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La Trilogie du mal - Joshua Brolin #1.5
La Promesse des ténèbres
New York Mégapole de tous les possibles. De tous les excès. Où la verticalité des buildings s'oppose à celle des souterrains, toujours plus profonds, peuplés de SDF. Où des hommes se déguisent en vampires pour se repaître de la vie de leur partenaire. Où l'industrie pornographique underground se développe à une inquiétante vitesse. Où l'on vend la mort filmée en direct. Au cœur de ce maelström, le journaliste Brady O'Donnel, dans le sillage de Rubis, femme envoûtante, plonge dans l'enfer. Celui de la Promesse des Ténèbres.
432 pages, Paperback
First published May 6, 2009
28 people are currently reading
650 people want to read
About the author
Maxime Chattam
88 books1,019 followersEnfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. À quatorze ans, après avoir regardé le film Stand by Me, il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre Le Seigneur des anneaux et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule Le Coma des mortels. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige L'Âme du mal en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. In Tenebris sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire Maléfices. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie Maléfices. Il publie en 2005 Le Sang du temps. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 73 reviews
January 21, 2021
Voilà... je peux crever.
J'avais tellement hâte de connaître le déroulement de l'histoire de Brady, le mari d'Annabel de la trilogie du mal. Il est un des meilleurs livres que j'ai lu de ma vie. Niveau de stress incroyable, scènes très trash, violent, excellent. J'irais même jusqu'à dire qu'il est même meilleur que la dite trilogie. J'en reviens tout simplement pas, je vais y penser très longtemps, je suis traumatisé, choqué et complètement flabergasté... merde que c'était bon.
J'avais tellement hâte de connaître le déroulement de l'histoire de Brady, le mari d'Annabel de la trilogie du mal. Il est un des meilleurs livres que j'ai lu de ma vie. Niveau de stress incroyable, scènes très trash, violent, excellent. J'irais même jusqu'à dire qu'il est même meilleur que la dite trilogie. J'en reviens tout simplement pas, je vais y penser très longtemps, je suis traumatisé, choqué et complètement flabergasté... merde que c'était bon.
September 5, 2022
Mocne 3,5⭐️
I wyjaśniło się co się stało z mężem Annabel.
I wyjaśniło się co się stało z mężem Annabel.
July 1, 2021
Dans la Trilogie du Mal on apprend que Brady, le mari d’Annabelle a disparu du jour au lendemain sans laisser de traces... J’avais trouvé ça très curieux. Et dans ce roman (qui est donc un prequel) on découvre ce qui lui est arriver !
J’ai adoré l’histoire et je ne me suis pas ennuyée une seule fois durant ma lecture car il y a de l’action du début à la fin. C’est un roman très sombre et glauque comme je les aime ! De plus, je ne m’attendais pas du tout à cette fin.
J’ai adoré l’histoire et je ne me suis pas ennuyée une seule fois durant ma lecture car il y a de l’action du début à la fin. C’est un roman très sombre et glauque comme je les aime ! De plus, je ne m’attendais pas du tout à cette fin.
April 5, 2025
Trylogia Zła to jedna z moich ulubionych thrillerowych serii, więc czułam się w obowiązku przeczytać kiedyś Obietnice Mroku. Przysiadłam do zdobytego egzemplarza z dużym entuzjazmem i… już zaczęłam mieć złe przeczucia po pierwszych 54 stronach. Niestety słusznie.
Jest to dużo bardziej obsceniczna i wulgarna książka, gdzie nie masz cienia powodu do lubienia głównego bohatera, który ma najwyraźniej kryzys wieku średniego i zamiast zrobić z tym coś mądrego, to szuka wrażeń. Chattam moim zdaniem zdecydowanie ‘’przefantazjował’’ w tej książce i nie czytało się tego przyjemnie. Czułam się trochę jakbym miała przed oczami ‘’Dziewczynę z sąsiedztwa” Ketchuma, gdzie książka uciekła w skrajność i to kompletnie niepotrzebną i nie dodającą wrażeń. Szokowanie dla szokowania. Naprawdę niezbyt mam ochotę wiedzieć, że głównego bohatera podnieciło nagranie gwałtu.
Inny przykład dialogu wypowiedzianego przez detektywa: ‘’dziewczyna była bardzo zadbana, miała fantastyczne, zgrabne ciało. Dlaczego miałaby masakrować twarz, na pewno też ładną?” no nie wiem, panie DETEKTYWIE myślę, że samobójcy niekoniecznie się zastanawiają czy będą dobrze wyglądać po śmierci. Dziwiło mnie też, że nie próbowano szukać prochu na rękach.
Dużo zbędnych wykrzykników w dialogach i jakieś dziwne refleksje bohaterów, a na dokładkę stawianie mężczyzn w najgorszym możliwym stereotypowym świetle.
Przy wędrówkach po podziemiach miałam wrażenie, jakbym czytała jakieś horrorowe fantasy albo książkę aspirującą na horror, bo strasznie to było wszystko ‘’rozdmuchane” i wyolbrzymione.
Bardzo chciałam być zadowolona z tej książki, a tymczasem nie rozumiem skąd te wysokie oceny i nie ufam nikomu kto twierdzi, że to książka lepsza niż jakakolwiek część z Trylogii Zła. Plus jedynie za tempo historii i jednak zaskakujący mnie plot twist pod koniec, chociaż samo zakończenie mnie zirytowało.
Jest to dużo bardziej obsceniczna i wulgarna książka, gdzie nie masz cienia powodu do lubienia głównego bohatera, który ma najwyraźniej kryzys wieku średniego i zamiast zrobić z tym coś mądrego, to szuka wrażeń. Chattam moim zdaniem zdecydowanie ‘’przefantazjował’’ w tej książce i nie czytało się tego przyjemnie. Czułam się trochę jakbym miała przed oczami ‘’Dziewczynę z sąsiedztwa” Ketchuma, gdzie książka uciekła w skrajność i to kompletnie niepotrzebną i nie dodającą wrażeń. Szokowanie dla szokowania. Naprawdę niezbyt mam ochotę wiedzieć, że głównego bohatera podnieciło nagranie gwałtu.
Inny przykład dialogu wypowiedzianego przez detektywa: ‘’dziewczyna była bardzo zadbana, miała fantastyczne, zgrabne ciało. Dlaczego miałaby masakrować twarz, na pewno też ładną?” no nie wiem, panie DETEKTYWIE myślę, że samobójcy niekoniecznie się zastanawiają czy będą dobrze wyglądać po śmierci. Dziwiło mnie też, że nie próbowano szukać prochu na rękach.
Dużo zbędnych wykrzykników w dialogach i jakieś dziwne refleksje bohaterów, a na dokładkę stawianie mężczyzn w najgorszym możliwym stereotypowym świetle.
Przy wędrówkach po podziemiach miałam wrażenie, jakbym czytała jakieś horrorowe fantasy albo książkę aspirującą na horror, bo strasznie to było wszystko ‘’rozdmuchane” i wyolbrzymione.
