En anglais, on appelle une particule de paillettes une « scintilla », un mot qui se traduit aussi par « étincelle », mais c'est moins joli. Une femme extraordinaire porte le récit de scintillas, hors glitter. Des abîmées. Des qui brillent trop. Des écartées, qui se sont prises entre les craques du bois franc et que la balayeuse n'embrassera pas, même si, vu de haut, ça brille. Ces choses-là arrivent.What a time to be alive.
Trop triste d’avoir été déçue :(( j’ai l’impression que c’est le genre de livre qui s’apprécie plus à lire tout d’un coup mais l’écriture est juste trop trop trop intense pour arriver à supporter en 1 session. Et malheureusement après on reprend le livre et c’est dur de comprendre, on perd un peu l’intérêt… au moins il y a des moments drôles et c’est assez touchant dans l’ensemble, mais jamais assez pour particulièrement recommander le livre disons..
Avec tous les bons reviews qu’a ce livre, disons que mes attentes étaient hautes. Surtout que c’est l’un des livres les plus vendus de 2022.
Honnêtement, je ne me suis jamais habitué à la plume de l’autrice. Trop de blabla. Trop de mots pour dire des choses pourtant si simple. J’ai souvent lu en diagonale. Me semble que j’aurais enlevé plusieurs chapitres.
Je n’ai pas non plus accroché à l’histoire de Corinne.. Ça part dans tous les sens. C’est difficile de s’y accrocher et de suivre la cadence. C’est aussi un livre qui manque de profondeur. Surtout vu les sujets qui sont abordés.
Je ne comprends pas l’engouement..
Je dois être passé à côté de quelque chose. Quoi ? Ça, je le sais pas.
J’aurais donc voulu tripper sur ce roman, comme je trippe sur Catherine Ethier… Au fil de ma lecture, j’ai réalisé que son extravagant et exhaustif vocabulaire m’était plus digeste à l’oral qu’à l’écrit. J’ai trouvé ce roman chargé et parfois difficile à suivre, mais peut-être est-ce mon cerveau fatigué. La détresse humaine qui est peinte est malgré tout très touchante.
J'adore écouter Catherine Éthier. J'aime ses phrases interminables, ses expressions toutes personnelles, ses prises de positions féministes qui font rire jaune l'animateur des émissions pour lesquelles elle fait des billets... J'adore l'écouter, mais lire tout un roman de son cru, c'est too much . Une femme extraordinaire , c'est comme un gâteau de mariage décoré de mille perles en sucre, de fleurs comestibles, de petits personnages en pâte d'amande, de spirales en crémage rose pâle, pis de paillettes multicolores qui reflètent la lumière dans la salle de réception comme une boule disco à un bal de graduation. Vous trouvez cette phrase un peu trop longue ? C'est rien, comparé a ce qu'on retrouve dans le roman. Une femme extraordinaire comporte beaucoup de mots, mais ne raconte pas grand chose, au final. J'ai espéré jusqu'à la toute fin que quelque chose se produise et malheureusement la dernière partie, celle de la croisière, est justement celle où il ne se passe pratiquement rien. J'ai aimé le personnage de Corinne, j'ai ressenti son désespoir et sa grande solitude. J'aurais aimé la voir réagir, évoluer, ou à tout le moins, se confier à quelqu'un. Mais on ne fait qu'assister à sa chute et on subit son inteeeeeerminable monologue intérieur, sa description quasi chirurgicale de tout ce qu'elle aperçoit chaque jour. Cathé, je suis déçue.
Je n’écoute pas la radio et je n’ai pas la télé. Je ne connaissais donc pas du tout l’autrice.
J’avais vraiment envie de lire ce roman. Vraiment envie de l’aimer. Mais au final, je me suis perdue dans les prouesses du langage, perdu le fil, et… ennuyée. J’ai eu beaucoup de mal à le finir, je n’ai pas accroché…
Vraiment un gros coup de coeur pour moi, ma lecture préférée de 2022 jusqu’à présent. J’ai ris, mais j’ai aussi pleuré pas mal, deux choses qui m’arrivent rarement en lisant, encore moins pendant le même roman. C’est vraiment venu me chercher. Le sujet me parlait beaucoup, et j’ai vraiment apprécié le style.
Ouf! Quel livre unique! Après avoir eu un peu de misère à saisir le style d'écriture et à bien embarquer, je ne pouvais plus déposer ce livre. Une tonne de références culturelles, un humour toujours à point, des thèmes difficiles abordés sans détour et avec vulnérabilité.
Vraiment, ce livre est une bibitte unique très poignante.
J’ai entendu Catherine Ethier tout le long me raconter cette histoire drôle et touchante aux longues phrases savoureuses. J’ai ri aux éclats de nombreuses fois et la trame dramatique m’est rentrée dedans solide. Un texte absolument fabuleux. J’ai hâte à son prochain!
