Il n’y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous. C’est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d’un bon œil. Ces deux âmes blessées vont devoir s’apprivoiser et affronter ensemble les fantômes du passé. Dans la lignée des Demoiselles, Anne-Gaëlle Huon nous entraîne dans un univers enchanteur et savoureux. Une histoire universelle qui nous parle d’espoir, d’amour, et nous redonne le goût de la vie.
Un roman rempli d’énergie, d’émotion et de personnages attachants. Elle.
Anne-Gaëlle Huon écrit avec le cœur et ça fait du bien ! Marie France.
Quand un nouveau roman de Anne-Gaëlle Huon sort, c’est comme si c’était noël ! J’ai les yeux qui brillent et le cœur qui bat fort. Les jolis coins ensoleillés dans lesquels elle nous emmène me font le même effet qu’un feu de cheminée. Ça me chatouille les papilles comme les châtaignes en train de griller sur le feu ! Et cette fois encore plus que les précédentes.
Allez Zou ! En cuisine, à la rencontre de Liz, cheffe étoilée, promise à un brillant avenir, jusqu’à ce que tout s’écroule. Pour apaiser ses angoisses, elle quitte Paris pour le Pays Basque, sur les traces de sa mère. Elle qui ne semble jamais la quitter. Liz fera la rencontre de Rosa et d’un vieux dandy propriétaire d’un restaurant qui ne paye pas de mine. Mais elle est loin de se douter que sa vie est sur le point de changer.
C’est une histoire de souvenirs, de champagne et de casseroles, d’angoisses et d’amour, d’espoir et de folie. Les époques et les personnages se mélangent, comme les émotions qui nous traversent. On passe du rire aux larmes et quand j’ai tourné la dernière page de l’histoire, il y avait un tas d’étoiles dans mes yeux, dans ma tête et dans mon cœur.
Encore une fois, je suis complètement sous l'émotion de la plume de Anne-Gaëlle Huon... C'était trop beau, une fois encore ✨
Quel bonheur de retrouver un peu les Demoiselles dans ce roman, qui se passe bien des années plus tard. On découvre Liz, jeune cheffe dans un grand restaurant parisien, que est en plein déclin. Tous se liguent contre elle, décidés à la faire couler par vengeance. Alors Liz décide de suivre une lettre d'une certaine Rosa, qui dit avoir connu sa mère.
Nous suivons donc les aventures culinaires de Liz dans le pays basque, qui va tout faire pour restaurer l'éclat d'un restaurant - et en parallèle, nous suivons l'histoire d'amour de ses parents : Romy et Balthazar. Cette alternance de points de vue entre Liz et Balthazar rythme le récit, entre passé et présent.
J'ai adoré découvrir l'univers de la cuisine dans ce nouveau roman : les sens sont à l'honneur ! Mais surtout la réalité professionnelle est bien présente : c'est un monde majoritairement d'hommes, c'est un métier compliqué et qui prend du temps, c'est un métier de passion.
Un roman plein d'émotions, plein de générosité, à l'image de la plume de Anne-Gaëlle Huon. Un vrai délice pour les sens - à découvrir de toute urgence ! C'est un coup de coeur.🤍✨
La suite d'un roman que j'avais déjà bien aimé (les Demoiselles), que j'ai dévoré en l'espace d'un weekend.
Dans le Pays Basque, l'étoile montante de la cuisine Liz Clairemont vient soigner ses blessures, après un scandale qui lui a fait tout perdre. Elle y retrouve Rosa qui lui avait écrit une longue lettre lui racontant une partie de son histoire familiale compliquée, et un vieux dandy qui lui confie les clés d'un restaurant de campagne (avec un vieux cuistot bourru inclus).
L'histoire d'une reconstruction et d'une reconnexion à la vie. Comme pour le 1er tome, les chapitres alternent entre passé et présent.
J'enlève juste une étoile car j'ai un peu moins aimé que le 1er tome,je n'ai pas accroché ou compris certains personnages (Nana), et que j'avais découvert assez vite certaines ressorts de l'histoire dévoilés en fin de roman. Mais je recommande néanmoins.
J'avais été attirée par le bandeau indiquant une suite "aux demoiselles" car j'avais beaucoup aimé le côté historique de cette précédente histoire mais à mon humble avis, c'est loupé, la sauce n'a pas pris ! Pour un livre parlant de cuisine, c'est fade, prévisible et voir même un peu mièvre. Mais il en faut pour tous goûts ! Je pensais me régaler sans me fatiguer mais la magie n'était pas au rendez-vous.
