Um mundo onde se acabou com o papel. Porque o papel criou uma ameaça terrível para a humanidade: o que se escrevia manualmente podia transformar-se em realidade! E as «personagens» criadas ganhavam vida e, em certos casos, até «vontade própria» (como robôs avançados). Estão a ver o que começou a acontecer? Coisas horríveis! Então, internacionalmente foi tomada a decisão de eliminar o papel e vestígios do mesmo. Passou apenas a ser permitida a escrita digital. Só que nem sempre o que se julga acabado teve realmente um fim…
Hacía siglos que no leía manga, y me han decepcionado un poco los diálogos de este. Si quieres insinuar algo, confía en la inteligencia de tu lector, no lo sugieras e inmediatamente después pongas a otro personaje diciendo «Oh Dios mío! ¿Quieres decir que...?». Creo que pasaba muy poquito en este primer tomo, aunque obviamente lo voy a seguir, porque el dibujo me gusta, pero sobre todo porque: a) Conan Doyle b)Steampunk c) Conan Doyle de jovencito siendo cuqui d) Conan Doyle de jovencito siendo cuqui y ligando torpemente con Amelia Earhart
Ce manga français mixe avec succès ambiance londonienne, steampunk et créatures géantes. L'histoire était dynamique, avec de nombreuses scènes d'action bien mises en valeur par les graphismes, néanmoins l'ensemble était peut-être un peu dense en texte. Côté personnages, l'auteur a choisi de recycler des personnes célèbres (Jules Vernes, Arthur Conan Doyle, etc), ajoutant une touche sympathique sur le plan culturel, mais j'ai trouvé le développement des personnages assez faible et globalement fade, par contre le chara-design était varié et réussi. Le seul personnage féminin était agaçant et seuls ses atouts physiques étaient réellement mis en valeur (ah les joies des petits hauts qui laissent le ventre à l'air et qui ont un décolleté très plongeant, quand à peu près tous les hommes sont en costume pour appuyer le fait que ça se passe en 1902... *soupire lourdement*). Le plan émotionnel montrait de plus un encéphalogramme plat, un peu dommage car à mon point de vue, ça reste le point fort des manga.
City hall est un manga écrit et dessiner par des francophones. Ainsi, il se lit comme une BD de gauche à droite, même s’il ressemble fortement à un manga. Ici nous nous retrouvons dans Londre, après un mystérieux meurtre. Le maire en étant informé est horrifié. Les papercuts sont de retour ! Il y a fort longtemps, dans l’histoire, écriture sur du papier permettait de faire apparaitre ce que vous veniez de poser dessus. Ainsi, dans le monde d’aujourd’hui, personne ne sait écrire, le papier n’existe pas, seule l’écriture numérique existe. C’est là que le maire décide d’appeler Jules Verne accompagné de son stagiaire Arthur Conan Doyle. Ils seraient apparemment les seuls espoirs face à l’homme qui essaie d’attaquer la ville.
MON RESSENTIS
J’ai vraiment beaucoup aimé l’histoire et son principe. J’adore également le style du dessinateur. Les dessins y sont précis et détaillés, c’est un plaisir pour les yeux ! Le récit est intrigant. Se retrouver dans un monde où le papier est interdit à cause de sa dangerosité est très intéressant.
EN CONCLUSION
En bref, ce premier tome de City hall est vraiment intéressant. On y découvre un dessin très détaillé, une histoire bien travailler et qui attise notre curiosité. J’ai très hâte de voir ce que la suite nous réserve.
