Ce livre avait le potentiel de représenter un très bon moment, si l'autrice ne s'était pas acharnée à ce point à nous faire comprendre à quel point incommensurable 1) Magritte est cool et 2) Magritte est belge.
Les anecdotes sont relayées avec un ton de maîtresse d'école suspectant que ses élèves ne sont pas très astucieux, tout est répété quinze fois (oui, Magritte est une canaille en costume, oui, il n'aime pas s'expliquer, oui, il est rigolo, OK on a compris), et l'insistance effroyable sur la belgitude constante est très vite devenue épuisante. Pour ne rien arranger, l'intrigue est plutot mal ficelée, avec des facilités un peu trop grosses pour passer, et il y a un truc vraiment malsain dans le rapport de l'autrice aux choses "anormales" (maladie, surpoids, travestissement, etc : tout est traité avec horreur et mépris). J'ai du mal à admettre que ce soit un livre récent, quand bien même l'autrice est assez agée.
J'ai apprécié de voir Bruxelles, et les spécificités linguistiques qui y sont liées étaient agréables à croiser, mais ça ne suffit pas pour rattraper un livre qui, à mes yeux, était à la limite de la gênance.
(Ah et l'autrice mentionne plusieurs fois le film qu'elle a réalisé, avec une fierté évidente. Le film a 5/10 sur imdb. Clairement il faut arrêter d'en parler.)
Une petite lecture sympatique ; j'ai beaucoup aimé me (re)mettre dans l'ambiance de Bruxelles, Magritte est présenté de façon interessante et crédible, et la présence du Grand Jacques est un vrai plaisir . Un cozy mystery à recommander.
Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Folles Enquêtes de Magritte et Georgette ? "Les Cosy Mysteries sont devenus très à la mode ces derniers temps et on ne sait plus trop où donner de la tête mais celui-ci se démarque pour deux raisons : le peintre Magritte en est le héros et l'action se déroule en Belgique."
Dites-nous en un peu plus sur son histoire... "Magritte croise une jeune femme en robe fleurie et dans son esprit né déjà son prochain tableau. Mais alors qu'il commence à se demander s'il ne l'a pas tout simplement imaginée, il la retrouve dès le lendemain, en une de son journal. La malheureuse a été assassinée..."
Mais que s'est-il exactement passé entre vous ? "J'aime franchement bien l'idée de ce peintre bien comme il faut et de sa gentille petite épouse, qui sont loin d'être ce qu'ils paraissent et qui n'aiment rien mieux que résoudre ensemble des énigmes. J'aime aussi le fait que la Belgique soit à l'honneur, ça change, et c'est un pays que je rêve de visiter. J'ai apprécié d'en apprendre plus sur Magritte, et sur Brel aussi, et il ne fait aucun doute que l'auteur est passionnée par son sujet. En revanche, je n'ai pas du tout accroché au style malheureusement, à ces chapitres vraiment trop courts, à ce langage familier, à tous ces personnages finalement peu aimables auxquels on ne s'attache pas. Quant à l'enquête, l'assassin se voit comme le nez au milieu de la figure et les liens et les coïncidences sont vraiment trop énormes et tirés par les cheveux à mon goût."
Et comment cela s'est-il fini ? "Vous l'avez compris, ça n'a pas fonctionné entre ce livre et moi mais je sais que vous êtes nombreux à aimer Nadine Monfils et il n'y a aucune raison pour que vous n'accrochiez pas alors à cette nouvelle série. Pour ma part, je lui donnerai une seconde chance et je lirai malgré tout la suite qui est déjà dans ma PAL."
