Enfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. À quatorze ans, après avoir regardé le film Stand by Me, il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre Le Seigneur des anneaux et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule Le Coma des mortels. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige L'Âme du mal en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. In Tenebris sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire Maléfices. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie Maléfices. Il publie en 2005 Le Sang du temps. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.
Chattamie, Chattamie, cóżem Ci uczyniła, że mnie tak każesz?
Książka jest utrzymania w klimacie „Trylogii Zła”, ale chyba tylko na klimacie podobieństwa się kończą. Jakie są grzechy główne „Drapieżców”?
1) Główni bohaterowie. Masakramasakramasakra i jeszcze trochę masakry. O jeny, jakież oni mają "skomplikowane" portrety psychologiczne. Banał za banałem. W dodatku ma się wrażenie, że ich osobowości składają się ze strzępków postaci występujących w przeróżnych innych filmach czy książkach. Wszystko już gdzieś było. Może nie dokładnie tak, może nie w takiej konfiguracji – ale było.
2) Przewidywalność. Wiedziałam, kto zabija, już od momentu, kiedy postać pojawiła się w utworze. Nie wiem, czy kiedykolwiek udało mi się rozwiązać zagadkę morderstw tak szybko. A przecież w thrillerach chodzi właśnie o to, żeby być niepewnym. Żeby wątpić. Żeby dać się zaskoczyć na finiszu. Pod tym względem w powieści jest gorzej niż źle.
3) Teoria zła. To, co w Trylogii było świetnie nakreślone, tu wydaje się już być przekombinowane. I te teorie Ann. W poprzednich książkach Chattama z ciekawością chłonęłam to, co na temat zachowań ludzkich mieli do powiedzenia bohaterowie. W „Drapieżcach” odpuszczałam sobie całe partie tekstu.
4) Książka jest po prostu nużąca. Końcówkę czytałam w wydziałowej kafeterii i w pewnym momencie bardziej mnie interesowało, jaką kawę zamawia gość obok mnie, niźli los głównych bohaterów. A zaznaczyć należy, że byli wtedy w niezłych opałach. Może się z nimi zupełnie nie zżyłam, może zakończenie było przewidywalne, może książka zmęczyła mnie już przed finiszem. Nie wiem.
Szczerze? Obiektywnie rzecz biorąc, niektórym czytelnikom thriller mógłby się nawet podobać. Niecodziennym rozwiązaniem była wojna w tle. Wojna bez nazwy. Bo nie jest istotne, o jakiej wojnie mówimy. Ważne są realia. Ważni są ludzie. Ważne są też ich odczucia, instynkty i reakcje. Przywykłam już jednak do tego, że dla mnie Chattam = fajna warstwa psychologiczna + zaskoczenie + klimat = jakość. A tu tej jakości po prostu zabrakło. Jeśli nie mieliście do tej pory do czynienia z autorem, to możecie sobie dodać do oceny jedną gwiazdkę. Ja „uciachałam” ją za rozczarowanie. Mam nadzieję, że „Drapieżcy” są tylko wstydliwym błędem w sztuce pisarskiej Chattama i za pewien czas nikt nie będzie o nich pamiętał. Oby tak było. Bo ciężko będzie mi znieść kolejną wpadkę „złotego dziecka suspensu”.
Kitabı polisiye gerilimde gelinebilecek en üst nokta diye tarif edebilirim.Katilin kim olduğu üzerine kaç kez fikir değiştirdim inanın sayısını unuttum.Filmi çevrilse harika olur.Epeydir güzel bir polisiye okumadım diyorsanız kaçırmayın.