Bardzo chciałam być zadowolona z tej książki, a tymczasem nie rozumiem skąd te wysokie oceny i nie ufam nikomu kto twierdzi, że to książka lepsza niż jakakolwiek część z Trylogii Zła. Plus jedynie za tempo historii i jednak zaskakujący mnie plot twist pod koniec, chociaż samo zakończenie mnie zirytowało.
July 29, 2009
Hum... J'ai lu tous les Chattam, et même si celui-ci se lit aussi facilement que les autres, je dois dire que ce n'est pas mon préféré. Cela ne tient pas spécialement au sujet, pourtant des plus délicat s'il en est, c'est plutôt cette impression persistante que l'action se traîne. Que l'auteur ne sait pas très bien quel chemin prendre pour nous amener à destination, et qu'il fait des tentatives au goût un peu désespéré. Vous me direz, c'est aussi le cas du héros, donc le pari devrait être réussi. Mais la mayonnaise n'a pas pris aussi bien que d'habitude, et tout en ayant aimé quand même, je reste un peu déçue.
January 30, 2021
Wooww quelle histoire !!!
Depuis la trilogie du mal je me demande ce qui se passe avec Brady et enfin, j'ai eu les réponses à mes questions.
J'étais heureuse de retrouver Annabel également.
C'est une excellente intrigue, violent à souhait, j'arrêtais pas de me demander le dénouement de l'histoire à chaque chapitre, je n'ai jamais vu venir la fin 😲
Je le recommande vraiment à tous !
Depuis la trilogie du mal je me demande ce qui se passe avec Brady et enfin, j'ai eu les réponses à mes questions.
J'étais heureuse de retrouver Annabel également.
C'est une excellente intrigue, violent à souhait, j'arrêtais pas de me demander le dénouement de l'histoire à chaque chapitre, je n'ai jamais vu venir la fin 😲
Je le recommande vraiment à tous !
September 21, 2021
Je n'ai absolument pas cru au personnage principal... et j'ai tout vu venir... Du coup, tout ce glauque pour ça...
July 15, 2018
My seventh book of this author I attach more and more to his books. The story kept me going from start to finish. A story filled with suspense and captivating twists, moving and especially scary: all that I like in the books of Maxime Chattam.
The story takes place in New York where the journalist Brady investigates the porn and life of Rubis except that by investigating he will plunge into darkness.
I look forward to immersing myself in another book by this author.
Mon septième livre de cet auteur j'accroche de plus en plus à ses livres. L'histoire m'a tenu en haleine du début à la fin. Une histoire rempli de suspens et de rebondissements captivante, émouvante et surtout qui fait peur : tout ce que j'aime dans les livres de Maxime Chattam.
L'histoire se déroule à New-York où le journaliste Brady enquête sur le porno et la vie de Rubis sauf qu'en enquêtant il va plonger dans les ténèbres.
Hâte de me plonger dans un autre livre de cet auteur.
The story takes place in New York where the journalist Brady investigates the porn and life of Rubis except that by investigating he will plunge into darkness.
I look forward to immersing myself in another book by this author.
Mon septième livre de cet auteur j'accroche de plus en plus à ses livres. L'histoire m'a tenu en haleine du début à la fin. Une histoire rempli de suspens et de rebondissements captivante, émouvante et surtout qui fait peur : tout ce que j'aime dans les livres de Maxime Chattam.
L'histoire se déroule à New-York où le journaliste Brady enquête sur le porno et la vie de Rubis sauf qu'en enquêtant il va plonger dans les ténèbres.
Hâte de me plonger dans un autre livre de cet auteur.
September 23, 2024
a Promesse des Ténèbres est un préquel de la trilogie du Mal qui nous plonge dans le monde hostile et sombre de la pornographie underground. Ce roman est extrêmement malsain, glauque et gore, et il révèle enfin la vérité sur la disparition de Brady, le mari d’Annabel O'Donnel.
Chattam nous entraîne dans un thriller qui nous fait tomber droit aux fins fonds des enfers, confrontant le lecteur aux pires atrocités de l’homme dans ses états les plus primitifs. L’écriture est à la fois percutante et dérangeante, rendant chaque page presque insoutenable. C’est un livre qui ne laisse pas indifférent et qui pousse à la réflexion sur la noirceur de la nature humaine.
Chattam nous entraîne dans un thriller qui nous fait tomber droit aux fins fonds des enfers, confrontant le lecteur aux pires atrocités de l’homme dans ses états les plus primitifs. L’écriture est à la fois percutante et dérangeante, rendant chaque page presque insoutenable. C’est un livre qui ne laisse pas indifférent et qui pousse à la réflexion sur la noirceur de la nature humaine.
January 28, 2019
hic đọc tới đoạn plot twist cũng không ngạc nhiên lắm, mình cũng tưởng truyện sẽ kết thúc êm đẹp như những truyện trinh thám với motif từng phần tương tự, vậy mà kết thúc khác xa mình hình dung à @@
chung là đáng đọc ạ, từng chi tiết liên kết với nhau chặt chẽ, khoảng 50 trang cuối hoàn toàn là bất ngờ.
chung là đáng đọc ạ, từng chi tiết liên kết với nhau chặt chẽ, khoảng 50 trang cuối hoàn toàn là bất ngờ.
June 25, 2025
Puréeee. J’avais trop trop hâte de lire ce spin-off après avoir lu la trilogie Brolin-Annabel.
J’ai aimé lire ce bouquin autant que les trois autres livres. L’histoire est folle et géniale, je me suis plongée dedans sans soucis. Et comme cette fois on suit Brady le mari d’Annabel, on connaît enfin son histoire et j’ai été hyper surprise de la fin.
J’ai adoré !
J’ai aimé lire ce bouquin autant que les trois autres livres. L’histoire est folle et géniale, je me suis plongée dedans sans soucis. Et comme cette fois on suit Brady le mari d’Annabel, on connaît enfin son histoire et j’ai été hyper surprise de la fin.
J’ai adoré !
January 29, 2023
merci chattam, d’écrire des livres si incroyables
May 14, 2018
Univers le plus sordide et affreux, creusant au tréfonds de la bestialité humaine. Porno monstrueux, un groupe 'La Tribu' recrute des jeunes SDF et les traînent dans cet univers. Ils les violent, jouissant dans des plaies creusées dans le corps des filles, filmant les scènes pour tous les malades qui voudront regarder.
Brady O'Donel le mari d'Annabel mène l'enquête en tant que détective privé, parce que celui qu'il croyait son meilleur ami de longue date l'a mis sur la piste. Il s'inquiétait pour Rubis. Qui se suicide sous les yeux de Brady, et cest là que tout commence. Il réalise qu'elle était une de ces filles, qu'ils y en a plein d'autres, et fini par rencontrer la tribu, et le Peuple Taupe de NYC, vivant dans les souterrains (véridique...). Plus tard il comprend que son ami en question, Pierre, était en fait le commanditaire de tout cela, c'est lui qui a créé la Tribu, il voulait que Brady tombe dedans... au final, alors que Pierre va mourir d'un cancer il dit a brady qu'il a prévu de faire tuer sa femme, pour détruire le dernier lien qu'il a avec la société. Pris de fureur et de panique, réalisant que c'est la seule solution, Brady embrase le repaire de La Tribu, brûlant le cercueil de ces malades qui se prennent pour des vampires. Gravement blessé, il appelle le partenaire de sa femme, Jack Thayer, pour l'aider, n'ayant jamais rien dit à sa femme qui était sur l'enquête avec son Precinct mais est passée à côté de tout. Quand Jack arrive, il avoue à Brad qu'il savait tout. Le problème est qu'il croit que Brad fait partie de la Tribu... Apres avouer aimer la femme de Brady, il finit par le tuer pour la protéger de lui.