J’avais lu Les Demoiselles par hasard, emprunté à ma maman, il y a un peu plus de deux ans et j’avais adoré, je suis en partie originaire du Pays basque, donc ça m’avait fait plaisir de lire un livre qui se passe là-bas d’autant plus une fiction historique.
J’ai écouté celui-ci en audio book complètement à l’aveugle. Ne sachant pas du tout que c’était un spin off mais certaines références et certains prénoms m’ont rappelé Les Demoiselles avant de réaliser qu’en effet les deux livres sont liés.
Si Les Demoiselles reste un véritable coup de cœur, j’ai énormément aimé celui-ci aussi, également la narration, les écrits d’Anne-Gaëlle Huon vont peut-être devenir une safe place réconfortante quand j’ai envie de lire quelque chose pas prise de tête et facile à lire, dans le bon sens du terme.
Par contre, attention, ce livre donne faim, très faim !🙈
Beau roman très solaire malgré les drames qui le parsèment. C'était un plaisir de replonger dans l'univers des demoiselles et de découvrir le monde de la cuisine.
C'est à nouveau un petit bijou, un pur moment de bonheur que nous propose Anne-Gaëlle Huon.
C'est "Le" roman à lire pour oublier la morosité ambiante ou si vous êtes en panne de lecture, il se lit et se savoure.
Liz Clairemont était au sommet de sa gloire, pas loin de devenir une étoile au Michelin. Membre du jury de "Toque Chef", une femme dévouée corps et âme à sa passion : la cuisine. Mais en une soirée, tout s'est effondré. Elle est sous les feux des projecteurs accusée de tous le maux, c'est la catastrophe, un vrai cataclysme.
Elle décide de prendre du recul et arrive dans un petit village du pays Basque - Tiens, tiens mais cela me rappelle quelque chose ça - sur les traces de sa maman.
Il n'y a pas de hasard, juste des rendez-vous ... Elle y rencontre Rosa qui lui avait écrit et qui l'accueille et un certain Monsieur Etchegoyen qui lui propose de faire de sa petite gargotte locale, un rendez-vous de la gastronomie du Pays Basque. Une seconde chance en quelque sorte ... Oui mais il y a Peyo, le cuistot grognon qui occupe les lieux ! Comme Liz c'est un personnage cabossé par la vie qui traîne avec lui ses fantômes.
S'apprivoiseront-ils ? Liz relèvera-t-elle le défi ?
Voilà pour la première voix, un second narrateur, Balthazar nous raconte lui aussi son histoire, elle débute en 1951. Anne-Gaëlle Huon va faire évoluer alternativement ces récits avec une grande fluidité et la poésie qui la caractérise. Elle me capte d'entrée de jeu, impossible de lâcher le livre, c'est captivant et savoureux.
Je vous préviens vous aller avoir envie de manger ou de cuisiner, on salive... On découvre le monde impitoyable de la cuisine, des chefs, un monde assez macho, fermé aux femmes, un monde sous la pression de la course aux étoiles.. mais au delà ce sont plusieurs combats à mener pour nos protagonistes, pas facile de vaincre leurs fantômes, d'affronter la vie.
Et puis à travers l'histoire de la petite Nine et de Gwen , c'est aussi une belle rencontre, une amitié, une histoire d'amour, amour de la vie, d'un combat d'une mère pour son enfant, ce que l'amour filial permet de faire pour protéger son enfant.
Une chose est certaine "La lumière ne jaillit que de l'ombre .. ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent."
C'est beau, enchanteur, porteur d'espoir, un livre qui fait du bien que je vous conseille sans modération.
Coup de coeur ♥♥♥♥♥
Les jolies phrases
Ma mère a toujours été douée pour mettre les gens à l'aise. Peut-être parce qu'elle ne jugeait personne. Pour elle, la vie ressemblait aux montagnes russes. Chacun pouvait voir son monde s'écrouler.
Mes yeux croisent ceux de Rosa. Qui m'observe. Elle a l'élégance de ceux qui savent écouter et se taire lorsqu'il n'est nul besoin de parler.
Je souris, puis éclate de rire. Je me vois sur cette terrasse déserte, entourée d'une Nana à strass, d'une vieille dame à canotier, d'un dandy en complet beige et d'un rideau à mouches. Je suis tout au fond d'un terrier qui mène à un lapin blanc, à un chapelier fou et à une reine de coeur à la tête d'un jeu de cartes. Liz au pays des Merveilles.
