J'étais un héros

by Sophie Bienvenu

À soixante-deux ans, Yvan reçoit un diagnostic sans appel. Alcoolique, en colocation avec une femme qu’il dédaigne et coupé de sa fille depuis près de vingt ans, il a raté sa vie. Ne lui reste que ce chat sans nom qu’il a recueilli et dont il redoute le sort après sa mort.
Et s’il changeait ? Suffirait-il d’une décision pour remettre son existence sur les rails, ne serait-ce que pour les derniers milles ? À partir des choix d’Yvan se déploieront deux destins parallèles, le plaçant devant les conséquences de ses actes.

Uchronie romanesque, récit d’une relation père-fille tumultueuse, J’étais un héros dresse en alternance deux portraits du même homme, prisonnier des rôles qu’il s’est imposés. Cette fable d’émancipation teintée d’espoir ose demander : « Peut-on tout pardonner ? »

Genres: Fiction, Roman, France

176 pages, Paperback

First published September 20, 2022

About the author

Sophie Bienvenu est une écrivaine franco-québécoise.
Après une formation en communication visuelle à Paris, Sophie Bienvenu exerce divers métiers. C'est en 2006, lors de la parution de Lucie le chien, qu'elle décide de devenir une auteure.

Dans sa série (k), elle dépeint des jeunes évoluant sur fond d'amour, d'humour, de drame et de fantaisie.

Reviews

[MAPS - Booktube]

Encore une histoire vraiment touchante.
Suivre Yvan c’est une montagne russe d’émotion. C’est un parcours de culpabilité et de regrets.

J’avoue que j’aurais aimé un peu de douceur au travers de la douleur. De plus, j’étais un peu mélangée dans les deux histoires alternatives.

[Aude · Rating 4 out of 5]

Ce livre, c’est l’histoire d’une dernière chance.

Ça raconte la triste vie d’un homme. Celle d’un alcoolique qui a négligé sa fille pendant près de 20 ans et qui, suite à l’annonce de son cancer, réapparaît dans sa vie.

C’est aussi, en parallèle, sa relation houleuse avec sa coloc. Une femme qu’il méprise, utilise mais dont il a grandement besoin.

Yvan nous plonge donc dans ses douloureux souvenirs, ses regrets, ses promesses jamais tenues et ses décisions prises avec égoïsmes.
On le regarde s’enfoncer dans la marde. Celle qu’il a lui même créée. Et malgré tout le tort qu’il a causé, on se surprend à lui souhaiter un peu de douceur.

« Le monde contient pas assez de médicaments et d’alcool pour que je me persuade que ça va bien aller. »

L’histoire d’Yvan et Gabrielle m’a frappé en plein coeur. Impossible d’être indifférente à ce qu’ils vivent puisque leur relation m’a amener à dépoussiérer mes propres souvenirs.
Les mots de Sophie Bienvenu sont venus me secouer. Comme toujours. Elle sait si bien cerner les émotions, les mettre sur papier et nous les faire vivre.

« C’est pas vrai que j’ai une place dans ta vie. C’est pas quelqu’un, le problème, c’est quelque chose. Pourquoi je viens après ton ostie de boisson, papa ? Pourquoi t’es pas capable de me choisir, moi ? »

Un livre sur la force du pardon et sur l’amour qu’une femme porte à son père.

À mettre dans ta PAL. ✨

[Maude Fleurent · Rating 4 out of 5]

Sophie Bienvenu a un don bien à elle. Rendre le laid, beau. Prendre les souffrances d’une vie pour en faire miroiter l’amour et l’espoir de la dernière chance. Yvan c’est un alcoolique de 62 ans qui apprend qu’il a un cancer. Cancer induit par toute la boisson qu’il a bu pour oublier sa fille Gabrielle et ses malheurs. 20 ans plus tard, il débarque dans la vie de celle-ci pour tenter de réparer leur passé avant qu’il meurt. Mais le choix entre l’amour paternel, la dépendance et la mort sera toujours indissociable et imbriquée. C’est beau, c’est touchant, ça émeut et ça frappe direct au coeur!