Ainsi on sait aussi ce qui est arrivé à Brady... Dans tous les livres son fantôme hante Anabel qui n'a jamais su ce qui était arrivé à son mari...
Brady O'Donel le mari d'Annabel mène l'enquête en tant que détective privé, parce que celui qu'il croyait son meilleur ami de longue date l'a mis sur la piste. Il s'inquiétait pour Rubis. Qui se suicide sous les yeux de Brady, et cest là que tout commence. Il réalise qu'elle était une de ces filles, qu'ils y en a plein d'autres, et fini par rencontrer la tribu, et le Peuple Taupe de NYC, vivant dans les souterrains (véridique...). Plus tard il comprend que son ami en question, Pierre, était en fait le commanditaire de tout cela, c'est lui qui a créé la Tribu, il voulait que Brady tombe dedans... au final, alors que Pierre va mourir d'un cancer il dit a brady qu'il a prévu de faire tuer sa femme, pour détruire le dernier lien qu'il a avec la société. Pris de fureur et de panique, réalisant que c'est la seule solution, Brady embrase le repaire de La Tribu, brûlant le cercueil de ces malades qui se prennent pour des vampires. Gravement blessé, il appelle le partenaire de sa femme, Jack Thayer, pour l'aider, n'ayant jamais rien dit à sa femme qui était sur l'enquête avec son Precinct mais est passée à côté de tout. Quand Jack arrive, il avoue à Brad qu'il savait tout. Le problème est qu'il croit que Brad fait partie de la Tribu... Apres avouer aimer la femme de Brady, il finit par le tuer pour la protéger de lui.
Ainsi on sait aussi ce qui est arrivé à Brady... Dans tous les livres son fantôme hante Anabel qui n'a jamais su ce qui était arrivé à son mari...
This entire review has been hidden because of spoilers.
May 6, 2016
J’ai ce livre dans ma PAL depuis sa sortie, Chattam faisant partie des auteurs qui ne m’ont encore jamais déçue et sur lesquels je me précipite aveuglément. Paradoxalement, je prends parfois mon temps pour lire des livres pourtant achetés par pulsion !
Encore une fois, Chattam nous immerge dans la noirceur de l’âme humaine. On retrouve la détective Annabelle O’Donnel, déjà présente dans la Trilogie du mal, et on découvre comment et pourquoi son mari Brady disparaît.
L’auteur a choisi d’explorer une face peu reluisante de l’Homme, lorsque les derniers tabous n’ont plus de raison d’être. Sexe, violence, déviances diverses, l’univers de la pornographie underground n’a que peu de limites. Celles-ci sont définitivement franchies lorsque Brady décide de partir à la découverte de lui-même, pour comprendre ce qu’il est, comprendre l’Homme, mais aussi pour connaître Rubis, et accepter sa mort.
Il plonge alors dans une spirale irréversible vers le mensonge, le vice, la violence, mais aussi la misère la plus sordide. On découvre avec lui les souterrains de New york, le peuple-taupe, les SDF qui se terrent à l’abri du jour et des regards de la société.
Chattam nous propose un voyage au plus profond du vice et de la misère, la quête d’un homme emporté par ses propres questionnements et inquiétudes.
Le destin de Brady O’Donnel est scellé dès le départ, et le dénouement sera à la hauteur de l’ambiance générale du livre, cruel et sans espoir.
Encore une fois, Chattam nous immerge dans la noirceur de l’âme humaine. On retrouve la détective Annabelle O’Donnel, déjà présente dans la Trilogie du mal, et on découvre comment et pourquoi son mari Brady disparaît.
L’auteur a choisi d’explorer une face peu reluisante de l’Homme, lorsque les derniers tabous n’ont plus de raison d’être. Sexe, violence, déviances diverses, l’univers de la pornographie underground n’a que peu de limites. Celles-ci sont définitivement franchies lorsque Brady décide de partir à la découverte de lui-même, pour comprendre ce qu’il est, comprendre l’Homme, mais aussi pour connaître Rubis, et accepter sa mort.
Il plonge alors dans une spirale irréversible vers le mensonge, le vice, la violence, mais aussi la misère la plus sordide. On découvre avec lui les souterrains de New york, le peuple-taupe, les SDF qui se terrent à l’abri du jour et des regards de la société.
Chattam nous propose un voyage au plus profond du vice et de la misère, la quête d’un homme emporté par ses propres questionnements et inquiétudes.
Le destin de Brady O’Donnel est scellé dès le départ, et le dénouement sera à la hauteur de l’ambiance générale du livre, cruel et sans espoir.
July 20, 2019
[Vietnamese below]
Who have mr. Chattam’s number? I will suggest him another twisted ending. According to this, Anabel was also inside one of the coffins. Brad burned them but then got her out. Two of them were trapped! When attempting to kill Brad, Jack Thayer detected Anabel also there. So he was ashamed of what he said to Brad. Jack killed himself then. Brad and Anabel got out of Mole World. Anabel got some burns in the rest of her life, but Brad still loved his wife. More righteously? :))))
Okay, I know Chattam must choose an ending which fits the Act One Catalysts. It is one of the rules of this genre: Protagonist always refuses the adventure (to protect his status quo), not choose it. Brad made choices by himself, so the choices made him after. Don’t be sad.
[Vietnamese]
Chắc nhiều người bất mãn vì cái kết. Nhưng ở góc độ viết lách, tôi thấy ông Chattam hợp lý (đọc nhiều sách của ông ấy tôi phát hiện ra rằng Chattam rất mê gothic và southern gothic, vì thế ông ấy hay dùng các motif khá nghiêm ngặt của gothic fiction). Một trong số đó là: Nhân vật không được “tự dưng” phá vỡ status quo để nhảy vào cuộc hành trình. Nếu sự tự ý xảy ra, điều đó chắc chắn trở thành boomerang quay lại đập anh ta sau này. Phần kết vì thế tương hợp với phần mở đầu.
Nếu được xin gợi ý cho ông Chattam một cái kết khác, vẫn đúng quy trình nguyên tắc mà lý tưởng và đạo đức cách mạng hơn, quý ngài xem phần tiếng Anh sơ sài phía trên của tui nhé!
Who have mr. Chattam’s number? I will suggest him another twisted ending. According to this, Anabel was also inside one of the coffins. Brad burned them but then got her out. Two of them were trapped! When attempting to kill Brad, Jack Thayer detected Anabel also there. So he was ashamed of what he said to Brad. Jack killed himself then. Brad and Anabel got out of Mole World. Anabel got some burns in the rest of her life, but Brad still loved his wife. More righteously? :))))
Okay, I know Chattam must choose an ending which fits the Act One Catalysts. It is one of the rules of this genre: Protagonist always refuses the adventure (to protect his status quo), not choose it. Brad made choices by himself, so the choices made him after. Don’t be sad.