Après Les arcanes du chaos, et avant la Théorie de Gaia, ce bouquin est le deuxième tome d'une nouvelle trilogie sur le mal. Malheureusement, ce n'est pas parce qu'on a les bons ingrédients, qu'on réussit sa recette à chaque fois. Là, je pense que Maxime Chattam a foiré sa cuisson. Mettre le four à 250° au lieu de 180°... ça sent forcément le brûlé! J'avais été enchantée par sa première trilogie (surtout par In tenebris, aussi effroyable que palpitant) et triste de quitter Joshua Brolin. Prédateurs trônait sur ma Pile à lire depuis sa sortie, il y a plus d'un an. C'était un peu comme un rituel d'avoir toujours un Chattam sous le coude, avant la sortie du suivant. Histoire de me rassurer... Maintenant, il en sera tout autrement, et je ne vais pas me ruer pour acheter la Théorie. Inutile de le cacher plus longtemps... je suis hyper déçue!!! L'intrigue se déroule sur un fond de guerre. Boue et mitraillettes, un cadre pas très folichon. Je tente de passer au dessus de ces images qui ne me plaisent que moyennement pour me plonger dans l'intrigue. Un personnage principal assez mystérieux, un secondaire plutôt flou et une présence féminine déterminée, dans ce monde de brut. Un premier meurtre lance l'intrigue. D'une part j'avais envie de résoudre cette énigme, d'autre part, je me suis sentie un peu rebutée par cette violence gratuite, le gore dans lequel le récit bascule. Habituellement, ce genre de thriller ne me dégoute pas outre-mesure... mais là, bof. A mesure qu'on avance dans les pages, le côté cracra s'intensifie. Par contre, malgré les rebondissement, l'intrigue ne me passionnait pas. A mainte reprises, ce livre a faillit tomber dans le fonds des livres non finis... Je me suis obstinée à aller jusqu'au bout pour tout de même découvrir qui était le tueur. Maxime Chattam nous engage sur des pistes habilement, mais je lui reprocherais de tirer un peu en longueur. Le rythme s'essouffle. Je ne sais pas encore si j'irai au bout de la trilogie... enfin pas maintenant en tout cas. Je vais être dure... mais il le faut... 2 étoiles. Prédateurs, Albin Michel, 2007, 459 pages.
Une intrigue mollassonne servie par des personnages creux et clichés au possible : notamment l'horripilante Ann Dawson, infirmière sexy mais intello et je-sais-tout, groupie de l'inspecteur principal ; Frewin le gros dur mystérieux et tourmenté au cœur tendre... Est-ce besoin de continuer ? Des personnages dont les travers sont débusqués dès les premières pages et un tueur démasqué quasiment tout de suite.
Bref, aucun suspense... c'est lent (horriblement lent), mou. le contexte militaire a-spatiotemporel, loin d'apporter du peps à l'intrigue l'enlise dans un univers de "chef, oui chef" exaspérant.
Il fallait bien que cet auteur que j'adore au demeurant ait un défaut et je crois que c'est ce livre (deuxième opus d'une trilogie : c'est la deuxième trilogie de l'auteur que je commence par le milieu, mais à la différence de la trilogie du mal, celle-ci ne me donne absolument pas envie de connaître le début ou la fin).
En somme, si vous aimez l'auteur ou que vous voulez le découvrir, je vous déconseille fortement ce tome.
Je ne sais pas pourquoi je m'attendais à une sorte de suite des Arcanes du chaos (vu la fin, c'était peu probable), mais je me suis retrouvée plongée dans une époque totalement différente avec des manipulateurs totalement différents. Evidemment, pour moi, l'attrait principal du livre tient dans ce paradoxe : que des tueurs aux alentours, mais un seul doit être stoppé. Allez le différencier ! C'était surtout ça qui m'intéressait dans l'histoire. Moi qui déteste les livres de guerre en général, j'ai quand même bien aimé celui-ci même si Ann Dawson m'insupportait un tantinet. Par contre, il manquait quelque chose pour que j'accroche plus : des personnages moins stéréotypés par exemple, une façon de raconter moins XXIe siècle avec des chutes calculées pour surprendre à la minute M, des meurtres moins mis en scène de façon spectaculaire comme je l'ai lu récemment dans plusieurs thrillers.
Avec ce roman, Maxime Chattam plonge une nouvelle fois son lecteur dans la noirceur de l’âme humaine. Sur fond de guerre, situation déjà pleine d’horreurs en tout genre, l’auteur y ajoute des assassinats particulièrement sordides, comme si en ouvrant le conflit, cela avait ouvert en même temps les verrous d’une malle contenant une créature assoiffée de sang et de vengeance, un être sans morale, répondant à ses seules pulsions bestiales, primaires.
C’est la guerre. Laquelle? Nous ne le savons pas. À aucun moment, Chattam ne nous donne le moindre indice. Nous n’avons aucun repère temporel, aucun indice géographique, comme pour mieux souligner l’universalité, l’intemporalité de la noirceur humaine. Craig Frewin, lieutenant de la Police Militaire, et ses hommes vont enquêter, avant même le début des hostilités face à l’ennemi dans cette guerre, sur un crime à la mise en scène particulière. Comme si le conflit n’était pas suffisant pour mettre le moral des troupes à mal, un tueur sévit parmi eux. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cet assassin a le sens du spectacle. Ses meurtres font l’objet d’une préparation méticuleuse, et montre l’intelligence de celui qui les commet. Il manipule et met à mal l’équipe de Frewin qui tente de lui mettre la main dessus en ces temps troublés.
