Jump to ratings and reviews
Rate this book

La violinista di Hitler

Rate this book
Ispirato alla storia vera di Nejiko Suwa, la giovane violinista a cui Goebbels donò uno Stradivari per suggellare l'alleanza tra Germania e Giappone, è una storia di luce che emerge dal buio; di speranza nella sofferenza.

Sono solo una ragazzina. Ma so che intorno a me infuria la guerra. E il mio segreto potrebbe cambiare tutto.


Nejiko accarezza le corde tese del violino sotto i polpastrelli. La sua maestria nello strumento l'ha condotta dal lontano Giappone fino in Europa, per tenere una serie di concerti. Ma Nejiko sa che lo strumento che stringe tra le mani ha un significato profondo: è stato il gerarca nazista Goebbels a regalarle quel magnifico Stradivari, come segno di alleanza tra il suo paese e la Germania. Anche se è molto giovane, ha avuto l'onore di quel dono. Nejiko non fa che ripeterselo mentre, intorno a lei, rimbomba l'eco della guerra. Eppure non riesce a suonare come ha sempre fatto. Il violino sembra osteggiarla: invece di far vibrare la sua musica, si chiude di più a ogni tocco. È come se avesse un'anima, un passato. E lei non riesce a vincere questa battaglia. Perché Nejiko sa. Nejiko sa che lo Stradivari è stato rubato. Che è appartenuto a un musicista ebreo. Che sono state le mani di un uomo morto per mano dei nazisti a sfiorarlo prima di lei. Da quel momento ha un solo obiettivo: proteggere il violino. Difenderlo con la sua stessa vita per rendere onore al suo proprietario. Ma ora qualcuno è alla ricerca dello strumento e Nejiko deve trovare il coraggio di fare la scelta giusta. Solo allora lo Stradivari potrà tornare a suonare. Solo quando sarà libero. Libero davvero. La violinista di Hitler è un romanzo necessario che porta a galla un episodio sconosciuto della storia. Ispirato alla storia vera di Nejiko Suwa, la giovane violinista a cui Goebbels donò uno Stradivari per suggellare l'alleanza tra Germania e Giappone, è una storia di luce che emerge dal buio; di speranza nella sofferenza. Perché il passato ci ricorda continuamente che il male esiste e può essere spietato, ma ci insegna anche che ci sono persone che hanno provato a combatterlo con le proprie forze. Persone che non vanno dimenticate.

192 pages, Hardcover

First published January 7, 2021

18 people are currently reading
328 people want to read

About the author

Yoann Iacono

6 books5 followers

Ratings & Reviews

What do you think?
Rate this book

Friends & Following

Create a free account to discover what your friends think of this book!

Community Reviews

5 stars
62 (15%)
4 stars
149 (36%)
3 stars
148 (35%)
2 stars
49 (11%)
1 star
5 (1%)
Displaying 1 - 30 of 75 reviews
Profile Image for teach_book.
434 reviews634 followers
June 17, 2022
Nie sądziłam, że ta powieść historyczna okaże się tak dobrą powieścią historyczną.

Przejmująca, wciągająca, przeplatająca wojnę z muzyką. Muzyką naszej głównej zainteresowanej - Nejiko, japońskiej skrzypaczki.
Profile Image for Mewa.
1,238 reviews244 followers
July 9, 2022
Zaskoczyła mnie ilość politycznych szczegółów, które bazowały na faktach, ale miały w sobie fikcję literacką. Zawiodło mnie zbyt mało emocji w tekście. Spodobał mi się natomiast wewnętrzny konflikt Nejiko, który trwał, trwał i trwał zmieniając swoje formy. Jaki z tego wniosek? „Skrzypce Goebbelsa" to powieść dobra, ale nie moja. Może się podobać, może nawet oczarować, a jednak moje serce pozostało na nią obojętne. W pamięci prawdopodobnie zostanie mi jedynie estetyczne wydanie książki i nic więcej, więc... Z jednej strony straciłam przez nią czas, z drugiej niekoniecznie był on spędzony źle.
Profile Image for CamCam’.
156 reviews13 followers
April 2, 2023
Un roman intéressant sur la Seconde guerre mondiale, et la musique en temps de guerre.

Même si j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages et avec le style de l’auteur, c’était fascinant de découvrir les rouages des grands politiciens pendant cette période marquante de l’histoire !
Profile Image for Marie-Nel.
865 reviews23 followers
January 27, 2021
 j’ai tout de suite été attirée par cette histoire. Rien que le titre était pour moi très intéressant, regroupant deux notions qui ont tout de suite fait tilt. Le stradivarius est un violon très célèbre et d'une grande pureté de son, en avoir un entre les mains est un honneur pour un violoniste et l’écouter est magnifique. Et associer cet instrument à Goebbels était très intrigant, ce nom d'un haut commanditaire nazi est synonyme de seconde guerre mondiale, de proche d'Hitler. Et quand ensuite, j'ai vu la couverture de cette jeune fille asiatique avec son violon et j'ai lu le résumé où tous ces indices s’expliquaient et que j'ai compris de quoi il allait s'agir, j'ai tout de suite été emballée et je voulais le lire avec beaucoup d’intérêt.

 

Je suis, en plus, toujours très intéressée par les histoires vraies. Et cette histoire est l'histoire vraie et romancée d’une jeune virtuose japonaise, Nejiko Suwa, venue en Allemagne pour se perfectionner au violon. Le narrateur, Félix Sitterlin, reçoit un jour des carnets où Nejiko raconte son parcours. Félix était chargé pendant la guerre de la retrouver et de récupérer son stradivarius que Goebbels lui a remis un jour de 1943, en pleine guerre, et ce, pour renforcer les liens entre le Japon et l'Allemagne nazie. Nejiko ne voudra quasiment jamais parler avec Félix pendant ces années de guerre. C’est une fois âgée de quatre-vingt deux ans qu'elle se résout à lui envoyer les carnets où elle a tout raconté.

Nejiko est une jeune fille lorsqu’elle reçoit ce violon. Elle prend encore des cours avec son professeur, mais elle n'arrive pas à sortir le son qu'elle voudrait de son violon. Elle comprendra mieux la raison lorsqu'elle apprendra par Félix que son instrument appartenait avant elle à un musicien français et juif, Lazare Braun, il lui a été volé,  comme des millions d’instruments et d’œuvres d'art, spoliés par les nazis et emmenés dans leur pays. L'auteur consacre d’ailleurs un chapitre où il détaille sur l’année 1943 tous les instruments qui ont été envoyés de France vers l’Allemagne , parfois par 120 pianos à la fois ! Et quand on pense qu'ils ont fait pareil avec les tableaux, les peinture, etc, ça fait froid dans le dos. C’était les Juifs qui triaient tout cela au camp de Drancy, et bien souvent ils voyaient passer certaines de leurs affaires. Au printemps 1944, une centaine d'entreprises de déménagement françaises mettent à disposition du Reich jusqu’à quatre-vingt camions par jour pour acheminer tous ces instruments, trois camps d’internement, annexes de Drancy, sont ouverts pour faire le tri. Ces chiffres sont assez hallucinants, et montrent bien la spoliation  des français et des juifs par les Allemands.

