S.O.S. Météores

Blake et Mortimer #8

by Edgar P. Jacobs

Des phénomènes météorologiques d'une alarmante ampleur sévissent sur toute l'Europe occidentale, bouleversant la vie de millions d'hommes... À un hiver long et meurtrier a succédé un dégel propice aux inondations. Ces calamités n'ont pas épargné la France, et c'est dans un Paris que les affres du temps ne laissent pas d'inquiéter la population que débarque le professeur Mortimer. Préoccupé par ces fluctuations météorologiques et ses désastreuses conséquences, son gouvernement l'a chargé d'en déterminer les causes, et c'est avec cet objectif en tête qu'il se rend à Jouy, chez son vieil ami le professeur Labrousse, directeur de la météo. Mais Mortimer est détourné de ces préoccupations scientifiques passionnantes par une malheureuse affaire : la disparition inexpliquée du chauffeur de taxi que Labrousse avait envoyé chercher Mortimer à la gare. De fait, Mortimer est le dernier à l'avoir vu vivant et devient le principal suspect de la police. Notre bouillant Écossais décide de résoudre cette nouvelle énigme, et compte sur l'aide du capitaine Blake, lui aussi de passage en France. Le chef du MI5 est sur la piste d'un réseau d'espions dont le centre semble se situer à Paris même. Cependant Mortimer disparaît à son tour, avant d'avoir pu contacter Blake. Dès lors, ce dernier, aidé de Labrousse, se lance dans une double enquête : débusquer la mystérieuse filière, et retrouver son ami. Il va rapidement se rendre compte que tout semble lié : les catastrophes climatiques, la disparition de Mortimer et du chauffeur, et l'existence de ce réseau dont on ignore les motivations et les fantastiques possibilités. Et sur tout cela plane l'ombre inquiétante d'Olrik et d'une puissance étrangère aux moyens colossaux et aux intentions hostiles...

Genres: Comics, Bande Dessinée, Fiction, Graphic Novels, Adventure, Science Fiction, Graphic Novels Comics

64 pages, Hardcover

First published January 1, 1959

About the author

(aka E.P. Jacobs)

Edgar Pierre Jacobs naît le 30 mars 1904 à Bruxelles. Il se passionne très tôt pour le dessin et la musique. Après avoir exercé quelques petits métiers, il travaille dans la publicité. Parallèlement, à partir de 1921, il devient figurant au Théâtre Royal de la monnaie à Bruxelles. Le 25 août 1922, le futur chanteur d'opéra signe son premier contrat d'artiste aux cotés de Mistinguett pour la Grande Revue du Casino de Paris. Le 29 août 1929, le baryton reçoit le premier grand prix de chant. Il sera engagé juste après, comme artiste lyrique, à l'opéra de Lille.
En 1940, il doit abandonner la scène, à cause de la seconde guerre mondiale, chose qu'il regrettera toute sa vie. Le "baryton du neuvième art" allait dès lors s'illustrer dans des travaux graphiques alimentaires (publicité, catalogues, presse) qui le mèneraient à d'autres "planches", celles de la Bande Dessinée, dérisoires à ses yeux, qui pourtant lui assureraient une gloire de diva.
En 1941, il entre au journal "Bravo". Après quelques illustrations pour divers contes, nouvelles et romans, il se voit confier, en 1942, la reprise de "Flash Gordon", cette saga américaine dessinée par Alex Raymond ne parvenant plus en Belgique. Il s'en acquitte avec bonheur mais la censure allemande interdit la série quelques semaines plus tard.
En 1943, Jacobs élabore une nouvelle bande dessinée de science-fiction intitulée "Le Rayon U". Jusqu'en juillet 1946, il collabore à "Bravo". Entre-temps, il fait la connaissance d'Hergé. Ce dernier lui confie, à partir de 1944, la mise en couleur et les décors de ses albums. Il entreprend des corrections, des remises au format et les coloriages de "Tintin au Congo", de "Tintin en Amérique", du "Sceptre d'Ottokar" et du "Lotus Bleu". Il travaille également sur le "Trésor de Rackham le Rouge", les "Sept Boules de Cristal" et le "Temple du Soleil". Cette collaboration liera les deux hommes d'une profonde (et rivale) amitié qui culmine au lendemain de la guerre lorsque Jacobs n'hésite pas à jouer du gourdin pour défendre Hergé contre les épurateurs d'une autre espèce de "collaboration".
En septembre 1946, Hergé invite son compère à participer au lancement du journal "Tintin". Le 26 septembre de cette année-là, dans un numéro 1 aujourd'hui recherché comme une pièce de trésor, paraît la première page du "Secret de l'Espadon". L'aventure de nos trois immortels héros : Blake (inspiré par son grand ami Jacques Laudy), Mortimer (inspiré par son autre grand ami Jacques Van Melkebeke) et Olrik (inspiré de Jacobs lui-même) commence. Ce dernier, colonel et gangster à monocle, est l'incombustible prince du mal que combattent deux chevaliers de l'ordre historique et scientifique : l'émérite capitaine d'aviation Francis Percy Blake, chef du "MI5", blond et flegmatique Gallois, et son "good old fellow", le professeur Philip Edgar Angus Mortimer, bouillant barbu rouquin (né aux Indes), spécialiste de physique nucléaire tout autant que de biologie moléculaire.
En 1947, Jacobs abandonne sa collaboration avec Hergé et se consacre dès lors de manière quasi-exclusive à sa propre série où il fait vivre de multiples et périlleuses aventures à ses very British Héros. Après avoir gagné, grâce à l'Espadon (un sous-marin volant révolutionnaire), la troisième guerre mondiale menée par le diabolique colonel pour le compte des Jaunes (Hiroshima, en 1946, n'est pas encore un remords ...), Blake et Mortimer ne perceront "Le Mystère de la Grande Pyramide" (début de la parution le 24 mars 1950) qu'après un nouvel affrontement, en Egypte, avec Olrik,... qui s'en sortira, forcément, mais si déglingué qu'il deviendra l'esclave téléguidé d'un savant fou dans "La Marque Jaune" (début de la parution le 6 août 1953), semant la terreur dans Londres, où veillent heureusement Blake et Mortimer. Ces derniers ne laisseront échapper leur ennemi préféré que pour mi