[Pierre-Alexandre Buisson · Rating 4 out of 5]

Six ans après son roman précédent, «Autour d’elle», voici enfin un nouveau récit brise-cœur à se mettre sous la dent. Ça parle d’un écorché vif qui écrit comme il parle, qui a négligé sa fille pendant beaucoup trop longtemps et qui, se sachant condamné par un cancer, tente de s’en rapprocher.

C’est triste, mais aussi drôle, et très touchant. Un parfait roman automnal.

[Geneviève Bossé · Rating 4 out of 5]

Excellent roman, mais ça ne bat pas Chercher Sam.

[Pascale · Rating 5 out of 5]

Enfin une histoire père-fille qui n’est pas idéalisée, mais vraiment pas du tout en fait. L’autrice nous montre que les relations familiales peuvent être complexes et belles, toxiques et nécessaires. Ce roman est un contraste sinueux d’émotions et de sentiments où tout ce que vivent les personnages est extrêmement réel et poignant.

[Mégane Therrien · Rating 5 out of 5]

« M’en sacre ben de brailler devant quelqu’un, j’ai les membres, la tête et le coeur disloqués. » p.14

Yvan doit faire face à la réalité à la suite d’un diagnostique fatal : il va mourir. Se perdant dans l’alcool depuis toujours, Yvan devra trancher entre laisser tomber les bouteilles une bonne fois pour toute ou se laisser mourir à petit feu. Dans cette uchronie de Sophie Bienvenu, Yvan ne tranchera pas, il vivra plutôt en parallèle les conséquences de ces deux décisions.

Le genre uchronique est plutôt rare au Québec, mais Sophie Bienvenu a relevé haut la main l’écriture de ce récit. À la fois frustrante et touchante, l’histoire d’un mourant qui hésite entre le pardon et l’abandon est bouleversante.

[Léanne R · Rating 3 out of 5]

3.5*
Une petite déception pour ce roman, probablement parce que j'avais de très hautes attentes envers Sophie Bienvenu.

Alors que je suis souvent renversée par ses livres, celui-ci n'a pas réussi à m'accrocher autant que les précédents. Les deux histoires parallèles m'ont mélangée au début, puis j'ai eu de la difficulté à m'attacher au personnage principal étant donné ses actions dans les deux histoires parallèles. J'ai trouvé que ses réflexions n'offraient pas autant d'insight que celles des personnages des autres oeuvres de l'auteure. Le style d'écriture reste toutefois agréable à lire, comme d'habitude!

[Catherine Dubé · Rating 3 out of 5]

J'étais un héros présente une singularité sur le plan de la forme. Le récit se scinde pour tracer deux parallèles. D'un chapitre à l'autre on oscille entre deux trajectoires possibles pour Yvan, un homme alcoolique disparu de la vie de sa fille depuis de nombreuses années. Après un séjour à l'hôpital, Yvan sent qu'il n'en a plus longtemps et hésite à renouer avec sa fille Gabrielle, une femme dans la trentaine menant à présent une existence lisse, après avoir passé moult années à réparer les traumas provoqués par le départ de son père. La proposition est intéressante mais ça tombe un peu à plat. C'est un texte court, qui sonde trop peu la complexité des relations qu'entretient le personnage d'Yvan: avec sa colocataire, son ex-compagne, sa fille. J'aurais souhaité être touchée par ce récit, mais je ne me suis pas sentie très atteinte au fil de ma lecture. Ce n'est pas un livre auquel je repenserai.

[Sandra Dussault · Rating 3 out of 5]

Ce que j'aime chez Sophie Bienvenu, c'est qu'on ne sent pas du tout l'autrice derrière le personnage. On y croit vraiment à son homme de presque 70 ans, québécois, alcoolique et sur le bord de mourir. On aurait envie autant de lui botter le derrière que de le prendre par la main et lui dire que toute va ben aller.

[Sakina · Rating 3 out of 5]

3.5 ⭐ | Ce roman de Sophie Bienvenu est touchant. Il raconte l'histoire d'un homme alcoolique qui répète échecs par-dessus échecs, faute d'avoir du courage et de la bravoure.

