Ces Petits Messieurs est à la fois un essai sociologique et une nouvelle au ton piquant. Fine observatrice de la société dans laquelle elle évolue, Louise Colet dresse le portrait des Petits Messieurs, plus rarement moqués que leur pendant féminin, les Petites Dames. Ces jeunes gens entretenus sont à le recherche d'une protectrice - veuve ou vieille fille fortunée - qui pourra pleur offrir le confort d'une vie riche.
Louise Colet (August 15, 1810 – March 9, 1876), born Louise Revoil, was a poet born in Aix-en-Provence in France.
In her twenties she married Hippolyte Colet, an academic musician, partly in order to escape provincial life and live in Paris.
Upon arrival in Paris, Colet began to submit her work for approval and publication and soon won a two-thousand-franc prize from the Académie française, the first of four prizes won from the Académie. Today critics claim she won the prizes, not by merit, but through the influence of friends. At her salon she associated with many of her contemporaries in the Parisian literary community, such as Victor Hugo.
In 1840 she gave birth to her daughter Henriette, but neither her husband nor her lover, Victor Cousin, would acknowledge paternity. Later she became the paramour of Gustave Flaubert, Alfred de Musset, and Abel Villemain. After her husband died, Colet supported herself and her daughter with her writing.
Her brother was the painter Pierre Révoil. Louise Colet died in Paris.
Though married to Hippolyte Colet, Louise had a steamy eight-year affair, in two stages, with Gustave Flaubert. The relationship turned sour, however, and they broke up. Louise was allegedly so angered by her breakup with Flaubert, she wrote a novel, Lui, in an effort to target Flaubert. However, Colet's book has failed to have the lasting significance of Madame Bovary. Flaubert's dozens of long letters to her, in 1846–1847, then especially between 1851 and 1855, are one of the many joys of his correspondence. Many of them are a precious source of information on the progress of the writing of Madame Bovary. In many others, Flaubert gives lengthy appreciations and critical comments on the poems that Louise Colet sent to him for his judgment before offering them for publication. The most interesting of these comments show the vast differences between her and him on the matter of style and literary expression, she being a gushing Romanticist, he deeply convinced that the writer must abstain from gush and self-indulgence.
La partie plus "essayistique" était intéressante avec un renversement de la proposition sexiste des "petites dames" en "petits messieurs" avec une analyse sociale intéressante (et des anecdotes croustillantes). Je crois qu'il aurait fallu une meilleure présentation de la nouvelle Danaé Mâle que je n'ai honnêtement pas trop compris.
L'édition du triptyque permet vraiment d'éclairer l'un et l'autre et de soulever des éléments intéressants à l'aide d'un médium différents. La critique est pointue, presqu'acerbe (on comprends pourquoi), bien écrite et bien exécuté. Peut-être le point est-il simplement répété de manière semblable un peu trop souvent sans offrir de nouvelles manières de le voir après un certain moment.
Je suis content· que la collection les Plumées semblent délaisser l'idée d'une collection destinées aux jeunes, ce texte n'aurait jamais été publié ici autrement, mais une meilleur introduction aurait donné un meilleur éclairage sur les textes et peut-être améliorer ma compréhension et appréciation de l'ensemble
Une découverte charmante, une plume acérée et une nouvelle dans le ton du 19e qui fait plaisir à lire. Il est un peu difficile parfois de suivre ce dont parle Louise Colet à cause d'une méconnaissance précise de la société et des allusions aux événements de l'époque, mais cela n'a pas empiété sur mon plaisir de lecture.