La Désobéissance de l''architecte est, par le biais de la conversation, une sorte de biographie de Renzo Piano qui, de Gênes, nous mène au Centre Pompidou, à Paris, de la Potsdamer Platz de Berlin à l''auditorium de Rome, du Centre culturel Jean-Marie Djibaou, en Nouvelle-Calédonie, au musée de Sarajevo, mais c''est aussi le manifeste d''un créateur enthousiaste, frondeur et réaliste, ouvert à toutes les disciplines, qui compte des amis dans tous les domaines de la création et poursuit une véritable réflexion sociale sur les villes et les banlieues, enrichie d''une réflexion éthique et esthétique sur le sens que nous entendons donner à nos vies.
Senator Renzo Piano is an Italian Pritzker Prize-winning architect. Architecture critic Nicolai Ouroussoff said of Piano's works that the "...serenity of his best buildings can almost make you believe that we live in a civilized world."[1] In 2006, Piano was selected by TIME as one of the 100 most influential people in the world.[2] He was selected as the 10th most influential person in the "Arts and Entertainment" category of the 2006 Time 100. In August 2013 he was appointed Senator for Life in the Italian Senate.
Ce qui m'a marqué dans ce petit (très petit) dialogue de Piano avec un journaliste italien dont le nom m'échappe, est que Piano y déploie toute sa méthodologie et parle de ses propres convictions "architecturales" de manière très poétique mais succincte. Ce qu'il y décrit en tant que perception et ambiance des espaces de ses projets et de ses partis architecturaux, sont "very-fiable" & (vérifiables), ou du moins pour la fondation Beyeler qui est une des architectures joyeuses que j'ai jamais vu et ressenti (Echelle humaine, insertion harmonieuse dans le site, matériaux minéraux neutres, espaces dégagés,...). Recommandé aux étudiants d'archi, d'urbanisme, et aux curieux surtout qui se demandent si une architecture peut ou ne peut agir sur le quotidien.
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