En 1871, à la création de l’Italie, trois personnages vont se croiser, se perdre et se retrouver. L’action se passe en 1871, l’année où est née l’Italie. Un orphelin qui veut changer le monde avec son appareil-photo. Une artiste de cirque passionnée de politique. Une comtesse aux aspirations républicaines. Trois personnes que le destin conduit à Rome en 1870, cœur battant de l'Italie. Leurs chemins se croisent au milieu de cette ville prometteuse, et leurs rêves apparaissent comme un lien magique. Mais Rome l'éblouissante, l'insaisissable, présente des défis inattendus à ses nouveaux admirateurs. Jusqu'au jour où un événement dramatique secoue la Ville éternelle...
Luca di Fulvio was born in Italy. He is an italian writer. Di Fulvio studied dramaturgy at the Accademia d'Arte Drammatica Silvio D'Amico in Rome under Andrea Camilleri. Then he was half a year as a member of The Living Theatre, where he could work in London together with Paola Bourbons, Sergio Graziani, Mario Maranzana, Andrzej Wajda and Julian Beck. Since 1996, Di Fulvio has also worked as a writer. Some of his novels were published in German. In 2008 he published the novel "La gang dei sogni", which also in English under the title since 2011 The boy who dreams gave is available. In the novel, he focuses not only violence against women, but also processes the lives of immigrants in New York City in the 1920s, where he was close to Martin Scorsese's epic Gangs of New York-based, according to his own statement.
Am început să citesc această carte în franceză și pe telefon. Nu e încă tradusă în română. Am citit tot ce a scris Luca di Fulvio și a fost tradus în română. Îmi place mult cum scrie, pot să spun ca e unul din scriitorii italieni preferați. Mi-a și comentat la o recenzie făcută pe Instagram, ceea ce mi-a demonstrat ca e și un om atent la și cu cititorii săi. Din păcate, ne-a părăsit anul trecut, după o luptă îndelungată cu o boală necruțătoare.
la magie opère dans les ruelles romaines, malgré quelques maladresses, et la fin « trop » heureuse en fait une lecture parfaite sous le soleil italien.
+1 étoile pour le moment surréaliste qui a vu mon voisin de plage profiter de ma lecture pour me faire un cours sur l’unification italienne : merci Vito —
J'ai adoré, le roman nous transporte à la naissance du Royaume d'Italie, à la rencontre de personnages qu'on croit contempler de nos propres yeux tant leur réalisme est saillant.
Un classique Luca di Fulvio: des orphelins, de la misère, une histoire d'amour, un méchant à leur trousses, une fin heureuse. Mais ce que j'ai apprécié dans ce roman en particulier, c'est l'histoire de famille et la manière non-manichéenne dont les personnages sont décrits. Même les méchants, on ne les déteste pas complètement, même les gentils ont une part d'ombre, et alors on obtient tout le spectre des couleurs.
Des personnages attachants, une tension permanente, des rebondissements. Mélange d'histoire de révolution, d'amour impossible, de déchirements, sur des faits historique. Bien écrit.
Un bon roman à l'intrigue prenante, le destin des protagonistes s'y lie au destin du pays, on voit naître les personnages en même temps que la République d'Italie.
J'ai versé des larmes à plusieurs reprises car je suis une personne sensible et les histoires simples mais réalistes m'ont touchées. L'écriture est efficace mais un peu niaise à mon goût. J'ai l'impression que parfois, l'auteur a peur qu'on ne comprenne pas ... il nous explique et répète des éléments de l'histoire qui sont pourtant évidents... un peu comme les mauvais film où ils font une scène pour texpliquer ce qui vient de se passer alors que tu avais compris tout seul ... Malheureusement, les phrases banales me sortent de la lecture et de l'histoire.
C'est un roman qui redonne espoir - le bien triomphe malgré les tentatives du mal - ça fait du bien au moral.
Pour son cinquième roman, Luca Di Fulvio nous offre un roman historique mettant en scène sa magnifique ville éternelle : Rome. Le récit se déroule sur une période charnière dans l’unification de l’Italie entre mars et septembre 1870 à l’aube de la naissance de l’Italie. Trois personnages phares, trois destins. Pietro est choisit par la comtesse Boccamara dans un orphelinat pouilleux. Il devra apprendre à s’adapter à son nouveau rang dans une société changeante. Marta orpheline elle aussi, fait partie du cirque Callari et n’aura de cesse de connaître ses origines et bien sur Nella la comtesse. Le récit nous entraîne très vite dans la ville de Rome où les patriotes n’ont qu’une envie la libérer de l’emprise du Pape et des envahisseurs français. De nombreux autres personnages plus ou moins douteux viennent s’entrecroiser dans ce qui ressemble à une fresque fourmillante. L’auteur sait toujours aussi bien nous faire aimer ses personnages, ils sont humains, attachants et peuvent éprouver des sentiments opposés tout comme cela peut nous arriver. La courageuse Comtesse et le sage Capitaine Melo ont su toucher mon cœur. Un texte d’une intensité folle et de l’émotion à son comble avec le sang versé des patriotes, un peu comme dans les Misérables de Victor Hugo que l’auteur admire certainement. Au-delà du récit politico historique nous sommes face à des sentiments forts comme la vengeance, la trahison et beaucoup d’aventure avec une pointe de romance. C’était un plaisir tout au long de ses 680 pages, de suivre l’auteur dans sa ville natale pour une visite pointue et une belle découverte qui change mon regard sur Rome. On ne peut qu’apprécier le talent de conteur de l’auteur toujours prompt à imaginer des histoires qui vous retourne le cœur et que l’on n’oublie pas. Bonne lecture.