 

Pour en revenir à l'histoire, on va suivre ainsi Nejiko sur plusieurs années, pendant la guerre, juste après et les années qui ont suivi. Elle dira que pour elle, les plus belles années où elle a été heureuse étaient celles où existait le plus de chaos. C’est pendant ces années là qu'elle a connu son premier et seul amour, elle se produisait avec son violon dans beaucoup de villes européennes, elle faisait partie de l'orchestre philharmonique de Berlin. Elle était jeune, elle ne se rendait alors pas compte qu'elle était un pion, manipulée pour des enjeux politiques. Elle s'en rendra compte plus tard. La fin de la guerre est dure pour elle, car elle est vue comme une sympathisante du régime nazi, tout aussi est pour cette idée, elle a reçu un stradivarius de Goebbels en personne, elle s'est produite devant les grandes figures de l'empire nazi, japonais, Hitler, Hirohito, alors la fin de guerre est difficile pour elle. Elle est retenue avec d'autres ressortissants japonais dans un hôtel américain.

 

Bref, car je m'emballe et je vous raconte tout, on va suivre Nejiko pendant toutes ces années, où elle essaye aussi d'apprivoiser son stradivarius. La pauvre a été utilisée, la naïveté de sa jeunesse fait qu'elle ne s'est rendue compte de rien. Elle se sortira de tous ces ennuis grâce à la musique, grâce à son talent. Elle est très célèbre au Japon et tellement méconnue en France, sûrement, justement, parce qu'elle avait les faveurs du gouvernement nazi. En parcourant plusieurs pays, elle va aussi se rendre compte des différences de jeu d'instruments entre les Japonais, les Européens et les Américains, surtout qu’après la guerre, le jazz et le blues deviennent des musiques fort écoutées.

 

J'ai beaucoup aimé suivre la vie de cette jeune violoniste, qui a réellement existé, elle est décédée en 2012. Yoann Iacono a enquêté pendant trois ans en France, en Allemagne et au Japon sur cette musicienne et l'histoire de son violon. Il a ensuite romancé cela tout en se tenant près de la vérité. Il a pris parfois quelques libertés dans le récit au niveau des dialogues qui ne viennent pas d’archives précises. Le personnage de Félix est par exemple fictif, il sert de lien entre l'histoire du stradivarius et celle de la violoniste. On se rend très vite compte en lisant à quel point le travail a dû être important et fastidieux pour rapporter ainsi des faits que l'on ne rencontre pas souvent. J'ai déjà lu pas mal de romans avec comme toile de fond la seconde guerre mondiale, mais j’ai rarement lu d'histoires se rapportant au Japon et à ses liens avec l'Allemagne nazie. Et en plus, que le sujet soit axé sur une jeune musicienne apporte une originalité de plus au récit.

 

Et pour couronner le tout, c’est extrêmement bien écrit, Yoann Iacono a un style très sensible, c’est plein de poésie, il m'a fait penser souvent à un auteur japonais que j'aime beaucoup, Haruki Murakami. Il a la même délicatesse, la même poésie des mots. Il décrit les scènes avec beaucoup de sensibilité et de pudeur. Jamais il ne juge, il reste neutre et raconte tel que cela doit être raconté, il n’hésite pas à étayer son propos avec des chiffres, qu'il a trouvés dans les archives, rendant ainsi encore plus réel son roman. Le choix narratif est double, il est à la fois à la première personne quand c’est Félix qui parle et raconte, et il est à la troisième personne quand il s'agit de Nejiko. J'ai très bien réussi à ressentir chaque émotion qui traverse la jeune fille. L'auteur décrit aussi avec beaucoup de délicatesse les sentiments de Nejiko, ses peurs, ses joies, ses doutes, son plaisir de jouer, sa peur de ne jamais réussir à dompter son violon. Je me suis fortement attachée à cette jeune femme et j'aurais vraiment aimé la connaître plus tôt. Yoann Iacono lui rend un très bel hommage, et à travers elle, cet hommage va aussi à tous ces musiciens qui ont essayé de survivre et de vivre leur passion malgré les tumultes de la guerre. C’est également un hommage à tout ce peuple Juif à qui on a arraché leurs biens les plus précieux, et également leurs vies. Tout comme le violon, ce roman a une âme, celle des personnes qui ont survécu à la guerre, parfois en ne sachant pas trop comment, mais qui sont encore debout, presque honteux d’être encore en vie.

 

Je pense que vous l'aurez compris à la longueur de cet avis, mais j'ai passé un excellent moment avec ce roman, je peux même vous dire que c’est un double coup de cœur, un pour Nejiko, son histoire, sa vie, et un pour Yoann Iacono, qui a su raconter avec brio la vie de cette musicienne. En plus, c’est son premier roman, je suis épatée par tant de talent. J'ai appris que ce livre serait également édité aux éditions J'ai lu, quel beau parcours pour un primo-romancier. Et c’est totalement mérité.

J'ai lu ce livre sur une journée, je n'arrivais pas à le quitter, je voulais tellement savoir ce qui allait arriver à Nejiko, que je tournais les pages sans m'en apercevoir. L'auteur a su, dès les premières lignes, happer mon attention et m'immerger entièrement dans l’histoire de cette jeune musicienne. J'avais également envie de ralentir ma lecture pour rester le plus longtemps possible avec elle. Le livre est composé de quatre parties, qui ont des titres de morceaux de musique : Fantaisies » (1943-1944), « Fugues » (1944-1945), « Poursuites » (1945-1946) et « Pantomimes » (1946-1951). Comme vous le voyez, on passe presque dix ans avec Nejiko et le final est consacré à la fin de sa vie. Je vous laisserai à la fin de cet avis quelques citations des pensées de Nejiko qui montre ce qu'elle peut ressentir justement.

 

Je vous recommande vivement ce roman,  pour son histoire vraie, pour l'Histoire avec un grand H qu'il raconte, pour rencontrer cette musicienne, pour se rendre compte des événements de la guerre, pour connaître les enjeux existant entre le Japon et l'Allemagne. C’est un roman  fort instructif et en même temps fort divertissant, et j'aime énormément quand mes lectures ont ce double pouvoir de me divertir et de m'instruire. C’est très très enrichissant. Yoann Iacono est un auteur que je vais continuer à suivre avec grand intérêt, c'est un nom à retenir car il est très prometteur. Je ne peux que le féliciter pour tout le travail et pour son talent. Je crois que je n'oublierai jamais Nejiko Suwa, et je suis très contente d'avoir ce livre dans ma bibliothèque.

Profile Image for Mozaika Literacka.
569 reviews76 followers
May 29, 2022
Niecodzienna rekonstrukcja życia prawdziwej japońskiej skrzypaczki. Historia bez wątpienia pięknie sfabularyzowana, w treści nieustannie przywołująca kontrowersyjne pochodzenie tytułowego instrumentu, książka z pewnością nostalgiczna i na wskroś wyjątkowa. Skrzypce Goebbelsa to ekspozycja niesamowitego talentu Nejiko Suwy, wyraźnie ugruntowanego na okrucieństwie wojny i budowanego latami w kanwie narzuconych polityką doświadczeń. Powieść nietuzinkowa, intrygująca, świadomie wywołująca ból tamtych czasów.
Profile Image for Ro.Bookish.
61 reviews2 followers
November 15, 2022
“El violín de Goebbels” es una novela en la que su autor, Yoann Iacono, rescata un episodio desconocido del expolio artístico a manos de los nazis. Novelando la historia de Nejiko Suwa, la prodigiosa violinista japonesa que quedo marcada de por vida por el valioso obsequio que recibió de manos del ministro de Propaganda nazi.