Il ne s'agit pas de ma lecture préférée de l'autrice, mais elle a toujours autant le don de toucher la corde sensible des émotions.

[Charles-Étienne Groleau · Rating 4 out of 5]

J’ai bobo au cœur 🥺

[Véronick Harvey · Rating 4 out of 5]

Ça me rappelle des blessures connues.

Un père qui abandonne sa fille alors qu'il sombre dans l'alcoolisme. J'imagine que les fins heureuses existent pour certain..

[Eve · Rating 2 out of 5]

J’ai pas vraiment embarqué!

Et si je cherche des bébittes :
J’ai trouvé que différents niveaux de langue se côtoyaient de manière choquante dans la narration…? Du genre « bourse » (sacoche) suivi de près par « contrit ». Un peu étonnant!

[Cynthia · Rating 3 out of 5]

3,5/5
Je ne suis pas la plus grande fan des uchronies, mais j'ai encore une fois beaucoup aimé la plume et les personnages de Sophie Bienvenu.

[Cindy · Rating 4 out of 5]

« Je te connais, pourtant. Mais j’espérais que tu changerais à force d’être aimé, assez pour que je te soigne en entier. »

Avec cette autrice, je suis toujours agréablement surprise! J’adore son écriture, avec les référents québécois qui font rire et mal à la fois. Elle réussit toujours à mettre en scène des personnages d’un réalisme incroyable, avec leurs défauts et leurs bagages du passé.

J’étais un héros est un roman court, mais très complet, sur la résignation, l’acceptation et le pardon. ❤️‍🩹

On y suit Yvan, un grand sensible. Né dans la mauvaise époque, il refoule son trop-plein. Et dans le tourbillon de ses émotions, l’alcool devient son phare.

Un récit délicat et imagé, très cru par moment, qui nous rappelle qu’il y a toujours deux versions à une histoire. J’ai adoré qu’on ait accès aux deux côtés de la médaille : celle du mal-être d’Yvan, celle de Gabrielle — sa fille qu’il n’a pas revu depuis bien longtemps. Ça rendait les émotions plus complexes, nuancées, profondes.

C’est un livre qui lève aussi le voile sur les préjugés qui entourent les dépendances dans notre société tout en étant construit sur le concept original « et si…? ». Cet effet papillon où une seule décision peut faire basculer le cours des choses est quelque chose qui, personnellement, me fascine.

Plusieurs futurs s’ouvrent à Yvan, il ne lui reste qu’à faire le bon choix. 🤞

[Horcruxes d'une lectrice · Rating 5 out of 5]

Parce que les mots de Sophie Bienvenu seront toujours poignants et crus, mais surtout, justes ❤️ j'ai adoré cette lecture, même si c'est souffrant, qu'on ne connait pas le chemin, on essaie de s'y retrouver...

J'ai beaucoup aimé la fin aussi 🙃

[Eli-lit Insomnie · Rating 4 out of 5]

J'ai bien aimé, au début j'étais mêlée jusqu'à ce que je comprenne que c'était deux histoires en parallèle, original!

[Elemia · Rating 4 out of 5]

Très bon livre qui se lit très rapidement. L’introspection du père, malade de son alcoolisme, est bien faite et touchante, sans aller dans l’excès, dans la victimisation ou bien l’ignorance. Les deux versions de l’histoire proposées sont très bien faites; dans les deux cas, on reconnait le même personnage et on n’a pas l’impression de lire une version où soudainement il a eu une illumination. Le seul hic du livre est le fait qu’au début, il est très difficile d’alterner entre les deux réalités. Puisque les histoires débutent sur un même élément déclencheur, il m’a été difficile de différencier rapidement chaque histoire et cela a fait que le début de la lecture n’était pas fluide.

[Elizabeth · Rating 4 out of 5]

Un livre qui fait de la peine.

[Audrey Goulet · Rating 4 out of 5]

J'ai adoré suivre les deux réalités parallèles du personnage principal. Comme quoi chacun des choix que nous faisons dans la vie a des répercussions sur le courant de celle-ci.