Een charmant boekje. de suspens is ondergeschikt aan de omkadering. Wie kent Magritte niet met zijn ‘ Ceci n’est pas une pipe’? Alles begint wanneer René een visioen heeft van een vrouw die naast zijn eigen lichaam staat. Enkele dagen later ziet hij de foto van die vrouw in de krant; ze is vermoord. René en zijn vrouwtje Georgette,, de vrouw met de open geest, op wie hij nog steeds stapel is ondanks dat het soms kriebelt, zijn beiden gek op detectiveverhalen en duiken samen met een vriend-flik, Jefke, in het onderzoek. Dit allemaal in het prachtig Brusselse decor van de jaren 60. Veel film, auteurs, muziek uit die tijd, veel van het ‘brussels’, veel straatjes en pleinen en ‘speciallekes’ uit die tijd maken het lezen zo aangenaam. De ontmoeting van Magritte met zijn idool Jacques Brel en diens overpeinzingen over het leven zijn geniaal. Deze ontmoeting heeft echter nooit plaats gevonden, maar de citaten van Brel zowel als van Magritte zijn echt. Er wordt veel naar Magritte’s schilderijen verwezen zodat je goesting krijgt om alles over hem weer op te zoeken. Nadine Montfils weet waarover ze schrijft en ze doet dat met zoveel liefde en respect voor Magritte, Brel, Brussel en de Brusseleirs dat het aanstekelijk werkt.
Quel bonheur de se plonger dans l'univers fantasque de ce peintre original. Avec sa femme Georgette, ce duo va mener l'enquête sur le meurtre d'une femme. Mais pas n'imagine laquelle, une inconnue peinte récemment par notre cher René !
C'est surprenant et atypique. L'enquête est d'ailleurs bien choisi et très habilement menée
C'était au temps où Bruxelles brusselait... c'est ainsi que commence le quatrième de couverture, et cela en dit déjà beaucoup... Le Grand Jacques Brel et son Bruxelles. Bruxelles ma belle ! personnage à part entière dans cette nouvelle série "Cosy mystery" pour utiliser un terme à la mode que nous propose Nadine Monfils, une auteure que j'adore, capable d'écrire dans tous les genres et surtout de se renouveler. Quel talent ! Merci.
Grande ambassadrice de notre pays qui partage à merveille notre Belgitude.
Elle nous emmène à la découverte de l'univers d'un peintre qu'elle adore; René Magritte, le maître du surréalisme. Elle fait de ce peintre emblématique, celui qui dans sa jeunesse écrivait des polars sous le pseudo 'Renghis", un détective en herbe épaulé par sa femme adorée Georgette en assistante.
René Magritte a une vision d'une femme blonde portant une robe à fleurs attendant le tram, elle est debout à côté de son corps. Cela le perturbe, il en fait un tableau, en parle à Georgette. Etrangement, cela lui fait remonter le passé...
Quelques jours plus tard, dans le journal, une photo, celle de cette jeune femme Madeleine Dutilleux retrouvée morte poignardée, un bouquet de lilas sous le corps. Quelques jours plus tard, un second corps féminin est retrouvé.
Intrigué, Magritte et Georgette vont mener l'enquête avec l'aide de leur ami policier brusseleir : Jefke et se transforment en détectives.
C'est aussi l'occasion de re-découvrir Bruxelles, ses endroits mythiques comme "le Roy d'Espagne", "La fleur en papier dorée" de la rue des Alexiens, "l'hôtel Métropole" et de vivre une rencontre - qui aurait pu avoir lieu - avec le grand Jacques.
C'est savoureux, on découvre des expressions bien belges ou bruxelloises, la gastronomie de mon pays mais aussi on entre dans l'intimité du couple avec de nombreuses anecdotes véridiques.
On découvre également l'oeuvre de Magritte, la description de ses tableaux. C'est instructif, jouissif, déjanté par moment , du pur Nadime Monfils, un style incomparable que j'adore. une écriture poétique, tout en tendresse sur les personnages principaux René, Jacques Brel, Bruxelles mais aussi plus cash, directe. C'est drôle, savoureux, instructif, original, il fallait oser. J'adore, laissez-vous tenter.
La bonne nouvelle c'est que le tome 2 est déjà là et qu'il vient de rejoindre ma PAL, en route pour la mer du Nord , rendez-vous à Knokke le Zoute.
Ma note : 9/10
Les jolies phrases
Or la liberté n'est qu'une vue de l'esprit. Les vrais barreaux sont à l'intérieur de nous, c'est nous qui les construisons ou qui laissons les autres fermer la cage.