Un relato que arranca, en un tiempo actual, cuando un trompetista de jazz residente en París, recibe un paquete procedente de Japón, con el legado de unos cuadernos personales de Nejiko Suwa, la violinista más famosa de Japón.


Una historia que empieza en Berlín, concretamente la noche del 22 de febrero de 1943, en la que Joseph Goebbels, el ministro de Educación y Propaganda del Reich, le regala un valioso violín Stradivarius a la joven prodigio japonesa, en una ceremonia que cimentará la alianza germano-japonesa durante la Segunda Guerra Mundial. Dos naciones que coincidían en gran medida con una cultura autoritaria e imperialista y en la que concebían la música como un medio para promover sus políticas, así como un arma al servicio de la esclavitud.


Será gracias a las transcripciones recogidas en sus diarios, como descubriremos algunos de los pasajes en la vida de la pequeña Nejiko, desvelándonos qué motivos pudieron llevar a la joven a marchar de su Japón natal, donde creció e inicio sus estudios de la mano de su tía, la famosa violinista rusa, Anna Bubnova-Ono. Para tiempo después proseguir sus estudios en París, en el seno de la escuela de violín franco-belga, donde completo su formación con Kamensky, uno de los profesores más célebres del mundo.


Los primeros días de Nejiko con su Stradivarius son de euforia, pero lo cierto es que la armonía entre ella y su violín no funciona. Su mente se mina de todo tipo de pensamientos negativos en los que se cuestiona si es digna de él, sucumbiendo a un sentimiento de desarraigo e impotencia con el violín que le llevará a un bloqueo constante. Es como si aquel violín tuviese alma y se resistiese a ser tocado por otras manos que no fuesen las de su dueño.


Así la acompañaremos de gira por media Europa en guerra, como solista habitual de la Orquesta Filarmónica de Berlín, volcada únicamente en su guerra personal y obsesiva por domesticar su preciado violín. Dejando entrever sentimientos ambivalentes: el orgullo de llevar una gran vida, pero también el miedo y la angustia por los rumores que se ciernen sobre el codiciado violín


Estamos ante una novela en la que la Música cobra especial protagonismo y en la que su autor se atreve a explorar el vínculo existente entre el arte y el poder. Será a partir de un extracto de la prensa londinense, como Nejiko tomará consciencia de como el arte adopta una dimensión política, que suscita la desconfianza en los países extranjeros. Lo que la llevará a cuestionarse ¿qué papel jugó el regalo de Goebbels en su nombramiento como solista?, ¿es solo la calidad de su interpretación lo que le ha valido su lugar en la Filarmónica o hay otras razones?. Unas preguntas que se irán tiñendo de un sentimiento de culpa por haber usurpado el lugar de otra persona, y que le acompañará hasta el final de sus días.


En sí, Newjiko es un personaje que vive ajena a lo que ocurre en el resto del mundo, volcada únicamente en proteger y domesticar su preciado violín. Razón por la que no he podido evitar tener sentimientos contradictorios con su protagonista. Pese a ello, prefiero pensar que solo fue una víctima, que eligió un modo egoísta de sobrevivir a toda aquella barbarie.


En definitiva, es una lectura de la que he disfrutado, permitiéndome descubrir una historia poco conocida y que me ha dado la oportunidad de contemplar los sucesos acontecidos durante la Segunda Guerra Mundial, desde una perspectiva muy diferente a la que estoy acostumbrada. Razón por la que os recomiendo esta lectura y en especial a todos aquellos lectores que sean unos apasionados de la música.
Profile Image for Elena Barbero.
57 reviews
March 7, 2023
Parigi, oggi. Il protagonista della vicenda riceve un pacco da una donna anziana di nome Nejiko Suwa, una famosa violinista giapponese, ormai sconosciuta in Francia, ma non per lui che ha seguito lei e il suo violino per tutta la vita. Nel pacco c'è proprio il famoso violino e i diari della donna. Da qui parte il racconto della storia vera di Njiko e del suo legame con il violino ottenuto in dono dal regime nazista: uno Stradivari per suggellare l'alleanza tra la Germania e il Giappone. Nejiko frequenta lo stesso Conservatorio del narratore e anche se i due si incontreranno per pochissimo tempo vivranno le loro vite in modo parallelo, legati dal violino.
Nejiko è felice di ricevere uno Stradivari, ma ben presto il sentimento di gioia si trasforma in ansia perché sente che lo strumento ha un'anima, la mette in crisi, non riesce a suonare come vorrebbe. La giovane ragazza capisce che il violino è appartenuto ad un musicista ebreo. Solo entrando a contatto con il dolore, la paura e la morte Nejiko riesce finalmente a suonare lo strumento in modo commovente ed è come se il violino fosse il tramite tra lei e la realtà. Il violino sarà il simbolo di come la musica sia stata il mezzo per stringere alleanze e annientare una razza in favore di un'altra.
Per Nejiko, però la musica è solo musica e sono solo gli uomini che gli attribuiscono i simboli che desiderano per il loro tornaconto politico.
Una storia commovente di come la musica abbia reso felice una ragazza (il periodo più felice di tutta la vita) nonostante la guerra, le bombe e la disperazione generale
Profile Image for RAI.
359 reviews13 followers
February 23, 2022
Pe 22 februarie 1943, Nejiko Suwa, o tânără violonistă japoneză, de douăzeci și unu de ani, care locuia la Paris, unde își definitiva studiile de vioară, primește de la Joseph Goebbels, ministrul Reichului pentru Educație populară și Propagandă, într-o ceremonie oficială, desfășurată la Berlin, o vioară Stradivarius, ca un simbol al prieteniei dintre popoarele german și japonez, care în acele zile, păreau să țină strâns frâiele celui de-al Doilea Război Mondial. Vioară ce fusese confiscată de la un muzician francez de origine evreiască, care ulterior a fost trimis într-un lagăr de exterminare, unde a și murit.
Din acel moment, viața ei capătă o turnură excepțională, și nu dintr-un singur motiv. Primul și poate cel mai important ar fi acela că, deși o violonistă foarte talentată și muncitoare, reușește cu greu să își îmblânzească noua vioară, lucru pe care nu îl va reuși pe deplin decât într-un context foarte apăsător pentru ea. Apoi intervine factorul politic: pentru simplul fapt că a acceptat darul lui Goebbels și apoi să cânte cu Filarmonica germană, va fi acuzată de simpatii naziste, deși pe ea nu a interesat-o niciodată politica sau războiul. Iar cea de-a treia neplăcere de care va avea parte va fi încercarea de recuperare a viorii de către un serviciu creat special pentru recuperarea tuturor bunurilor confiscate de la evrei.
Romanul urmărește viața acestei violoniste, din copilărie, până la senectute, vocea narativă aparținând chiar celui ce fusese însărcinat cu recuperarea viorii Stradivarius.
Este un roman în egală măsură politic și artistic, în care se întrepătrund scene de război, istorii desfășurate în spatele fronturilor, dar și scene în care apar inclusiv marii artiști ai secolului XX, atât din domeniul muzicii, cât și al picturii sau literaturii.
Profile Image for Eva Anca.
Author 2 books36 followers
March 7, 2022
Pentru mine, cartea aceasta a reprezentat o lectură impresionantă, din toate punctele de vedere. Consider că ne ajută să privim cel de-Al Doilea Război Mondial și dintr-o altă perspectivă, aceea a artei. Cu toate acestea, să nu vă imaginați că ororile războiului sunt „îndulcite”. Dimpotrivă! Autorul descrie scene de-a dreptul înfiorătoare și dure, iar suferința cauzată de război răzbate din povestea personajului.

https://www.randurileevei.ro/2022/02/...
Profile Image for Rude Kadry .
445 reviews38 followers
May 26, 2022
"Skrzypce Goebbelsa" urzekły mnie od chwili, gdy zobaczyłam tę prostą, nienachalną okładkę i od pierwszego przeczytania opisu. Książki, których akcja rozgrywa się podczas II wojny światowej, mają specjalne miejsce w moim sercu.