Narration très longuette et bon la caractéristique du personnage féminin est .. d'être un personnage féminin 😮💨 mais bon je suis lancé et évidemment j'adore le personnage d'Arthur Conan Doyle
C'est la première fois que je me force autant pour finir un manga. Les dessins ne sont pas immondes, au contraire, le trait du dessinateur vaut le coup d’œil, mais le design des personnages ne me plaît pas du tout, en particulier la façon de représenter les femmes. Pourquoi faire des grands auteures des bimbos en focalisant certaines cases uniquement sur la poitrine (quel est l'intérêt) ? Je n'ai pas trouvé les personnages attachants, ils sont pour moi, trop peu développés et semblent formés tous sur le même moule... enfin sauf Jules Verne qui se démarque beaucoup des autres ; dommage que cela soit pour son caractère très antipathique. L'univers, et l'intrigue, sur le papier *sigh*, ont de quoi captiver ; et même si je n'ai pas accroché, c'est pour des raisons très personnelles et je comprends que la majorité peut apprécier ce manga qui a des qualités indéniables. Je vous conseille d'essayer, mais de ne pas vous forcer jusqu'à la fin : ça ne change pas.
Moi qui lis pas souvent de manga j'ai adoré celui-ci.
On y retrouve Jules Vernes, Arthur Conan Doyle et d'autres personnage célèbre, dans un univers résolument Steam Punk, où ils enquêtent pour découvrir qui est la personne qui se sert du pouvoir des mots et du papier pour commettre des crimes !
Manga scénarisé et dessiné par un duo de français, "City Hall" est une œuvre de l'univers Steampunk, ce qui est assez comique quand on sait que l'un des personnages principaux en est le père. Un univers où le papier est l'arme ultime et donc, où les écrivains sont des soldats. Quand un esprit criminel menace la ville de City Hall, on fait appel à deux brillants écrivains afin de mener l'enquête. À priori, cette série m'a fait pensé à "Death Note" en raison du pouvoir détenu par un cahier de papier et de la manière très théâtrale de Verne d'écrire, qui me rappelle Raito. Et bien sur, le duo de Jules Verne avec Arhur Conan Doyle n'est pas sans rappeler le duo créé par ce dernier, à savoir le duo Holmes/Watson.Je n'irai pas jusqu'à dire que la chimie des deux héros vaut celle de Holmes et Watson, néanmoins.
Le fait de voir une flopée de personnages historiques œuvrer ensemble est assurément l'élément qui a tout pour plaire, avec un duo d'écrivains géniaux encore jeunes et hautement dynamique ( Verne et Conan Doyle), une aviatrice bagarreuse qui aurait pu faire parti du SWAT ( Amélia Earhart), et un maire activiste pour les Droits de l'homme ( Malcom X). Et cette bande de héros sont tous attachants et bien brossés. Verne est particulièrement drôle avec sa gestuelle grandiloquente, son air solennel , son humour sarcastique et ses expressions faciales. Il me rappelle "Doc Emmett Brown" de la série "Retours vers le futur", surtout avec sa grosse machine à biscuits et ses airs dramatiques. Conan Doyle a l'air plus enfantin, malgré un esprit brillant qui rappel celui de Sherlock Holmes ( avec raison, j'imagine) dont il possède le même esprit déductif, et apporte une dimension scientifique et logique à leur duo. Amélia, quand à elle est le garde du corps des deux écrivains ( enfin une femme qui protège les hommes!), sure d'elle, intelligente, audacieuse et capable de manier tout sorte d'armes, en plus d'être pilote. J'aurais aimé qu'un personnage telle qu'Amélia n'ait pas a exposer sa poitrine comme presque toutes les héroïnes du genre, car franchement, elle n'en a pas besoin et cela correspond très peu à son désir d'égalité des sexes. Quand au méchant, pour un peu qu'on ait une base en littérature, on voit assez vite qu'il ressemble à un corbeau et on peut faire facilement le pont avec Edgard Allan Poe, un constat qui sera reprit par Arthur vers la fin du tome.
On sera vite séduit par le graphisme magnifique, aux personnages colorés et un brin loufoque, à ce monde Steampunk où le papier est une arme, où l'action ne manque pas et où on remarque un certain mélange entre Manga et comics américains. Il y a beaucoup de dialogue, mais à sa défense, il y a beaucoup à expliquer, notamment le pourquoi ce monde n'a plus de papier et comment s'articule le pourvoir du papier.
Un bon manga ( parle-ton de manga quand les auteurs sont européens, je me demande?) qui sort de l'ordinaire.