Les rêves ne nous emportent que s'ils sont chargés de mystères.
Parfois, pensait-il, on prend des mauvais chemins, on suit des mirages, et on croit qu'il est impossible de s'en dépêtrer. Or la liberté n'est qu'une vue de l'esprit. Les vrais barreaux sont à l'intérieur de nous, c'est nous qui construisons ou qui laissons les autres fermer la cage.
Quand on est triste, quel que soit le pays où l'on s'enfuit, on emporte dans notre valise tous les chagrins qu'on n'a pas réussi à étouffer.
Il pensait que les gens dont souvent le reflet de l'image qu'ils veulent donner d'eux-mêmes : un faux-semblant, bref, une sorte de trompe-l'oeil. Et qu'il faut creuser, faire fi de ses sentiments pour déceler ce qu'ils cachent. Parfois à leur insu. Et que de temps à autre on découvre une couche de supercheries camouflant d'autres secrets. un peu à l'image des poupées russes ...
La poésie paut-être une plante carnivore, et quand les rimes nous dévorent, il ne reste que la cruauté des mots.
A nos rêves ! lança Brel. On ne réussit qu'une seule chose, on réussit ses rêves.
Un enfant, c'est le dernier poète d'un monde qui s'entête à vouloir devenir grand.
Faut pas casser les rêves des autres. Le bonheur est souveant décevant dans la réalité. Jamais dans l'imagination.
Het is een beetje een hype aan het worden. Bekende mensen opvoeren in een - feelgood - verhaal waar ze hun innerlijke detective boven halen en waar ze dan zelf op onderzoek uitgaan. Ik las al een boek waar Angela Merkel de hoofdrol heeft en ook the Queen loste al enkele moorden op, en nu schaart ook René Magritte zich bij de club.
Wanneer René een schilderij maakt met een vrouw die hij eerder zag en opmerkte, raakt hij - wanneer die vrouw vermoord terug gevonden is - gefascineerd in de zaak. Omdat hij altijd gedroomd heeft van een detective te zijn, werkt hij samen met zijn muze en echtgenote Georgette, hun weg in de zaak en bijten ze zich erin vast.
Blijft het bij die ene moord of niet? Naarmate het verhaal vorderde verloor ik wel een beetje mijn interesse en een bepaald stuk leek me echt wel een beetje te ver gezocht. Heel veel vaart zat er niet in, al paste dat wel bij de personages. De dynamiek van René en Georgette maakte veel goed. Wat een fijn koppel zijn zij. Georgette is zo een leuke en met tijden hilarische vrouw.
Een klassieke zoektocht naar de wie-wat-waar-wanneer-vraag met een bekende schilder en zijn nuchtere en niet op haar mond gevallen vrouw in de hoofdrol. Zeker geen thriller maar eerder een boek met spanning en de nodige feelgood.
Qui ne connaît pas le grand peintre Magritte avec son célèbre tableau : Ceci n'est pas une pipe. Et bien voilà que l'autrice belge Nadine Monfils fait de sa femme et lui, nos deux détectives de cette histoire. C'est mon premier roman de l'auteur mais je la connais de nom à travers sa série Mémé Cornemuse, qui, de ce que j'ai pu lire est très drôle. Alors, c'est avec joie que je me suis littéralement jeté sur cette lecture.
L'auteur nous offre une enquête pleine de suspense. Tout commence lorsque René Magritte a la vision d'une femme debout à côté de son propre corps. Il n'a qu'une idée en tête en rentrant chez lui : en discuter avec son épouse et l'immortaliser sur toile. Quelques jours plus tard, le couple découvrira le visage de cette femme dans le journal, victime d'un meurtre. Magritte et Georgette pense que cette vision est un signe et qu'il faut qu'ils enquêtent sur ce meurtre. J'ai eu beaucoup de plaisir à suivre cette enquête. L'histoire se passant dans les années 60 (enfin c'est ce que j'en ai déduit), on est sur une enquête "à l'ancienne", où les seuls moyens d'avoir des preuves ou des infos, ce sont les interrogatoires de voisinages, de la famille, etc. et la culture générale. D'ailleurs, j'ai aimé la complémentarité des époux Magritte dans leurs réflexions, et surtout sur le fait que Georgette ait un esprit plus ouvert que son mari alors que pourtant c'est lui l'artiste.