Iacono Yoann swoją opowieść oparł na prawdziwiej historii japońskiej skrzypaczki. Nejiko Suwie, która jest narzędziem w rękach propagandy od chwili, gdy z rąk Goebbelsa otrzymuje skrzypce stradivariusa. Ten niezwykły dar staje się jednocześnie przeogromnym ciężarem na barkach młodej utalentowanej kobiety.
"Skrzypce Goebbelsa" to książka, która od pierwszych stron wypełniona jest niewyobrażalnym bólem i tęsknota. Z każdej myśli i słowa Nejiko jesteśmy w stanie wyczuć te dwa przytłaczające uczucia. Tęsknota za domem, tęsknota za normalnością, tęsknota za Paryżem...

Można zarzucić tej książce, że jest bardzo upolityczniona, działania niemieckiej i japońskiej propagandy stanowią pozornie fundament prozy Yoanna, ale właśnie ta polityka i emocje, które momentami rozdzierają czytelnikowi serce, toczą równą walkę o palmę pierwszeństwa w tej historii.
Autor w nasze dłonie oddaje dzieje życia kobiety, która miała nieszczęście znaleźć się w samym centrum wydarzeń. Powojenne zawirowania sprawiają, że upragniony spokój nadal jest poza zasięgiem jej rąk, a skrzypce otrzymane w darze od wysoko postawionego niemieckiego urzędnika są dodatkowym wyzwaniem.

Książka jest idealna dla fanów literatury pięknej, gdzie akcja jest powolna, nostalgiczna. Jeśli należysz do tego grona, to z całego serca polecam sięgnąć po tę pozycję, zdecydowanie jest warta uwagi i zapoznania się z wojną z odrobinę innej strony, tej artystycznej i pełnej emocji.
Profile Image for Milosnikksiazkowy.
96 reviews6 followers
June 15, 2022
„Pozostawienie świata bez opieki na jedną sekundę jest niemożliwością. Człowiek jest nienasycony w dziedzinie hegemonii i wojny, siły i brutalności“.

Ciężko mi ubrać w słowa emocje towarzyszące mi podczas czytania powyższej książki. Miałam ich dostać całą gamę, a dostałam zaledwie namiastkę. Chciałam chwytać za chusteczki leżące na stole, ale nad zwyczajniej nie miałam takiej potrzeby. Byłam przyszykowana na rozdzierającą duszę powieść, a dostałam prostą historię. Pomimo że na swój sposób bolesną, zatrważająco, to nadal zbyt niewymyślną, zwyczajną.

Nie zrozumcie też mnie źle, bo to nie jest tak, że „Skrzypce Goebbelsa“ są złą książką. To jest piękna i prawdziwa historia, ale mi w niej czegoś zabrakło. Zabrakło mi emocji. Życie Nejiko Suwy od pierwszych stron zdaje się fascynujące. Rozwija swój talent, dostaje prezent od propagandy III Rzeszy, wspaniałe skrzypce, które sprowadzą na nią niejeden problem. Tytuł ten, pomimo że pełny skomplikowanych relacji rozwijającego się talentu, miłości i dramatów jest wypruty z jakichkolwiek uczuć.

Moje srogie wymagania były spowodowane blurbem, który zdwukrotnił moje wymagania w stosunku co do tej książki. Wiem i czuję, że „Skrzypce Goebbelsa“ pokocha wielu czytelników, dlatego też nie odradzam Wam sięgnięcia po tę książkę. Powiedziałabym nawet, że Was zachęcam, bo jestem ciekawa jak Wy odbierzecie historię pięknej, młodej i sławnej skrzypaczki.
56 reviews
September 7, 2023
Roman quasi-historique, Le Stradivarius de Goebbels est une mise en récit du mystère qui entoure le violon de la célèbre violoniste japonaise Nejiko Suwa, figure musicale controversée en raison de sa proximité avec le régime nazi.

Ce roman traverse la période de guerre et d'après-guerre et nous emmène dans le Paris occupé et à Berlin, aux États Unis et au Japon, avec comme fil conducteur la spoliation des biens juifs et la politisation de l'art en temps de guerre. On ne peut qu'être bouleversé par ces rappels historiques et, en ce qui me concerne, profondément choqué par la désinvolture de cette artiste qui semble vivre "à côté" des drames qui se jouent autour d'elle.

J'ai lu avec délectation les descriptions habitées des différentes œuvres musicales qui sont jouées tout au long du roman.
Profile Image for Nao .
140 reviews4 followers
January 28, 2023
Direi 2,5.
Non sono stata emotivamente coinvolta come avrei voluto, ed è un peccato, perché la storia è interessante. Ma non mi è piaciuto il modo in cui è stata raccontata, ho trovato la narrazione fin troppo distaccata e a tratti frettolosa. Ma ci sono comunque stati alcuni momenti che mi hanno colpita in positivo.
Profile Image for Constanza Peña M..
97 reviews
June 2, 2024
La historia real es fascinante y se nota el completo trabajo de investigación que hay detrás, pero no logró engancharme. No sé si fue la narración o la construcción de personaje de la protagonista, que sentí demasiado plana e indiferente. Eso sí, disfruté las escenas musicales. Le doy 3 de 5 estrellas.
3 reviews
June 30, 2023
Drôle de roman : la narration est intéressante, le rythme, assez soutenu, mais on dirait que l'œuvre est incomplète. Ça demeure un bon divertissement sur sujet un peu moins connu de la Deuxième Guerre mondiale qu'est la spoliation des biens artistiques juifs sous l'occupation allemande.
9 reviews
May 15, 2025
No es común encontrar en un libro 4 vertientes fuertes que marcan estilos, épocas, gustos y que converjan en una gran o obra:
Musica y grandes autores
Historia
Contexto geográfico
Novela


Muy bien seleccionada la materia prima para armar la narrativa en torno a esos 4 ingredientes, al final la receta resultó ser amena, acogedora, atemporal, sencilla y profunda.

Profile Image for Naïa.
46 reviews1 follower
April 12, 2023
Je l'ai pris car ce roman paraissait intéressant sur la 2 GM et la place de musique durant la guerre.

Je pense qu'il avait du potentiel mais je n'ai pas du tout aimé avec le style de l'auteur et des personnages quelconques.
Profile Image for Maks.
375 reviews19 followers
February 3, 2021
L'auteur l'explique au début du livre, ce récit est un véritable morceau d'histoire écrit à la manière d'un roman mais seulement dans la forme car les faits sont véridiques.

Nous suivons par le biais du narrateur, la grande violoniste japonaise "Nejiko Suwa", comment elle en est arrivée à avoir un Stradivarius pendant la seconde guerre mondiale, ses ressentis pour apprivoiser l'instrument et essayer de connaître son histoire, de plus nous la suivons pendant la guerre, son parcours de vie et son parcours musical par le biais de son journal.

