Le récit tendre et détonnant d'une enfance pas comme les autres, bercée par la voix de Sylvie Vartan. Un roman drôle et chaleureux sur la famille et sur la différence. Roland, dernier enfant d'une famille juive séfarade, n'est pas un petit garçon comme les autres. Les médecins sont formels : il ne marchera jamais. Mais Esther, sa mère, refuse de le croire. Elle parcourt Paris, de spécialiste en spécialiste, son fils dans les bras, à la recherche du médecin qui fera un miracle.
Niché dans un HLM du XIIIe arrondissement, l'appartement familial est devenu le territoire de Roland. Un terrain de jeu qu'il explore à quatre pattes, prêtant oreille aux discussions de sa mère et de ses voisines, à leurs prières et chuchotements bienveillants, tout en attendant avec impatience le retour de ses frères et sœurs de l'école. Le monde extérieur, c'est à travers la télévision qu'il le découvre. Il y rencontre Sylvie Vartan, une fée bienveillante à la carrière naissante, dont la voix l'accompagnera sur le chemin de la guérison.
Et quand le miracle auquel sa mère n'a jamais cessé de croire se produit enfin, que Roland, qui a alors sept ans, parvient à faire ses premiers pas, c'est un monde nouveau et infini qui s'offre à lui : les trottoirs de Paris, le métro, et surtout l'École des enfants du spectacle...
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un roman tendre et loufoque, aux personnages drôles et attachants. Une histoire vraie, lumineuse et pleine d'espoir. Lauréat du Prix Littéraire du Cheval Blanc 2022 Lauréat du Prix Littéraire du Cheval Blanc 2022
Après avoir vu le film il y a quelques semaines, je me suis plongé, le temps d'une matinée, dans le le livre qui a inspiré le film et c'était une lecture assez chouette - je me suis aussi rendue compte que l'adaptation ciné était très fidèle, du coup, mis à part quelques scènes, j'y ai retrouvé quasiment la même chose.
Touchant et lumineux, comme son adaptation et ça se lit vraiment bien et vite en plus (quelques heures d'une matinée pour ma part). Peut-être lisez-le avant de regarder le film, contrairement à moi, ou laissez un peu de temps entre les deux !
le personnage haut en couleur mis à l'honneur dans ce récit autobiographique est imposant, bruyant, théâtral même, mais ça en fait une lecture tellement vivante et immersive ! les pages défilent avec une grande facilité nous baladant entre les années marquantes de l'auteur (ses joies et ses tristesses) au cœur de ce petit appartement de Porte-de-Choisy - l’entrée dans l'intimité de la famille Perez se fait avec beaucoup de délicatesse et d’humour - j’ai adoré la façon dont est racontée cette personnalité forte et flamboyante qu’était Esther (qui est très bien retranscrite grâce à Leila Bekhti dans le film), c’est un bel hommage au rôle de mère en général car je pense que toutes les mamans ont une part d’Esther en elles
Génial ! Roland Perez n’a pas eu besoin de chercher l’inspiration bien loin, il a trouvé son histoire dans sa propre enfance, bercée par la personnalité de sa mère et la musique de Sylvie Vartan. Un petit garçon aux pieds bots qui trouvera le chemin de la guérison à travers les femmes de sa vie. Une magnifique déclaration d’amour à sa mère.
Une histoire bouleversante qui me marquera à jamais. Une sublime déclaration d’amour d’un fils à sa mère mais surtout un exemple extraordinaire de résilience qui démontre la puissance de l’espoir.