À travers l’enquête menée par le lieutenant, à travers les déductions faites par Frewin, on découvre toute la perversité, la cruauté dont peut être capable l’Homme. Mais Frewin et ses hommes ont eux aussi leur côté sombre. Après tout, personne n’est tout blanc, en ce monde, nous avons tous quelque chose à nous reprocher, à plus ou moins grande échelle. Alliant profilage aux preuves trouvées sur les lieux des crimes, Frewin, Ann Dawson, une infirmière prête à tout pour participer à l’enquête, et les hommes de la PM vont se retrouver confrontés à leur propre noirceur, à leur propres vices, à leurs propres déviances. Et dans ce jeu de cache cache avec le tueur, les rôles de proies et de chasseurs s’inversent parfois.
Ce roman est glaçant. Il nous rappelle ce côté obscur qui sommeille en chacun de nous et qu’un rien peut lui laisser prendre le dessus sur notre humanité. Le lecteur y est manipulé par l’auteur tout autant que Frewin et son équipe le sont par le tueur. On va de certitudes en fausses pistes, et avec cette guerre en décor, la peur est omniprésente. Peur de l’ennemi dont les balles peuvent vous atteindre, peur de ne pas trouver ce meurtrier avant son prochain passage à l’acte, peur de cette part sombre présente en tout homme et femme. Les descriptions des mutilations faites aux victimes ne sont pas pour les personnes sensibles. Elles sont crues, sans filtre, pour bien donner la mesure de l’horreur de ces actes.
Un thriller vraiment prenant, percutant, à ne cependant pas mettre entre toutes les mains.
Die ganze, über 480 Seiten aufgebaute Story wurde innerhalb von 10 Seiten aufgelöst... das war schon etwas schade, da mir die Geschichte an sich schon recht gut gefallen hat.
J’irais avec un peu plus que 4. 4.25 ou 4.5. Chattam nous manipule tout au long du livre . On accuse lui, puis l’autre, un autre , sans arrêt pour finalement s’apercevoir qu’on est à côté de la track. Pas besoin d’avoir lu le premier livre de la trilogie du cycle de l’homme. Deux histoires sans rapport autre qu’une réflexion de Chattam sur l’homme sur la terre, ses pulsions violentes qui sont ancrées dans ses gènes et refont surface lorsque les circonstances y sont propices. Principalement à l’enfance… comme le veut la dernière phrase: les enfants sont tellement fragiles…
Prédateurs est un roman à suspense de Maxime Chattam publié en 2007 Il est le deuxième des trois volumes du « Cycle de l'Homme et de la Vérité », commencé par Les Arcanes du chaos (2006) et qui se termine par La Théorie Gaïa (2007).
L'histoire se déroule durant un débarquement militaire. La tension est maximale parmi les GI's et une sale affaire tombe sur les bras du lieutenant Frewin de la police militaire. Dans le bateau Seagull, un soldat a été retrouvé pendu à des crocs de bouchers, sa tête est remplacée par celle d'un bélier. Accompagné de la mystérieuse et séduisante infirmière Ann Dawson, Frewin et son équipe se lancent à la recherche de l'identité du criminel. Les meurtres s'enchaînent dans une horreur croissante et les soupçons se tournent rapidement vers la 3e section de la compagnie Raven, une poignée de durs formant un cercle très spécial.