Travail intensif, rigueur, talent, caractère bien forgé, "Nejiko Suwa" a eu une vie mouvementée en plus de s'être retrouvée du mauvais côté pendant la seconde guerre mondiale, sans en avoir le choix, malgré un désintérêt pour tout autre chose que le violon.

L'écriture est intéressante tout en étant assez scolaire (justement à cause de la réalité des faits je pense), les pages se tournent toutes seules, j'ai même été surpris d'avoir fini si vite cette lecture.

J'ai apprécié le récit car j'aime le Japon et ai un intérêt pour les événements parlant de cette période en particulier. Sans que cela soit un coup de cœur, j'ai appris de nouvelles choses historiquement parlant et ai passé un bon moment.

https://unbouquinsinonrien.blogspot.c...
Profile Image for Yael Lojero.
100 reviews5 followers
February 22, 2024
Me pareció bien documentado tanto por los hechos históricos políticos como musicales sin embargo, hay algo en la historia que lo hace acartonado y no permite que fluya bonito. Buena historia para quienes no conocíamos de la violinista ni del regalo que recibió de Goebbels.
Profile Image for Leboudoirdulivre.
348 reviews12 followers
January 23, 2021
Merci aux éditions Slatkine & Cie pour l’envoi de ce Service-Presse. Ce livre m’a intrigué dès que des informations ont circulé sur Internet. Passionnée par la Seconde Guerre mondiale, je suis ravie de découvrir cette période vue du coté Asie et notamment le Japon. Peu d’informations encore à ce jour circulent, il y a une sorte de pudeur, d’omerta, la distance entre nos deux pays… Pourtant ce sujet se révèle des plus fascinants et m’a subjuguée. J’ai eu un beau coup de cœur, je l’ai terminé en quelques heures, je dirais que ce livre a une âme, celle de Nejiko Suwa qui sous la plume de Yann Iacono révèle toute son histoire. Une très belle découverte à l’image de l’âme du Japon. Je viens d’apprendre que ce très beau roman sortira également chez J’ai Lu, ce qui est amplement mérité au vu du travail effectué et de la mise en lumière de l’histoire de Nejiko Suwa.

Une célèbre violoniste japonaise dont la vie romanesque a épousé l’histoire mais surtout une femme qui se dérobe à nous, avec ses ombres, ses énigmes et ses secrets.

Basé sur l’histoire vraie de Nejiko Suwa qui a été utilisée durant sa vie comme objet de propagande au gré des enjeux politiques.

Depuis 1943 où Goebbels lui a offert un Stradivarius pour célébrer l’alliance de l’Allemagne avec le Japon, Nejiko n’a eu de cesse d’être manipulée, utilisée tel une marionnette sur l’échiquier au gré des tractations politiques.

De son violon, elle n’arrive pas à en jouer comme elle le voudrait et n’aura de cesse d’en chercher les raisons au gré de ses prestations à l’étranger.

Serait-ce l’âme de celui-ci et le destin de son propriétaire Lazare Braun, un musicien Juif qui vient la hanter ?

Nejiko rencontrera un succès tel qu’elle croisera les plus grandes personnalités de l’époque allant des artistes renommés aux dictateurs de l’histoire en marche.

De Hitler à Hirohito en passant par le général MacArthur, Nejiko avance vers son destin ou plutôt celui qu’on a tracé pour elle sans possibilité de s’en échapper et de vivre sa vie comme elle l’entend.

Quand Nejiko comprend que son violon est celui d’une spoliation commise par Herbert Gerigk avant la déportation de son propriétaire dans un camp de concentration, elle commence lentement à sombrer.

Felix Sitterlin est chargé de retrouver le Stradivarius de Goebbels, c’est ainsi qu’il fait la connaissance de Nejiko qui lui remet son journal intime.

Pour faire enfin la paix avec elle-même, Nejiko lui révèle l’identité et les coordonnées de celui qui est à l’origine du sort du propriétaire originel du violon.

Comme une expiation, celle des secrets qu’elle n’a pas choisis.

Un récit qui se dévore, remplie de détails historiques sur l’histoire du Japon durant la Seconde Guerre mondiale.

Quand une virtuose du violon rentre dans l’histoire des enjeux politiques de la Seconde Guerre mondiale !

Peu de livres racontent la Seconde Guerre mondiale vue par le Japon. Loin de la France, on ne sait pas beaucoup de choses sur cet empire durant la guerre si ce n’est des bribes.

L’auteur a révélé un pan de l’histoire méconnue de l’Empire du Japon et a fait entrer ses lecteurs dans ceux qui sont devenus malgré eux un objet de propagande, manipulés au gré de l’évolution de la guerre et de ses alliances politiques. On découvre l’histoire de Nejiko, personnalité inconnue en France alors que son histoire est unique. On assiste au questionnement de Nejiko, à ses doutes, ses angoisses… Celle d’une jeune musicienne dont le seul but était de faire du violon, qui ne connaissait rien à la guerre, à ses enjeux… La personne idéale pour devenir l’instrument du pouvoir…

Yoann Iacono est parti dans une enquête autour du monde pour raconter l’histoire de Nejiko au plus près de la vérité. Le style de l’auteur, ses informations historiques, la manière dont il raconte l’histoire avec un grand H est magnifique, pleine de délicatesse, de finesse et de poésie à l’image des haïku japonais. Au fur et à mesure de ma lecture, je me suis surprise à penser que Yoann Iacono s’est inspiré de la manière nippone pour l’écriture de son premier roman. J’y ait retrouvé l’âme japonaise, dans sa manière d’écrire, son style, cette poésie qui transparaît dans les pages, avec un soucis du détail jusque dans le titre des chapitres « Fantaisies » (1943-1944), « Fugues » (1944-1945), « Poursuites » (1945-1946) et « Pantomines » (1946-1951). Difficile à décrire, je pense qu’il vous faut le lire pour comprendre le sentiment que j’ai eu, c’est passionnant, subtil, enrichissant et magnifiquement écrit. Il y a une certaine beauté à ce roman unique et très complet.

Quand la musique devient l’instrument du pouvoir dans l’histoire des engeances politiques !

A l’étranger, durant la Seconde Guerre mondiale, Nejiko ne vivra pas les horreurs de son pays et y retournera bien plus tard.