Classé seinen, lectorat adulte ( mais qui peut convenir aux vieux ados et jeunes adultes).
Catégorisation: Manga stempunk français seinen, littérature adulte Note: 6/10
Für Fans historischer Kriminalgeschichten, angereichert mit Steampunk und einer humorvollen Prise ✨
„Bist du bereit für das größte Abenteuer deines Lebens, Arthur?“
Mit „City Hall“ reisen wir in ein alternatives Historisches London zu Anfang des 20. Jahrhunderts und erleben eine andere Welt, in der Papier und das per Hand geschriebene Wort die Welt verändern können. Mit Stift und Papier lassen sich sogenannte Papercuts erschaffen; Wesen, die vom Stift-Führenden gelenkt werden können. Dies führte zu einem großen Krieg, woraufhin beide Utensilien verboten und das Wissen darum ausgemerzt wurde. 200 Jahre später taucht plötzlich ein Papercut auf - die Bedrohung ist zurück - doch wer steckt dahinter? Da sich Gleiches am Besten mit Gleichem bekämpfen lässt, werden die Schriftsteller Jules Verne und Arthur Conan Doyle engagiert, dem Bösewicht mit Stift und Papier entgegenzutreten. Das Autorenduo Guerin und Lapeyre bedient sich realen Figuren, die es in diese fiktionale Geschichte einbaut und es birgt eine gewisse Ironie, dass Arthur Conan Doyle, der schriftstellerische Erfinder von Sherlock Holmes, nun selbst in einer kriminalistischen Geschichte Platz findet. Das Duo Verne und Doyle ist ein lustiges Gespann, das im weiteren Verlauf der Geschichte noch mit der ebenfalls realen historischen Figur, der Abenteuerin und Pilotin Amelia Earhart, bereichert wird, die ordentlich Frauen-Power mitbringt und deren Auftreten für weitere lustige Dynamiken sorgt. Das historische London ist mit Steampunk-Elementen versetzt; so gibt es z.B. schon Computer und digitale Bücher (denn Stift und Papier sind ja verboten), andererseits wird aber auch noch mit Kutschen, oder ersten Automobilen, gefahren und der ganze Look ist schon an 1900 angelehnt. Zeichnerisch ist das Ganze sehr passend und stimmungsvoll umgesetzt und kommt das Flair perfekt rüber. Die Panels sprudeln über vor Lebhaftigkeit und kreativem Einsatz; Alles ist voll und dicht bemalt, es gibt viel zu entdecken und es wird kunstvoll mit Perspektiven und überlappenden Panels gespielt. Das zeichnerische Niveau ist insgesamt sehr hoch 👌 Dazu sei auch gesagt, dass wir hier sehr viel Text bekommen und es neben dem Bestaunen der großzügigen Zeichnungen auch viel zu lesen gibt. Mich hat dieser Band bestens unterhalten und ein wenig an Agatha Christie und Sherlock Holmes - Bücher denken lassen - wer sowas gerne liest, wird hier sicherlich voll auf seine Kosten kommen. In 7 Bänden abgeschlossen, werde ich bestimmt noch viel Spaß mit der Reihe haben!
Aujourd'hui, je voulais vous parler d'un coup de cœur, vieux de 10 ans, pour un manga français, City Hall !
Vous plongerez dans un univers steampunk alternatif où l'écriture manuscrite est devenue interdite et le papier a disparu, suite à une guerre... car, dans ce monde, à l'instar d'un Death Note, les auteurs les plus talentueux pouvaient donner vie à des marionnettes géantes et monstrueuses, à leur service, simplement grâce à leur talent d'écrivains.
Mais depuis peu, un esprit criminel, du nom de Black Fowl, utilise ce pouvoir pour semer la terreur dans les rues de Londres.
La police n'a d'autres choix, pour le contrer, que de faire appel aux plus fines plumes du moment: Jules Verne et Sir Arthur Conan Doyle !