J’ai trouvé ce roman très intime. Pas nécessairement parce que certains passages peuvent être comparés à la vie de l’auteure, mais plutôt à cause du personnage principal en soi. Corinne est mélangée, vulnérable, drôle, touchante et ses phrases punchées ont quelque chose de vrai. Pis de triste aussi.
J’ai vu plusieurs avis qui disaient que ce livre était une bibitte en son genre. Je suis plus ou moins d’accord. Si par bibitte on veut dire la plume de l’auteure, ok. Mais quand on connait l’auteure pis son phrasé, il n’y a pas de surprise à ce niveau là. Du moins, rien d’étrange qui nécessite le mot bibitte. Et encore moins bibitte quand on pense aux thèmes abordés. Ils sont actuels et je suis certaine que le mal de vivre dont souffre Corinne peut être vécu par plusieurs. Breffff.
Sinon, j’ai beaucoup aimé de manière générale. Le personnage de Corinne est savoureux et complexe. Sa manière d’agir et sa solitude font d’elle un personnage qu’il est agréable de côtoyer. Elle est aussi très humaine et certaines de ses répliques m’ont vraiment fait rire. Un peu en opposition, mais aussi un peu effacée selon les situations qu’elle rencontre. C’était vraiment bien.
La fin est également très touchante. Je crois que Earl est mon personnage préféré. Il est exactement ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas à la fois chez les autres. Difficile de rester insensible à ce qui lui arrive et à la manière dont Corinne réagit avec lui. Pour écrire ces dernières pages, je crois vraiment que l’auteure a dû se mettre à nue. C’est trop cru pour ne pas avoir été ressenti juste un tit peu dans la vraie vie.
Seule raison pour laquelle je ne donne pas 5⭐️ : je crois qu’il est difficile de comprendre l’histoire si on ne lit pas le roman en continue. Les figures de style étant très présentes, ça rend la lecture moins fluide lorsqu’elle est trop échelonnée dans le temps. Je crois que je l’aurais moins aimé si j’avais dû m’arrêter pour plusieurs jours avant de poursuivre. C’est important de le savoir si on compte lire ce roman !
J’ai ri à en fendre mille partiels. À voix haute, seul chez moi ou en public. Et j’ai l’impression que celleux qui reconnaissaient la couverture du livre duquel mon visage trémulait, durant mes cachinnations, savaient exactement où j’étais rendu dans ma lecture.
Mais j’ai encore le coeur dans les mollets. Une fin qui va m’habiter longtemps. Je me sens comme la dame dans Titanic,J’ai perdu quelque chose en mer. Un bout de mon coeur dans les dernières pages de Une femme extraordinaire.
Le sujet m’a beaucoup touché! J’ai aimé les propos crus et humoristiques de Catherine Éthier, par contre j’ai eu de la difficulté parfois avec certaines longueurs du contenu ainsi que le style d’écriture qui a rendue ma lecture moins fluide.
Un vrai feu d'artifices langagier tragi-comique! Au début, le ton est déroutant, mais rapidement on s'attèle et on embarque dans toutes les digressions. Oui, okay, certains vont trouver qu'il y a des longueurs... mais en plus de reconnaître/entendre la voix de Catherine Éthier, j'avais l'impression de lire tous ces gens (donc moi) qui raconte des histoires avec pleins de détours par-ci, par-là! Et ça m'a fait du bien de lire ça. Une écriture qui assume sa longueur et ses nombreuses parenthèses et anecdotes en plein milieu d'une autre histoire! Outre la forme, j'ai aussi beaucoup aimé le fond, il va sans dire. Anxiété, dépression, santé mentale, le fait d'être une personnalité publique et plusieurs autres sujets en filigrane... "Une femme extraordinaire" ratisse large mais efficacement. Comme dirait Corinne : "J'AI TOUT AIMÉ!".
Autant intime qu’intense, ce roman m’a déstabilisé. J’admire le travail de Catherine Éthier, mais malheureusement je n’ai pas embarqué autant que j’aurais voulu dans ce livre. Plusieurs longueurs que j’ai lu en diagonale. Je pense que c’est un livre qui se lit « one shot ». Avec un vocabulaire et une écriture dont je ne suis pas habituée de lire, j’ai eu de la difficulté à finir ce livre et je perdais de l’enthousiasme à le lire, peut-être parce que je me sentais perdue à chaque fois que je reprenais ma lecture. Ce n’était tout simplement pas mon style! Toutefois, la fin m’a touchée et je pense que c’était le but de l’autrice.
Quelques heures à peine après avoir terminé le livre, j’ai eu la chance d’assister à une table ronde de Catherine Éthier sur l’anxiété comme moteur à la créativité. Sa démarche de vouloir nommer les choses telles qu’elles sont (anxiété, dépression, suicide), mais avec humour et autodérision fonctionne très bien. Lors de ma lecture, j’ai alterné entre rires et boule dans le ventre. Ses personnages sont attachants et complexes. Je suis une grande fan de son style d’humour, c’est d’ailleurs difficile de ne pas lire en empruntant son ton de voix caractéristique! Je pense qu’il faut connaître un peu son style comme chroniqueuse et humoriste avant de la lire, car c’est certainement autrement déroutant.