Une lecture qui ne s’oublie pas, vous emporte, dans un tourbillon d’émotions !
Profile Image for Magdalena.
394 reviews9 followers
December 30, 2022
Po powieść Yoann Iacono „Skrzypce Goebbelsa” Wydawnictwa Mando sięgnęłam z dwóch powodów. Po pierwsze z ciekawości w poznawaniu, nowych zupełnie nieznanych mi do tej pory autorów, a tak właśnie było z autorką tej książki, po drugie z uwagi na tytuł, który zapowiadał odniesienia do wojennej tematyki, po którą często i chętnie sięgam.
Czy tym razem wybór był wart pochylenia się nad tym tytułem. I tak, i nie. To co przemawia za „Skrzypcami” to sama historia, do której odwołuje się autorka. Wzięła ona na tapet autentyczną opowieść o losach japońskiej skrzypaczki Nejiko Suwy. Jej życie, obarczone piętnem wojennych zdarzeń, stało się punktem wyjścia do szerszych rozważań dotyczących pozostawania w konflikcie między pasją a oddaniem czci prawdzie. Los bowiem tak chciał, że rok 1943 zupełnie zmienił dalszy bieg życia wówczas zaledwie dwudziestokilkuletniej skrzypaczki, za sprawą nietuzinkowego podarunku jaki na znak przyjaźni niemiecko-japońskiej i w dowód uznania talentu Japonki, sprezentował jej sam Joseph Goebbels. Jedyne w swoim rodzaju, zupełnie unikatowe skrzypce Stradivariusa, które trafiają w ręce Nejiko Suwy z jednej strony stają się miłością jej życia, z drugim jej przekleństwem.
Skrzypce mają bowiem w sobie zaklętą historię swych poprzedników, co sprawia, że każdy wydawany przez nie dźwięk oddaje cierpienie, strach i ból wywołany przez wojenny koszmar. To sprawia, że przestają one być jedynie zwykłym, drewnianym rezonansowym pudełkiem opatrznym strunami, lecz stają się nośnikiem, który każdą wygraną nutą wybrzmieć chce przerażającą historię, która kryje w sobie wspomnienie trwogi, przelanych łez, doznanego okrucieństwa.
Zanim jednak Nejiko zrozumie, co sprawia, że te wyjątkowe skrzypce stają się tak trudne w ich poskromieniu, wątpić będzie w swój talent, podważać swe umiejętności, z czasem zaś osiągając harmonię w posługiwaniu się nimi, pojmie bolesne skutki ich posiadania.
Tyle o samej historii, na której oparta jest powieść, a co do wrażeń po jej przeczytaniu? Nie ukrywam, że spodziewałam się czegoś zupełnie innego, większej dawki emocji, rozpatrywania wewnętrznego konfliktu między pasją do muzyki, miłością do gry na skrzypcach a moralnymi rozterkami głównej bohaterki, które wskazywałyby na dylemat w podjęciu decyzji jaką drogę brać w swym młodym życiu. Dość konformistyczna postawa skrzypaczki, która w pełni świadomie stała się ulubienicą przywódców III Rzeszy i samego Fuhrera budzi niesmak. W pewnym momencie wręcz ma się wrażenie, że prawda ma dla niej zupełnie drugorzędne znaczenie, a przywiązanie do cennych skrzypiec i chęć ich posiadania za wszelką cenę staje się wartością nadrzędną.
Wartością dodaną do tej literackiej opowieści o życiu skrzypaczki, jest ukazanie oblicza wojny z perspektywy politycznych dziejów Niemiec i Japonii i tu dla miłośników historii może pojawić się punkt zaczepienia, gdyż nie często w literackich odsłonach na tę sferę relacji kładziony jest nacisk.
To czego mi zabrakło w tej powieści to emocji. Momentami miałam wręcz wrażenie, że „Skrzypcom Goebbelsa” bliżej do eseju historycznego niż literatury pięknej, gdyż mimo zbeletryzowania losów Nejiko Suwy, zbyt wiele tu suchych faktów, obdartych z tej literackiej warstwy, która ma głęboko wejść pod skórę i uderzyć mnogością przeżywanych wrażeń prosto w serce.
Jeśli zatem zaakceptujecie niespieszne tempo powieści, dość reporterski jej wyraz, a z drugiej strony będziecie chcieli zgłębić tajemnice tytułowych skrzypiec to sięgnijcie po tę powieść. Choćby z czysto historycznego punktu widzenia nie będzie to czas stracony.
Profile Image for Aria's .
1,224 reviews20 followers
May 18, 2022
Chi non si stanca mai di leggere storie riguardanti la Seconda Guerra Mondiale? Ebbene, La violinista di Hitler di Yoann Iacono, edito da oggi grazie a Garzanti, affronta il tema della Guerra e del Nazifascismo da una prospettiva del tutto insolita.
Partendo da una storia vera, quella di Nejiko Suwa, una pianista giapponese, l'autore ci riporta alla questione dei tesori trafugati dai nazisti, moti dei quali rimangono ancora un mistero.
Tra questi tesori non vi erano solo preziosi gioielli, ma anche opere d'arte e strumenti musicali di un certo valore. Nejiko Suwa, la nostra protagonista ha ottantadue anni ed è la violinista più famosa del Giappone. Qualcuno da anni la cerca per conoscere la verità sulla sua storia, ma lei si è sempre negata, fino al momento in cui sente pressante la necessità di consegnare i suoi diari.
Ma chi è Nejiko? La seguiamo durante gli anni della Guerra, quando il Giappone era un forte alleato della Germania nazista fino al punto che il gerarca Goebbels, durante una visita le regala un violino, uno splendido e prezioso Stradivari.
Nejiko è una giovane musicista che vive per le note, le sente sulla pelle e nell'anima. La felicità per il suo tour europeo si scontra con la triste realtà di tempi di distruzione e sofferenza. In qualche modo sente di non riuscire a far fluire le note dal suo violino, come se qualcosa bloccasse la sua musica e tenesse imbrigliate le note. Quel violino, il cui proprietario era un violinista ebreo, purtroppo porta il peso degli orrori della Guerra e della bieca ideologia che ha animato i nazisti.

«Il suo violino è stato rubato dai nazisti a un giovane francese di nome Lazare Braun. E lo sa perché glielo hanno preso? Perché era ebreo. E sa che cosa gli hanno fatto? Lo hanno assassinato, come gli altri ebrei. Se lei accetta di mostrarmi il suo violino, sarò in grado di identificarlo. Guardi qui, ecco una foto del ragazzo con il suo strumento. Qualche giorno dopo questo scatto, i tedeschi lo hanno deportato in uno dei loro campi di sterminio…»

Presto Nejiko si renderà conto di essere stata una pedina nelle mani della propaganda tedesca e una volta finita la Guerra ne ha pagato lo scotto, venendo considerata una simpatizzante del nemico e pertanto detenuta insieme ad altri giapponesi.
Quella di Nejiko è a storia di una donna cresciuta all'ombra di una guerra che non ha scelto di combattere, che l'ha travolta e resa protagonista di una parte oscura della nostra umanità.
La musica è un nucleo importante della vita di questa protagonista sensibile e talentuosa, ingenua e piena di sogni. Lo strumento non è mai un'appendice ma un vero coprotagonista con un'anima che sembra guidare colei che lo possiede, come se volesse far emergere la profonda ingiustizia e la barbarie che l'ha condotto tra le mano di Nejiko.
Yoann Iacono, con uno stile intenso, profondo, immaginativo, disegna la storia di una vita che si muove tra realtà e romanzo e credo che questo sia un vero punto di forza perchè restituisce a Nejiko profondità e spessore.