Reviews

[Michael · Rating 3 out of 5]

SOS METEORE wurde erstmals 1959 veröffentlicht und ist inhaltlich ein Kind des Kalten Kriegs: Blake und Mortimer kommen nach Paris, um herauszufinden, warum das Wetter in ganz Europa verrückt spielt. Bald stellt sich heraus, dass nicht eine aus den Fugen geratene Natur, sondern üble Machenschaften hinter den Katastrophen stecken (ein paar Jahre später wurde die Idee in einer großartigen Folge der AVENGERS mit John Steed und Emma Peel aufgegriffen).

Beim Lesen des Comics war ich hin- und hergerissen.
Positiv aufgefallen ist die wirklich tolle Artwork, ein perfektes Beispiel für die frankobelgische ligne claire. Tolle Zeichnungen, tolle Kolorierung, viel Zeit- und Lokalkolorit. Dafür 5 Sterne.

Die Handlung selbst beginnt durchaus spannend, auch wenn sie sich zunächst nur langsam entwickelt. Dann gerät sie leider aus dem Rhythmus und manche Passage geraten zu ausführlich. Und schließlich tun sich manche Ungereimtheiten auf, über die man großzügig hinwegsehen muss, um sich nicht den Spaß zu verderben. Daüfür gibt es 3 Sterne.

Dann aber das Hauptärgernis: Warum traut Jacobs seiner eigenen Artwork nicht? Mehr oder weniger jedes Panel hat ein Kästchen, in dem in Worten das zu lesen ist, was das Bild ohnehin schon an Information hergibt. Um das Maß vollzumachen, verbalisiert die Figur mittels Sprechblase das Geschehen zusätzlich. Das fühlt sich an, als würde ich im Fernsehen einen Film mit der Tonspur für Sehgeschädigte anschauen.
Beispiel: Ein Bild zeigt Mortimer, wie er vor einer Mauer auf dem Boden kniet und sich mit einer Hand den Kopf hält (man vergegenwärtige sich: ligne claire, keine Missverständnisse möglich).
Im Kästchen steht zu lesen: "Kurz vor der Mauer sinkt Mortimer in die Knie..." - okay, doppelt hält besser.
Und in der Sprechblase von Mortimer lesen wir: "Ich kann nicht mehr!"
Nun sollte es jeder begriffen haben.
Dieses dauernde Schießen aus allen Rohren ist nervig, besonders, weil viele Kästchen größere Textmengen enthalten, die zum guten Teil überflüssig weil redundant sind. Außerdem wird so unnötig viel von der Artwork verdeckt, schade.
Und: In der von mir gelesenen deutschen Ausgabe klingt die Sprache oft sehr hölzern.
Vermutlich hat man zur Zeit der Erstveröffentlichung den Informationsüberfluß gar nicht wahrgenommen, aber aus heutiger Sicht wird das Lesevergnügen dadurch deutlich geschmälert. Aber vielleicht muss man ja mehrere Hefte der Reihe lesen, um sich in eine entsprechend nostalgische Stimmung zu bringen.
Im Fazit drei Sterne für ein künstlerisch gelungenes Abenteuercomic.

