"Il se plante devant la porte ouverte, jambes écartées, poings sur les hanches. Il hume l'air. La nuit s'annonce douce et tranquille. Mais d'un coup, ses sourcils se froncent, une ombre passe, et sans se retourner... - Passe-moi le fusil, j'vais allumer le chat ! Il n'a pas bu pourtant, juste quelques verres de rouge au dîner, autant dire rien. - Et pourquoi tu veux l'allumer, dis ? - Quand il me regarde, j'ai l'impression qu'il se fout de ma gueule. Alors, là, j'en ai marre... je vais lui régler son compte à ce salopard !"
Encore, un livre bien sympathique de Barbara Constantine.
C’est le 4eme livre d’elle que je lis et je suis ravie, j’ai passé un très bon moment. Dans ce nouveau livre, on y découvre une famille et des amis qui ont tous une vie un peu chaotique.
Un père, une fille, un mari, des beaux-parents, les amis, les voisins, on y croise de tout.
Un beau mélange qui donne une histoire où l’on est emporté et ou j’ai eu du mal a lâchée ma lecture.
Raymond veut allumer le chat, car il a l’impression qu’il se moque de lui, mais sa femme Mine arrive toujours à le faire changer d’idée.
Suite au décès du mari de leur fille Josette, ils accueillent leur petit-fils chez eux.
Celui-ci a des soucis d’exzema, mais grâce a Raymond qui est un peu soigneur avec ses mains le problème de peau disparaît.
On se retrouve mêlé à des décès bizarres, a un couple de lesbiennes, a des parents parti en Amérique, a un chat qui aime une jeune chatte qui vit quelques jardins plus loin, a un jack 10 ans qui est devenus alcooliques et à ses 2 frères qui ne l’aident pas vraiment. Et bien d’autres encore.
3 fois le mots pédé (je suis queer je préviens) en même pas 5 pages ok je sais pas si l'auteur•rice est queer je juge pas puis ce livre a était écrit en 2007 je comprends que l'utilisation du mot était bcp trop banalisé. Je pensais déjà a DNF a ce moment la mais bon les moments drôle et triste m'ont donner envie d'en connaître + sur cette famille.
Mais le fait de jouer au docteur avec sa cousine? "j'ai réussi a la convaincre d'enlever sa culotte" puis il parle de ses fesses (il a parlait aussi des fesses de sa grand mère au début du livre je disais rien) je comprends que c'est un enfant et l'époque a laquelle ça a était écrit mais c'est non. je vais pas lire un lire qui normalise ça.
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J'aurais pu mettre 2,5 étoiles. Mais au final, je l'ai lu en un bloc jusque parce que je n'avais pas envie de devoir m'y remettre après. C'était un petit bouquin divertissant, mais moi qui aime l'absurde en général, je n'ai pas vraiment accroché à 'Allumer le chat', probablement parce que ce n'était juste pas assez absurde. Le style était un peu trop léger aussi.
Malgré un style un peu trop oral, les personnages sont très attachants et les situations parfaitement comiques. L'auteure nous raconte la vie pleine de rebondissements d'une famille curieuse, avec légèreté et humour -même la vieille chienne et le chat y passe-.
moi qui adore barbara constantine, j'ai eu du mal avec le style... l'histoire est un peu compliquée à savoir, avec des chapitres changeant de point de vue régulièrement :(
Mon avis : Tout d'abord ce livre était destiné à la base pour mon chéri mais j'ai eu envie de le lire car j'avais lu pas mal de chroniques assez bonnes sur les romans de cette auteure.
Du coté de l’histoire: Raymond et Mine sont les grands-parents de Rémi qui est le fils de Josette et Martial qui est l'amant d'Édith qui, à la mort de celui-ci (embroché par un cerf) devient la maîtresse de Josette... Ce livre raconte la vie de toute une série de personnages hauts en couleur! sans oublier bien sur Bastos le chat qui a un égo surdimensionné et qui passe son temps à contrer les balles de Raymond qui lui, vise comme un pied.
