Was sind das für Wesen, die dem jungen Robert Olmstead in Innsmouth derart misstrauisch und abweisend begegnen? Fasziniert von den unheimlichen Geschichten um die heruntergekommene Hafenstadt und deren Bewohner versucht der Student dem Geheimnis auf die Spur zu kommen. Doch schnell muss er feststellen, dass ihm weitere Nachforschungen zum Verhängnis werden können... abgesehen von dem Geheimnis, das sich ihm erst Jahre später offenbart und dem er nicht mehr entfleihen kann.
Le tome 1 souffrait beaucoup du découpage en 2 parties et laissait le lecteur sur sa fin, mais le tome 2 comble enfin les attentes en plongeant le lecteur dans un cauchemar poisseux et terrifiant. Dommage d’avoir publié ce roman graphique en 2 parties aussi déséquilibrées séparées par 5 mois d’attente.
Un des meilleurs, si ce n'est le meilleur de Gou Tanabe selon moi. Je ne me rappelle pas avoir ressenti autant d'émotions dans les autres mangas de la collection. La peur, le dégoût, l'horreur, le désespoir. Tout se mêle jusqu'au final... Glaçant et inévitable.
anabe Gou continues to prove that he’s the perfect artist to adapt Lovecraft. Volume 2 of The Shadow Over Innsmouth plunges us deeper into the claustrophobic horror of the seaside town, and the tension is almost unbearable. The way Tanabe renders the Innsmouth folk—those wide, glassy eyes and slack jaws—is so grotesque and mesmerizing that you feel the protagonist’s paranoia seep into your own skin.
What I especially loved here is how the pacing shifts. The first volume set the stage, but this one throws you right into the chase, with panels that almost feel like they’re vibrating with movement. The art balances stark shadows with unsettling close-ups, keeping that dreamlike dread intact without losing readability.
That said, it does move very quickly—if you’re hoping for more time to linger in the town’s eerie atmosphere before the chaos, you might feel a bit rushed. But the final sequences make up for it, bringing Lovecraft’s story to life with a cinematic punch.
A worthy continuation—beautifully grotesque, chillingly faithful, and another reason why Tanabe Gou’s Lovecraft adaptations are a must-read for horror manga fans.
Cette note tient vraiment à mon approche personnelle du livre. Je n'ai pas vraiment accroché (jamais mis autant de temps à lire un manga). Les planches pleines pages ou les dessins des éléments les plus monstrueux, certains décors aussi, sont certes virtuoses mais j'ai beaucoup moins aimé les dessins des visages classiques des humains et j'ai trouvé beaucoup de cases extrêmement peu lisibles à cause de toute la trame ajoutée par dessus pour les assombrir et créer l'effet nocturne. Même dans les lieux, j'ai trouvé que ce n'était pas toujours raccord avec le texte. Bref, beaucoup de choses m'ont gênée dans la lecture mais alors loin de moi l'idée de critiquer le travail de Gou Tanabe dont j'ai en plus pu admirer les planches originales. Ce ne fut tout simplement pas pour moi. J'essaierai peut-être un autre de la série mais pas sûre...
Ce deuxième tome ne relâche aucune pression. L’angoisse devient plus concrète, plus présente, comme si tout ce qui n’était qu’une impression dans le premier livre prenait maintenant une forme réelle. L’atmosphère reste moite et suffocante, et ça fonctionne encore. On plonge plus profond dans l’horreur et dans le secret de la ville, sans jamais briser le mystère. Un excellent suivi, cohérent, sombre et captivant jusqu’à la dernière page.
Une fin à la hauteur des attentes. La première partie était une enquête dans laquelle nous découvrions des lieux malsains et des légendes terrifiantes, dans cette deuxième partie, nous nous en échappons dans un final haletant et grandiose. Un des meilleurs récits de cette série. Vivement le prochain !
I’m fairly certain this is the most terrifying thing I’ve ever read, on atmosphere alone it’s a masterpiece. Tanabe’s grotesque art is chilling to look at and the slow paced suspense had me uncomfortable until the last page. Amazing horror!