[Sarah Mc Neil · Rating 4 out of 5]

"Je n'ose pas dire à Mody que de la douleur découle la beauté. Je ne voudrais pas qu'il ait la même vie que moi. "

[Laura Leblond · Rating 5 out of 5]

Un de ces livres que l'on a envie de relire lorsqu'on commence à perdre de vue et à oublier la fragilité de la vie. L'histoire d'un homme dont la trajectoire n'a pas été des plus glorieuses et gratifiantes, né dans une famille démunie où l'amour a manqué et où l'alcool a régné. L'histoire d'un homme qui a fait de son mieux, avec le rien qu'il avait. L'alcool comme seul moyen d'oublier les échecs qu'il accumule et son incapacité à s'engager dans quelconque relation ou projet de vie. Un livre qui m'a rappelé la chance que j'ai eu d'avoir été élevée dans une famille aimante et éduquée, mais qui m'a fait réalisé le pouvoir important du déterminisme. Difficile à admettre pour une enseignante qui a pour vocation d'éduquer pour contrer ce déterminisme. La seule belle chose qu'il juge avoir accompli? Mettre au monde Gabrielle. Grâce à elle, il aura été un héros au moins une fois dans sa vie. Sa fille unique que l'alcool lui arrachera des mains, malgré les luttes et les batailles intérieures. Mais contre Yvan, la bouteille gagne et gagnera toujours. Aujourd'hui, il apprend qu'il en est au stade 4 d'un cancer agressif. Il lui reste quelques semaines pour faire la paix avec la vie. Et avec Gabrielle, qu'il n'a pas vu et osé recontacter depuis 15 ans, noyé dans la honte. L'alcool a encore eu le dernier mot, car c'est en partie elle qui est à l'origine de sa maladie. Arrivera-t-il à renouer avec Gabrielle ou bien l'échec teintera encore la fin de ses jours? Je vous laisse le découvrir. Je me suis tellement attachée à Yvan, car derrière son manque d'éducation, son alcoolisme et sa difficulté à aimer adéquatement, se cache une âme sensible, douce, remplie d'humour, consciente et révoltée contre ses défis intérieurs, et qui ne demande qu'à être pris sous une aile bienveillante pour lui apprendre à aborder la vie sous un autre angle.
Puis, j'avoue avoir eu une petite pensée pour mon papa, qui, même après avoir traversé plusieurs routes en commun avec Yvan, a réussi à se bâtir une vie à hauteur d'homme, avec un grand H. Contre lui, la bouteille a perdu et je suis tellement fière de lui.

[Sandryne David · Rating 4 out of 5]

Dans ce roman, on suit un homme qui apprend que son alcoolisme a fait des dommages irréparables à sa santé. On nous présente ensuite deux trames narratives, l'une dans laquelle il s'efforce de rester sobre et de renouer avec sa fille et l'autre dans laquelle il s'abandonne complètement à son vice

J'ai adoré le style de l'autrice; l'oral québécois est vraiment difficile à manier à l'écrit. mais j'aime bien la balance qu'elle a trouvé. Le personnage principal est très intéressant et assez complexe pour un livre si court. On comprend assez bien son attitude autodestructrice. 

J'ai cependant trouvé que la trame dans laquelle il reprend sa vie en main est trop facile. Sa sobriété ne semble pas tellement le faire souffrir et sa fille accepte son retour assez facilement, allant même jusqu'à lui offrir de vivre chez elle (et évidemment elle a une grosse maison et pas de 9 à 5 comme nous pauvres mortels). Ça m'a laissé une vague impression de fanfic found family. 

Je pense qu'il y avait un joli message d'espoir dans ce livre de type: même quand il est trop tard il n'est pas trop tard et j'ai bien aimé. Pas aussi bon que Et au pire on se mariera mais une très bonne lecture

[Cam david · Rating 5 out of 5]

Comme pour tous les romans de Sophie Bienvenu, j’ai adoré, il n’est certes pas dans mes préférés d’elle, mais il est un excellent roman. Si j’ai eu un peu de difficulté au départ avec l’alternance des deux réalités, avec les deux histoires qui se déroule en parallèle soit s’il reprend contact avec sa fille et s’il ne le fait pas, une alternance entre la douceur et la dureté de la réalité qu’il vit afin de laissé du repos à nos petit cœur, afin de s’attaché au personnage sans le trouver pathétique. Si le rythme est dure à suivre au départ on embarque rapidement dans celui-ci et on prend rapidement le ton du roman. Elle a une plume très belle et très crue, mais sans être trop lourde ni trop pénible à lire, juste la bonne dose de douleur et de bonheur. Je suis ravie qu’elle a décidé d’écrire un nouveau roman, c’est toujours un coup de cœur de la lire. Un sujet lourd qu’elle aborde super bien, une très belle approche de l’alcoolisme.

