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City Hunter perfect edition #1
City Hunter - Perfect Edition T01
À Shinjuku, les crimes font partie du quotidien. Mais il y a un nom dont la simple évocation fait trembler les plus grands malfrats. City Hunter est une légende qui prend un malin plaisir à interférer dans les affaires de ces individus. Derrière ce nom se cache en réalité un tandem redoutablement efficace : Ryo Saeba, le nettoyeur et Hideyuki Makimura, un ancien policier.
Lorsque ce dernier est tué par une organisation criminelle, son coéquipier promet de veiller sur sa sœur Kaori. De ce serment, naîtra un duo de choc !
Lorsque ce dernier est tué par une organisation criminelle, son coéquipier promet de veiller sur sa sœur Kaori. De ce serment, naîtra un duo de choc !
- GenresManga
426 pages, Hardcover
Published September 21, 2022
4 people are currently reading
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About the author
Tsukasa Hōjō
726 books89 followersTsukasa Hojo (北条司 Hōjō Tsukasa, born on March 5, 1959, in Kokura, Kitakyushu, Japan) is a Japanese manga artist. He studied technical design while still at Kyushu Sangyo University, where he began to draw manga. He worked on several one-shot stories before releasing his serialized works: Cat's Eye, City Hunter and Angel Heart.
Hojo claims that he really did not have any inspiration for these works other than having to meet a deadline. He says he wrote down a few things, he thought about a few things, and one day the ideas just came to him, out of thin air. In reality, the process was a lot more complicated, with editors involved, but fans got the benefit of Hojo's sense of adventure and humor.
After the success of Cat's Eye and City Hunter, Hojo went on to work on other series such as Family Compo. His current ongoing series is Angel Heart, a spinoff of City Hunter set in an alternate universe. It has been serialized in the Weekly Comic Bunch since 2001 and 30 collected volumes has been published so far.
Tsukasa Hojo is Takehiko Inoue's mentor. Inoue worked as an assistant to Hojo during the production of City Hunter. Hojo is also a long-time acquaintance of Fist of the North Star illustrator Tetsuo Hara, who was also one of the founders of Coamix. Hojo contributed to the production Fist of the North Star: The Legends of the True Savior film series by designing the character of Reina.
He was honor guest of the eleventh French Japan Expo which was held in July 2010.
(source: http://en.wikipedia.org/wiki/Tsukasa_...)
Hojo claims that he really did not have any inspiration for these works other than having to meet a deadline. He says he wrote down a few things, he thought about a few things, and one day the ideas just came to him, out of thin air. In reality, the process was a lot more complicated, with editors involved, but fans got the benefit of Hojo's sense of adventure and humor.
After the success of Cat's Eye and City Hunter, Hojo went on to work on other series such as Family Compo. His current ongoing series is Angel Heart, a spinoff of City Hunter set in an alternate universe. It has been serialized in the Weekly Comic Bunch since 2001 and 30 collected volumes has been published so far.
Tsukasa Hojo is Takehiko Inoue's mentor. Inoue worked as an assistant to Hojo during the production of City Hunter. Hojo is also a long-time acquaintance of Fist of the North Star illustrator Tetsuo Hara, who was also one of the founders of Coamix. Hojo contributed to the production Fist of the North Star: The Legends of the True Savior film series by designing the character of Reina.
He was honor guest of the eleventh French Japan Expo which was held in July 2010.
(source: http://en.wikipedia.org/wiki/Tsukasa_...)
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Community Reviews
Displaying 1 - 3 of 3 reviews
August 7, 2025
Paradoxalement la censure du dessin animé a fait que l'humour de ce dernier a vieilli de façon moins craignos que le manga, mais contente de découvrir la version originale et l'ajouter à ma collection.
April 28, 2024
Dans le quartier de Shinjuku, les femmes en détresse peuvent faire appel à City Hunter pour régler leur problème. Derrière se nom se cache en réalité un tandem : Ryo Saeba, qui agit sur le terrain, et Hideyuki Makimura, son collègue gérant l'organisation et les enquêtes. Cependant, l'arrivée d'un cartel de la drogue va profondément bouleverser ce tandem.