Di nuovo sente quell’angoscia, quella paura viscerale che fin da quand’era piccolissima l’ha indotta a voler prendere in mano un violino e farne uscire un suono che la scuote, come scuote noi tutti, per colmare quel vuoto.

https://ariaswild.blogspot.com/2022/0...
148 reviews5 followers
June 15, 2022
Zastanawialiście się kiedyś nad tym, czy instrumenty mają dusze? Czy pamiętają wszystkich, którzy na nich grali? Czy są w stanie jednych pokochać i otworzyć przed nimi całe swoje piękno, po to, by zamknąć je przed tymi, do których nie czują takiej sympatii? Ja wierzę i dlatego chciałabym Wam opowiedzieć kilka słów o książce „Skrzypce Goebbelsa”, która niedawno ukazała się nakładem @wydawnictwomando
Nejiko Suwa, młoda japońska skrzypaczka dostaje prezent od samego mistrza propagandy III Rzeszy, Josepha Goebbelsa. Prezent miał być wyrazem uznania dla młodej artystki oraz wyrazem sympatii do kraju, z którego pochodzi. Niestety skrzypce są dla Suwy ciężarem, nie jest w stanie ich oswoić, grać tak, by wydobyć ze starego Stradivariusa jego najpiękniejsze dźwięki. Dodatkowo dziewczyna jest rozdarta- z jednej strony towarzyszy jej wielka miłość do muzyki, z drugiej musi zmierzyć się z całą brutalnością, z jaką wiąże się wojna.
To przepiękna opowieść o rozdarciu pomiędzy pasją, miłością do muzyki i gry na skrzypcach, a własnymi ideałami, poglądami i wojną, która odziera ludzi z godności, pasji i miłości. Fabuła pokazuje dylematy, także te moralne, jakie towarzyszyły Nejiko. Czytelnik sam czuje ogrom wątpliwości, zastanawia się, co w danej sytuacji by zrobił, czy postąpił by tak, jak skrzypaczka. Skłaniają do refleksji nad tym, gdzie kończą się granice przyzwoitości- o ile w ogóle mogą się skończyć. Uświadamiają i każą zastanowić się także nad tym, gdzie są nasze własne granice i co jesteśmy w stanie zrobić, poświęcić w imię własnego dobra, szczęścia i przekonań.
Muszę się przyznać, że nie polubiłam bohaterki, niejednokrotnie nie pochwalałam jej wyborów, nie czułam emocji, jakie jej towarzyszyły. Rozumiem, że dla miłości człowiek jest w stanie zrobić wiele, ale czy na pewno wszystko…
Z tym Was zostawiam. Niewątpliwie jest to ciekawa historia, niemniej spodziewałam się czegoś innego. Zabrakło mi emocji i chociaż książkę czyta się szybko, nie wciągnęła mnie ta opowieść.
Profile Image for L'atelier de Litote.
651 reviews41 followers
February 15, 2021
Le Stradivarius de Goebbels de Yoann Iacono
Un très beau roman qui nous transporte dans les années noires de l’Allemagne Hitlérienne. Après la guerre Félix Sitterlin a longtemps tenté d’entrer en contact sans succès auprès de Nejiko, une jeune virtuose japonaise à qui Joseph Goebbels avait offert un Stradivarius dans le cadre de l’alliance entre leur deux pays. Musicien de la brigade de musique des Gardiens de la Paix de Paris, il est missionné pour récupérer le Stradivarius. Le fameux violon faisant partie des trésors de guerre avait été confisqué à Lazare Braun, un musicien juif tué par les nazis. Début 2002, âgée de 82 ans, elle transmet ses carnets où enfin elle livre son histoire et avec elle celle de ce violon mythique. Le pillage organisé des richesses, tableaux, bijoux, meubles est un épisode dont on connaît peu l’ampleur même la jeune femme ne semble pas comprendre d’où vient ce cadeau. Pourtant elle éprouve bien des difficultés à le faire sien comme si le violon fait de l’âme de son ancien propriétaire s’y refusait. Elle va tenter d’en apprendre plus sur le parcours de son violon auprès d’un luthier parisien. Alors qu’elle est adulée pendant les années de guerre, le réveil sera d’autant plus rude à la libération. Ce récit lève le voile sur cette époque où l’inhumanité régnait en maître dans une Allemagne aveuglée par la haine et l’antisémitisme. On en apprend un plus sur le jeu de ses alliances avec le Japon d’Hirohito. Suite à son décès en 2012, l’auteur a mené un véritable travail de recherche sur l’époque et la vie de cette jeune femme que je ne connaissais pas. Son style est tout en délicatesse et nous apporte une touche de poésie bienvenue. Un récit passionnant dont on ne peut se détacher tant il fait vibre la corde de l’émotion. Un excellent premier roman à découvrir qui nous instruit autant qu’il nous enchante. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com...
Profile Image for Cronicadelibros.
444 reviews30 followers
January 18, 2024
Un descubrimiento en toda regla este Violín de Goebbels primera novela de Yoann Iacono donde seguiremos la vida de la violinista japonesa Nejiko Suwa a partir del regalo de un Stradivarius que le hace Joseph Goebbels como ofrenda al hermanamiento germano-japonés antes del inicio de la 2ª GM.

La historia narrada desde la perspectiva de una persona (mantendremos el misterio) que conocía anteriormente a la propia Suwa y que recibe de ella los cuadernos donde durante décadas ha escrito su diario.

A partir de estos diarios el autor sabe manejar a la perfección la historia, utilizando diferentes registros como los propios diarios, utilizando al propio narrador para dar más detalles que él conocía de la violinista, así como información más genérica de los sucesos históricos que iban rodeando sus vivencias.

La narración en todo momento es rápida, sin ser trepidante, consigue que el personaje de Suwa atrape desde un primer momento y genere el misterio suficiente para saber que fue de ella y del violín, con alguna que otra sorpresa inesperada.

El autor consigue que nos traslademos a esa época, que parece que él mismo la viviera a través del alter ego del narrador-investigador y nos va mostrando la evolución personal y emocional de Suwa, pero que al mismo tiempo es capaz de hacerse preguntas incómodas que quedan trasladadas al lector. Durante la narración podremos vivir que aunque el mundo estaba en guerra, seguían habiendo conciertos por los auditorios más importantes de Europa, la relación de los músicos más importantes del momento con las autoridades nazis y las tensiones que podía llegar a generar todo esto con las altas esferas. Los personajes secundarios a parte del propio narrador son tanto de ficción como históricos pero no tienen excesivo peso específico en la trama de la obra.

Una historia con la que recorremos una de aquellas partes de la historia de la 2ª GM y de la primera mitad del siglo XX menos conocidas, que han quedado sepultadas por tantos y tantos hechos históricos más importantes, pero como se dice muchas veces la pequeña historia es la que forma la historia que todos vivimos. Una historia personificada en una violinista pero que del particular quiere hacer recuerdo sobre el robo de millares de instrumentos musicales, partituras y otros elementos del mundo musical que quedo mucho más oculto que otros de similares como las obras de arte de los que se ha escrito y filmado mucho más.


