Dans l'Angleterre de cette fin du XVIIIe siècle, Dido Belle cherche sa place en tant que femme et future prétendante à un mari, mais elle n'est pas tout à fait comme les autres jeunes filles de son rang : elle est métisse.
« Il est grand temps de vous marier. Toutes les deux. Si cette affaire pouvait être réglée cette année, ce serait parfait. »
Dido (Belle) a été élevée comme sa fille par Lord William Murray, humaniste et progressiste, et a partagé la même éducation que sa cousine Elizabeth, même si sa couleur de peau gêne les aristocrates de l'époque. Les deux jeunes femmes sont en âge de se marier, et voilà qu’Edward Talbot, riche, célibataire et de bonne famille, arrive sur la scène et met en émoi les mères de jeunes filles à marier. Invitée au bal par le futur Lord, Elizabeth tente le tout pour le tout pour séduire ce cœur à prendre, mais quelle n’est pas la surprise de Dido, qui jouait alors le simple rôle de chaperonne, quand le jeune homme lui fait une déclaration et essaie de l’embrasser. En effet, sa couleur de peau choque plus d'un noble et la riche famille Connel la verrait plutôt au sous-sol avec les domestiques. Dido se retrouve totalement perdue, d'autant plus qu'au domaine de son oncle, a fraîchement débarqué John Davinier, le nouveau régisseur des lieux, qui non seulement partage avec elle ses préoccupations politiques, mais dont la seule présence suffit à lui faire perdre contenance et déclenche des envies coupables.
Coincée entre un futur mariage dont elle ne veut pas et une relation amoureuse qui ne semble pas pouvoir se réaliser, Dido saura-t-elle choisir le meilleur pour son avenir ?
Black Lady est le premier tome de cette série de romances historiques. Chaque tome peut se lire de façon autonome.
Lova Lloyd est à l'origine spécialiste du roman historique au XVIIIe siècle. Black Lady est sa première romance régence publiée.
En Angleterre fin 18e siècle, Dido Belle cherche sa place de femme dans la société mais aussi en tant que future femme mais le problème étant que Dido est métisse.
Dido a été élevée par Lord William Murray, qui est un humaniste et progressiste, elle a partagé la même éducation que sa cousine Elizabeth.
La seule chose qu’ils les diffèrent c’est qu’Elizabeth est blanche et Dido métisse ce qui gêne les aristocrates de l’époque.
Les deux femmes sont enfin en âge de se marier, si l’idée du mariage plaît à Elizabeth pour Dido ce n’est pas dans ses priorités, elle veut se battre pour ses frères et sœurs. Mais l’arrivée d’Edward Talbot, riche, célibataire et surtout issue d’une bonne famille, va chambouler la vie des deux femmes.
Invitée à un bal, Elizabeth fera tout pour gagner son coeur mais que fut la surprise de tous quand celui-ci s’intéresse à Dido alors qu’elle n’était là que pour jouer le rôle de la chaperonne. Si le jeune homme lui fait la court, Dido est gênée pour sa cousine qui se voyait déjà avec.
Un jour quand Dido fait la rencontre de John Davinier simple régisseur des lieux chamboulera toutes ses pensées.
Toutefois, est-elle prête à sacrifier son amour pour John en mettant en péril sa réputation et celle de sa famille ou préfère t-elle s’enfermer dans un mariage qui n’a pas encore commencé mais qui promet déjà d’être catastrophique?
Un roman historique qui est bon d’être lu. Ma lecture fut rapide. La personnalité de Dido a été attachante, entre sa force, son courage, sa persévérance, sa naïveté, sa gentillesse, tout ce mélange de qualité en fait une personne adorable. J’ai apprécié aussi le contraste avec Elizabeth qui elle était libre de ses mouvements et qui malgré elle, s’éloignait des problèmes de sa cousine tout en essayant d’apprendre de ses erreurs afin de mieux comprendre sa cousine.
On apprend tellement de choses de l’histoire passée et je remercie l’auteure pour ce livre, j’ai hâte de lire la suite.
Moi, j’ai pris ce livre parce que c’était une héroïne noire et qu’on m’a promis d’aborder le racisme dans la société du 18ème.