[Vietnamese]
Chắc nhiều người bất mãn vì cái kết. Nhưng ở góc độ viết lách, tôi thấy ông Chattam hợp lý (đọc nhiều sách của ông ấy tôi phát hiện ra rằng Chattam rất mê gothic và southern gothic, vì thế ông ấy hay dùng các motif khá nghiêm ngặt của gothic fiction). Một trong số đó là: Nhân vật không được “tự dưng” phá vỡ status quo để nhảy vào cuộc hành trình. Nếu sự tự ý xảy ra, điều đó chắc chắn trở thành boomerang quay lại đập anh ta sau này. Phần kết vì thế tương hợp với phần mở đầu.
Nếu được xin gợi ý cho ông Chattam một cái kết khác, vẫn đúng quy trình nguyên tắc mà lý tưởng và đạo đức cách mạng hơn, quý ngài xem phần tiếng Anh sơ sài phía trên của tui nhé!
August 9, 2022
Lire un prequel sans avoir lu la trilogie d'origine, check 😂😭. Mais c'est pas grave. C'est pas pour ça que j'ai pris ce livre. Je n'ai retenu que l'auteur et quelques mots clés. Parce que du peu que j'ai lu de lui, je me plais à dire que Maxime Chattam est un grand malade. Ça tombe bien, je suis certainement un peu dérangée moi aussi. De temps en temps j'ai besoin de partir en enfer. Une fois par an environ. J'ai besoin de lire ce que l'humain fait de pire. C'est une thérapie un peu violente.
Quand tu te poses des questions sur toi, vas fouiller dans le pire de la merde et vois que ce n'est pas toi. Vas te coucher rassuré. Mais quel est ce besoin de venir rouvrir la porte de l'horreur de temps en temps? Il y a des chemins qu'il ne faut pas refaire en sens inverse. Je parle pas vraiment de l'histoire, parce que ce n'est pas ce qui est important pour moi. Ces romans ont une odeur, âcre, qui fait tousser quand on est pas habitué.
Il faudrait mettre bien de TW à cette histoire, mais de toute façon, je ne les lis jamais. Pendant les premières pages je me sens comme une intruse dans cette saleté. Mais je me rends compte en refermant mon livre que j'y suis chez moi. Je connais ce liquide poisseux. J'ai eu ma dose, c'est bon, je peux retourner à la lumière. Mais je sais que c'est une porte qui n'est jamais fermée à clé. Que tôt ou tard je reviendrai la pousser et me gorger à nouveau de cette horreur. Et peut-être même que je lirai la trilogie du Mal maintenant.
Quand tu te poses des questions sur toi, vas fouiller dans le pire de la merde et vois que ce n'est pas toi. Vas te coucher rassuré. Mais quel est ce besoin de venir rouvrir la porte de l'horreur de temps en temps? Il y a des chemins qu'il ne faut pas refaire en sens inverse. Je parle pas vraiment de l'histoire, parce que ce n'est pas ce qui est important pour moi. Ces romans ont une odeur, âcre, qui fait tousser quand on est pas habitué.
Il faudrait mettre bien de TW à cette histoire, mais de toute façon, je ne les lis jamais. Pendant les premières pages je me sens comme une intruse dans cette saleté. Mais je me rends compte en refermant mon livre que j'y suis chez moi. Je connais ce liquide poisseux. J'ai eu ma dose, c'est bon, je peux retourner à la lumière. Mais je sais que c'est une porte qui n'est jamais fermée à clé. Que tôt ou tard je reviendrai la pousser et me gorger à nouveau de cette horreur. Et peut-être même que je lirai la trilogie du Mal maintenant.
April 19, 2017
J'avais adoré me plonger dans la Trilogie du Mal il y a plusieurs années et j'ai été très déçue par ce roman qui m'a laissé sur ma faim... Je le trouve assez glauque et sordide. Je me suis malgré tout attaché aux personnages et c'est pour cette raison que la fin assez abrupte m'a déçue. Le roman est bien ficelé même si tous les passages dans les souterrains de New York m'ont un peu ennuyé à la longue. Je pense que c'est tout de même un bon roman car la plume de Maxime Chattam est vive et acérée, j'aime beaucoup son style. En somme, c'est un bon roman mais pas fait pour moi!
March 3, 2024
Tập này được xếp trong bộ Joshua Brolin, số thứ tự 1.5 thế mà chả có cái tên Joshua Brolin nào thòi ra. Là cớ làm sao?
Nội dung thì hay, có cái để auy ngẫm. Tóm lại là cái khó nhất là vượt qua được chính mình.
Nội dung thì hay, có cái để auy ngẫm. Tóm lại là cái khó nhất là vượt qua được chính mình.
August 18, 2022
C'était pas trop mal écrit, mais c'est vraiment beaucoup BEAUCOUP trop trash/bestial/inhumain pour moi (pourtant j'ai le cœur bien accroché généralement).
La fin était un peu décevante, trop facile et sans motifs réels.
La fin était un peu décevante, trop facile et sans motifs réels.
June 4, 2012
Écouté environ le tier en livre lu. C'est trop dégueulasse. Pornographie extrême avec violence et tout. Le personnage principal est trop incohérent.
August 12, 2020
un retournement de situation magistral, je pensais que j'allais être déçue, mais j'ai été prise de court avec cette fin tordue
November 13, 2022
Please do not waste your time with this long, boring, non-sense story
February 8, 2021
Note réelle : 4,5/5
LC avec : Emma (@aufildeslignes_), Lauw’ (@la_vie_se_lit) & Lise (@crazy_thrillers) ♡
Quel plaisir de retrouver la plume de Maxime Chattam !
C’est à chaque fois une grande joie pour moi de me plonger dans ses polars / thrillers, car il est l’un des rares auteurs de ce genre dont je ne me lasse pas.
Son écriture est très addictive, et ses livres sont de vrais « page-turner ». A tel point que c’est parfois impossible de le poser pour faire autre chose, on est obligé de le dévorer.
C’est le moment où je demande des excuses à mes trois partenaires de lecture pour leur avoir faussé compagnie très rapidement, haha. J’étais incapable de m’arrêter, il fallait que je sache.
J’ai adoré lire cette histoire en votre compagnie, c’était chouette.
Je crois qu’on a toutes les quatre dévoré ce livre. Et qu’on a toutes eu plus ou moins les mêmes réactions aux mêmes passages. C’est ça qui est bien avec les LC : on peut parler de toutes les choses qui nous ont marqué, fait peur, fait rire, pleurer … et dans le cas des polars, on peut même essayer de voir où toute l’enquête va mener. Mais avec Chattam, mieux vaut ne même pas tenter. Il finit toujours par nous étonner (j’y reviens après).
En tout cas, les filles, on se refait une LC quand vous voulez, ce sera avec plaisir !
Concernant cette histoire, du coup, elle est en fait liée à La Trilogie du Mal (le livre correspond à un « tome 1.5 », si je ne m’abuse).