Du coté de l'écriture: Barbara Constantine, une auteure dont j'ai lu beaucoup de bien et que je ne connaissais pas encore par moi même m'a ravie avec son écriture fluide et sympathique. Chaque court chapitre au nom je l'avoue vraiment drôle, raconte un morceau de l'histoire des différents personnages. Des morceaux de vies reliées les unes avec les autres. Un enchaînement d'événements anodins, cocasses, dramatiques et beaucoup plus sérieux pour certains.
En conclusion: J'ai beaucoup aimé ce roman à humour décalé, j'ai eu une belle surprise en découvrant la plume de cette auteure et je pense lire d'autres ouvrages qu'elle a publié.
Moyennement convaincue... La première chose qui m'a bousculée, c'est le style oralisé du roman. L'auteur écrit comme elle parle, du moins comme les personnages parlent : "j'l'aime bien", "et pis après", "ben l'gars"... Et ce côté sauvage ne s'arrête pas là puisqu'on a le droit à de nombreuses joyeusetés telles que bite, salope, chatte... Bref, l'auteur ne fait pas dans la dentelle et c'est un style qui ne me correspond pas vraiment et que je trouve trop lourd à digérer. Mais c'est finalement très subjectif et ce côté cru et cynique pourrait tout à fait plaire à d'autres. Deuxième point qui m'a quelque peu gêné : les personnages sont très nombreux et j'ai eu le sentiment de devoir me concentrer plus que d'habitude pour ne pas m'y perdre. On reste par ailleurs "en surface" sans les connaître vraiment et, finalement, sans pouvoir s'y attacher réellement. Leurs histoires se suivent et ne se ressemblent pas mais on les oublie aussi vite qu'on les a lues et c'est bien dommage.
Pour autant, ce roman a un côté sérieux qui m'a interpellée. L'auteur manie très bien l'humour noir et pose de petites bombes par-ci par-là en effleurant des sujets graves : l'alcoolisme chez les plus jeunes, les violences conjuguales, la perte d'un nouveau né, le rejet d'un enfant...
Une histoire complètement dingue où les personnages sont tous tordus et... attachants! un alcoolo de 10 ans, un photographe de cadavres, un chat philosophe, etc.
Comment l'auteure fait pour nous rendre cette histoire rocambolesque crédible je n'en ai aucune idée, mais je n'ai pas pu m'arrêter de lire. Elle reprend des idées de d'autres livres, mais ce n'est pas bien grave.
Une histoire sympathique, où l'on rigole et où tout le monde fini heureux. Pas de la grande prose, mais un bon livre.
Barbara Constantine a l’avantage de sortir de l’ordinaire. Elle possède un ton bien particulier, une vision du monde pleine de poésie et de tendresse. Avec Allumer le chat, nous découvrons une galerie de personnages toujours aussi attachants, toutes les générations se côtoient, et les secrets de familles ont la part belle. Notons le personnage fascinant du chat, philosophe à ses heures.
Un peu déçue par ce petit roman-là, j'avais préféré les deux autres que j'ai lu. J'ai apprécié l'histoire mais je l'ai trouvé moins prenante que "Et puis, Paulette" et "Tom, petit homme, tout petit homme, Tom". Toutefois rien qui ne m'empêchera de continuer à découvrir la bibliographie de l'auteure.
J'ai dévoré ce livre en moins de 2 heures. Les personnages sont tous attachants et on prend goût à suivre leurs histoires farfelues, d'amour, tristes, douces...
Pourquoi pas si vous voulez quelque chose d'assez léger et gentillet. Certains moments étaient assez drôles et d'autres était un peu ennuyant mais dans l'ensemble, c'était sympathique.
On finit par apprécier les personnages, mais cet auteur m'avait habituée à mieux. Le langage plutôt vulgaire tout au long n'aide pas non plus à s' immerger dans l'histoire.
Bof... J’aime beaucoup les autres romans de Barbara Constantine, mais là, non, je n’ai pas accroché. J’ai détesté presque tous les personnages, l’histoire est franchement pas terrible. Bref, malgré son petit nombre de pages, je me suis forcée à le finir...