J'ai été plus que sceptique durant la première moitié du livre, je pensais me sortir de ma panne de lecture avec ce roman, puisque tous les romans de Chattam sont mes préférés, mais j'ai fini par être encore plus dégoutée... L'univers dans lequel on est plongés est si différent en comparaison de ses autres livres que l'on aurait pu croire que ça ne venait pas de lui. Seule la fin nous permet de dire clairement : oui, ça c'est du Chattam. En effet, on n'a pas affaire à des crimes civils comme habituellement, et l'histoire sur le bateau de guerre m'a ennuyée au début. En revanche, dès lors qu'ils ne sont plus sur le bateau, que les crimes et les indices commencent à avoir des liens, et que la liste des suspects commencent à s'allonger, on reconnaît bien l'audace et le talent de Chattam qui réussirait à nous faire croire que chacun suspect pourrait être le criminel. Et bien que la fin soit décevante - oui ne s'attend absolument pas à l'identité du meurtrier mais, bien que ses raisons d'agir soit légitime et psychologiquement expliquées, j'aurais aimé que l'ingéniosité de ses meurtres aient une signification - on retrouve nos personnages avec des explications profondes à leur engagement sur ces meurtres, avec une développement des personnages intense au long du livre et cette phase de "réalisation" et de "changement" qu'ils finissent par devoir admettre. Finalement, chacun des livres de Chattam semble se finir par un avertissement sur un danger presque imminent pour la société, et qui pèse sur nos têtes sans que la plupart des gens n'y fasse attention : ici, c'est la guerre, comme dans son roman L'appel du Néant. C'est cette morale finale qui a le plus d'impact dans nos têtes, et qui me fait dire que ses livres sont un chef-d'œuvre.
Au dé but de ma lecture, voici l'une de mes impressions: " j'ai fini "Les arcanes du chaos" il y a quelques jours, et j'en suis à moins de la moitié de "Prédateurs". Ce sont mes 1ers Chattam. Je découvre. J'ai trouvé "Les arcanes du chaos" assez Dan Brown, style haletant, couple en mouvement, intrigue quasi-mystique. J'irais même jusqu'à dire que le blog de Kamel m'a fait réfléchir en ce temps de Covid-19!!!!! Mais je préfère le style d'écriture "plus élégant' de "Prédateurs", il y a une vraie différence, c'est assez concentré, assez minimaliste, je ne l'ai pas encore fini, mais le style est plus mature, plus ramassé..." Je l'ai terminé ce soir, honnêtement j'avais deviné une partie de l'intrigue depuis la moitié du livre, mais la conclusion est brillante ! Logique aussi, pas totalement surprenante non plus. Bon bouquin, je vais commencer le suivant, dernier tome de cette trilogie.
Si vous n'avez jamais lu Maxime Chattam et que vous aimez les thrillers et les jeux de piste, pitié, faites moi plaisir et lisez-le ! C'était le premier roman de lui que je lisais et je n'ai pas été déçue ! J'ai sauté dans le monde qu'il propose sans la moindre hésitation, et les personnages excellemment bien décrits m'ont permis de rester accrochée aux pages jusqu'au bout. Pour moi, les intrigues (principal mais aussi l'intrigue secondaire) et la manière dont elles sont ficelées montrent un réel génie de l'auteur. L'angoisse et la tension va crescendo, ce qui en fait vraiment un page-turner ! (Le dénouement est à couper le souffle aussi !). Enfin, il y a un certain questionnement quant à l'armée, sa manière de gérer les problèmes en interne mais aussi en quoi elle peut être une arme qui libère la part sombre des soldats, au point de les faire revenir à un état animal de Prédateurs.
Questo è il primo libro letto sull’Ebook. Sfortunatamente non sarà l’ultimo ma quasi. Da molti mesi ormai, sempre più spesso, sento che la gente si avvicina a questo nuovo modo di leggere. Per chi, come me, ama sopra ogni cosa la stupenda sensazione delle pagine da girare, storce sempre molto il naso su questo argomento. Indubbiamente ci sono dei lati positivi. Come tanti, anche io cerco di guardare il prezzo dei libri che compro. Ultimamente siamo arrivati a dei livelli assai proibitivi e devo limitare la spesa il più possibile. Un’altra cosa poco comoda, anzi no due, è che alcuni volumi sono grossi e pesanti. Chi come me si muove con i mezzi, magari nell’ora di punta, sa bene che a quel punto leggere è impossibile! Tra l’altro, io uso una borsa grande perché DEVO portarmi dietro tutto quello che ritengo necessario, quindi un libro non è un problema ma chi usa borse più piccole, cosa fa? Sono cose da tener conto. Alcuni dividono i libri in base alla quantità di spazio che occupano. I più grandi si leggono a casa e gli altri quando sono fuori. Distribuzione precisa e