[Claudie (LaBibliodeCloclo) · Rating 4 out of 5]

J’avais infiniment hâte de lire le plus récent roman de Sophie Bienvenu. Elle est une autrice coup de coeur depuis Chercher Sam. J’ai débuté la lecture de celui-ci trop rapidement, dans un lieu où je ne pouvais pas me concentrer sur l’histoire. Les premières dizaines de pages ont donc été floues dans ma tête.

Lorsque j’ai pu poursuivre ma lecture dans un meilleur environnement, j’ai pu profiter du talent d’écriture de l’autrice. J’ai aimé les thèmes: l’amour entre un père et sa fille, le pardon, le désir de mieux faire et de réparer les pots cassés. J’ai aussi aimé les clins d’œil à l’émission Les Chefs, à Thelma et Louise et à District 31. Une histoire douce et dure à la fois.

[Eléna | Elena_prof_en_adapt · Rating 4 out of 5]

Après l’annonce d’un diagnostic sans retour, Yvan, éternel alcoolique d’une soixantaine d'années, constate qu’il a raté sa vie. Le père aimant et attentionné qu’il était avant a laissé la place à un homme aigri et grugé par la vie. N’ayant pas revu sa fille depuis près de 20 ans, il décide de quitter son appartement et sa colocation avec Miche, une femme qui le dégoute, pour tenter de recréer un lien avec sa petite Gabrielle devenue une femme. La seule chose qui lui reste, c’est son chat et l’espoir de se faire pardonner ses années bousillées auprès de sa famille.
Ce roman illustre parfaitement les pensées de ce personnage détruit par l’alcool. Je trouve que l’auteure a su bien illustrer les désastres que ce poison peut avoir dans la vie d’une famille vivant avec un toxicomane. Tout au long de l’histoire, on sait qu’Yvan ne va pas bien, mais jamais nous avons la certitude que son diagnostic est un cancer, une cirrhose ou autre chose. Plusieurs retours en arrière sont faits et, parfois, je me sentais un peu perdue dans la chronologie de l’histoire. C’est un bon roman qui aborde des thèmes tristes, mais essentiels.

[Mélina · Rating 4 out of 5]

Histoire d’un père déchu qui tente d’obtenir une seconde chance alors que ses jours sont comptés. Comme les livres de Sophie Bienvenu, c’est prenant, déchirant. On le referme avec le cœur serré et les yeux mouillés. C’est une histoire d’amour, de seconde chance, de pardon et de toute la gamme d’émotions entre.

C’était simplement magnifique.

[Coralie Robinson · Rating 5 out of 5]

Excellent et habile roman qui nous amène dans deux versions possibles de l’avenir d’Yvan suite à l’annonce de son passage en phase terminale.
Sophie Bienvenue a le don de créer des personnages complexes et réalistes que j’adore découvrir et suivre.
Elle a réussi à me faire haïr et aimer un même personnage :) Chapeau !

[Marie Audrey · Rating 4 out of 5]

A-t-on le droit à une 2e chance quand on a fait souffrir ses proches ?

L'auteure dit oui. Elle dit oui à coups de musique et de moments volés, de gendre serviable et de souvenirs enterrés.

L'auteure dit non. Elle dit non à coups de couteaux dans le dos de ceux qui vous ont le plus aidé, de chat innocent, de fille pas dupe.

On joue sur deux fronts en même temps, et je ne saurais dire lequel des deux j'ai préféré. Point commun des deux voies : le pathétisme d'un homme qui s'est réfugié dans l'alcoolisme.