J'ai trouvé très originale l'idée que l'auteur prenne des personnes célèbres pour en faire les héros de son livre. Nadine Monfils nous invite dans l'intimité du couple Magritte et je trouve que, même si c'est de la fiction, l'auteur le fait avec beaucoup de respect. Magritte et Georgette sont attendrissants, on voit que c'est un couple solide, vraiment complémentaire, qui s'aime comme au premier jour. Malgré les mœurs de Magritte, l'harmonie règne au sein de ce couple.
Nadine Monfils nous fait vivre un véritable voyage culturel : les références aux œuvres du peintre sont légions et c'est avec curiosité que je reposais mon livre pour aller admirer les tableaux de l'artiste. On découvre Bruxelles mais par extension la Belgique avec ses spécialités, son parler, son architecture, etc...
L'écriture est très fluide. On prend vraiment plaisir à lire ce livre grâce à son humour savamment distillé. Cet humour ne l'empêche pas d'aborder des thèmes parfois durs.
Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé cet ouvrage. Nadine Monfils nous livre un roman policier drôle, addictif, palpitant de bout en bout avec un couple de héros savoureux. Une belle réussite pour une histoire mettant en scène des personnages bien réels.
Madeleine et Rosa ont beaucoup plus de choses en commun que ce que l'on croit : amoureuses de l'amour, portant le prénom d'une chanson de Brel, séduites par une écriture mystérieuse, englouties par l'ennui, embobinée par des missives baratineuses, et assassinée au détour d'une ruelle de Bruxelles, après avoir traversé l'imagination d'un certain René, célèbre peintre banni des surréalistes ! Et c'est ce dernier point qui suscite l'intérêt du couple Magritte, qui se lance dans leur première "folle enquête".
Nadine Monfils réussit le tour de force d'imaginer un cosy mystery où l'enquête fictive est menée par un personnage emblématique de la scène artistique bien réel. Et malgré quelques loufoqueries à la sauce Belge, j'ai trouvé que l'intrigue tenait la route. Certes, certaines actions sont un peu farfelues (sans être complètement déjantées, n'exagérons rien), alors que les révélations sont de plus en plus sombres à mesure qu'on avance dans l'enquête. J'ai été étonnée de trouver tant de tristesse, de solitude, d'amertume et de mélancolie derrière les atours frivoles et légers de ce roman. Autre surprise : le style de l'autrice ! L'écriture est travaillée, tantôt orale (et Belge un fois!), tantôt lyrique, tantôt pédagogique... J'ai appris beaucoup d'informations sur la vie et l'univers de Magritte - dont j'aime les tableaux autant que l'humour (et Belge deux fois !). Voici un roman très instructif malgré les grandes libertés (toujours précisées et justifiées) prises par l'autrice pour mettre en relation deux artistes qu'elle aime : Magritte et Brel. J'ai apprécié l'originalité du parti pris et la mise en relief des oeuvres des artistes phares, au cœur du roman autant qu'au cœur des intrigues. Nadine Monfils s'est documentée pour créer son couple de détectives improvisé.es et nous promener dans une enquête aux côtés de personnage plus tortueux qu'il n'y parait.