Etant très peu manga, je n'avais alors jusque là lu que Death Note, j'ai choisi City Hunter car son thème m'intéressait mais également car il semble d'actualité entre les films et les nouveaux animés. De plus, j'ai toujours beaucoup aimé le générique français de Nicky Larson.
Du côté des points positifs, je noterai avant tout le dessin. J'aime énormément la plupart des planches qui font bien plus réalistes que ce à quoi je m'attendais. L'intrigue peut également parfois être véritablement intéressante avec un Ryo Saeba qui n'hésite pas à tuer des gens au début pour arriver à ses fins de justice. Un événement survenant au bout de quelques chapitres vient dramatiser le tout et introduit un nouveau personnage, Kaori, une femme à forte personnalité.
Malgré tout, les côtés positifs sont contrebalancés par un amour vraiment très... japonais. N'allons pas par quatre chemins, sous couvert d'humour, Ryo Saeba est un harceleur sexuel. J'espère sincèrement que sa personnalité évolue un minimum au fil des tomes. Je lui "pardonne" au vu de son époque de sortie mais les premiers chapitres sont vraiment très déstabilisants et donnent envie d'appeler la police pour dénoncer le "justicier".
Concernant l'édition, il s'agit ici d'une "perfect" edition et je dois avouer que les planches colorées de temps à autres magnifient le tout.
Une découverte sympathique mais qui souffre tout de même des travers de son époque.
Etant très peu manga, je n'avais alors jusque là lu que Death Note, j'ai choisi City Hunter car son thème m'intéressait mais également car il semble d'actualité entre les films et les nouveaux animés. De plus, j'ai toujours beaucoup aimé le générique français de Nicky Larson.
Du côté des points positifs, je noterai avant tout le dessin. J'aime énormément la plupart des planches qui font bien plus réalistes que ce à quoi je m'attendais. L'intrigue peut également parfois être véritablement intéressante avec un Ryo Saeba qui n'hésite pas à tuer des gens au début pour arriver à ses fins de justice. Un événement survenant au bout de quelques chapitres vient dramatiser le tout et introduit un nouveau personnage, Kaori, une femme à forte personnalité.
Malgré tout, les côtés positifs sont contrebalancés par un amour vraiment très... japonais. N'allons pas par quatre chemins, sous couvert d'humour, Ryo Saeba est un harceleur sexuel. J'espère sincèrement que sa personnalité évolue un minimum au fil des tomes. Je lui "pardonne" au vu de son époque de sortie mais les premiers chapitres sont vraiment très déstabilisants et donnent envie d'appeler la police pour dénoncer le "justicier".
Concernant l'édition, il s'agit ici d'une "perfect" edition et je dois avouer que les planches colorées de temps à autres magnifient le tout.
Une découverte sympathique mais qui souffre tout de même des travers de son époque.
January 22, 2023
Le trait de crayon de Hōjō est dans une ligue à part. Son expressivité, ses compositions dynamiques, cinématographiques. De la haute voltige et constamment je devais me rappeler de lire plus lentement pour apprécier tout ce talent décliné dans chaque case avec un naturel confondant. Tellement fort que j'ai rudement envie en 2023 de replonger dans l'univers du manga, que j'ai laissé tombé en 1999 (dans ces eaux) avec Dragon Ball (qui m'obsédait).
Bon. N'empêche que City Hunter... concernant les femmes... ça vole moins haut. Suis cap' de faire la part des choses (suis un adulte après tout), mais demeure que les gags grivois avec des lycéennes mineures, c'est pas trop dans mes goûts mettons. Y'a quand même de la nuance (le personnage de Kaori), mais au début j'avais carrément le goût d'aller sacrer le tout aux vidanges.
Bon. N'empêche que City Hunter... concernant les femmes... ça vole moins haut. Suis cap' de faire la part des choses (suis un adulte après tout), mais demeure que les gags grivois avec des lycéennes mineures, c'est pas trop dans mes goûts mettons. Y'a quand même de la nuance (le personnage de Kaori), mais au début j'avais carrément le goût d'aller sacrer le tout aux vidanges.
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