La chanson du rayon de lune . 1860. Joséphine est une grisette, courageuse et mutine, une de ces milliers de petites mains mal payées des coulisses de la mode.. 2020. Amanda est une entrepreneuse moderne, qui développe son entreprise de bijoux grâce aux réseaux sociaux.. Un jour, Amanda trouve dans sa cheminée une merveilleuse bague en opale, le Rayon de lune, ainsi qu'un paquet de lettres jaunies qui révèlent la vie mouvementée de la grisette. Fascinée, elle se sent liée à l'émouvante Joséphine par mille fils invisibles et surtout par cette bague, chargée de souvenirs. Mais voilà que le Rayon de lune disparaît dans des circonstances dramatiques.... Séparées par plus d'un siècle, mais réunies par l'immeuble parisien et le métier qu'elles partagent, ces deux héroïnes vont tout faire pour réaliser leurs rêves. Un roman poignant, traversé par des passions amoureuses qui défient le temps..
4.5 étoiles parce que j'aimerais que pour une fois, dans un livre de ce type, l'histoire du passé se termine de manière différente. Sinon, le livre est génial. J'ai adoré.
Je viens de terminer La Chanson du rayon de lune et une fois de plus, Tonie Behar m'a conquise par la beauté de sa plume, la profondeur de son histoire et l'élaboration de ses personnages si singuliers . Nous sommes transportés entre deux époques et nous suivons la destinée de deux femmes qui sauront conquérir leur monde.
ce roman n'est pas une romance comme les autres car elle allie de la romance certes mais aussi un suspense qui nous tiendra en haleine au fil des pages. Nous ne savons plus à qui nous pouvons faire confiance mais une chose est sûre la place de la femme est sublimée dans cette épopée lyrique et poétique. Je vous recommander de lire ce super roman qui vous assurera des belles heures de lectures.
Je lis toujours les romans de Tonie Behar car elle écrit des histoires entre romance et suspense assez cosy et que cela leur donne un charme particulier. Ici, elle ajoute aussi une autre dimension : une double histoire qui se déroule dans le passé et un héros secondaire mais important, un appartement parisien.
Il arrive à Amanda ce que je rêverais qu’il m’arrive ! Alors qu’elle fait ramoner sa cheminée dans son immeuble parisien, elle découvre une boîte contenant les lettres d’amour échangées sur de longues années par une dénommée Joséphine et un certain Antoine. Très intriguée, elle va les lire et se renseigner sur ce couple dont l’histoire est complexe et marquée par la différence sociale, élément qui ne pardonnait pas dans les années 1860, époque où commence leur liaison. Et comme si ça ne suffisait pas, Amanda va devoir faire face à la mort très suspecte d’un homme qui a été très important pour elle.
Le livre est très plaisant et se lit facilement, oscillant entre l’histoire d’Amanda en 2020, pile il y a un an, alors que l’on commençait à peine de parler d’un certain coronavirus et les lettres de Joséphine et Antoine qui nous plongent dans la société du second empire. Il y a quelque chose de fascinant dans ce retour dans le passé que fait Amanda qui se retrouve liée à Joséphine par appartement interposé. Et par bague interposée. Car avec les lettres, il y a une très jolie bague avec une opale qui donne son titre au livre. L’histoire de Joséphine et Antoine est jolie : il fréquente cet immeuble tous les deux, s’y croise, mais sont à des étages bien différents de l’immeuble et de la société. Le tableau qui se dessine d’après leurs missives a un côté réaliste et fort parfaitement abouti. J’ai trouvé cette Joséphine forte et passionnante, jamais battue même si elle n’est au départ qu’une grisette, une petite employée dont les chances de réussir dans la vie étaient assez minces.
Amanda est dans une situation différent, dans une autre époque. Elle va se retrouver à un croisement des chemins : nouvelle rencontre sentimentale peut-être mais également le mystère de la mort de cet homme qu’on retrouve dans la cour de son immeuble. Son histoire est moderne, rigolote, pleine de rebondissements, parfois un peu tirée par les cheveux, mais très plaisante aussi.
La lecture de ce roman est un vrai plaisir : c’est distrayant, bien écrit, fin. On retrouve aussi une approche légère mais intelligente du récit, de l’aventure même, avec une petite pointe de mystère comme il en existait dans les romans populaires du début du vingtième siècle. C’est une très bonne idée qui nous éloigne d’histoires parfois trop vues que l’on trouve dans la littérature dite féminine. Ce livre s’adresse aux femmes sans aucun doute mais pas que. Il a même un message féministe réussi.
Je ne suis pas passée loin du coup de cœur. Peut-être que Tonie Behar a créé trop de pistes et de personnages et passe un peu vite sur certaines parties de l’histoire pour emporter totalement mon adhésion, mais j’ai passé un excellent moment.
Paris, fin du 19e siècle, au 19 faubourg Montmartre, deux jeunes gens sont très amoureux. La jeune fille est une grisette, une petite couturière, jolie Normande devenue Parisienne, et tombée amoureuse d’un voisin qui travaille dans un cabinet d’avocats dans le même immeuble. Un monde les sépare, celui de l’argent, celui du statut social, celui des origines. On pense inévitablement à l’intrigue de La Dame aux Camélias. Cet amour est beau, désespéré, sans issue.