Déçue du livre, je l’ai acheté innocemment n’ayant jamais entendu parlé de cette série et ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais Je pensais être embarquée dans une petite enquête policière, et même si je me doutais que ça ne serait pas l’enquête du siècle, j’ai surtout eu l’impression de lire une parodie, avec un humour très (trop) forcé sur les belges, la belgique, et encore de la belgique L’enquête n’est qu’un prétexte pour l’histoire, et j’ai eu l’impression d’être en train de lire un exercice ou la consigne serait de faire comprendre qu’on est en BELGIQUE. j’ai eu l’impression d’avoir plus de descriptions des différents repas des personnages (sans rire, quasiment tous les 3/4 chapitres on y a le droit) que de passages sur l’histoire principale
Cependant j’ai aimé les références aux différentes œuvres de Magritte au fil de la lecture, le petit jeu d’essayer de les retrouver de tête ou d’en découvrir m’a plu, le personnage de Georgette est très sympathique et leur couple est attachant
Malgré tout, je reste sur ma faim, plutôt déçue de cette lecture et je ne pense pas redonner de chances à cette série de livres d’aussi tôt
Una bella donna in un abito a fiori viene trovata assassinata con una lettera d'amore scritta su una raffinata e profumata carta da lettere azzurra nella borsa. René Magritte qualche giorno prima l'aveva notata e rappresentata - anche se ormai non si occupa più di ritratti se non di quelli di sua moglie Georgette - sdoppiata, come presentendo che l'anima avrebbe presto abbandonato il corpo. Pochi giorni dopo, anche un'altra donna viene assassinata seguendo modalità simili. Magritte, incoraggiato dal commissario di polizia, decide di spacciarsi a volte per un giornalista, altre per un detective per indagare nell'ambiente delle due donne che, in effetti avevano in comune la frequentazione con una persona, subito indagata, anche se Georgette ha dei fortissimi, anche se immotivati, dubbi. Tutta la storia è, naturalmente, infarcita di riferimenti storici e artistici a Magritte e alle sue opere, al suo modo di fare arte, alle persone famose che ha realmente incontrato, il tutto in una suggestiva Bruxelles degli anni 50/60. Sarei curiosa di continuare la serie, spero che Tre60 continui a tradurla.
J'avais assez hâte de découvrir cette nouvelle sage de cosy mystery et cette fois nous plongeons directement au coeur de la Belgique, au sein même du couple René et Georgette Magritte. En dehors de son art, le peintre adore résoudre des enquêtes et lorsque plusieurs femmes autour de lui sont tuées dans des conditions assez étranges, c'est plus fort que lui il doit mener son enquête. Il est assez doué dans ses recherches, il a le contact facile et arrive à faire parler les gens sans trop de difficultées.
Contrairement à ce que j'ai déjà lu dans le style du cosy mystery ici on fait un bon temporel car l'histoire se passe dans les années 50/60.
J'ai trouvé le couple assez loufoque et j'ai beaucoup aimé le personnage de Georgette. On a l'impression d'entendre l'accent belge au fur et à mesure de la lecture. D'ailleurs il y a beaucoup d'expressions belges et j'étais parfois un peu perdue.
Je lirai la suite avec plaisir même si ça ne sera pas ma série préférée dans le style du cosy mystery.
COUP DE COEUR!! Nadine Monfils encore une fois nous offre un pur régal de lecture. Beaucoup d'avis très pertinents ont déjà été postés, je vous laisse les découvrir. A l'instar de beaucoup j'ai adoré ce roman déjanté, ce René Magritte qui devient détective entre 2 coups de pinceaux, Georgette l'amour de sa vie et épouse au franc-parler plein de bon sens, Jacques Brel toujours et encore au firmament et bien sûr Bruxelles.. Nadine Monfils nous confie son amour inconditionnel de sa ville, de son pays, de ses habitants, glissant au fil des pages anecdotes, expressions et éclats de rire . Que cela fait du bien . J'allais oublier il y a bien sûr une enquête menée de pinceau de maitre cela va de soi, une enquête qui tient la route et une lectrice qui va se hâter de retrouver René et Georgette à Bruges.
Que dire de cette lecture ? Divertissant, mais sans plus. Je n'ai malheureusement pas adhéré au concept du roman : associer la figure emblématique de l'artiste belge Magritte à une enquête policière fictive. Points positifs : ce procédé permet aux lecteurs/-rices de se plonger dans le plat pays des années 50, de découvrir les plats traditionnels, les expressions belges... et surtout d'en apprendre davantage sur Magritte à travers l'évocation de quelques événements véritables de sa vie et de descriptions de certaines de ses peintures. Néanmoins, je n'ai pas réussi à me plonger dans cette représentation fictive de l'artiste peintre. Je n'ai pas eu la sensation que ce procédé apportait vraiment une plus-value au genre policier. L'idée était originale, mais finalement sans intérêt à mes yeux. Je ne pense pas lire la suite des aventures de Magritte et Georgette...