Ouais okay… Mais ça a été mal traité.
Déjà d’une d’un point de vue formel, j’ai eu l’impression que des passages ont été coupés. On avait un personnage qui donnait son opinion, pour changer d’avis la page d’après. On sentait que des passages n’étaient pas pleinement exploités et c’était difficile à lire. Je vous spoil pas, mais ça se sent beaucoup dans les discussions importantes, notamment concernant la vie amoureuse de Dido ou ses questionnements en tant que femme noire.
Par conséquent, tout allait vite. Trop vite. On n’a pas pris le temps. Notamment pour éviter des biais problématiques:
En effet, Dido est une femme noire de 22 ans, qui subit les préjugés racistes depuis son enfance, avec des restrictions de par sa couleur de peau et de la société raciste dans laquelle elle évolue. Pourtant, ce qui va la pousser à interroger sa condition, c’est un peu la découverte d’un débat sur l’esclavage. Mais encore, elle était ignorante et elle a un élément déclencheur tardif pourtant pas… Mais directement elle en devient moralisatrice. Elle a une domestique noire à qui elle va essayer de parler, avant de s’offusquer que cette dernière ne soit pas acquise de la cause pour libérer les esclaves. En réalité, cette façon de faire est intéressante parce qu’elle confronte une vision un peu « privilégiée » que Dido (elle reste une femme noire, mais une femme noire qui fait partie de la haute société). Sauf que c’est moins traité. Directement la domestique (Ruth) est considérée comme une femme mauvaise, une traîtresse.
Et pitié ça a manqué de sororité ( entre sa cousine qui est soit disant sa meilleure amie mais que Dido considère comme moins intelligente, plus superficielle qu’elle et Ruth, la traîtresse… On souffle)
Mais Dido n’est pas présentée comme une femme noire qui lutte pour sa condition. Elle s’interroge, mais elle va tout faire sous le prisme des hommes blancs qui l’entourent : son oncle qui ne voit ni les couleurs et les différences de genre qui lui permet de se renseigner sur des sujets qui la concernent, son prétendant qui est un abolitionniste et qui lui montre qu’elle a de la chance qu’il la remarque alors qu’elle est noire et son autre love interest qui lui fait comprendre qu’avant il était raciste et misogyne mais qu’elle lui a fait changer d’avis (sans trop d’explications quoi). Et elle n’en sort pas. On constate même qu’on va finir par mettre en second plan cette partie là pour sa romance. On a littéralement un moment où Dido assiste à un débat entre esclavagiste et abolitionniste et elle n’écoute plus quand son love interest quitte la pièce pour penser à ses sentiments. Alors qu’elle est concernée, qu’on parle d’elle, qu’elle est objectifiée.
Puis ne parlons pas des commentaires passifs agressifs racistes de sa cousine. Ou même les fameux protecteurs blancs à qui elle doit constamment sauver la réputation parce qu’ils ont accepté de recueillir une Noire.
En plus, ce sont les autres qui essaient de la convaincre qu’elle est plus qu’une Noire, qu’elle doit quitter le mindset de « J’ai moins de chance dans la vie » pour se lancer et prouver au monde entier qu’elle en vaut la peine.
Et pas une fois elle ne remet en question le fait qu’on l’utilise littéralement pour prouver que les Noir•e•s ne sont pas des sauvages, que s’iels étaient libres, iels auraient le même esprit que Dido (qui a évolué selon les codes d’une société blanche, occidentale, raciste et classiste). Ce n’est pas remis en cause, au contraire, c’est un idéal.
En fait, ce qui m’agace, c’est qu’il y a des moments où c’est bien fait pour dénoncer le racisme (les mesquineries à son encontre, certaines disputes), mais la plupart du temps, non. C’était énervant. On manquait de détails. On a des passages pas oufs. On ressort pas de cette lecture en se questionnant sur les biais de la société mais en se disant qu’au moins elle est heureuse avec la personne qu’elle aime.
Tout d'abord, j'ai apprécié le fait que le personnage de Dido soit inspiré du personnage réel de Dido Belle Lindsay dans une Angleterre du XVIIIe siècle. Nous sommes donc pas dans la reconstitution de son histoire mais cela donne beaucoup de profondeur à la trope romance historique.