Fichu destin ! fait-elle en soupirant de nouveau. On a beau tenir le volant, parfois ça dérape. La vie s'écrit, certains se perdent en route et maudissent les étoiles. Peyo est de ceux-là.
Certains chagrins sont encombrants. On les domestique en silence. En parler, c'est prendre le risque de les réveiller. Je prie pour que les fantômes de Peyo le laissent en paix. Je crains pourtant qu'un jour ils ne l'engloutissent.
L'important, c'est que cela fasse du sens. Le sens, ma Liz, c'est ce chemin là qui mène au bonheur.
Il y a dans le rire des enfants quelque chose qui appelle la tendresse comme l'humilité. Un rappel de cet infiniment grand qui nous dépasse. Et qui nous fait croire que quoi qu'il arrive, tout ira bien.
On a tous une colère qui vient de loin Liz. Brûlante. Incontrôlable. Certains l'expriment, d'autres l'enterrent en prétendant dompter les ombres. Ce sont eux qui m'effraient le plus, Liz. Pas toi. J'ai été à ta place. J'ai touché du doigt ce marécage obscur, poisseux. Notre âme est comme un vaste territoire. Des plaines ensoleillées qui jouxtent des gouffres sombres. Il n'y a qu'en connaissant sa propre géographie qu'on peut prétendre au voyage d'une vie.
La lumière ne jaillit que de l'ombre, Liz. Ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent. Elles scintillent aussi lorsqu'il fait jour, mais il n'y a que l'obscurité pour nous permettre d'apprécier leur beauté. Certains drames sont la seule façon de se rencontrer soi-même.
Certains enfants sont parfois plus adultes que les adultes qu'ils deviendront.
Le Michelin, les nappes blanches, le service le doigt sur la couture du pantalon, tout ce que tu veux, mais pas ici. Pas chez moi. Ces gens tiennent la gastronomie en otage, Liz ! Le plaisir de cuisiner. Le goût des choses simples. Ils ont perdu de vue l'essentiel ! L'étoile, c'est la mort de la cuisine du coeur !
...je réalise que la vie nous fabrique sans cesse des souvenirs. Qu'il suffit de les accueillir. De leur faire une place ! Et de laisser s'envoler les plus douloureux.
La suite « des demoiselles » ,récit plein de tendresse et de poésie ou l’on suit Liz qui après un échec professionnel doit se retrouver pour se reconstruire. Et c’est dans le pays basque, en partant à la recherche de ces origines qu’elle va renaître. Personnages attachants , l’histoire nous fait voyager et grandir malgré la dureté de la vie. Ce livre fait du bien
J’ai adoré ce que les étoiles doivent à la nuit. C’est un roman très touchant et émouvant, porté par une écriture douce et sensible. L’histoire aborde avec justesse des thèmes forts comme la reconstruction, les liens familiaux et l’espoir. Les personnages sont attachants et profondément humains, ce qui rend la lecture très immersive. Il y a de beaux rebondissements qui rythment le récit et donnent envie de continuer. J’ai aussi apprécié le lien subtil avec un autre livre du même auteur, qui enrichit l’univers. C’est un roman plein de sensibilité, qui laisse une vraie émotion après la dernière page.
J'ai été si contente de comprendre que c'était la suite du livre "les demoiselles" ! On y retrouve des personnes, leurs douceurs, on y rencontre d'autres. On y tire aussi quelques leçons de vie. J'ai adoré !
Lu en deux jours, le cœur qui bat au rythme de la plume d'Anne-Gaëlle Huon, des mots simples, des mots forts, des mots touchants, et une tendresse partout à chaque page. Beau moment !
Livre aussi merveilleux que son titre. Encore une belle émotion de la part de cette actrice que j'apprécie un peu plus chaque fois que j'achève l'un de ses romans. Je pense qu'un jour je relirai les deux livres à la suite : Les Demoiselles et celui-ci car comment ma lecture des Demoiselles date de plus d'un an, ce n'était pas frais dans ma mémoire.