A mon avis, il peut se lire indépendamment de la Trilogie. Il y aura quelques éléments qui vous échapperont peut-être, mas globalement ça ne spoile pas la suite de l’histoire.
On retrouve des personnages qui apparaissent à partir du tome 2 et on en apprend un peu plus sur eux. Hormis cela, vous serez tout à fait capable de comprendre l’histoire sans pour autant avoir lu la Trilogie.
Mais comme souvent avec Chattam, si vous n’aimez pas les scènes très détaillées et bien sordides, ne le lisez pas. Je ne vais pas faire la liste des TW, parce que c’est un thriller donc il y en aurait forcément quelques-uns assez logiques, mais il y a quelques scènes assez violentes à lire, donc si ça ne vous convient pas, ne vous lancez pas.
Ceci étant dit …
J’adore la façon qu’a l’auteur de partir sur deux histoires a priori différentes, mais qui au final se recoupent parfaitement. Chattam est un adepte de cette manière d’écrire et il maîtrise si bien son sujet que je ne lui en veux pas de faire la même chose dans tous ses livres.
Il termine toujours ses chapitres de manière à ce qu’on ait envie de lire le suivant. Et le suivant. Et celui d’après. Et encore celui d’après. Et tu as lu 150 pages sans t’en rendre compte.
Et c’est ça que j’aime dans les thrillers.
Qu’il soit impossible de deviner la fin avant d’y être.
Et avec Chattam, notre cerveau est si retourné dans tous les sens que la fin nous surprend forcément.
Ça ne finit jamais bien en plus, c’est dire. Il y a toujours deux émotions contradictoires quand tu finis un Chattam : la joie d’avoir fini et d’avoir enfin le fin mot de l’histoire & l’amertume que laisse cette victoire, qui aura coûté tant de sacrifices. Maxime Chattam a le chic pour écrire des livres qui nous ouvrent les yeux sur notre monde actuel, et c’est si moche à regarder qu’on ne peut que détourner le regard.
Bref, on n’est pas passé loin du coup de cœur avec ce tome intermédiaire sur l’histoire d’Anabelle et de Brady.
C’était un très bon moment de lecture, avec juste ce qu’il faut de suspens et d’intensité.
J’ai encore plus hâte de continuer mon aventure dans l’œuvre de Chattam !
Il ne me reste qu’à vous souhaiter de bonnes lectures, et on se dit à la prochaine ! ♡
LC avec : Emma (@aufildeslignes_), Lauw’ (@la_vie_se_lit) & Lise (@crazy_thrillers) ♡
Quel plaisir de retrouver la plume de Maxime Chattam !
C’est à chaque fois une grande joie pour moi de me plonger dans ses polars / thrillers, car il est l’un des rares auteurs de ce genre dont je ne me lasse pas.
Son écriture est très addictive, et ses livres sont de vrais « page-turner ». A tel point que c’est parfois impossible de le poser pour faire autre chose, on est obligé de le dévorer.
C’est le moment où je demande des excuses à mes trois partenaires de lecture pour leur avoir faussé compagnie très rapidement, haha. J’étais incapable de m’arrêter, il fallait que je sache.
J’ai adoré lire cette histoire en votre compagnie, c’était chouette.
Je crois qu’on a toutes les quatre dévoré ce livre. Et qu’on a toutes eu plus ou moins les mêmes réactions aux mêmes passages. C’est ça qui est bien avec les LC : on peut parler de toutes les choses qui nous ont marqué, fait peur, fait rire, pleurer … et dans le cas des polars, on peut même essayer de voir où toute l’enquête va mener. Mais avec Chattam, mieux vaut ne même pas tenter. Il finit toujours par nous étonner (j’y reviens après).
En tout cas, les filles, on se refait une LC quand vous voulez, ce sera avec plaisir !
Concernant cette histoire, du coup, elle est en fait liée à La Trilogie du Mal (le livre correspond à un « tome 1.5 », si je ne m’abuse).
A mon avis, il peut se lire indépendamment de la Trilogie. Il y aura quelques éléments qui vous échapperont peut-être, mas globalement ça ne spoile pas la suite de l’histoire.
On retrouve des personnages qui apparaissent à partir du tome 2 et on en apprend un peu plus sur eux. Hormis cela, vous serez tout à fait capable de comprendre l’histoire sans pour autant avoir lu la Trilogie.
Mais comme souvent avec Chattam, si vous n’aimez pas les scènes très détaillées et bien sordides, ne le lisez pas. Je ne vais pas faire la liste des TW, parce que c’est un thriller donc il y en aurait forcément quelques-uns assez logiques, mais il y a quelques scènes assez violentes à lire, donc si ça ne vous convient pas, ne vous lancez pas.
Ceci étant dit …
J’adore la façon qu’a l’auteur de partir sur deux histoires a priori différentes, mais qui au final se recoupent parfaitement. Chattam est un adepte de cette manière d’écrire et il maîtrise si bien son sujet que je ne lui en veux pas de faire la même chose dans tous ses livres.
Il termine toujours ses chapitres de manière à ce qu’on ait envie de lire le suivant. Et le suivant. Et celui d’après. Et encore celui d’après. Et tu as lu 150 pages sans t’en rendre compte.
Et c’est ça que j’aime dans les thrillers.
Qu’il soit impossible de deviner la fin avant d’y être.
Et avec Chattam, notre cerveau est si retourné dans tous les sens que la fin nous surprend forcément.
Ça ne finit jamais bien en plus, c’est dire. Il y a toujours deux émotions contradictoires quand tu finis un Chattam : la joie d’avoir fini et d’avoir enfin le fin mot de l’histoire & l’amertume que laisse cette victoire, qui aura coûté tant de sacrifices. Maxime Chattam a le chic pour écrire des livres qui nous ouvrent les yeux sur notre monde actuel, et c’est si moche à regarder qu’on ne peut que détourner le regard.
Bref, on n’est pas passé loin du coup de cœur avec ce tome intermédiaire sur l’histoire d’Anabelle et de Brady.
C’était un très bon moment de lecture, avec juste ce qu’il faut de suspens et d’intensité.
J’ai encore plus hâte de continuer mon aventure dans l’œuvre de Chattam !
Il ne me reste qu’à vous souhaiter de bonnes lectures, et on se dit à la prochaine ! ♡
July 29, 2017
Si je pouvais donner une note fractionnaire j'octroierai à ce livre un 2.5. C'est mon deuxième de Maxime Chattam; mon premier fût "In Tenebris", lu il y a quelques mois après l'avoir reçu comme cadeau d'anniversaire d'une ancienne professeur de français pour qui j'ai beaucoup de respect et d'admiration. Tout était enclin à me faire apprécier Chattam.
Sans trop dévoiler de l'intrigue les mêmes thèmes reviennent dans cet ouvrage: dégout pour l'humanité, "critique" de la société, etc. Comme dans le "In Tenebris", c'est poussé à l'extrême. Non pas un extrême positif ou osé, symbole du courage d'un auteur qui nous plongerait dans les ténèbres les plus profonds, mais un extrême où l'on sent le décalage entre le dégout que l'auteur voudrait nous communiquer et les mots qui touchent le papier. Sa prose n'est pas à la hauteur des idées qu'il voudrait nous faire parvenir. Le livre est un succession de phrase. On se heurte au language, à l'inverse de certains auteurs qui savent nous faire oublier la barrière du medium pour nous toucher directement le coeur.