On le sait, depuis longtemps, la France est le 2e pays au monde lecteur de mangas. Et quand les Français s'y mettent, en l'occurrence Rémi Guérin au scénario et Guillaume Lapeyre au dessin, ils n'ont rien à envier aux mangakas japonais.
J'ai particulièrement apprécié la mise en scène cinéma, avec des cases très dynamiques, et les nombreuses références. Le dessin est sublime avec des traits fins. Les twists de fin de chapitres rappellent un découpage qui s'apprécie comme une série.
Les acteurs principaux sont attachants et vous retrouverez également un galerie impressionnante de personnages issus de la littérature et de la science.
À noter, que le sens de lecture est en version occidentale (de gauche à droite) !
● Toda la parte explicativa me resulta un poco densa, pero a partir del capítulo 6 se va poniendo un poco más interesante la historia. ● Respecto a los personajes, amé las presentaciones de Verne y Conan Doyle. Además, Arthur me cae muy bien~ ● Me gusta que tenga tantas referencias literarias: autores como Julio Verne o Arthur Conan Doyle; personajes literarios como Miss Marple de Agatha Christie o el Cuervo de Edgar Allan Poe e, incluso, figuras históricas como Amelia Earhart. ● Una cuestión bastante personal es que me costó leer algo tan de la estética del manga con sentido de izquierda a derecha, aunque es más una cuestión de acostumbrarse. ● Respecto a la edición es algo rígido y poco cómodo para manipular y algunos textos contra los márgenes internos son bastante difíciles de leer.
Franchement un bon gâchis parce que le thème est intéressant, le mix des personnages historiques aussi et les illustrations sont vraiment sympas. Mais sérieusement c'est quoi cette Amélia Earhart? OK le manga a plus de 10 ans donc on peut se dire que la sexualisation des femmes c'était limite un critère obligatoire pour être publié mais dans ce cas là pourquoi s'appuyer sur cette personne? Oui ils sont tous caricaturés, Jules Verne au premier plan, mais là on en fait clairement un personnage désagréable et manipulateur qui joue uniquement sur son apparence physique et je pense franchement que la vraie Amélia n'aurait pas forcément apprécié la comparaison... Au delà de ça, j'ai été dérangée par tout ce qui tournait autour de ce personnage : le comportement d'Arthur, les façons de parler des personnages masculins... Vraiment très dommage parce que ça partait sur un thème très sympa et finalement on termine dans une caricature de shonen pour garçon de 11 ans
Este é o volume que nos inicia na aventura de City Hall. Uma viagem a um passado alternativo, com a era Vitoriana tardia como pano de fundo e várias personagens que constam do nosso imaginário. 📜 Num mundo onde o papel se tornou uma ameaça, um grupo de destemidos escritores e uma imbatível aviadora vão lutar para manter a paz. Imaginem o que é escrever algo em papel e esse ser tornar-se real?! Pois bem, alguém voltou a fazê-lo e os nossos heróis vão tentar descobrir que é essa misteriosa personagem. As ilustrações estão extremamente detalhadas, tem imenso texto mas bem contextualizado. Se gostarem da era Vitoriana e aventura, este livro é perfeito! Com toques de steampunk e muita ação. Como alguém que estudou a era em questão, este livro foi simplesmente delicioso. Preciso do próximo para ontem 😍
Un manga français, j’étais très sceptique j’avoue, mais je me suis laissée tenter par les dessins (bien plus que par le 4ème de couverture ), que je trouvais assez beaux. Et ce fût une très bonne surprise ! On est ici en plein dans l’univers steampunk, sur une histoire qui emprunte à death note et fahreineight 451, le tout jalonné par diverses références littéraires ou culture pop. Mais c’est un manga pas de doutes ! Le seul bémol pour moi, c’est d’avoir donner aux personnages des noms de célébrités ayant réellement existé.
A primeira vez que leio mangá e fico rendida! Uma obra distópica que se passa na era Vitoriana, em que vários escritores e leitores se juntam pela paz. Há alguém a escrever algo que se torna real...logo, o papel é uma ameaça para o mundo. Uma obra muito interessante, que se lê de um folgo só, imersivo, que não conseguimos parar de ler!
