Pseudonym of Yann le Pennetier or Lepennetier, who also publishes as Balac, is a French comics writer.
[FR] Après ses débuts dans la publicité et l’architecture, ce Marseillais s’est lancé dans la bande dessinée en 1974 en dessinant pour Spirou à Bruxelles où il habite désormais.
Remercié par le journal pour dessins irrévérencieux, il avait noué des liens forts de franche camaraderie avec Conrad avec qui il a notamment réalisé les Innommables en 1980 et lancé la Tigresse blanche en 2005.
Ses premiers scénarios l’avaient conduit dans l’univers de Franquin avec le Marsupilami en 1989 et de Goscinny avec Lucky Luke sans oublier son one-shot sur une aventure de de Spirou. Il écrit depuis pour de nombreux dessinateurs comme Berthet (Pin Up, Yoni, les exploits de Poison Ivy), Simon Léturgie (Spoon White), Félix Meynet (les Eternels) avec ou encore Herval (Tiffany), René Hausman (Les Trois cheveux blancs, Le Prince des écureuils), Yslaire (Sambre), Joël Parnotte (Le Sang des Porphyre)...
Otra aventura del hijo de las estrellas, que aquí tiende más a la ciencia ficción que en otras de sus historias. No llega a los grandes niveles que alcanzó en su momento, pero es una historia eficaz con un dibujo correcto.
L'écriture des personnages féminins qui a pas évolué en 50 ans c'est la honte. Kris de Valnor qui est une folle hystérique (elle avait même plus de profondeur avant...), Aaricia une femme au foyer soumise, et même Slive, un des premiers personnages créées, on apprend qu'elle a été détruite quand elle a perdu son mari (oki) et qu'elle était amoureuse de Thorgal aussi en fait 🤓 Quelle femme n'est pas amoureuse de Thorgal je vous le demande, il en a de la chance 🤓 Même le nouveau perso féminin elle est seule et perdue et sans Jolan elle serait rien, elle a même eu besoin de lui pour se trouver un prénom c'est super ☺️ Et puis bon, le fait que les tomes les plus mémorables depuis qu'on a ce ce scénariste c'est en faisant constamment référence au DEUXIÈME TOME(/41 je rappelle), c'est pas un hasard. Soit dit en passant c'était pas grandiose et c'est dommage d'avoir cassé le mystère du peuple des étoiles avec une intrigue aussi plate. Le feu écarlate est le dernier tome vraiment mémorable pour moi, mais quitte à sortir toujours plus de tomes j'espère qu'on aura droit à un vrai bon tome à nouveau.
Narration pas très subtile, un brin naïf, incompréhensible par moment due à l'utilisation d'un nouveau jargon. L'histoire se laisse lire mais quand je repense aux volumes auxquels font référence cette histoire, je ne peux qu'éprouver une grande déception.
Powrót Atlantów wydaję się być nieco wysilony, choć Yann zadbał o to by wciśnięcie w opowieść wcześniej nie wspomnianych grup Atlantów miało jakikolwiek sens. Czas poświęcony w poprzednim albumie na zbędne wątki z Anielem czy Kriss, można było przeznaczyć na opowiedzenie więcej o Atlantach, bo momentami akcja gna przez ledwie kilka kadrów, albo nie widzimy tego co warto było pokazać. Ogólnie trudno nie porównywać tej historii z albumem nr 2 "Wyspą lodowych mórz", a tego porównania "Tupilaki" po prostu nie wytrzymują. dwie gwiazdki tylko dlatego, że były duuuużo gorsze tomy.
C'était prometteur, mais la pléthore de termes techniques ou inventés donne légèrement la nausée. Pas besoin de tant de mots lancés à la gueule du lecteur pour comprendre qu'on est dans un album entre la science-fiction et le surnaturel. En fait, juste: pas besoin d'autant de mots, tout court. À plus d'une page, j'ai soupiré en me demandant combien de temps il me fallait encore pour arriver à la page suivante. Pas sympa.
Bref, trop d'explications, de justifications. On a envie d'aimer, et comme je disais c'était prometteur, mais juste pas à la hauteur...
The downward trend sadly continues with this one - the plot is so inelegant that huge amounts of text are needed to explain it; there's little consistency with early episodes; everything's turned up to 11 so there is no real gradation of intensity from frame to frame. The tupilaks themselves disappear in the confused and overly packed flow.
Je ne suis complètement convaincu par la nouvelle visite dans le passe de Thorgal. L’idée me semble un peu forcée, la réalisation – très rapide. Mais quand même, intéressante. Cependant, je continue avec mon conviction que l’absence de Jean van Hamme est évidente. Les sujets après son départ manquent quelque chose.