comoda, fino a che non ci capita sotto mano un libro che ci prende moltissimo, a quel punto cosa facciamo? Continuiamo a lasciarlo a casa visto che è grosso o rischiamo e ce lo portiamo dietro? Dilemma. Un altro problema sorge durante le ferie, quando dobbiamo decidere quali e quanti libri portarci dietro. L’estate scorsa, sono partita per una settimana con una mia amica e sua madre. Ci aspettava una settimana di ozio estremo e come mio solito mi sono messa davanti alla libreria e ho incominciato a pensare. Come alcuni di voi sanno, quando si parte in aereo, le borse devono avere un peso specifico, così armata di borsa e bilancia ho incominciato a fare le prove tattiche! Uno potrebbe dire, dai, in una settimana puoi anche portarti solo un paio di libri…. Ti piacerebbe aver ragione eh?! Invece non è così! A quel punto vengono pensieri pessimistici e cerchi di farcene stare il più possibile, senza però dimenticare tutto il resto che realmente ti serve. Possono sembrare sciocchezze, ma questi sono per noi problemi veri e propri. Per questo è nato l’Ebook. In teoria dovrebbe essere un’invenzione miracolosa. Vero ma fino ad un certo punto. Alcuni libri sono effettivamente meno costosi, ma non tutti! Non c’è tutta questa vasta scelta, il formato deve essere quello giusto, devi ricordarti che è comunque un oggetto elettronico e quindi deve essere ricaricato (prega che tu abbia a portata di mano una presa della corrente!). Se non lo prendi buono, rischi di avere tra le mani una roba fuffa e inutile (cosa che però non succede con un vero libro, al massimo trovi delle pagine spiegazzate). Bisogna fare attenzione a non farlo cadere. Non puoi metterlo impunemente in borsa, perché potresti rovinare lo schermo o accenderlo per sbaglio e quindi scaricarlo o rompere qualche tasto. Insomma…. Indubbiamente ci potrebbe essere un certo risparmio e una gran comodità quando ci si sposta ma la cosa (a mio avviso) finisce lì. Non dico tutto questo solo per far polemica ma per il fatto che ho testato in prima persona. Come ho detto all’inizio, Zodiaco è il primo libro che ho letto sull’Ebook. Era già da un po’ di mesi che girava in casa (non è mio) e mi stavo chiedendo com’era. La trama del libro mi interessava molto e allora ho deciso di provare. Nuova esperienza a parte, posso dire che mi aspettavo poco dal racconto. A me l’Horror e il Thriller piacciono molto come generi, ma i libri che di solito leggo hanno sempre un po’ una vena romantica. Perché? Insomma, se incominci con un massacro, non puoi finire tra rosa e fiori. Questo libro però mi ha stupito. Questa storia racconta di un’indagine svolta dalla Polizia Militare, per una serie di brutali omicidi. Vorrei precisare che io mi impressiono difficilmente ma qui, per la prima volta, leggendo un passaggio, mi sono sentita male. Tanto di cappello a Maxime Chattam, perché ha un modo di scrivere veramente strepitoso. Non solo descrive le scene in maniera eccellente, ma riesce a sostenere un intricato giro di sospetti e indizi. Fino alla fine della storia, mai avrei sospettato del colpevole! Un’altra cosa che ho trovato molto piacevole, sono i personaggi. Non ne ho uno “preferito”, però ho apprezzato molto il fatto che fossero brutalmente umani, veri. Non solo nel racconto, sentiamo l’eco della guerra ma leggiamo nel profondo l’animo di chi la deve vivere. Ci troviamo a seguire l’intera storia attraverso persone coraggiose ma con grandi difetti. Basta con quest’idea che se uno va in guerra, allora deve essere per forza un valoroso senza macchia, costretto ad uccidere solo per proteggere il suo paese. Questa è finzione. Indubbiamente nella realtà c’è chi lo fa per il bene degli altri, però dobbiamo anche tener presente che un tempo (e a volte anche adesso), la gente che andava in guerra era prevalentemente gente che amava uccidere o che nascondeva qualcosa di tremendo. Il Tenente Frewin e l’infermiera Ann, sono i primi esempi di ciò che intendo. Protagonisti di questa avventura, umani, assassini. Persone forti che affrontano con coraggio morboso una sfida contro la morte e il suo messaggero. La squadra della PM è compatta, come una famiglia e determinata a catturare la feroce bestia, ma come possono sconfiggerla se tutti gli indizi fanno pensare che il nemico è in mezzo a loro? Diffida dai nemici ma ancora di più dagli amici. Non mi ricordo dove l’ho sentita ma in questo caso, direi che è abbastanza azzeccata. Non mi sento di consigliarlo a tutti, non perché non sia un bel libro, anzi! Però è crudo fino alla nausea e non tutti effettivamente sono disposti ad immergersi in questo mondo. Quindi, prima di decidere di leggerlo, pensateci.