As Ilustrações também estão muito bem conseguidas e o texto muito acessível. Ótima sugestão para levar para qualquer lado, pois é muito leve e pequenino.❣️👏🏻👏🏻
Me pareció curioso desde el primer momento que lo vi.
Solo poniendo en la sinopsis que aparecen personajes como Julio Verne y Arthur Conan Doyle.... Es como para no poder resistirte a este frikismo literario.
➡️ Me encantan las referencias y frases al inicio de cada capítulo. Te invitan a recordar y reflexionar.
➡️ La acción de la historia es constante, desde las primeras páginas es un desenfreno total.
Veremos como acaba esta batalla de escritores y papercut... Porque la batalla solo acaba de comenzar 💥
Esteticamente este livro é em tudo igual a um manga japonês típico e isso agradou me, no entanto penso que falta densidade emocional nas personagens para captar o leitor. A ideia de colocar várias personagens reais nesta bd foi algo interessante, obviamente que a aparência e personalidade destes não foram preservadas, o que por si, não me incomoda muito. Para mim o tom demasiado cómico e leve, é um senão, falta lhe um pouco mais de aura gótica e seriedade para ter impacto, mas presumo pela cotação mais alta nos próximos volumes que os autores se redimiram.
Uma história rápida com uma sequência que ultrapassa os leitores, pois alguns detalhes só são revelados mais à frente. Os herois sendo autores reconhecidos na sua juventude são um motivador para a leitura, mas efetivamente é uma leitura pouco coesa.
Una Londra ottocentesca, ma evolutissima, con computer e ebook e un sapore stream punk tutto nuovo, ce l'abbiamo? Sì. Un mondo dove tutta la carta è stata tolta dal mercato, perché chiunque sapesse scrivere e avesse un minimo di fantasia, riusciva a fare uscire le sue creazioni dalle pagine? Anche. Tre eroi, di cui due famosi scrittori: Jules Verne e Arthur Conan Doyle e un simbolo del femminismo, la nota aviatrice statunitense Amelia Earhart, che si improvvisano detective per salvare il mondo? Abbiamo anche questo. Prendete questi 3 elementi e avrete un manga che trasuda avventura, mistero e magia. Primo volume di una serie che penso saprà regalarci grosse emozioni.
Un premier tome qui plante bien le décor et nous entraîne dans un univers riche et intrigant. Les personnages, issus de notre histoire, insufflent à cette histoire un joli charisme.
Juin 1902, Londres. Dans ce monde, le papier a disparu depuis plus de 200 ans. Capables de matérialiser des Papercut simplement en les écrivant, les Hommes s’en sont servis pour mener des guerres. Pour remédier à ce problème, le papier et les moyens d’écriture ont été interdits et sont finalement devenus une légende. Tout le monde est passé au numérique et le vit très bien.
Mais Lord Black Fowl a mis la main sur un cahier et sème le chaos dans Londres. Carlton Lester, qui dirige la police de City Hall, et le Maire Malcolm Little jouent leur meilleur atout en faisant appel à Jules Verne, un écrivain extraordinaire, et son assistant le jeune Arthur Conan Doyle, un génie de la déduction. Ils sont aidés par Amelia Earhart, membre du Culper Ring, aviatrice et espionne, qui se met à leur service en tant que garde du corps.
Leur meilleure arme c’est un cahier et un crayon pour se battre par Papercut interposé contre Black Fowl.
Il leur faudra d’abord déterminer quels sont les objectifs de ce dernier et pourquoi il sème le chaos dans la ville.
J’ai beaucoup aimé ce premier tome qui nous présente tout un univers steampunk et une civilisation très évoluée technologiquement. L’histoire est intéressante et originale.
Les personnages sont tout à fait attachants. J’adore le petit Arthur qui est adorablement mignon.
Un vrai coup de cœur, j’ai hâte d’en connaître plus sur ce monde et ses habitants.