"C’était au temps où Bruxelles bruxellait... À l’arrêt du tram, le célèbre peintre René Magritte, chapeau boule, costume sombre et pipe au bec, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Il en parle à Georgette, son épouse, et immortalise la scène dans un tableau. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d’amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe."
J'ai bien aimé l'ambiance joviale, les descriptions du Bruxelles d'alors, des cafés et des personnages que l'on y rencontre. L'intrigue en elle-même ne m'a pas passionnée mais elle n'est qu'un prétexte au livre.
Un ouvrage qui fait sourire de par la rencontre de ses personnages et de leur franc parler. J’ai effectué un bond en arrière grâce à certaines expressions que les héros emploient. En effet, certaines d’entre elles étaient également utilisées par mes grands-parents comme «crache ta valda». De plus, l’enquête se déroule en Belgique et avec pour héros principaux Georgette Berger et René Magritte (que du belge ce qui n’est pas pour déplaire).
Deux mots peuvent qualifier cet ouvrage, gaieté et légèreté.
Cette première entrée des folles enquêtes de Magritte et Georgette possède tous les ingrédients d’un bon cosy mystery : une atmosphère chaleureuse invitant au voyage, des personnages décalés, une enquête légère et divertissante. La résolution est plutôt prévisible mais reste tout à fait convenable pour le genre. Pour moi, le principal bémol est l’absence de cohérence dans la chronologie des événements historiques référencés. On retrouve même plusieurs anachronismes. Quel dommage !
Une belle découverte que cette série d'enquetes menées par Monsieur et Madame Magritte. L'intrigue policière ne vaut pas grand chose et il y a quelques incohérences ( sans parler du chien qui change de nom) mais c'est une très belle déclaration d'amour à la Belgique. Avec en plus une présentation des oeuvres de René Magritte et de quelques chansons de Jacques Brel qui passe aussi nous voir au fil des pages.
Les Folles Aventures de Magritte et Georgette est indéniablement un livre au style soigné. Les tournures de phrases sont belles, élégantes même, et c’est un réel plaisir de lire une plume aussi raffinée. Malheureusement, ce joli écrin manque cruellement de contenu captivant.
Le suspense est quasi inexistant, et malgré plusieurs tentatives de reprendre ma lecture, je n’ai jamais réussi à m’immerger dans l’histoire. Les personnages, bien que prometteurs sur le papier, manquent de profondeur et peinent à devenir attachants. Il m’a simplement manqué ce petit quelque chose, cette étincelle qui fait qu’on dévore un livre au lieu de le reposer pour de bon.
Beautifully Written, but Missing the Spark
The Wild Adventures of Magritte and Georgette is undeniably a book with a polished, elegant style. The prose is beautiful—almost lyrical—and it’s a true pleasure to encounter writing this refined. Unfortunately, the substance doesn’t quite live up to the style.
The suspense is nearly absent, and despite several attempts to get back into the story, I just couldn’t stay engaged. The characters, while intriguing in concept, lack depth and fail to become truly relatable or endearing. There was something missing—a spark, that essential magic that makes a book impossible to put down.
Ce livre est cousu de fil blanc. L autrice nous inonde d anecdotes sur les peintres de cette époque, on a compris qu’elle est érudite ! Tout est expliqué sur un ton professoral. C est un livre très gnangna… je n ai pas pu aller au bout
Ho impiegato un sacco di tempo a leggerlo, non mi ha per nulla conquistata e, più che un giallo, mi è sembrato di leggere una biografia su Magritte. Ho apprezzato molto le descrizioni della città e delle differenze linguistiche. Per il resto, l’ho trovato piuttosto noioso.