Dans la suite des Demoiselles, ce n'est plus Rosa qui raconte son histoire, mais Liz. Elle nous confie ses souvenirs, ses pensées et ses troubles après avoir "tout" perdu. Grande Cheffe presque étoilée, Coach d'une émission culinaire à succès : tout ça est terminé depuis le scandale qui a motivé sa fuite vers le Pays Basque. Route de Chéraute, elle rencontre - ou plutôt retrouve - Rosa, dernière figure vivante de son enfance. A moins que...? Liz éclaircira-t-elle d'autres zones d'ombres de son passé ? Elle découvrira en tout cas un autre paysage et surtout, de belles personnes aux destins bien plus tragiques que le sien.
On retrouve avec plaisir certains personnages des Demoiselles : Rosa, devenue une vieille dame, et Liz, la fille de Romy. Cette dernière et sa bipolarité sont le sujet principal de la partie qui se déroule dans le passé, racontée par Balthazar. Liz aussi nous confie des secrets et souvenirs d'enfance qui éclairent le personnage de Romy. Cependant, j'ai été plus touchée par le récit de Baltazhar que celui de Liz. Cette dernière ne m'étant pas apparue immédiatement sympathique... Hautaine, plaintive, Parisienne, ces tracas m'ont semblé bien peu de chose au regard des vrais angoisses et souffrances d'autres personnages comme Gwen et sa petite Nine (qui m'ont bouleversée) ou Nana, Peyo et Balthazar. Finalement, les personnages dits "secondaires" m'ont plus touchée que Liz. J'ai tout de même noté quelques incohérences autour du personnage de Nana, la belle âme muette si aidante. On retrouve aussi les thèmes abordés dans Les Demoiselles : l'importance du travail, du courage, de la musique, du cinéma, de la bonne chère, et surtout, des relations humaines, pour franchir les obstacles d'une vie.
Le style d'Anne-Gaëlle Huon est à la hauteur de mes attentes après la lecture de Demoiselles : clair, précis, accessible. Ce deuxième opus est un peu moins rythmé que le premier (alors qu'il se déroule sur une période bien plus courte pour le présent : à peine quelques mois). L'héroïne, Liz et l'anti-héros, Balthazar, s'expriment à la première personne, nous laissant nous immiscer dans leurs pensées. Je n'ai pas été surprise par la révélation principale car on s'y attend dès les premières pages. L'ancrage historique m'a un peu manqué, mais l'effleurement de l'univers culinaire et l'incursion de Nine ont compensé ce point.
Assez déçue par cette lecture alors que j’avais tout simplement adoré Les demoiselles. Je n’ai pas retrouvé le côté lumineux ici et n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire. J’ai trouvé que les relations entre les personnages sortent de nulle part et ça ne m’a pas convaincue. Cependant, j’ai été un peu plus emballée par les 50 dernières pages.
J'ai beaucoup aimé "cette suite " des demoiselles. C'est frais, c'est généreux, ça sent bon.le Pays Basque, c'est assez addictif. Anne Gaëlle Huon va entrer dans le palmarès de mes autrices favorites !
Gros coup de cœur pour ce livre et l’auteure ! L’histoire et son écriture sont émouvants, je me suis accrochée à chaque mot, chaque page, chaque personnage.
Merci a netgalley pour m'avoir permis d'écouter ce livre en audio.
J'avais déjà lu, les demoiselles de cette auteur reçu dans une Kube quelques mois plus tot. Et j'ai souris en reconnaissant certains personnages dans ce roman.
On suit Liz, cheffe étoilée, qui part sur les traces de sa mère dans un village au Pays Basque après avoir quitté son restaurant parisien dans des conditions tres difficiles. Sous un scandale. Et cette 'histoire s'entremêlent entre passé et présent, de nos jours a l'histoire de Balthazar qui démarre dans les années 50.
Des le début, je me suis dis, il y a un forcement un lien entre nos deux temporalité, nos deux personnages mais lequel? J'étais à l'écoute de chaque indice, de chaque souvenir, de chaque prénom pour tenter de déceler le lien.... Et quand j'ai compris :o !
On savoure ce roman en cuisine, a travers des recettes et le questionnement de soi. Liz se sent incomplète et ne comprend pas ce qui a pu si mal se dérouler pour que tout l'empire qu'elle était entrain de bâtir a Paris a pu s'effondrer ainsi. Peyo va l'aider sans réellement le vouloir car au départ les deux personnages ne peuvent pas vraiment se voir. Mais il va lui montrer ce qu'est la vrai cuisine selon lui... Pour qu'elle retrouve sa cuisine et pas ce que les gens attendent d'elle.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Balthazar c'est d'ailleurs lui qui m'a plus plu que Liz. J'aimais beaucoup de garçon, cette époque et ce qu'il a traversé pour retrouver une partie de lui... C'est vraiment mes passages préféres.
