néanmoins, même si j’ai également adoré la relation naissante avec Tom, j’ai trouvé pour ma part que ça allait trop vite. Alors c’est possiblement parce que j’ai pris l’habitude du Slow Burn, mais c’est vrai que malgré tout je trouve qu’on est allée trop rapidement dans la relation et même la reconstruction aussi. À mon sens, je pense que ça aurait été bien de développer certains passages, d'approfondir la relation amoureuse comme amicale et certaines scènes qui auraient mérité d’avoir plus de tension (je ne parle pas de sexe mais bien d’un autre type de tension.)
Ça reste quand même un livre sensible et feel good à la fois qui pourrait plaire à beaucoup de lecteurs aimant le traitement de ce type de sujet. La plume de l’autrice est fluide et le livre vraiment rapide à lire.