Cosa può spingere una donna di quarantasei anni a togliersi la vita, quando ha ottenuto tutto quello cui poteva aspirare?
Una brillante carriera nel mondo della matematica, indicata dal padre e abbracciata con successo; un marito affettuoso che questo mondo condivide; un figlio prodigioso con cui scoprire la forma più profonda d’amore.
Perché proprio lei, Adèle, che rifulgeva circonfusa di luce, stimata, adorata, rispettata persino su un terreno, quello scientifico, tradizionalmente dominato dagli uomini, ha deciso di spegnere la sua stella per sempre?
Sembrava avere tutto, e invece, evidentemente, non aveva niente, niente che le rendesse almeno sopportabile la permanenza sulla terra.
Con queste domande che le affollano la testa, Rachel ripercorre i momenti di un’amicizia totale, assoluta, che la lega a Adèle dall’adolescenza e si è sviluppata nel segno della contraddizione tra due ambienti sociali e due visioni del mondo: quella dei Deville, letterati di rango, che crescono Rachel a pane e Proust, e quella dei Prinker, di estrazione più modesta, nella cui casa la scienza impera con la pervasività quasi fanatica di un culto.
La scelta di un indirizzo scolastico non è dunque banale: è una presa di posizione, una filosofia di vita, la premessa inderogabile per un futuro riconoscimento. Mentre Adèle eccelle, Rachel prova a inseguirla, fallisce, sceglie il silenzio. Esita, finché sarà il suo talento a scegliere per lei.
La ragazza perfetta di Nathalie Azoulai è il romanzo di una doppia formazione, in cui rivalità e intima fusione si alternano in un corpo a corpo insieme tenero e violento.
Due menti eccellenti e due sensibilità finissime si fronteggiano e si compenetrano, nell’aspra lotta che ogni donna affronta quando cerca il suo posto nel mondo. Soprattutto se è una donna eccezionale.
à cause du résumé et des premières pages, je m’attendais à un livre centré sur le suicide, sur les raisons de cet acte fait par une femme de 46 ans qui a une « vie parfaite ».
donc c’est peut-être ma faute si je n’ai pas aimé, j’ai peut-être trop attendu de ce livre mais j’ai passé les 250 pages à me demander à quel moment l’insistance sur les différences littéraire / scientifique allait avoir un rapport avec le sujet présenté, et même la fin (censée apporter une réponse) est décevante de ce point de vue là. ça et des clichés beaucoup trop gros concernant les littéraires et scientifiques, les différences des milieux, les relations entre ces milieux. ça et des personnages relativement peu attachants, et surtout, un regard sur le suicide qui, certes, est celui d’une proche donc subjectif évidemment, mais un regard qui insiste bien plus sur les conséquences de l’acte sur les proches que sur le pourquoi - alors que le roman est censé être centré sur la femme se suicidant. c’est évidemment un choix mais un choix qui m’a dérangée, et qui ne me paraissait pas si intéressant que ça dans le roman.
bref, il y avait de très belles idées, un potentiel dans l’histoire, mais j’ai failli lâcher ce livre à plusieurs reprises, et je ressors plus agacée qu’autre chose de cette lecture.
Le livre est intéressant en cela qu’il interroge constamment sur la dichotomie entre les mathématiques et la littérature mais également sur les travers de l’amitié que sont la jalousie et le ressentiment. L’auteur n’idéalise pas l’amitié, ne lui prête guère des traits romancés et interroge sur la beauté de la chose. Mais pour un livre qui traite du suicide, le sujet est quelque peu relégué au second plan. La question n’étant abordée que brièvement vers les derniers chapitres. La psychologie des personnages est sans cesse rapportée à cette dichotomie entre les sciences et la littérature au point où il est compliqué de réellement saisir ces personnages.
Une lecture agréable mais sans plus de rebondissements pour moi. On sent l'effet "L'amie prodigieuse" tout ça, mais le reste n'est pas si convaincant au-delà de l'écriture qui est vraiment très belle et bien maniée.
j’ai été happée par ce livre, le récit, la structure, le choix si minutieux de chaque mot. la relation entre les personnages fait écho aux personnages de « l’amica geniale » d’elena ferrante et j’ai adoré voir leur amitié décortiquée et analysée. on a est témoin de chaque pensée qui traverse le personnage principal, et c’est un privilège.
J’ai beaucoup aimé. Je crois? Enfin un peu difficile à comprendre par moments mais j’ai quand même lu le truc d’une traite et je crois que c’est un de ces livres que je me dois de relire.