Si je devais apprécier ce roman ce serait donc pour l'histoire, le style d'écriture étant moyen tout au plus. Et la encore, ça coince. Le sujet n'est pas mauvais, loin de la. L'auteur nous plonge dans les dédales de la pornographie souterraine à travers la vie des SDFs et des camés de New-York. Un journaliste se laisse emporter dans une aventure qui va le dépasser. J'accroche; j'aime, même, mais c'est tiré en longueur. Les personnages sont relativement uni-dimensionnels. Au fil des pages on a l'impression grandissante que l'auteur ne sait pas où il veut aller. Les détours sont prévisibles, sauf peut-être la fin dont j'ai trouvé une partie plausible et l'autre tirée par les cheveux. Ce qui se veut être la morale de l'histoire nous est fourré dans la gorge à coup de rationnels pseudo-
psychologique/philosophique/biologique. Fatiguant.
Enfin bref, peut-être que je tomberai sur un autre livre de Chattam qui me fait changer d'avis, mais pour le moment je suis déçu. Le "Steven King" français, comme certains le décrivent, est pour moi un auteur dont j'achèterait peut-être le roman sur un coup d'ennuis, pour le lire avidement aux toilettes et le soir sur mon chevet avant de finir avec un gout amère dans la bouche: la sensation d'avoir perdu mon temps.
Sans trop dévoiler de l'intrigue les mêmes thèmes reviennent dans cet ouvrage: dégout pour l'humanité, "critique" de la société, etc. Comme dans le "In Tenebris", c'est poussé à l'extrême. Non pas un extrême positif ou osé, symbole du courage d'un auteur qui nous plongerait dans les ténèbres les plus profonds, mais un extrême où l'on sent le décalage entre le dégout que l'auteur voudrait nous communiquer et les mots qui touchent le papier. Sa prose n'est pas à la hauteur des idées qu'il voudrait nous faire parvenir. Le livre est un succession de phrase. On se heurte au language, à l'inverse de certains auteurs qui savent nous faire oublier la barrière du medium pour nous toucher directement le coeur.
Si je devais apprécier ce roman ce serait donc pour l'histoire, le style d'écriture étant moyen tout au plus. Et la encore, ça coince. Le sujet n'est pas mauvais, loin de la. L'auteur nous plonge dans les dédales de la pornographie souterraine à travers la vie des SDFs et des camés de New-York. Un journaliste se laisse emporter dans une aventure qui va le dépasser. J'accroche; j'aime, même, mais c'est tiré en longueur. Les personnages sont relativement uni-dimensionnels. Au fil des pages on a l'impression grandissante que l'auteur ne sait pas où il veut aller. Les détours sont prévisibles, sauf peut-être la fin dont j'ai trouvé une partie plausible et l'autre tirée par les cheveux. Ce qui se veut être la morale de l'histoire nous est fourré dans la gorge à coup de rationnels pseudo-
psychologique/philosophique/biologique. Fatiguant.
Enfin bref, peut-être que je tomberai sur un autre livre de Chattam qui me fait changer d'avis, mais pour le moment je suis déçu. Le "Steven King" français, comme certains le décrivent, est pour moi un auteur dont j'achèterait peut-être le roman sur un coup d'ennuis, pour le lire avidement aux toilettes et le soir sur mon chevet avant de finir avec un gout amère dans la bouche: la sensation d'avoir perdu mon temps.
September 1, 2021
Voilà un Chattam comme je les aime ! Cet auteur n'est jamais aussi bon que dans le thriller pur et dur ! Et pourtant, Dieu sait que ce n'est pas mon genre de prédilection ! Et que l'auteur ne fait pas dans la dentelle, à propos des scènes de crime ! Mais allez savoir pourquoi, avec lui, ça passe. Déjà, il y a une chose très importante pour moi, c'est que même si l'état des corps est souvent horrible et laisse supposer des morts atroces pour les victimes, on ne les voit jamais en train d'être torturées. On les découvre toujours après leur mort. Et ça, c'est un élément primordial pour moi, ce qui fait que j'arrive à supporter les horreurs décrites.
En ce qui concerne l'intrigue elle-même, elle était passionnante. Ce que j'ai trouvé génial, c'est qu'on a trois personnes (un journaliste et deux flics) qui enquêtent sur la mort d'une même personne, et il n'y a que le journaliste qui sait que les deux policiers effectuent les mêmes investigations que lui (pour la bonne raison que l'un des deux flics est sa femme). Mais même s'il sait qu'il n'est pas seul à enquêter, il ne sait pas tout ce que les autres découvrent car il n'a que des bribes d'infos, ce que sa femme lui raconte le soir à la maison, c'est-à-dire le strict minimum, et il ne peut pas se montrer trop curieux pour ne pas lui mettre la puce à l'oreille. Et malgré cela, ce n'est jamais redondant car chaque "team" a pris les recherches par un bout différent. Donc elles avancent mais chacune avec des bouts du puzzle différents. Et il n'y a que le lecteur qui a toutes les infos.
La plume de Chattam est fluide, addictive et hyper visuelle, comme toujours, les personnages ont une très forte présence. Je pense que je me souviendrais longtemps de certains.
Et même si on savait plus ou moins si les personnages principaux s'en sortent ou pas puisque c'est un préquel, l'auteur a quand même réussi à nous réserver quelques surprises.
C'était glauque, parfois même dégueu, c'était noir, mais qu'est-ce que c'était bien !
En ce qui concerne l'intrigue elle-même, elle était passionnante. Ce que j'ai trouvé génial, c'est qu'on a trois personnes (un journaliste et deux flics) qui enquêtent sur la mort d'une même personne, et il n'y a que le journaliste qui sait que les deux policiers effectuent les mêmes investigations que lui (pour la bonne raison que l'un des deux flics est sa femme). Mais même s'il sait qu'il n'est pas seul à enquêter, il ne sait pas tout ce que les autres découvrent car il n'a que des bribes d'infos, ce que sa femme lui raconte le soir à la maison, c'est-à-dire le strict minimum, et il ne peut pas se montrer trop curieux pour ne pas lui mettre la puce à l'oreille. Et malgré cela, ce n'est jamais redondant car chaque "team" a pris les recherches par un bout différent. Donc elles avancent mais chacune avec des bouts du puzzle différents. Et il n'y a que le lecteur qui a toutes les infos.
La plume de Chattam est fluide, addictive et hyper visuelle, comme toujours, les personnages ont une très forte présence. Je pense que je me souviendrais longtemps de certains.
Et même si on savait plus ou moins si les personnages principaux s'en sortent ou pas puisque c'est un préquel, l'auteur a quand même réussi à nous réserver quelques surprises.
C'était glauque, parfois même dégueu, c'était noir, mais qu'est-ce que c'était bien !
