Soirée à thème chez Daphné et Hadrien. Ils vont s'amuser, boire, bavarder et danser... jusqu'au moment où un de leurs amis tombe mystérieusement du balcon et se tue. Puis quelques mois plus tard un autre de leurs amis présents à la soirée se rompt le cou en dégringolant des escaliers... Que se passe-t-il ? Quel est le lien entre la fête, les convives, les serveurs qui officiaient ce soir-là, et notre appétit - très humain - de réparation ?
Germain received a doctorate in philosophy from the Sorbonne, and taught it at the French School in Prague from 1987 to 1993. She claimed that philosophy, 'a continuous wonder' to her, was also too 'analytical', and she switched from Descartes and Heidegger to Kafka and Dostoevsky. She grew up in rural France, in an area steeped in mythology and folklore, and she admitted 'that the power of place had a huge effect on me but it was an unconscious one'. That her prose was 'related to the earth ... the soil, the peasants, the trees', was revealed in her first novel, The Book of Nights (1985), which won six literary awards. The second novel, Night of Amber (1987) continued from the first, and was followed by Days of Anger (1989). Despite this three-part structure, Germain claimed that she was 'trying only to express an obsessive image and to explain it to myself. I have no pretensions to creating a mythos. Each book begins with an image or a dream and I try to express that and give it coherence.'
J’adore Sylvie Germain depuis des années. Une fois et score dans un style éblouissant elle nous offre là un roman à couper le souffle, je n’ai qu’un mot pour exprimer ce que je ressens en refermant ce livre : Wow !!!
franchement décevant. Le résumé vend un espèce de livre ou le protagoniste serait effrayé de bientôt être assassiné, au final à la page 80 on passe au pdv du criminel. Aucun suspens et aucune enquête, juste un livre qui se concentre sur les sentiments d'un pauvre mec qui tue les gens de sang froid avec préméditation. Sorry not sorry mais je m'en fiche un peu de savoir ce qui amène quelqu'un à tuer, surtout quand l'autrice essaie de lui trouver des raisons. L'autrice essaie carrément de nous faire ressentir de l'empathie pour le tueur, ah ouais mskn il a perdu sa soeur et son chat (le mec est d'ailleurs plus touché par la mort de son chat que par les deux personnes qu'il a tué et askip c'est ok). J'ai détesté, faut pas abuser, j'aurais préféré lire (et je m'y attendais) un livre dans lequel on voit le stress de personnes ayant peur de la mort et qui font le deuil de leurs amis. Être du côté du tueur en oblitérant les victimes ne m'a pas plu du tout, le mec est fou et l'autrice a décidé de le laisser impuni, scandaleux.
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Inégal, le personnage principal a un certain intérêt, mais je trouve certains procédés d'écriture à la fois déjà vus et artificiels. Je préfère les textes de Sylvie Germain plus proches du fantastique.