Estamos frente de uno de esos libros altamente recomendables, que nos muestra una parte de la historia pero sin ser un libro de una carga histórica abrumadora, más bien lo contrario, una fino velo que va acompañando una historia real, llena de humanidad y de preguntas, valga la redundancia muy humanas y certeras.
652 reviews3 followers
May 27, 2022
Uwielbiacie książki z historią w tle? Ja bardzo i coraz częściej po takie właśnie sięgam. „Skrzypce Goebbelsa” to francuski debiut Yoanna Iacono, który jest powieścią opartą na prawdziwej historii.
Autor zabiera nas w przeszłość, do roku 1943, gdzie poznajemy Ministra edukacji i propagandy III Rzeszy. Joseph Goebbels, bo o nim jest mowa przekazuje dziewczynce, która ma zaledwie kilkanaście lat skrzypce. Ale nie są to to zwykłe skrzypce. Mówiono, że mają one duszę i skrywają krwawą tajemnicę. Jaką? Skrzypce, nie były też zwykłym prezentem. One i ich właścicielka stały się przymierzem pomiędzy Niemcami i Japonią.
Na początku młoda Nejiko ucieszyła się z faktu, że to właśnie do niej trafił ten instrument. Ale szybko okazało się, że nie potrafi go ujarzmić w konsekwencji czego niemiecka orkiestra nie jest z niej zadowolona. Stopniowo skrzypaczka popada coraz to w większy obłęd. Za cel w życiu stawia sobie odnalezienie pierwszego właściciela skrzypiec. Czy się jej to uda? Czy instrument jest darem czy przekleństwem?
Książkę czyta się szybko, ale nie jest to lekka lektura. Jak każda zresztą, której akcja dzieje się w czasie II Wojny Światowej. Jest na pewno dla nas lekcją historii.
W powieści mamy nie tylko opis przeżyć młodej skrzypaczki. Jej bólu, tęsknoty za tym co było przed Wojną. Tęsknotą za spokojem. Chęci poznania prawdy o instrumencie. Autor opisał tu z szczególną dbałością życie w czasie okupacji, jej brutalność. Nasza bohaterka znajduje się w samym środku tego horroru.
A co dzieje się z naszą bohaterką po wojnie? Czy potrafiła odnaleźć szczęście w nowym świecie? Czy dalej grała na tych skrzypcach? Przeczytajcie a sami się dowiecie. Jeśli lubicie książki z gatunku literatury historycznej to „Skrzypce Goebbelsa” są właśnie dla Was. Polecam!
Profile Image for Agata Górska.
532 reviews11 followers
June 26, 2022
Nejiko Suwa to młoda japońska skrzypaczka. W czasie wojny otrzymuje prezent – Joseph Goebbels przekazuje jej skrzypce, o których mówi się, że to Stradivarius. Dla artystki prezent staje się jednak przekleństwem. Nie potrafi ich ujarzmić, przez co nabiera wątpliwości co do swoich umiejętności.

Jeszcze długo po wojnie ten prezent budzi kontrowersje. Skąd pochodzi? Kto był ich poprzednim właścicielem i jaka jest jego historia?

"Skrzypce Goebbelsa" zainteresowały mnie dzięki możliwości zetknięcia się z japońską kulturą i muzyką klasyczną. Iacono Yoann jednak wysunął tu na pierwszy plan uniwersalizm.

Nejiko Suwa kocha muzykę i bez względu na czasy, wydarzenia historyczne uznaje, że to sztuka, która wychodzi poza wszelkie ramy. Choć ona sama i prezent, jaki otrzymała, a także muzyka, miały zostać wykorzystane jako środek do propagandy, Nejiko Suwa musi z tym walczyć jeszcze długo po wojnie.

I druga rzecz: wojna. Tło historyczne jest w powieści niezwykle ważne. Czytelnik zobaczy przede wszystkim to, co dzieje się w zakresie sztuki na najwyższych szczeblach władzy. Wojna zdominowała każdy element życia, ale okazuje się, że dla bohaterki stała się szansą: poznania świata, największych miast, czołowych dyrygentów, przebywania wśród ówczesnej śmietanki towarzyskiej. Bohaterka ma tego świadomość, a mnie samą uderzyło spojrzenie na wojnę z takiej perspektywy.

Iacono Yoann napisał tę powieść w oryginalnym stylu, który czytelnicy mogą odbierać w najróżniejszy sposób. To fakty są na pierwszym planie, a nie emocje. Powieść jest oparta na autentycznych wydarzeniach i one tu właśnie dominują. Strach, niepewność, a nawet depresja Nejiko Suwy są gdzieś dalej, choć stanowią istotny element historii instrumentu.

Ten brak emocji w powieści "Skrzypce Goebbelsa" zrekompensowało mi zakończenie. W kilku zdaniach Autor był w stanie oddać okrucieństwo wojny, ogrom cierpienia i brak sprawiedliwości. To znakomite dopełnienie tej historii, idealna kropka nad i.
Profile Image for Ilona * ksiazka_w_kwiatach *.
905 reviews19 followers
July 14, 2022
Po książki z gatunku literatury wojennej sięgam bez zastanowienia. Mogłabym czytać je codziennie, każdą, bez wyjątku. Nie mogłam zatem odmówić sobie powieści Yoann Iacono, tym bardziej, że zapowiadało się na coś nowego i świeżego z literatury japońskiej, z którą na codzień nie mam do czynienia.

Nejiko Suwa- młoda i utalentowana japońska skrzypaczka otrzymuje w prezencie skrzypce. Koncertując w ogarniętych wojną miastach, Nejiko zmaga się z podarowanym jej prezentem. Pomimo swojego talentu, nie potrafi zapanować nad skrzypcami ani osiągnąć wymarzonej harmonii. Próbując ujarzmić przeklęte skrzypce, wybiera się na poszukiwanie ich właściciela...

"Skrzypce Goebbelsa" to mocno upolityczniona powieść o wielkim talencie i miłości do muzyki. Bardzo ciężko jest mi ją ocenić, bo tak naprawdę spodziewałam się czegoś innego. Liczyłam na pełną emocji historię z wojną w tle a dostałam masę suchych politycznych faktów dotyczących Nejiko Suwa- młodej japońskiej skrzypaczki, kobiety, która w mojej ocenie była pozbawiona wszelkich emocji. Gdy w Europie szaleje wojna, ludzie tracą życie, Nejiko gra koncerty dla nazistów. Przez większą część tej historii bardzo się nudziłam, były momenty, że musiałam wrócić kilka stron i czytać od nowa, bo gubiłam wątek. Dopiero końcówka w niewielkim stopniu mnie zainteresowała. Zbyt powolna, nostalgiczna a momentami wręcz chaotyczna.
"Skrzypce Goebbelsa" to powieść dobra, jednak nie dla mnie. Ta historia z pewnością przypadnie do gustu fanom literatury pięknej, dlatego nie odradzam, a wręcz zachęcam do sięgnięcia po nią.
Profile Image for Pier Stefano.
12 reviews
May 10, 2023
La vie d’une jeune violoniste japonaise en Europe pendant la guerre, une vie marquée à jamais par un cadeau empoisonné, un magnifique violon reçu directement des mains de Goebbels. Il y a toutes les éléments pour un de ces romans historiques qui kidnappent le lecteur arrière dans le temps et le faire voyager à travers les plies de l’histoire. Toutefois le roman historique admet la fiction que dans les intervalles obscures qui séparent les événements connus. Et encore, il faut que la fiction soit temporellement compatible avec le contexte historique. Mais c’est exactement là où l’auteur tombe sur des erreurs grossières qui enfin m’ont ruiné le bon goût du roman. Erreurs qu’il aurait pu facilement éviter et qui en plus ne sont pas nécessaires au bon déroulement du récit. Il n’y a eu jamais des violoncellistes femmes et des femmes en générale parmi les membres des Berliner Philharmoniker pendant la guerre, ni avant ni après, mais seulement beaucoup après. La première femme y rentre en 1982. L’idée que Richard Strauss a dirigé l’orchestre philharmonique de Berlin pour le dernier concert avant la chute de la ville est complètement invraisemblable. On trouve de tels inventions un peu de partout dans le roman, pas aussi grave que celles que je viens de souligner. Je trouve cela dommage car le roman ouvre une fenêtre sur la vie d’une artiste méconnue. D’autre part il s’agit du premier roman de l’auteur, c’est qui lui donne droit à une dérogation pour ces fautes grossières.
Displaying 1 - 30 of 75 reviews

Can't find what you're looking for?

Get help and learn more about the design.