Décevant. Des personnages creux et une histoire qui n'engage pas le lecteur. A aucun moment le fait de découvrir l'identité du meurtrier ne m'a intéressé de tout le livre. Cet histoire manque d'enjeu et de saveur. Les personnages sont très superficiel, sauf un aspect de leur psychologie sur lequel Chattam insiste lourdement trop souvent sans que cela ne soit utilisé réellement plus tard. La "révélation", si on peut parler de révélation, finale n'apporte pas de réelle explication, comme si les seules réponses que l'on avait aux questions "Qui" et "Pourquoi" était "Untel" et "Parceque". Très dommage, car ce récit aurait facilement pu être une nouvelle au lieu d'un roman.
Je l'ai fini ce midi. Je me sens vide c'est terrible. Vous savez ce vide après quelque chose d'intense et de prenant. J'ai dévoré ce roman. À nouveau, Chattam sait parfaitement diriger un récit chargé de noirceur et de profondeurs. Les personnages ont tous leur part de mauvais que j'aime beaucoup de la façon dont ils sont racontés par Chattam. Jusqu'au bout je me suis fait berner comme Frewin notre personnage principal aussi mystérieux qu'impressionnant et Ann qui m'a beaucoup plu. On frôle le pire de l'être humain d'une plume juste et pesante. Je me surprenait à retenir mon souffle de nombreuses fois. (Attention : âme sensible s'abstenir)
Ames sensibles s'abstenir, il y a du gore ! Par contre le suspens est haletant, on ne peut pas lâcher le livre. Maxime Chattam sait faire douter le lecteur comme jamais : à chaque crime commis, l'enquête avance, recule, la tension, on soupçonne tout le monde, et on change d'hypothèse de plus en plus vite ! La psychologie des personnages est également très détaillée et donne de la profondeur à l'intrigue. Bravo !
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Maxime Chattam un de mes écrivains de thriller préféré, comme toujours suspense est adrénaline étaient au rendez-vous, un roman ou l'écrivain aborde l'aspect obscure de l'être humain, la peur, la colère et les racines du mal , ou chaque personnage a son coté noir résultant d'une enfance perturbée , tous cela dans un contexte de guerre et une enquête de la police militaire.
J'aime les policiers, pas vraiment les histoires gores... ce livre n'était donc pas trop pour moi... J'y ai trouvé trop d'incohérences (dans le "choix" des victimes en particulier). Le "côté sombre" des personnages principaux m'a paru un peu simpliste et pas si sombre que ça. Et la fin... qui explique trop et mal. Bref. C'était mon 1er Chattam. Pas sûr qu'il y en aura d'autre.
Maxime Chattam;kurgusu ve kitabın sonuna kadar sizi esir eden merak duygusuyla kesinlikle en favori yazarlarımdan;bir solukta okudum ve bitmesin istedim..polisiye/gerilim kategorisinin en iyilerinden👌🏻
Büyük bir kısmında heyecan seviyesi, sürükleyiciliği yüksekti ancak ara ara Frewin, Ann ve Matters’in kendileriyle hesaplaşmaları akışı kesiyor. Beni sıkıp dikkatimi dağıttı bu kısımlar… Sonunda da tahmin etmemiştim ama şaşırmadım da.
Savaş hazırlıkları esnasında, çıkarma harekatında kullanılacak gemilerden birinde vahşice işlenmiş beklenmedik bir cinayet sonrasında ekibiyle birlikte devreye giren askeri polis teğmen Frewin, daha önceki deneyimlerinin çok ötesinde bir olaylar zincirinin başında olduğunun henüz farkında değildir.
Très bon roman et très bon suspense. J'ai seulement enlevé une étoile car je ne suis juste pas très fan de romans dans l'ambiance de la guerre, mais je me devait tout de même de le lire parce que je suis fan de l'auteur
Pas mauvais, mais pas au même niveau que le premier tome dans la trilogie. Et, franchement, je ne vois pas le lien, s'il y en a, avec le premier. Un bon éditeur aurait facilement enlevé 200 pages sans rien perdre. Je viens de commencer tome 3. A suivre.
Scènes de crimes sordides et atroces sur un théâtre bestial: la guerre, non nommée mais on en étiquette la cuvée, détail. Le fil: le Mal. Une analyse tout en noirceur...