J'ai d'abord découvert ce roman déjà inscrit dans ma PAL, par la réjouissante adaptation cinématographique de Ken Scott, qui a hâté ma lecture d'ailleurs ! L'ambiance années 70 et le ton mi-ironique mi-attendri m'a beaucoup plu, dans le film comme dans le roman. Né avec un pied bot au milieu d'une famille nombreuse, Roland est surprotégé par Esther, sa mère juive d'origine marocaine. Dès sa naissance, on a tout de suite déclaré qu'il ne marcherait pas mais c'était sans compter la foi, l'obstination et la détermination d'Esther ! Roland commence sa vie dans un appartement parisien dont il connaît les moindres contours et recoins puisqu'il y rampe en attendant que sa mère trouve le spécialiste qui lui permettra de marcher. Quand il sort, sa mère le porte…. N'ayant jamais mis les pieds à l'école, il est entouré de l'attention de ses frères et soeurs et surtout de sa mère qui le couve d'un amour presque étouffant. Au moment où Mme Fleury, l'assistante sociale entre en scène pour que Roland soit scolarisé, je me suis régalée tout comme à l'arrivée de Sylvie-Vartan dans la vie de Roland… Ce roman autobiographique est un vrai régal, le personnage d'Esther comme mère juive protectrice, possessive, voire envahissante m'a touchée. Avec elle, on a l'image d'une mère sincère et convaincue, et cela vire parfois à la caricature. J'ai aimé l'hommage du fils à sa mère même si j'en suis certaine, il a parfois détesté la place que sa mère prenait dans sa vie. le mélange des tons, les scènes comiques voire ridicules, la sincérité des sentiments ont rendu cette lecture réjouissante et très agréable.
« Pendant les cinquante quatre ans que j'ai passés auprès de toi, je ne t'ai jamais dit merci, merci pour tout ce que tu as fait, merci pour ta présence. On remercie rarement ses parents pour tout ce qu'ils nous ont donné. Dommage. Mais comme pour mes examens universitaires, il y toujours une session de rattrapage. Et ce roman en est l'illustration. » R. Pérez
« Un roman brillamment écrit, dans lequel je me suis retrouvée à pleurer, à rire, et aussi à espérer qu'à la dernière page le « miracle » finirait par s'accomplir » S. Vartan
Drôle, lumineux, tendre et extrêmement émouvant ! Comment ne pas s’identifier en tant que maman à cette mère qui a consacré sa vie à et pour ses enfants. Ce roman est la preuve de la puissance de l’amour maternel.
Il a suffit d'une chronique joliment tournée sur Telematin pour que j'aie envie de lire à livre et que je le charge dans la foulée sur mon Kindle. C'est un roman largement inspiré de la vie de l'auteur, complètement loufoque et totalement lumineux. Certes le roman est court mais il y a très longtemps que je n'avais pas lu un livre en une journée! Je me suis laissée emportér par la voix d'Esther, à qui je n'ai cessé de donner les intonations de Marthe Villalonga dans le film "un éléphant ça trompe énormément"! Cela ferait une belle comédie douce amère sur les écrans.
Comme le quatrième de couverture l'annonce, ce roman est lumineux, loufoque et aux personnages drôles et attachants. Une bouffée de fraicheur et légèreté.
Une lecture très agréable qui nous fais passer par de nombreuses émotions. On s’attache très facilement aux personnages, surtout que j’avais vu le film avant de lire le livre. Et puis quelle histoire… cet homme est admirable pour son parcours (son entourage également mais il est trop modeste pour que je ne parle pas de LUI pour une fois). J’aime sa plume également, elle est assez légère. Je pourrais sans hésiter lire un autre livre de cet auteur. Très sympa en tout cas