Dido est donc une jeune femme, orpheline, métisse, aristocrate dans une Angleterre archaïque sur les droits et la place de la femme et les gens à couleur de peau.
L'esclavage était encore au goût du jour et dans la tête de beaucoup, il est inconcevable qu'une jeune métisse soit civilisée et cultivée. Mais surtout qu'elle obtienne un titre de noblesse.
Dido a eu une chance inouïe de vivre dans une demeure entourée de parents (adoptifs) progressistes et qui lui ont offert une éducation exemplaire et l'amour qu'ils pouvaient lui donner.
De fait, comme pour chaque jeune femme à cette époque, vient un moment donné où elle va devoir se marier. Et l'heure de Dido est arrivée. Mais cette jeune femme qui peine à se retrouver elle-même entre ses valeurs ; ses convictions et son éducation, va tout de même devoir se plier à ce devoir. Malgré ces interrogations, elle va démontrer se qu'elle vaux et ne jamais se laisser rabaisser.
J'ai aimé les deux romances que nous allons voir dans ce premier tome. L'une totalement choix qui je dirais de raison. Qui ne va pas aboutir. Et l'autre, choix du coeur et de passion qui va nous démontrer le pouvoir de l'amour.
Car l'amour, met à bas les préjugés et tout ce que vous pensiez juste en société.
Je suis également obligée de parler de Ruth. Un personnage haut en couleur qui m'a fait ressentir à son égard du positif mais aussi du négatif. D'ailleurs, ce fut la même chose pour la cousine de Dido, Elizabeth !
La bataille mise en avant pour l'abolition de l'esclavage est belle et forte et très représentatif des faits historiques.
Je recommande donc ce livre : un voyage pour les éperdues amoureux de l'amour, le vrai.
Il y a une vraie noblesse dans ce livre et cela se remarque dès la (superbe) couverture. Celle-ci nous annonce une ambiance aristocratique où le faste clinquant des demeures abritant du sang bleu a, pour contrepartie, un carcan qui impose un respect strict de l’étiquette et de la bienséance.
Notre héroïne, Dido qui, comme la plupart des personnages du roman, a réellement existé, était la fille de l’amiral John Lindsey et d’une esclave noire dont on ne connaît que le nom (Belle). Elle a grandi chez son grand-oncle William Murray, premier comte de Mansfield. Son statut très particulier fera d’elle un grain de sable qui enrayera le fonctionnement bien huilé de cette machine séculaire en dévoilant ses propres contradictions et incohérences.
Élevée comme leur propre fille, cette lady sera tout de même victime d’inégalités au sein même de sa famille. Sa solde est bien inférieure à celle de sa cousine et elle ne peut pas manger à leur table quand il y a des invités. Choquant ? Oui… D’autant plus que cette iniquité se commet dans la maison d’un vrai défenseur de l’égalité et un abolitionniste convaincu.
L’auteure nous offre ainsi plusieurs pistes de réflexion humaines et philosophiques sur l’esclavage en évoquant, entre autres, Rousseau ou Montesquieu. Elle illustre de même la tentative des possédants de légitimer l’utilisation d’une force de travail à bas coût. On discerne sans mal en filigrane derrière ces froides considérations économiques le sempiternel et révoltant sentiment de supériorité lié à la couleur de la peau.
La question de la liberté, puisque c’est bien notre sujet, prend aussi des formes plus abstraites. Elle se retrouve ainsi, comme un écho, dans le tourment romantique auquel Dido se confrontera.
Mariage de raison ou mariage d’amour ?
La chance d’être courtisée par un futur Lord représente-t-elle une obligation qui rime avec un potentiel sacrifice de son bonheur ? Après tout, elle est entourée d’exemples de couples qui fonctionnent malgré un arrangement initial reléguant les sentiments à un rôle de figuration. Une question épineuse qui ne manquera pas de torturer notre protagoniste…
Mais que cette plume est belle ! Elle sert l’histoire avec délicatesse et trace de subtils contours aux personnages sans jamais tomber dans le piège du manichéisme. La famille de Dido est progressiste, mais tout de même prisonnière des convenances. Edward Talbot, le « bon parti », n’est pas un mauvais bougre. Il est lui-même enfermé dans le rôle qui lui a été attribué à sa naissance. Une narration tout en nuances qui procure une superbe expérience de lecture.