Lire un roman de Luca Di Fulvio c’est découvrir où retrouver l’authenticité de l’Italie, c’est partir en voyage dans son histoire… Je suis passé à ça d’avoir un coup de cœur, un roman immersif qui se dévore.
5 mars 1870, Royaume d’Italie (Olengo, commune de Novara).
Pietro Diotavelli, orphelin de 16 ans survit dans l’orphelinat Regio Istituto di San Michele Archangelo tandis que ceux qui travaillent au nom de la charité chrétienne ne manque de rien.
Ce jour-là, la comtesse d’Odìn lui offre sa chance, celle d’une autre vie, d’un autre destin même si cela signifie quitter Livio, son ami et son frère.
Delta du Pô, Pomposa.
Marta a grandi au rythme des représentations du cirque Callari, un événement fait ressurgir des limbes de son passé semant le trouble, entre réel et irréel. Le cirque recueille les enfants maltraités et abandonnés, leur offrant un refuge loin de la violence qu’ils ont connu.
En faillite après avoir donné toute leurs possessions pour le Royaume d’Italie, Pietro et la mystérieuse comtesse fuient pour recommencer une nouvelle vie ailleurs.
Marta retrouve Livio, le distributeur de tracts et celui qui lui offre son premier baiser.
A Rome, leur destin va se jouer tel des pions sur l’échiquier du pouvoir tandis que la comtesse et Pietro sont poursuivis par d’impitoyables vautours.
Au mépris du danger, tous vont survivre et se battre pour leurs idéaux, ceux d’une Italie unifiée et juste.
Pietro et son ami le prince Ludovico sont la nouvelle génération des combattants pour que Rome redevienne libre. Par nécessité, Pietro s’associe avec l’Albanese, la pire ordure de Rome. Au plus près de l’ennemi pour mieux assouvir sa vengeance.
Grâce à Ludovico, Pietro rencontrera Marta et connaîtra l’amour. Passionné de photographie, il utilisera son don pour immortaliser la Rome tel qu’il la voie au quotidien, entre richesse et pauvreté, entre beauté et danger.
Amour, idéaux et vengeance… Le destin d’hommes et de femme à l’avènement de l’édification de l’Italie.
Luca Di Fulvio nous dépeint Rome entre opulence et misère, où pour survivre on peut basculer du côté du mal et où seul l’amour pourra peut-être notre salut, l’espoir de revenir dans le bon temps. Les descriptions et le contexte historique sont fascinants et sont très bien écrits, faisant voyager ses lecteurs grâce une plume fluide et efficace qui offre un récit très fin avec une âme celle de celui qui aime cette ville.
L’histoire de la création de l’Italie où se joue le destin de Marta et Pietro sous le regard de Nella, une mystérieuse comtesse républicaine.
A la découverte d’une Rome authentique en quête de liberté !
C'est avec beaucoup de regrets que je quitte Pietro, Nella, Melo, Marta et tous les personnages de cette fresque romaine.. le rire, le sourire se sont mêlés aux larmes à la colère. L'espoir a remplacé la peur, l'amour l'a emporté et la magie de Luca di Fulvio a opéré! . De mai à septembre 1870, Etats pontificaux. Rome est à un tournant de son histoire. Luca di Fulvio se fait tour à tour conteur, historien, psychologue, amoureux et fait revivre une ville à nulle autre pareille sous les yeux ébahis de la lectrice inconditionnelle que je suis devenue au fil de ses romans.. Une lecture plaisante et fluide, une lecture enrichissante et instructive, des personnages hors du commun .. que demander de plus? A très vite Monsieur di Fulvio .
On suit le destin de Marta, Nella et Pietro au moment de l'unification de l'état d'Italie en 1870. L'auteur nous permet de découvrir une facette de Rome a l'époque et de la vie des romains. Le livre est dur à lâcher, et bien qu'il soit conséquent, se lit très vite. On y trouve des personnages attachants, un contexte historique intéressant et un mélange d'intensité, d'amour et de rebondissements pour un résultat vraiment réussi.
Jolie fresque historique sur l'indépendance du royaume d'Italie et la dernière bataille pour libérer Rome des forces d'occupation françaises. Des personnages haut en couleur et attachants comme toujours.
Un livre que j'ai agréablement apprécié , des personnages attachants Pietro Marta Melo nella et le reste . Ça m'a permis de connaître un chapitre de l'histoire d e l'Italie et sa réunification. J'ai également découvert un écrivain extraordinaire .
Très bon. On y retrouve beaucoup de similitudes avec Les Misérables de Victor Hugo. Là où la population de Paris se révolte, ici ce sont les romains. Beaux personnages auxquels on s’attache, tant les bons que les truands.
Belle "photographie" de la ville de Rome et des événements historiques qui s'y sont déroulés dans les yeux des personnages que nous suivons. Mon seul regret serait peut être en lien avec la fin du roman que j'ai trouvé belle mais prévisible...
Un souffle épique de liberté, de fraternité...un souffle héroïque...une ode à ces valeurs : liberté, égalité, fraternité...une ode à l'unification de l'Italie. Un roman haletant et époustouflant. Un grand roman d'amour..
Vraiment formidable. Un réel plaisir de lecture. L'auteur avait un rare talent pour conter son histoire. On sent une vraie tendresse envers ses personnages. Le voyage spatio-temporel est superbe