[João Teixeira · Rating 2 out of 5]

Custou-me a ler este livro... Não achei a história muito interessante... e é tão palavrosa...!

[Nicolas · Rating 4 out of 5]

Une intrigue joliment menée dans la banlieue parisienne, à une époque où des villes comme Massy, Jouy-en-Josas, étaient encore plus proche de la province que d'une espèce de méga-métropoloe, comme c'est maintenant le cas.
Olrik dynamise évidement l'histoire, et le lien entre le microcosme (les aventures somme toute anecdotiques de Mortimer et de son chauffeur de taxi) et le macrocosme (la météo toute déréglée - par les essais nucléaires, déjà) donne un tour très personnel à l'histoire.
C'est certes un tome moins facile d'accès que, par exemple, la marque jaune, mais il est cependant loin d'être inintéressant.

[Gijs Grob · Rating 4 out of 5]

'S.O.S. Meteoren' is een rare titel voor een strip waar niet één meteoor in voorkomt, maar waar het weer een hoofdrol in speelt. Heel Europa is in aanhoudend slecht weer gedompeld en Blake en Mortimer zoeken in Parijs uit waarom. Voor het gemak ligt de bron van al het kwaad om de hoek. Het plot is niet de sterkste kant van dit verhaal, maar Jacobs houdt het mysterie lang in stand (ca. t/m tweederde van het verhaal) en er zit een erg spannende achtervolging in. Na de opbouw van al die spanning valt de finale wat tegen en eindigt zelfs in een anticlimax. Niet Jacobs' sterkste, maar niettemin een mooi voorbeeld van jaren vijftig science fiction en koude oorlog-denken.

[Yngve Skogstad · Rating 3 out of 5]

Really liked the plot, and the "ligne claire"-artwork I also find very appealing. Someone should have introduced Edgar Jacobs to Twitter though, cause the frames are absolutely overloaded with text, much of it redundant. I think he should have had more faith in his artwork doing the talking.

A sidenote: This is the second Blake & Mortimer issue that I've read (the other one being "The secret of the swordfish" trilogy) and I have still yet to see a woman uttering a single word. Am I the only one who find this very peculiar? Guess it's a product of its time (and setting), but still...

[Stephen · Rating 4 out of 5]

Another instalment of the Blake & Mortimer saga. This time, the issues are weather modification and how manipulation might not be the the advantage of everyone. The main focus of the book is Mortimer this time, although Blake does make an appearance. Against the pair lies Olrik again, along with a range of his henchmen, in true Bond villain style. It has a stylistic approach to story telling, but I quite like this simple style, where good is good and bad is bad. It's very refreshing to get away from more nuanced stories. There is a twist at the end of this story - Olrik is captured and held for trial. That so obviously set the scene for the next volume to be almost criminal in itself.

I quite liked the artwork in this story. The dialogue could be a bit weighty at times, but the story just flowed along, without getting too bogged down at any point. The plot was a bit fantastical, but I was prepared to accept that. It is, after all, a work of fiction. I enjoyed reading this book. It's not at all long and has a nice pace to it. I wonder how Olrik will fare in future works?

[Johan · Rating 3 out of 5]

Een goed verhaal uit de Blake & Mortimer-serie, maar behoort niet tot de beste uit de reeks. Dateert van eind de jaren vijftig en speelt zich ook in die tijd af: koude oorlog en zo. Ik heb het de afgelopen decennia al enkele keren gelezen. Wat me nu opvielen waren het ontbreken van meteoren en hoe vreselijk veel tekst er in de tekeningen geperst wordt. Het zorgt er voor dat tekstballonnetjes een prominente plaats innemen en zelfs dan nog wordt een heel klein lettertype gebruikt. Meestal heb ik mijn bril niet nodig om een strip te lezen, maar hier wel. "S.O.S. Meteorologie" of "S.O.S. Meteorologen" was misschien een betere titel geweest, want het is het weer dat problemen veroorzaakt en de weersvoorspellers die met de handen in het haar zitten.

[Matti Karjalainen · Rating 2 out of 5]

Läntinen Eurooppa on poikkeuksellisen rajujen tulvien, rankkasateiden ja lumimyrskyjen runtelema. Nytkin on kyse ihmisen aiheuttamasta ilmastonmuutoksesta, mutta tällä kertaa jollakulla pahantahtoisella on hallussaan teknologiaa, jolla ilmastoa voi muokata mielensä mukaan. Mitäs siitä mahtaa seuratakaan?