J’ai refermé ce livre en ayant le sentiment de tenir entre mes mains un bel écrin qui protège un bijou de valeur. Bravo à l’orfèvre Lova Lloyd !
3,5/5. C’était un livre assez rapide donc plutôt bien. J’avoue qu’au début, j’avais un peu de mal avec D’ido mais au final ça va. Pour une première lecture avec la trope du triangle amoureux, je suis satisfaite (c’était évident en vrai). Dans l’ensemble certaines tournures de phrases étaient quand-même bof… La question du racisme… #wow
Situé en Angleterre au XVIIIème siècle, le récit suit Dido Belle, une jeune lady métisse, qui a été confiée enfant, au comte de Mansfield, qui l'éleva comme sa propre fille dans la haute société anglaise et lui donna la même éducation que sa cousine Elizabeth. En âge de se marier et lors d'un bal, Dido fait la rencontre d'Edward Talbot, un futur Lord, qui souhaite l'épouser. Mais elle est aussi attirée par John Davinier, le nouveau régisseur de son grand-oncle. Dido doit donc choisir entre se marier avec un bon parti qui lui garantit un bel avenir, ou suivre son cœur et vivre sa vie comme elle l'entend.
J'ai été totalement conquise par cette histoire.
J'ai été agréablement surprise de découvrir que ce roman n'était pas seulement de la fiction, mais que Dido et la plupart des personnages du roman ont réellement existé.
J'ai adoré la plume de l'auteure, elle emploie un langage soutenu qui correspond parfaitement à l'époque traitée et on sent qu'il y a eu un vrai travail de recherche de sa part.
J'ai apprécié suivre le quotidien d'une femme de couleur appartenant à l'aristocratie. Elle est constamment méprisée par les autres et doit se battre pour faire ses preuves.
Entre les nobles qui la jugent constamment pour sa couleur de peau et les esclaves noirs qui l'envient pour son statut, Dido a du mal à trouver sa place. Heureusement, elle peut compter sur sa famille, qui est en avance sur son temps et l'accepte telle qu'elle est.
Consciente du racisme dont elle est victime et de la situation de ses semblables, ça l'amène à se questionner sur la liberté car elle rêve de pouvoir choisir librement son mari, sans être limitée par les conventions sociales. Elle va s'impliquer aux côtés de son oncle, qui est appelé à juger le cas de James Somersett, un esclave noir qui pourrait avoir un impact sur l'avenir de l'esclavage en Angleterre.
J'ai été captivé par la romance de Dido avec ses deux prétendants et j'ai pris plaisir à suivre l'évolution de ses sentiments pour celui qui a finalement remporté son cœur.
Je conseille ce livre et j'ai hâte de découvrir celui sur Elizabeth.
«Mon plus grand malheur serait de me marier dans une famille qui me porterait comme une honte.»
J’ai adoré ma lecture ! J’ai tellement aimé retrouver les univers de Dowtown Abbey et des Bridgerton dans un seul livre 🥰 Je suis une grande fan des romance historique, je trouve que l’on en apprend beaucoup sur l’histoire passée, que l’on a pas vécu, apprendre le langage de l’époque est tout aussi intuitif 🥰 De plus c’est une histoire inspirée de fait réels 🤗
Dans ce roman historique, nous allons rencontrer l’aristocratie londonienne au XVIIIe siècle avec l’époque de l’esclavage. J’ai aimé le fait que ce soit une femme noire adoptée par des aristocrates blancs, qui fait valoir son opinion sur l’esclavage. Elle veut se faire entendre et n’abandonne pas auprès de Lord Mansfield pour assister au procès sur une affaire de ce type. Voir qu’elle découvre le monde réel, le fait que tous n’ont pas sa chance, celle d’être " née " une cuillère en argent dans la bouche, nous permet de comprendre ses actions et surtout sa naïveté 🫶🏽 J’ai adoré le personnage de John. Il est enfermé dans ses idées arriérées sur les personnes " racisées ". Mais lorsqu’il va rencontrer Dido il n’en sera pas insensible et son opinion non plus 🫠 Un léger ennemies to lovers, tout ce qu’on aime 😏
J’ai peut être moins apprécié le fait qu’on n’approfondisse pas assez l’esclavagisme, j’aurais bien aimé en apprendre plus 🥰
Chaque personnages secondaires m’ont conquise. Tous ont leur rôles à jouer dans ce manuscrit et ça donne ce côté intimiste à l’histoire dans le sens où l’on connaît la vie de chacun, leur caractère mais aussi les relations qu’ils entretiennent entre eux.