Dans le Paris pre-Corona, leur histoire n’existe plus que par le truchement d’un paquet de lettres qu’une trentenaire créatrice de bijoux, Amanda, vient de découvrir dans un compartiment caché de sa cheminée. On connait déjà Amanda, elle est la soeur de Violette, l’héroïne du roman précédent de Tonie Behar, Si tu m’oublies. On croise d’ailleurs pas mal de personnages de ses autres romans, et c’est un réel plaisir de lecteur. Amanda trouve aussi avec ces lettres d’amour, une merveilleuse bague couleur de lune.
La jeune femme vient de se faire plaquer par son petit ami, avocat d’affaires. Peu de temps après, un terrible drame survient. Amanda, terrassée, fait face à une vérité crue, qui trouve son point culminant dans la perte de cette belle bague, laquelle vient tout droit d’un passé qui la fascine. Est-ce que l’esprit de Joséphine, la petite grisette, va l’accompagner dans cette recherche ? Et comment une histoire d’amour de presque deux siècles peut avoir une incidence dans le présent ?
Le titre de ce nouveau roman de Tonie Behar fait référence à Guy de Maupassant, et cela suffit à nous séduire dès les premières lignes. La romancière nous emmène avec son dernier opus en terrain connu, au 19 faubourg Montmartre, lieu de nombre de ses livres, mais réussit en même temps le tour de force de nous faire voyager dans le Paris du 19e siècle. Il faut être une véritable virtuose des mots pour mener de front deux récits, deux époques, deux destins qui s’entremêlent dans le temps, et Tonie Behar en possède incontestablement les précieuses qualités.
Un livre qui m'a d'abord beaucoup intriguée puisque l'intrigue se passe dans des quartiers où j'ai ma vie de tous les jours. Cela a induit de voir et d'apprendre des informations sur des lieux que je fréquente, ce qui était intéressant
Au delà de cet aspect, c'est un très beau parallèle entre une histoire de meurtre très mystérieuse qui se passe de nos jours et une histoire d'amour très compliquée dans le passé découvert sous forme de lettres.
L'harmonie entre les deux époques est très belle et le fil rouge qui lie les deux intéressant
Un très beau livre que j'ai pris plaisir à découvrir
Gros coup de cœur!!! Je n’étais pas forcément emballé par ce livre au départ. Je l’ai choisi par hasard en me disant c’est un charleston donc il devrait être bien mais sans grande conviction. Qu’elle ne fut pas ma surprise après quelques pages!! Je suis tombé dans le livre complètement captivée par ces deux héroïnes et femmes fortes et libres. Je n’en dit pas plus mais j’ai bien sûr versé ma petite larme à la fin du livre. Un beau roman, deux belles histoires. A lire absolument !!
Très chouette livre de piscine. Et j’étais à la piscine, donc top. C’est l’histoire d’une enquête pour le meurtre d’un avocat réputé dans le Tout-Paris. Le livre est chouette parce qu’on suit l’histoire de deux femme - une vivant en 2020, l’autre en 1860. C’est pas le plot le plus innovateur, mais on se laisse entraîner par le récit.
Liée par un appartement, un immeuble et une bague, les deux héroïnes de cette histoire vont devoir affronter des obstacles pour réaliser leurs rêves, même s’ils sont à contrecourant des mœurs et des codes sociaux. Un portrait de femmes magnifique, qui a davantage su me captiver quand il était question du passé mais qui demeure très beau et met en scène deux femmes ambitieuses et fortes.
Un très beau livre qui nous transporte dans le passé et qui nous montre que c'est possible de réaliser nos rêves si l'on se bat tous les jours pour cela.
Une jolie couverture, un titre intrigant, il ne m’en fallait pas plus pour avoir envie de découvrir ce roman de Tonie Behar.
Amanda est créatrice de bijoux et développe son entreprise. Un jour, elle découvre, dans sa cheminée, un vieux coffret. Ce dernier renferme une magnifique bague en opale, le Rayon de Lune, mais aussi de vieilles lettres jaunies. Fascinée, Amanda lit les lettres les unes après les autres et va découvrir la vie de Joséphine, une grisette parisienne. Très vite, elle se sent liée à cette jeune femme d’un autre temps. Le Rayon de Lune semble chargé de souvenirs, mais il disparait dans de tristes circonstances. Même si un siècle sépare les deux héroïnes, elles sont reliées par un immeuble et par un métier, qu’elles partagent.
Après avoir découvert la plume de Tonie Behar l’année dernière, j’avais hâte de me plonger dans un autre de ses romans. C’est chose faite, et quelle histoire ! J’ai adoré ce livre, qui nous emmène, grâce à ses lettres, dans le quotidien de Joséphine.
Un roman entrainant entre passé et présent, avec un brin de suspens et de mystère. Un très bon moment de lecture !
Une chouette histoire avec une double temporalité. L'écriture est simple mais agréable, les personnages attachants et l'intrigue sympa même si elle n'est pas inoubliable. J'ai particulièrement aimé la partie de l'histoire qui se déroule dans le passé. L'aspect épistolaire et le personnage de Joséphine, haut en couleurs. C'était plaisant à lire.