Edgar P. Jacobsin "S.O.S. meteoreita" (Semic, 1991) on 1950-luvun loppupuolella ilmestynyt tieteis- ja seikkailusarjakuva, joka henkii kylmän sodan aikaista tunnelmaa. Tarina on vähäsen hömelö ja juoni karkaa loppupuolella ihan lapasesta.

Sarjakuva on visuaalisesti aika hieno, joskin piirrosjälki on hetkittäin vähän staattista ja jähmeää. Laitteet ja kulkuneuvot on piirretty pieteetillä.

[Green Jazz Blues · Rating 5 out of 5]

Another outstanding sci-fi adventure where Mortimer is asked to help solve the bizarre weather conditions. The fact that they are limited to Western Europe seems to be more than coincidence so it means someone has managed to manipulate the weather - Could such a thing be possible?
Here we meet a new personality - Professor Milosh Georgevich. However, we do not learn the identity of the mysterious "General" who wants to take over the world.

[Alessandro · Rating 5 out of 5]

Le trame di Jacobs sono sempre avvincenti anche se, forse, questo SOS Meterore é leggermente più debole del segreto dell’Espadon, del mistero della grande piramide, del Marchio Giallo, dell’enigma di Atlantide o del raggio U. Ma rimane comunque degno della grande tradizione del romanzo d’avventura a cui ci ha abituato, e bene, l’autore belga. Ad avercene, oggi, di trame così.

[Metabull · Rating 4 out of 5]

Laten we eerlijk zijn, het mysterie-thriller gedeelte is goed, het einde is minder.
We krijgen een klassiek Blake&Mortimer verhaal met wat James Bond elementen. En een snuifje SF uit de jaren 50.

Tekenwerk is klassiek en een paar grotere tekeningen hadden hier niet mis gestaan.

[Amanda · Rating 3 out of 5]

3 1/2 stars

[João Pires · Rating 4 out of 5]

A very good book of the Blake & Mortimer series. I liked a lot this album. Blake & Mortimer has some science fiction, policial and mystery. The characters, the drawings, everything is good.

[Milley · Rating 4 out of 5]

4

This one was better than the pyramid one. Again I loved the tintin drawings. This one had a better story and I loved the science fiction style of the 50s and 60s.

[R.J. Miranda · Rating 3 out of 5]

3⭐️ enredo peregrino e sem grande graça. Vale pelo mistério que domina a 1.a metade.

[Jovi · Rating 4 out of 5]

Muy buenos Blake y Mortimer. Muy entretenido.

[Usama Albastaki · Rating 3 out of 5]

It is written by one of Herge assistant. Nice story but not as exciting as tintin.

[Jeroen Mijnders · Rating 4 out of 5]

Mooi verhaal, zijn tijd ver vooruit.

[Zé Carlos · Rating 3 out of 5]

3,3☄️
Qual é a história mesmo??

[Krishna Kumar · Rating 3 out of 5]

This series would be a little better if they didn't have Olrik and the same villains popping up in every book.

[Cony · Rating 5 out of 5]

My favorite Blake & Mortimer comic book. I love everything about it. As usual with Edgar P. Jacobs the story is extraordinary but when I read this volume, I also experience a sort of nostalgia for Paris of the late 1950s'. This is one of the few books a re-read once a year.

[William Vaudin · Rating 2 out of 5]

This was the first Blake and Mortimer volume I read and I was so looking forward to getting into this series as I love the art style and the concept. But once I started reading it, it became such a chore. The main problem with this comic is that it's famed in a way that is almost impossible to understand or get into and makes you wonder why Edgar P. Jacobs felt he had to do it this way. Nearly every panel of this comic has a caption box at the top describing precisely what's going on on the panel as if we can't see that for ourselves. And what's worse is that you can't skip over them because sometimes, the panel doesn't convey what's happening like comic panels are supposed to.
I have no idea how Edgar P. Jacobs chose to do it this way or why this style is still being used by other writers years later, but I just hated it.
As for the story, it's nothing special. As always, the art style is fantastic, but the story is a lot to wonder about, and there's very little in the way of accrual stakes. There's no overall threat or conflict in the story, as a lot of the story is about wandering around Paris until something happens. Also, I don't know why Olrick had to be in this story, considering that the Scientist who created the weather machine would have been a good enough villain on his own. I wanted to see more James Bond-style supination, but there's very little in the way of actual intranet or suspense. Also, Blake doesn't show up until Mortimer is captured in what is probably the only exciting part of the comic.
I really wish this series was better, as it was written like every other comic, but I dread having to read another one of these, even though I can't stay away from it.