J’ai adoré la plume de Lova Lloyd, elle est tellement addictive ! Elle me rappelle légèrement Jane Austen car elle y met sa façon de penser mais aussi une passion pour l’écriture débordante !
Je vous le conseille dès l’âge de 15 ans ! Ça plaira à un bon nombre d’entre vous ! Voyagez dans l’Angleterre du XVIIIe siècle ! ❤️
4.5 Je trouve l’idée de ce livre incroyable - une romance historique, avec une personnage principale noire, et inspirée de faits réels. C’est d’une rareté et c’est probablement la première fois que je lis un tel livre. Cela a des airs de l’adaptation en série de Bridgerton, oú enfin des personnages autres que blancs peuvent aussi vivre une romance historique. J’ai aimé le caractère de Dido, qui évolue au fil du temps, de jeune femme obéissante qui a tout à prouver, à jeune femme qui choisit d’écouter son cœur et sa liberté, son évolution fait parallèle aux réflexions sur le racisme et l’abolition de l’esclavage qui sont tissés tout le long du livre. Le rythme est palpitant, on ne peut pas le déposer. J’ai aussi aimé l’exemple d’une famille aimante, accueillante, et honnête envers Dido - on aurait pu tomber dans le cliché d’une famille qui ne l’apprécie qu’à moitié, mais non, c’est une jeune femme aimée et écoutée.
Quelques points que j’aurais personnellement préférés mais qui sont les choix de l’auteure : - développer davantage la relation entre Dido et ses prétendants. Il semble qu’elles ne les ai vus que quelques fois avant de prendre ses décisions. Pour celui qu’elle considère son amour, j’aurais aimé voir l’amour se développer. - peut-être rajouter un peu plus du ‘pourquoi’ de l’obsession d’Edward. Quelque chose semblait louche à Dido, mais on ne sait pas quoi. - le langage est soutenu, ce qui est cohérent avec le style de l’époque, mais la multiplicité du vocabulaire rend l’histoire parfois un peu moins fluide à lire.
Ceci sont des opinions personnelles et dépendront de l’avis de chaque personne.
C’est une bonne lecture, l’histoire est merveilleusement bien amenée et on ne s’ennuie pas une seconde. Elle est originale et rafraîchissante, je recommande !
e remercie Happily Ever After Editions, simplementpro pour l'envoi de ce Service Presse et pour leur confiance. Je remercie également l'auteure.
C'est un coup de cœur.
Nous sommes au XVIIIème siècle en Angleterre, nous allons faire la connaissance de Dido et de sa cousine Elizabeth, la fille de son oncle Lord William Murray. Pendant toute son enfance, son oncle et sa tante l'ont élevé dans la Haute Société Anglaise.
Sauf que Dido est métisse.
Aujourd'hui, elle doit trouver un mari. Mais quand on la regarde, c'est sa couleur de peau qui prime et non son éducation.
L'esclavage est encore en plein essor.
Je vous laisse donc imaginer, une femme métisse dans l'Aristocratie Anglaise.
Cette magnifique romance historique m'a emporté vous n'imaginez pas comment. Entre les préjugés, les partisans de l'esclavage, les personnes qui veulent la liberté pour tous franchement, ce roman est une pépite. En plus, on va découvrir ce que peut ressentir quand on n'est pas née avec la bonne couleur de peau surtout à cette époque.
Ce livre mérite d'être lu car il fait partie des romans historiques qui traite du sujet de l'esclavage et du regard des gens sur la couleur de peau.