C'est donc une lecture en demi teinte mais j'ai passé un très bon moment tout de meme! Et je suis sur que beaucoup d'autres ont apprécié.
“La lumière ne jaillit que de l’ombre, Liz. Ce n’est que quand il fait nuit que les étoiles brillent”
Après ma lecture pénible de deux bouquins aussi fades qu’interminables, ce que les étoiles doivent à la nuit n’aurait pu mieux porter son nom: ce bijou de récit a été mon étoile dans la nuit. Nous suivons Liz, cheffe renommée dont la vie et la carrière bascule en une seule soirée, et qui fuit la Ville Lumière vers le pays Basque dans l’espoir d’en apprendre davantage sur sa mère qu’elle a perdu trop tôt. S’ensuit un récit qui comporte ces petits clichés qu’on a lus maintes fois mais qui font toujours du bien: la grande cheffe qui croit tout savoir et qui débarque dans un trou perdu, mais qui va finir par en apprendre davantage des autres qu’elle ne pourra jamais leur enseigner, des drames, mystères et secrets familiaux, des liens profonds qui se tissent entre protagonistes qui à première vue n’ont rien pour s’entendre. Des personnages au grand coeur qui s’ouvrent et grandissent au fil des pages, des allers-retours entre le passé et le présent jusqu’à la rencontre finale où l’on finit par tout comprendre. Une lecture légère pleine de tendresse, un autre livre qu’on ne peut lâcher et qui nous laisse en deuil de ses personnages à la fin. Une belle découverte: ma première lecture de cette autrice sympathique, qui ne sera pas ma dernière.
J'ai pris ce livre sans même connaître l'autrice car c'est une que @lis.tes.reves aime beaucoup et en plus le roman est dédicacé 😊. Je pense que dans le futur je vais découvrir ses précédents romans !
Dans ce roman, on va découvrir les côtés négatifs de la cuisine des hauts lieux et comme ils peuvent briser les gens mais on va aussi en découvrir les bons côtés quand la cuisine est mise au service de l'amour et des goûts ainsi que du plaisir.
Parsemé de ces moments, on va aussi découvrir les histoires de nos nombreux personnages : Liz, Peyo mais aussi Balthazar, Romy et la marquise ou encore Gwen, Nine et Rosa. Tous ces personnages ont des choses à nous apprendre mais surtout nous faire découvrir que chaque aspect de la vie est précieux et que rien n'est laissé au hasard, surtout pas les rencontres.
Le passé et le présent s'entremêlent pour créer une belle fresque qui ne se dévoilent qu'à la fin, pour mieux nous émerveiller de la justesse et de la beauté de ce roman. J'avoue que j'ai été touchée par certains moments et j'en ai eu les larmes aux yeux.
J'ai vraiment adoré lire ce roman et la plume de @annegaelle_huon est vraiment entraînante. Je vous conseille ce roman.
Ce livre est" la suite" des demoiselles. Mais en réalité, ça n'en n'est pas vraiment une. Les deux peuvent se lire séparément et je pense même que j'aurai préféré les lire dans le désordre 😁 Dans celui ci, nous suivons donc Liz, dont la maman fait partie de l'histoire des Demoiselles (le précédent livre, donc). Mais nous suivons aussi Balthazar, dans les années 50. Et bien qu'on sente des le début un lien se créer entre ces deux personnages, on se demande vraiment lequel il va être. Je n'ai découvert la plume de @annegaelle_huon que très récemment et je suis complètement sous le charme. Chacun des personnages... Devient une véritable personne. Ils existent vraiment ! On sent toute la sensibilité de l'autrice s'exprimer à travers ses protagonistes, ses décors et ses mises en scène. J'ai été tellement touchée par la petite Nine, par Nana et par ce bon vieux Peyo. Pas une fausse note dans ce roman, que je vous conseil 1000 fois, et qui clôture en beauté le challenge du #12mois12personnes de cette année 2022!
C’est la larme à l’œil que je repose ce livre de poche que j’ai dévoré pratiquement d’une traite.
En 2023, j’ai lu pour la première fois, un roman dont l’action se déroule au Pays basque. C’est ainsi que j’ai découvert une région qui m’était jusqu’alors inconnue et dont la richesse de l’héritage culturel fait la fierté du peuple.