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Clever, multilayered 'Science/Maths vs Arts/Literature' set piece, seen through a tragic female friendship. The opposition of the two cultures is interesting enough (I know plenty on both sides) and structurally, there's something smart and satisfying about a book that tries to unify the two, by means of two characters that don't feel like archetypes.
Along the way, plenty of food for thought on what makes friendship, the (unhealthy) weight of parental expectations, right vs left, 'literary' vs ''maths' culture and career vs parenting. It's packing a lot in.
Il y a tellement de raisons pour lesquelles je n’ai pas du tout apprécié ma lecture.
D’abord, le style d’écriture. Il est extrêmement lourd, et je n’ai pas du tout accroché à la plume de Nathalie Azoulai. J’ai eu l’impression qu’elle écrivait des beaux mots juste pour écrire des beaux mots sans que cela n’apporte rien d’intéressant à l’histoire.
La façon dont est dressé l’histoire : moi j’aurais bien aimé une histoire moins centrée sur Rachel. C’est toujours le point de vue de Rachel sur son amie Adèle. Et quelle amitié d’ailleurs ! L’une dénigre l’autre, il y a de la jalousie et une admiration malsaine. Finalement le livre ne dresse qu’une hiérarchie entre l’art/la littérature et les sciences. Qu’est-ce que c’est limité, quel dommage !
L’histoire est décevant car je m’attendais à comprendre pourquoi Adèle s’était suicidée, au final, j’ai eu le droit au discours narcissique d’une nana qui n’est pas foutue de penser à son amie. Le cliché maths > littérature est tellement vu et revu ! Tout est très binaire, au final c’est constamment l’opposition des deux domaines alors que ce sont des domaines qui sont souvent complémentaires (comment parler de sciences sans poser les bases de la philo des sciences ?).
L’histoire est clichée, centrée sur un personnage au final très égoïste et auquel je n’ai pas du tout réussi à m’attacher. Je ne recommande pas du tout ce livre
Assez mitigée sur cette lecture... Dans l'ensemble je trouve le style beaucoup trop "lyrique", inutilement compliqué et rendant la lecture fastidieuse. Cependant, je me suis surprise à bien accrocher par moments. L'histoire de ces deux meilleures amies qui se perdent de vue pour finir par (mieux) se retrouver m'a, sur certains aspects, beaucoup parlée. Cette vie de fille littéraire mais tout de même attirée par les sciences aussi. J'ai été super agacée par le côté pick-me d'Adèle, tout ce qu'on veut éviter en tant que féministe... Contente d'être arrivée au bout de cette lecture qui m'a pris bien trop de temps, c'était pas gagné d'avance !
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Non pensavo si potessero scrivere 300 pagine in cui viene ripetuto ossessivamente un unico concetto, ma questo "romanzo" ne è la prova lampante. Per carità, l'argomento è anche interessante (la contrapposizione tra cultura scientifica e cultura umanistica), ma... anche meno! Prolisso e ripetitivo, "La ragazza perfetta" abbonda di riflessioni che fagocitano del tutto la trama. Per la quale non è difficilissimo perdere completamente interesse.
Très bien, prenant. La différence entre scientifiques et littéraires et les différences de perception de la vie que ça engendre. Petit bémol pour les sciences, un personnage un peu trop cliché (carrément elle veut tout mesurer avec sa main et est obsédée par le fait de démontrer tout et n’importe quoi, je pense qu’il ne faut pas abuser)
Ça faisait tellement longtemps que j'avais pas lu un livre en français !!!! J'ai beaucoup aimé l'écriture de celui-ci, je l'ai lu rapidement, l'opposition littéraire/ sciences est tout de même très marqué
J’ai beaucoup aimé cette histoire d’amitié, cette dualité entre « les lettres » et « les sciences ». Chacune avec son mode de vie, sa vision du monde… une réflection étonnante sur ces antagonismes !
Dommage le concept était attirant / intéressant mais c'était si pénible à lire... Écriture lourde et lente, personnages peu/pas attachants. J'ai lutté pour arriver au bout...
Pédant, cliché et répétitif, finalement un propos très creux derrière une écriture alambiquée et ponctuée de références jusqu’à la nausée. Franchement déçue.
J’aimais bien l’idée mais les deux étaient trop « je suis pas comme des autres filles » et ça je le trouve un peu agaçant. L’écriture était très très bien