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Gros coup de coeur pour ce livre! Je ne sais pas comment l’exprimer autrement qu’en affirmant que juste le fait que certaines phrases écrites dans ce livre EXISTENT, me fait un petit velours. Le ton du personnage est juste hilarant. Cette jeune femme qui oscille entre humilité et mépris, on ne peut que l’aimer d’un amour inconditionnel. L’usage des mots est complètement on point et même si on pourrait dire que les phrases sont parfois alambiquées, on s’habitue vite au style de l’autrice. (Et souvent, on dirait qu’on peut même l’entendre derrière les propos de son personnage!) J’ai vraiment aimé ça, du début à la fin. Vivement le prochain livre de Catherine Ethier!
Je me demande si je vais poursuivre la lecture ou bien me tourner vers la version audio. Je n'adhère pas du tout au style d'écriture dense et inégal. Les images sont drôles et farfelues, mais semblent souvent ne pas d'avoir de raison d'être. Comme si Catherine essayait de plugger des insides du milieu culturel montréalais à tout prix... ça me déçoit parce que je l'aime beaucoup à la radio.
J'ai bien aimé l'ambiance globale de ce récit : la tentative de dénier la réalité par l'humour, de vivre par automatisme au lieu de se questionner sur ses actions. Beaucoup trop de personnes survivent leur vie ainsi, dont moi parfois. Ça fait du bien de se rappeler que les petites choses du quotidien et nos proches sont souvent plus importants que nos plus gros obstacles. Malgré les difficultés, il y a du positif caché et plus vite nous demandons de l'aide, plus vite nous les surpasserons.
J'ai eu de la difficulté à traverser ma lecture de façon fluide et motivée. Bien que l'histoire était intéressante, le discours et la rédaction d'Éthier font appel à plusieurs référents et pauses, après les plus longues phrases.
3.5ish? La finale a sauvé le tout. Le propos est absolument on point, dans cette positivité toxique crasse qu’on semble peu à peu quitter (du moins dans mes chambres d’écho). Étant un grand fan du style à la radio, la transposition à l’écrit était très dense et je m’essoufflais à la fin du livre. La ligne directrice ne m’a pas convenu non plus et la section sur le bateau, je l’ai trouvé tres longue. Je salue par contre chacune des phrases de ce livre, ca a du en être du travail. Mais j’ai déjà hâte à son prochain!
Un livre au rythme accéléré, correspondant certainement à l’angoisse ressentie par le personnage principal. À lire au même rythme (aka le lire en 2 jours), ça aide à rester accroché(e)!
J’adore Catherine Ethier. J’avais comme des attentes pour ce livre! J’ai adoré, tout au long du roman j’avais l’impression que c’était elle qui le lisais le roman 😁 Étonnant A lire
Ouf, j’étais clairement pas le public cible de ce livre et j’en suis quand même déçue… j’avais espoir en quelque chose de wow! Toutefois, l’histoire n’était pas vraiment une histoire qui se tenait, il y avait seulement des longueurs qui étaient justifiées par des comparaisons et des métaphores à ne plus finir (certaines étaient vraiment bonnes et m’ont fait rire en plus de m’impressionner par leur diversité). La majorité des phrases n’allaient simplement straight to the point et ça rendait desfois la lecture décousue. J’ai l’impression que j’aurais pu fermer le livre à n’importe quelle fin de chapitre et que mon review aurait été le même, tellement il n’y avait rien d’intéressant qui se passait (sauf à quelques endroits dont les 10 dernières pages du livre… ).
Je ne sais pas si c'était ce dont j'avais de besoin en ce moment mais c'était superbe. Je m'attendais à être chamboulée mais jai été plus touchée et bouleversée que prévu, bien que j'ai beaucoup ri. Le rythme est très spécifique à l'autrice, j'avais l'impression de l'entendre parler. Une belle musicalité. Je le recommande, mais prépare tes kleenexs.
LOVED IT! La plume de l’auteure était parfaite! Le livre est écrit en sarcasme courant, ce qui est dans mes cordes. J’ai connecté à 100% avec l’histoire, les thèmes, mais surtout Corinne. Pis god que j’ai eu un pincement pour Earl… mais c’était autant triste que beau, je trouve. Bref, un coup de coeur pour moi!
Pour vrai, tout le long je me suis ennuyée à lire ce roman. Je comprenais pas l'humour ou en tout cas, ça ne me faisait pas vraiment rire. Jai persiste juste pcq pis wow. Juste la fin a elle même est +10.
Même si j’étais un peu perplexe au début par rapport au style d’écriture et à la longueur des phrases, j’ai adoré ce livre! On y aborde avec beaucoup de vulnérabilité des sujets qui me touchent et qui me parle!! Ce n’est pas un livre qui plaira à tout le monde, mais une si belle découverte!!!