Avec Les Demoiselles (je n’ai pas encore ecris mon avis sur celui-ci) et Ce que les étoiles doivent à la nuit, Anne-Gaëlle HUON offre à ses lecteurs, un hommage vibrant à coin de pays, à ses paysages, à son histoire, à la force de caractère des gens qui en viennent et/ou qui y ont travaillé.
À travers les quarante-six chapitres, c’est tout l’amour du peuple basque pour sa terre que l’on perçoit. Et ça, j’ai trouvé ça très puissant —ça m’a donné envie de faire un tour là-bas si un jour l’occasion se présente. Pourtant je n’y avais jamais songé auparavant. J’ai l’impression d’ailleurs d’y avoir un peu voyagé déjà grâce à la magie des descriptions que l’auteur propose de ses couleurs, de ses odeurs, de ses saveurs.
Une belle petite surprise, au final. L’histoire se déroule en deux temps : dans le premier, le jeune voyou Balthazar rencontre Romy, une jeune femme éblouissante et compliquée, en lutte perpétuelle contre ses démons et qui s’entoure de fêtes et de lumière pour survivre. Dans le second temps, on suit la vie de Liz, la fille que Romy a eue avec Balthazar et avec laquelle elle a fuit à Paris, loin de son père qui la cherche pendant des décennies.
Un scandale vient bouleverser la vie de Liz et le destin (ou un geste d’amour de sa vieille nounou) la ramène au pays basque natal où elle fait la rencontre de personnes étonnantes et aussi brisées qu’elle, qui vont l’aider à se redécouvrir et à guérir.
Ça se lit d’une traite, c’est sympa et ça fait du bien 😁
Re coucou mes Phoenix ! -- « La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres. » Citation de Romain Gary (Tiens donc ! Il est Là celui-là ?) Le début est présenté avec aplomb dans une dialectique/Plume qui me parle ! Hélas si au commencement c’est bien, par la suite, on s’en lasse. « Un arbre généalogique, ça ? Une vieille souche, oui ! Des branches sèches, cassantes, qui ne fleuriront plus. Je suis déracinée. » Car l’héroïne est partie à la recherche des siens… Cela parle aussi du deuil. Elle se noie dans le travail « Ce qu’elle fait de mieux » Je m’arrête là car c’est trop « ordinaire » peut-être un peu « Feel good » et sûrement très humains mais hormis que la plume du début soi bonne, je ne retrouve pas mes thèmes de prédilection. Passé un certain nombre de pages, il n’y a rien qui entretient mon intérêt… Phoenix ++
J’ai choisi ce livre pour son titre enchanteur "Ce que les étoiles doivent à la nuit". Et je n’ai pas été déçue car l’ histoire est une véritable éclaircie de bonne humeur et d'espoir. Le roman nous fait naviguer entre les histoires personnelles de Liz, Peyo et Balthazar, à des époques différentes mais avec pour point commun un passé qui a laissé des traces indélébiles. Leurs rêves et leurs vies brisés vont ainsi trouver réparation lorsque leurs chemins se croiseront. Et c'est au milieu d'un petit village au pays Basque, au coeur de la gastronomie, entre odeurs savoureuses et goûts alléchants, qu'ils vont panser leurs plaies et se reconstruire tout en nous régalant. La plume douce et berçante de l'autrice associée à la brièveté des chapitres et du roman ont fait que je n'ai pas été plus imprégnée et surprise que cela par l'histoire, mais la bonne lecture gourmande est assurée!
C’est un livre feel-good. Suite des demoiselles : j’ai moins aimé que le premier tome, mais c’est surtout parce que je l’avais adoré. Ça n’enlève rien à ce deuxième tome.
Le thème du livre est la cuisine, mais l’histoire va plus loin. On suit des personnages avec des parcours cabossés et qui doivent se reconstruire : La cuisine sert de contexte, mais l’histoire va bien plus loin. On y suit des parcours de vie cabossés, des personnages qui doivent se relever : une femme prête à tout pour son rêve, une mère qui se bat pour son enfant, un homme qui se sent seul, un autre qui espère encore. Chacun arrive avec ses failles, et tous avancent ensemble.
Dans leurs combats parfois très personnels, ils finissent par s’assembler et se soutenir. L’autrice capture très bien les relations humaines en amenant une réflexion sur le destin et les réflexion marquantes.