February 15, 2023
The final 100 pages or so is the major reason why this book does not have a full 5 star from me.
The Promise of Darkness, or as I read it in Vietnamese- Lời Hứa Của Bóng Đêm, has a lot of things right for a thriller.
1) Fascinating plot. The suicide of a sex worker leading to a whole world of twisted porno industry and a system of abandoned tunnels right underneath New York City. Wow!
2) Characters. Since multi-faceted characters are not necessary for thrillers, this dual storylines between Annabel-Thayer and Brady excites me just enough. Kind of like reading a race between two parties to see who would solve the case first.
3) Violence. The violence and gore contained in this book may give some trauma, but for me, it is just perfect. Every hero needs a strong enough reason to venture down the dark path laid for them, either a personal one like you-killed-my-dog-John-Wick shit, or seeing a beautiful girl commiting suicide right in front of your face.
However, the few chapters at the end of this book are simply tiring.
For one, the reveal of the big bad guys was not scary at all. Yes their appearances may be deformed, yet the whole idea of having your teeth triangle-shaped, sleeping in actual coffins, etc. just screams a bit ridiculous to me.
Two, it the author had stopped at having the Clan as the antagonist, it would have been fine. Yet he decided nooo, Pierre the fat guy must have been it. A bit unnecessary to me.
And three, having Brady pointing a gun at the whole Clan withouth firing, only to run away is plain frivolous.
That being said, this novel still had me hooked, so I would be lying if I say I’m not that eager to read the only other Maxime Chattam translated into Vietnamese.
The Promise of Darkness, or as I read it in Vietnamese- Lời Hứa Của Bóng Đêm, has a lot of things right for a thriller.
1) Fascinating plot. The suicide of a sex worker leading to a whole world of twisted porno industry and a system of abandoned tunnels right underneath New York City. Wow!
2) Characters. Since multi-faceted characters are not necessary for thrillers, this dual storylines between Annabel-Thayer and Brady excites me just enough. Kind of like reading a race between two parties to see who would solve the case first.
3) Violence. The violence and gore contained in this book may give some trauma, but for me, it is just perfect. Every hero needs a strong enough reason to venture down the dark path laid for them, either a personal one like you-killed-my-dog-John-Wick shit, or seeing a beautiful girl commiting suicide right in front of your face.
However, the few chapters at the end of this book are simply tiring.
For one, the reveal of the big bad guys was not scary at all. Yes their appearances may be deformed, yet the whole idea of having your teeth triangle-shaped, sleeping in actual coffins, etc. just screams a bit ridiculous to me.
Two, it the author had stopped at having the Clan as the antagonist, it would have been fine. Yet he decided nooo, Pierre the fat guy must have been it. A bit unnecessary to me.
And three, having Brady pointing a gun at the whole Clan withouth firing, only to run away is plain frivolous.
That being said, this novel still had me hooked, so I would be lying if I say I’m not that eager to read the only other Maxime Chattam translated into Vietnamese.
July 5, 2025
Po pierwszych powieściach Maxime’a Chattama, które potrafiły wciągnąć mroczną atmosferą, wartką akcją i ciekawą warstwą psychologiczną, miałam nadzieję, że "Obietnica mroku" okaże się powrotem autora do formy. Niestety, rozczarowanie.
Z początku książka zapowiadała się intrygująco. Tajemniczy bohater, przestępczy półświatek Nowego Jorku, mrok, zbrodnia, wszystko wskazywało na solidny thriller. Niestety, im dalej w las, a raczej w podziemia, tym więcej absurdów. Pomysł zagłębiania się w świat nowojorskich kanałów, ukrytych przejść i zapomnianych przestrzeni, które mają stanowić symboliczne zejście w głąb mroku, zarówno fizycznego, jak i psychicznego, zamiast budować napięcie, staje się raczej nużącą próbą przekombinowania.
Autor zdaje się silić na głębię i oryginalność, ale efekt bywa odwrotny, momentami fabuła traci sens, a bohaterowie, zamiast budzić ciekawość, irytują swoją sztucznością. Dialogi brzmią nienaturalnie, miejscami wręcz pretensjonalnie. Trudno uwierzyć w autentyczność postaci, bo ich zachowania i wypowiedzi sprawiają wrażenie wymuszonych, jakby autor sam nie był do końca przekonany do stworzonego świata.
Wielką wadą tej powieści jest także jej rozwlekłość. Mimo że powinna trzymać w napięciu, z czasem staje się coraz bardziej nużąca. Im bliżej końca, tym trudniej utrzymać uwagę, książka zamiast intrygować, zaczyna męczyć. Zabrakło wyważenia między atmosferą a akcją. Mroczność i symbolika stają się przytłaczające, a nie pociągające.
Chattam jest bez wątpienia utalentowanym pisarzem, ale w "Obietnicy mroku" coś poszło nie tak. To książka, w której forma przeważyła nad treścią, a próba stworzenia czegoś wyjątkowego zakończyła się konstrukcją zbyt ciężką i niespójną, by utrzymać uwagę czytelnika.
Z początku książka zapowiadała się intrygująco. Tajemniczy bohater, przestępczy półświatek Nowego Jorku, mrok, zbrodnia, wszystko wskazywało na solidny thriller. Niestety, im dalej w las, a raczej w podziemia, tym więcej absurdów. Pomysł zagłębiania się w świat nowojorskich kanałów, ukrytych przejść i zapomnianych przestrzeni, które mają stanowić symboliczne zejście w głąb mroku, zarówno fizycznego, jak i psychicznego, zamiast budować napięcie, staje się raczej nużącą próbą przekombinowania.
Autor zdaje się silić na głębię i oryginalność, ale efekt bywa odwrotny, momentami fabuła traci sens, a bohaterowie, zamiast budzić ciekawość, irytują swoją sztucznością. Dialogi brzmią nienaturalnie, miejscami wręcz pretensjonalnie. Trudno uwierzyć w autentyczność postaci, bo ich zachowania i wypowiedzi sprawiają wrażenie wymuszonych, jakby autor sam nie był do końca przekonany do stworzonego świata.
Wielką wadą tej powieści jest także jej rozwlekłość. Mimo że powinna trzymać w napięciu, z czasem staje się coraz bardziej nużąca. Im bliżej końca, tym trudniej utrzymać uwagę, książka zamiast intrygować, zaczyna męczyć. Zabrakło wyważenia między atmosferą a akcją. Mroczność i symbolika stają się przytłaczające, a nie pociągające.
Chattam jest bez wątpienia utalentowanym pisarzem, ale w "Obietnicy mroku" coś poszło nie tak. To książka, w której forma przeważyła nad treścią, a próba stworzenia czegoś wyjątkowego zakończyła się konstrukcją zbyt ciężką i niespójną, by utrzymać uwagę czytelnika.
August 29, 2025
⚠️TW : VIOLENCES SEXUELLES, VIOLS, VIOLENCES PHYSIQUES, PORNOGRAPHIE, TORTURE ⚠️
Une lecture passionnante grâce à un rythme dynamique et des points de vue alternés. Le sentiment d'urgence, l'ambiance environnante underground, glauque, baignant dans la folie qui entoure l'intrigue créés un environnement incroyable. Le bouquet final, un plot twist et un dénouement tout à fait impensable rajoute une couche à cette lecture éprouvante. Des scènes très explicites et détaillées sont parfois décrites, sans toutefois dépasser le voyeurisme et l'inutile.