De voir l’un des récits les plus forts de Lovecraft, un des textes développant le fameux “Mythe de Cthulhu”, adapté d’une main de maître par Tanabe est excitant. C’est une très bonne lecture car le récit est fluide et captivant, mais ce qui le rend encore plus intriguant est le style superbe de Tanabe, à la fois sombre et détaillé, qui exprime parfaitement l’horreur des histoires de Lovecraft (on y retrouve d’ailleurs près d’une vingtaine d’illustrations double-pages!). De plus, c’est présenté dans beau livre à couverture simili-cuir. Je trouve juste dommage que le récit ait été publié en deux volumes. C’est une excellent occasion de découvrir (ou redécouvrir) l’oeuvre de Lovecraft.
Anche nel secondo tomo de La Maschera di Innsmouth Gou Tanabe si dimostra maestro nel rendere l'atmosfera di angoscia e di crescente orrore, sensazioni che lo scritto originale di HPL forniva. Opera davvero ben fatta. 5 stelle
Dans cette deuxième partie, notre héros tente de prendre la fuite de cette ville envahie par les adorateurs de Dagon. Une adaptation graphique détaillée, pleine d'action, horrifique à souhait et un récit fondateur de Lovecraft.
Did this not take the direction I was expecting, but I'm very happy about that. This book suffers from pretty much the same problems as the first one. But I liked it nonetheless. I'm a bit curious to read more of Lovecraft's work now.
J'ai clairement mis le doigt dans un engrenage qui me dépasse avec les adaptations de Lovecraft par Gou Tanabe ! Les dessins sont vraiment incroyables et glauques à souhait, et l'histoire... 🤌 La fin je ne m'en remettrai jamais 😭 je vais essayer de ne pas faire de cauchemars 😭
Die erste Szene aus dem ersten Band suggeriert ein bestimmtes Ende und Leser glaubt schon zu wissen, wo alles hinführt. Weit gefehlt! Lovecraft überrascht seine Leser und mit ihm Gou Tanabe, der seinen Kurzroman als Manga adaptiert hat. Im zweiten Teil der Geschichte kommt der Lovecraftsche Monster-Horror vollkommen zu Geltung. Ja, in einer gewissen Weise wiederholen sich seine Monster-Ideen, aber durch die zeichnerische Kunst von Tanabe, spielt das meiner Meinung nach eine eher untergeordnete Rolle.
Wenn ich mir die großflächigen Zeichnungen des Künstlers anschaue, dann frage ich mich, wie lange Tanabe wohl an einem solchen Kunstwerk sitzen mag. Er übertrifft sich in dieser Adaption förmlich und zeigt mehrfach sehr beeindruckende Zeichnungen. Hier und da stören seine typischen einförmigen Gesichter, aber diese könnte man auch als sein Markenzeichen ansehen.
Da dies der zweite Band einer nur als eBook vorliegenden Dilogie ist, verweise ich auf meine Rezension zum ersten Teil, in der ich auch ein wenig zur Handlung und den Hintergründen des Buches sage.
Fazit Mit viel Spannung wird diese Geschichte zu seinem überraschenden Ende geführt. Wieder einmal hat Gou Tanabe aus einer Erzählung von Lovecraft eine spannendes Horror-Manga erschaffen. In meinen Augen ist diese Adaption sehr gelungen und übertrifft sogar in meinen Augen das Original.
Le cauchemar d’Innsmouth m’a tenu en haleine. J’étais curieuse de savoir ce qu’il en retournait. Je me suis sentis très investi dans la quête de Robert Olmstead. L’angoisse monte petit à petit car pleins d’éléments s’ajoutent tout au long de l’histoire. Je me demandais comment tout cela allait se recouper et le résultat m’a surpris. Finalement l’attirance que notre héros avait envers cette ville n’était pas si anodine que ça.
L’univers de H.P. Lovecraft et le style de Gou Tanabe se marient parfaitement.