Niché dans un HLM du 13e arrondissement, l'appartement familial est devenu le territoire de Roland, dernier enfant d'une famille juive séfarade. Un terrain de jeu qu'il explore à quatre pattes, prêtant l'oreille aux discussions de sa mère et de ses voisines, à leurs prières et chuchotements. Car Roland n'est pas un petit garçon comme les autres. Les médecins sont formels : il ne marchera jamais. Le monde extérieur, c'est à travers la télévision qu'il le découvre. Il y rencontre Sylvie Vartan, une fée bienveillante à la carrière naissante, dont la voix l'accompagnera sur le chemin de la guérison.Quand le miracle auquel sa mère n'a jamais cessé de croire se produit enfin, quand Roland, sept ans, parvient à faire ses premiers pas, c'est un monde nouveau et infini qui s'offre à lui : les trottoirs de Paris, le métro, et surtout l'École des enfants du spectacle... _______________________________________________________________________________ Comme un garçon... La Maritza...Ces chansons qui ont fait de Sylvie Vartan (oublions ses années Johnny) une icone de la chanson française.J'ai été surpris de la rencontrer sur la pochette d'un roman notre chanteuse aux fins de mots très "ouuaaaaa".Largement étonné même lorsqu'on l'associe à Dieu et à la maternité. Cela faisait donc quelques mois que ce livre de Roland Perez me donnait envie. Peut-être dû à la sortie du film éponyme ma foi.Mais j'ai craqué pour la version livre audio (4h30) parce que je n'avais pas trop le temps de rester oisif pour une lecture traditionnelle. Et j'ai tapé dans le mille avec cette pépite de récit autobiographique "légèrement" romancée selon l'auteur et incroyablement jouée et lue par Laurent Natrella.Remarquablement interprétée par ce merveilleux acteur, Esther, le personnage principal, en devient inoubliable.Esther, cette mère de famille juive séfarade, protectrice, obstinée, au franc parler vif et appréciée de tous, est contée par Roland Perez son fils avec un amour et une admiration sans bornes. Et tout cela sans excès, dans une grande tendresse. L'histoire est celle de Roland. Il ne cache rien de ses difficultés étant enfant avec son handicap. Quand le miracle s'accomplit, il fait plus que marcher, il grandit au milieu du show-business de l'époque des sixties et commence à faire son bonhomme de chemin dans la vie en devenant avocat des stars. Il deviendra cette personnalité des médias et du journalisme que l'on connait actuellement Avec de nombreux passages très drôles, avec des moments aussi difficiles et d'une grande tristesse, l'auteur arrive à nous apporter une tornade émotionnelle et l'on ressort de cette lecture ou écoute avec le sentiment que tout est possible et qu'il est facile d'aimer la vie finalement.Un excellent moment d'écoute-lecture, sublimée par un jeu d'acteur sensationnel, où ce personnage à l'amour indélébile pour sa famille qu'est Esther restera longtemps gravé dans ma mémoire. Et Sylvie bien entendu...
"Le récit tendre et détonnant d'une enfance pas comme les autres, bercée par la voix de Sylvie Vartan. Un roman drôle et chaleureux sur la famille et sur la différence. A cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d'origine marocaine. Un appartement plein de vie d'où Roland ne peut sortir, si ce n'est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Très croyante et surprotectrice, elle le garde à l'écart du monde extérieur.
L'appartement est devenu son territoire, d'où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et sœurs et de leurs amis. Mais c'est en regardant la télévision qu'il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, " étoile parmi les étoiles ". Un jour, alors qu'il a six ans, un miracle se produit : il réussit enfin à marcher.
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un roman tendre et loufoque, aux personnage drôles et attachants. Une histoire vraie, lumineuse et pleine d'espoir"
Un livre magnifique et émouvant de Roland Perez dédié à sa mère. Un personnage, en fait : la mère juive séfarade qui s'occupe toujours de sa famille, qui ne renonce pas, qui est pleine d'énergie, qui est envahissante, mais qui est attentive aux besoins de ceux qui l'entourent et qui a des amies pour la vie. Qu'est-ce que Sylvie Vartan a à voir avec tout ça ? Vous devrez le découvrir, vous ne le regretterez pas.
Voilà le style de l'auteur:
"J’appris ainsi que « mchikpara » signifiait en dialecte marocain « je te donne ma vie ». — Mchikpara, s’il t’arrive quoi que ce soit je te donne ma vie, ma vie plutôt que la tienne. Mais un enfant ne donne pas sa vie à ses parents ! Jamais !"
"Une mère qui est une source d’inspiration pour nous tous."
Roland Perez est avocat et animateur de radio et de télévision. Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est son premier roman.