Dido va se battre pour une reconnaissance et pour l'Amour et non pour un statut marital entre 2 personnes grâce à leurs fonctions dans la société.
Plongez dans le XVIIIème siècle au côte de Dido et venez découvrir son quotidien, ses doutes, ses questions et si elle a pu trouver l'Amour.
Un bel ennemis to lovers, avec une ambiance du 18eme siècle à Londres (bal, robes, danses...), on a un personnage principal très intelligent et qui n'a pas la langue dans sa poche, futée, qui s'exprime bien et qui ne manque pas d'idées. Les lieux principaux et secondaire sont super bien détaillés ainsi que les personnages principaux mais pas secondaires (malheureusement). Les sentiments et émotions de Dido (perso principal) sont eux aussi bien détaillés, les sentiments amoureux arrivent au fur et à mesure des chapitres. Dido est tiraillé entre deux hommes : celui qu'elle aime et celui de la raison, elle s'exprime bien sûr ce qu'elle ressent, on partage et ressent ses sentiments. Tout le long on connaît une Dido forte, à part quand elle face à l'homme qu'elle aime, elle a une part de vulnérabilité qui mignonne et touchante. Je suis contente de l'homme qu'elle choisit d'épouser. La relation qu'entretient Dido avec sa cousine est incroyable. J'ai beaucoup aime la mixité qu'il y'avais dans ce livre et la cause qu'il défend : l'abolition de l'esclavage en Angleterre au 18eme siècle, une histoire inspirée de faits réels avec bien sûr des personnages authentique. Les seuls points négatif que je pourrais relever sont : - les chapitres un peu trop longs - j'aurais aimé avoir des points de vue différents
Quelle fut ma surprise de me rendre compte qu'il ne s'agissait pas de personnages fictionnels sur un fond historique mais bien de personnages ayant réellement existés? J'ai adoré le fait que l'auteure ai utilisé des personnalités qui ont existés, ma culture G s'est bien agrandit. J'ai beaucoup aimé ce roman, la plume est incroyablement bien façonnée pour s'adapter au vocabulaire de l'époque. Il est très facile de se plonger dans le récit, mais je regrette le manque de descriptiond. J'aime m'imprégner des personnages à travers plusieurs descriptions or, je trouve que le livre n'en fournissait pas assez d'un point de vu physique. J'ai été aussi un peu déçu de certains événements et comportements qui je trouve, manquaient de sens et étaient bien trop légers par moment. Cependant, c'est une lecture réellement appréciable que je recommande les yeux fermés! Et Dido, quelle femme incroyable! Je pense sincèrement que ce livre met en avant de la plus belle des manières, les combats, les difficultés et le courage qui animaient ce personnage!
🖤/5⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ J’ai tellement adoré olala, c’est un véritable coup de cœur. J’ai regardé le film tiré de ce livre en étant enfant et il m’avait marqué. Quel plaisir de le retrouver cette histoire. Ce qui est incroyable, c’est que c’est tiré d’une histoire vraie, et que la romance est si belle. Le thème impie que l’esclavage, de la liberté et de la condition des noirs y est abordé tout au long du livre. J’ai aimé comme ces sujets on apporter une valeur à ce récit. En tant que femme noire, j’ai ressenti ce récit comme une part de mon histoire. De plus étant adepte de romance historique, je n’ai vraiment pas été déçue. La justesse de la plume, l’intensité des personnages, et de la romance, tout y était. Lisez-le ! Je le recommande.
Ce roman est un coup de cœur, l'histoire est inspiré de personnes qui ont réellement exister, en tant normal ce genre de roman ne me plaisent pas du tout mes j'ai adoré celui-ci. L'auteure a réussi au cours de cette histoire à nous faire passer des messages, mais aussi nous parler de sujet sensible de cette époque et pour ça je la remercie car cela était la première fois que je lisais une romance historique sous la régence avec une femme de couleur et cela fait énormément de bien de lire ce genre de roman. Pour terminer, je ne peux que vous conseiller de lire ce roman, qui vous fera découvrir une partie de l'histoire très peu aborder.