J'ai eu tendance à me ranger globalement du côté de Brady tout au long de l'intrigue, ce qui n'est pas étonnant car c'est le personnage qui reste le plus développé. Cela contribue d'ailleurs à se laisser embourber par l'intrigue, rendant la rationalité très flou, jusqu'à se faire piéger complètement par le dénouement. Je déplore le manque de développement du personnage d'Annabelle ici.
Il est question ici du rapport de l'homme à son instinct primaire animal, et à la violence qui en découle autant dans le domaine de la sexualité que dans les autres domaines de la société. Sur ce coup, j'ai un petit peu moins adhéré à cette réflexion sur l'homme, car pour moi la réponse à cette question n'est pas forcément à voir sous le prisme de la jouissance, comme évoqué dans le roman, mais sous celui de la domination. Cependant, je pense que le sujet de la pornographie et du fonctionnement de cette industrie est un réel cryptogramme à déchiffrer pour pouvoir s'en protéger et protéger les générations à venir.
Une lecture passionnante grâce à un rythme dynamique et des points de vue alternés. Le sentiment d'urgence, l'ambiance environnante underground, glauque, baignant dans la folie qui entoure l'intrigue créés un environnement incroyable. Le bouquet final, un plot twist et un dénouement tout à fait impensable rajoute une couche à cette lecture éprouvante. Des scènes très explicites et détaillées sont parfois décrites, sans toutefois dépasser le voyeurisme et l'inutile.
J'ai eu tendance à me ranger globalement du côté de Brady tout au long de l'intrigue, ce qui n'est pas étonnant car c'est le personnage qui reste le plus développé. Cela contribue d'ailleurs à se laisser embourber par l'intrigue, rendant la rationalité très flou, jusqu'à se faire piéger complètement par le dénouement. Je déplore le manque de développement du personnage d'Annabelle ici.
Il est question ici du rapport de l'homme à son instinct primaire animal, et à la violence qui en découle autant dans le domaine de la sexualité que dans les autres domaines de la société. Sur ce coup, j'ai un petit peu moins adhéré à cette réflexion sur l'homme, car pour moi la réponse à cette question n'est pas forcément à voir sous le prisme de la jouissance, comme évoqué dans le roman, mais sous celui de la domination. Cependant, je pense que le sujet de la pornographie et du fonctionnement de cette industrie est un réel cryptogramme à déchiffrer pour pouvoir s'en protéger et protéger les générations à venir.
July 6, 2017
Ce opus se déroule avant La trilogie du mal, mais elle peut être lue à la suite car elle apporte de nombreuses réponses et éclaire des zones d'ombre de la trilogie.
On sait enfin ce qu'il en est de Brady O'Donel, le mari de la détective protagoniste de "In Tenebris" et "Maléfices", puisque ce tome se déroule en grande partie avec lui. On le suit dans le New York souterrain, s'enfoncer dans les bas-fonds sordides de la Grosse Pomme pour retrouver les assassins d'une prostituée nommée Ruby. Ce qu'il va découvrir va bien au-delà du simple meurtre.
Perturbant, choquant, glaçant, il n'y a pas assez de qualificatifs pour ce tome. C'est sans doute, celui qui m'a le plus retourner l'estomac jusque-là tant la perversion et les bas instincts y sont décrits dans leur version la plus noire. le réalisme de certaines situations et le fait que certains faits soient avérés renforcent encore l'impression de malaise que l'on ressent à la lecture de cette histoire. Un personnage à retenir : celui de Kermit, ambivalent humanoïde flirtant entre folie et logique implacable. Un lieu à retenir : Oz, sanctuaire souterrain pour laissez pour compte, sordide à souhait et pourtant terriblement emprunt d'humanité. du grand CHATTAM encore une fois.
On sait enfin ce qu'il en est de Brady O'Donel, le mari de la détective protagoniste de "In Tenebris" et "Maléfices", puisque ce tome se déroule en grande partie avec lui. On le suit dans le New York souterrain, s'enfoncer dans les bas-fonds sordides de la Grosse Pomme pour retrouver les assassins d'une prostituée nommée Ruby. Ce qu'il va découvrir va bien au-delà du simple meurtre.
Perturbant, choquant, glaçant, il n'y a pas assez de qualificatifs pour ce tome. C'est sans doute, celui qui m'a le plus retourner l'estomac jusque-là tant la perversion et les bas instincts y sont décrits dans leur version la plus noire. le réalisme de certaines situations et le fait que certains faits soient avérés renforcent encore l'impression de malaise que l'on ressent à la lecture de cette histoire. Un personnage à retenir : celui de Kermit, ambivalent humanoïde flirtant entre folie et logique implacable. Un lieu à retenir : Oz, sanctuaire souterrain pour laissez pour compte, sordide à souhait et pourtant terriblement emprunt d'humanité. du grand CHATTAM encore une fois.
May 17, 2024
- Bookgram : abyssreading -
J'ai décidé de plonger dans un ancien livre de Maxime
Chattam, que je n'avais encore jamais lu.
• Brady O'Donnell, journaliste, a le syndrome de la page blanche. Lorsque son ami Pierre lui proposer d'interviewer une star du X, le sujet lui semble vu et revu et pourtant...
Brady va découvrir tout un monde underground, rempli de perversions dont il ne soupçonnait pas l'existence. De son côté, sa femme Anabelle enquête sur une mort étrange... •
J'ai trouvé intéressant d'avoir d'un côté l'enquête d'Anabelle et de l'autre celle informelle de Brady.
On y voit le désespoir d'une enquêtrice qui sait qu'elle tient une piste, mais n'arrive pas à se faire entendre, tandis que Brady, qui rencontre les « bonnes personnes », parvient à s'infiltrer dans des mondes parallèles très fermés. Ce livre est un bon thriller qui joue conjointement un rôle informatif.
Je l'ai trouvé à la fois sombre et bouleversant.
J'ai décidé de plonger dans un ancien livre de Maxime
Chattam, que je n'avais encore jamais lu.
• Brady O'Donnell, journaliste, a le syndrome de la page blanche. Lorsque son ami Pierre lui proposer d'interviewer une star du X, le sujet lui semble vu et revu et pourtant...
Brady va découvrir tout un monde underground, rempli de perversions dont il ne soupçonnait pas l'existence. De son côté, sa femme Anabelle enquête sur une mort étrange... •
J'ai trouvé intéressant d'avoir d'un côté l'enquête d'Anabelle et de l'autre celle informelle de Brady.
On y voit le désespoir d'une enquêtrice qui sait qu'elle tient une piste, mais n'arrive pas à se faire entendre, tandis que Brady, qui rencontre les « bonnes personnes », parvient à s'infiltrer dans des mondes parallèles très fermés. Ce livre est un bon thriller qui joue conjointement un rôle informatif.
Je l'ai trouvé à la fois sombre et bouleversant.
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