[Helmut · Rating 3 out of 5]

Das Wetter macht, was es will

Tatsächlich kann man heute die Verwirrung der Protagonisten dieses frankobelgischen bande dessinée nicht teilen, wenn es um das Wetter geht. Die letzten paar Jahre erlebt man das zumindest hier in Deutschland immer wieder - völlig verregnete Sommer, Winter, die erst im Januar beginnen und dann bis März gehen, das Verschwinden von Frühling und Herbst, Temperatursprünge von 20 Grad innerhalb zweier Tage...

Doch in diesem Comic hat man von Beginn an den Eindruck, dass nicht nur Petrus hier ein Wörtchen mitzureden hat. Natürlich sind Blake und Mortimer hier einem üblen Plan auf der Spur, und wer die Reihe kennt, weiß, dass es bei den Fällen des dynamischen Duos selten um weniger als die Weltherrschaft geht.

Oh, diese Reihe macht mir Kopfzerbrechen. Einerseits bin ich begeistert von den detaillierten Zeichnungen in ligne claire, andererseits sind die mit überquellendem, laberigem Text zugekleisterten Panels eine echte Hürde für das Tempo und die Atmosphäre.


Dazu kommt ein typischer, bondmäßiger "und-das-ist-mein-Plan"-Monolog, ein Bösewicht, bei dessen Auftauchen dem Leser der Reihe so langsam nur noch ein "ach, der schon wieder" entfährt und eine Auflösung, die nicht mit dem Spannungsbogen mithalten kann. Warum ein belgischer Autor am Ende seinen britischen Helden eine Marseillaise unterschiebt, bleibt dann sein Geheimnis, ebenso, wer der eigentliche Kopf hinter der ganzen Geschichte ist - das ganze ist sehr unausgegoren.


Das erste Drittel, das allein Mortimer gehört, ist spannend und gut gemacht; das zweite Drittel, das Blake allein bestreitet, etwas bemüht, künstlich in die Länge gezogen, ebenso wie der Rest.

Wie gesagt, die Reihe bleibt mir ein Rätsel. Bei keiner anderen Comicreihe geht die Qualität von Zeichnungen und Erzählung so weit auseinander wie hier: Tolle Zeichnungen, furchtbare Erzählweise.

[Drew · Rating 3 out of 5]

In tone, it feels a bit like The Yellow "M", with a slowly developing mystery and seemingly disconnected clues that must be put together. It all has something to do with Europe's strange weather patterns which may or may not be artificially influenced.

The build-up here is nicely done and well-paced, so it's a shame that the climax and resolution feel a bit rushed and perhaps slightly confusing. Even with the standard trope of "since I'm going to kill you I might as well reveal my fiendish plot!" it's still unclear who the villains were working for and what their goal was. Or maybe I missed a bit of exposition somewhere along the way.

I'm also getting the sense that every Blake and Mortimer story has to feature car chases. (For what it's worth, they're very well done.)

[Michael · Rating 4 out of 5]

Whilst trying, with only partial success, to follow Professor Mortimer's investigations on a map of the area (a lot has obviously changed since 1954 when Jacobs wrote the story), I was pleasantly surprised to find that the good citizens of Toussus-le-Noble, a town that plays host to some of the action in this album, have named a road after the writer: Rue Ep Jacobs: Bien fait, mes amis!

I like the atmosphere in this one, all dark, rainy and brooding. The usual protagonists and villains, which you are either starting to get bored of or find comforting, like a bowl of your favourite soup after a cold, wet day. I incline to the latter.

[Nickname · Rating 3 out of 5]

Bello ma tralascia alcuni punti importanti come che fine fa la gente impazzita dalla nebbia tossica? Si riprende o muore? E perché la battaglia finale si risolve in una vignetta? Per il resto trama un po' ripetitiva nei modi ma fantastica nei contenuti e ottime ambientazioni e personaggi.

[Devero · Rating 5 out of 5]

Un'altra grande avventura, stavolta ambientata in Francia, nei dintorni di Parigi. Una storia molto ben costruita, con l'unica pecca di riciclare continuamente gli stessi avversari. Orlik dopo un poco stanca.

[Michael Wormsbecher · Rating 4 out of 5]

Komt geen meteoor in het verhaal voor. Het eind is onduidelijk, want laat nog veel vragen open.

Maar goed het stuk dat Mortimer zijn nachtelijke route probeert uit te zoeken vond ik erg goed, vandaar vier sterren.

[Alain · Rating 5 out of 5]

Fun!

[Jan Moens · Rating 5 out of 5]

9/10