Quelle jolie surprise que ce petit roman autobiohraphique au titre énigmatique ! Je craignais un livre un peu bêta, mais pas du tout. C'est une bulle de tendresse, une bouchée sucrée comme les gâteaux d'ester, cette mère juive séfarade. Elle est un peu étouffante, même parfois crispante tant elle est excessive mais comment lui en vouloir ? Vous en connaissez beaucoup des mamans, qui avec l'aide de Dieu quand même, en plus de ses grosses marmites, sont capables de remuer ciel et terre pour défier tous les grands pontes qui osent lui affirmer que son petit dernier ne marchera jamais avec son pied pas beau ? Par amour, elle fonce et elle y croit. Je me suis régalée avec ce charmant livre. Pas de pathos ici, juste de l'humour, de la pudeur, de la douceur et de l'amour avec un grand A. Et j'oubliais, avec les chansons de Sylvie Vartan ! (mais que vient faire cette chanteuse dans cette histoire ? Il faut le lire pour découvrir son rôle, petit suspens !) J'ai toujours aimé le ton doux et rieur de cet avocat, chroniqueur sur Europe 1, mais Roland Perez se révèle ici avoir une vraie belle plume.
"A cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d’origine marocaine. Un appartement plein de vie d’où Roland ne peut sortir, si ce n’est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Très croyante et surprotectrice, elle le garde à l’écart du monde extérieur.
L’appartement est devenu son territoire, d’où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et sœurs et de leurs amis. Mais c’est en regardant la télévision qu’il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, « étoile parmi les étoiles »."
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Roland Perez est un récit profondément touchant, porté par une écriture sensible et élégante. L'auteur livre une histoire captivante, empreinte d'émotion et d'humanité, où l'amour maternel occupe une place centrale. Cette relation fusionnelle, inconditionnelle et parfois écrasante rappelle toutefois La Promesse de l'aube de Romain Gary : même dévotion absolue, même foi presque mystique d'une mère en la destinée de son enfant. Si la comparaison est inévitable, Roland Perez parvient néanmoins à imposer sa voix et son univers, rendant ce témoignage sincère et lumineux, malgré une thématique déjà explorée
un petit bijou de Roland Perez qui évoque la ténacité de sa mère pour le faire marcher normalement, alors qu'il est né avec un pied, allant à l'encontre des pronostics médicaux. Une mère courage, lumineuse, solaire, prête à aider ses voisines.
De l'humour et de l'émotion.
J'attends la sortie poche du deuxième roman de l'auteur avec impatience.
I will never forget the movie. Watched it in a theatre in Paris on vacation. I had to read the book. I translated to read in English word by word. That’s how committed I was. Life changing. Magnetic. My God. My God. What a fearful inspiring riveting life. I can’t put this into anymore words. It would do the story disservice. Pls publish this book in English.
Livre facile, émouvant et original. C est bon de savoir que c est une histoire vraie. L auteur raconte sa vie, le dévouement de sa mère (typique mère juive marocaine collé on l’imagine) et sa passion pour Sylvie vartan. Plaisir de lire facile mais très bien.
Livre audio. J'ai adoré ! Le narrateur est excellent et contribue énormément au succès de ce livre audio je trouve. Ce livre est bourré de tendresse et d'humour. et la fin était très émouvante. C'est mon coup de cœur de ces derniers mois.
Une histoire de résilience, une histoire de mère juive, une histoire vraie! Magnifique témoignage d'amour de Roland Perez: touchant souvent, hilarant parfois et définitivement optimiste. Un livre qui donne la pêche!
Sans être le livre de mon année, I s'agit d'une très jolie d'histoire entre un homme, handicapé pendant son enfance, et du soutien sans faille de sa mère (à la personnalité affirmée) pour lui permettre de marcher. Joliment écrit, positif (sans tomber dans le mièvre), un bel hommage.
So funny, entertaining, and moving at times. A very easy read. His mom is unforgettable, full of warmth and strength. The mix of God, family, and Sylvie Vartan gives the story a special charm, both tender and light. Great summer beach read.