Hiroshima im Jahr 1984: Rintaro, ein schüchterner Junge, der sich nie vom frühen Tod seiner Mutter erholt hat, verliebt sich in die rhythmische Sportgymnastik, nachdem er eines Abends eine junge Frau an einem Schrein tanzen sieht. Sein altmodischer Vater ist strikt dagegen, dass Rintaro sich diesem Frauensport widmet. Doch Rintaro trainiert heimlich und nimmt Jahre später selbst an einem Wettbewerb teil, was angesichts seines Geschlechts für Aufruhr sorgt. Kann Rintaro alle Widerstände überwinden und seinen Traum tanzen?
4,5 So eine tolle, gefühlvolle, wunderschön gezeichnete Slice-of-Life-Story. 🥺👏🏻 Der erste von zwei Bänden spricht hier viele Themen an: Trauerbewältigung, Geschlechterrollen (besonders in der Sportgymnastik), über den Mut wieder aufzustehen und es nochmal zu versuchen und über die Kraft den dich auslachenden Menschen ins Gesicht zu sehen und trotzdem weiterzumachen. Manchmal hören die Szenen sehr abrupt auf, sodass ich manchmal dachte, es fehlen ein paar Seiten, deshalb keine vollen fünf Sterne.
Hiroshima im Jahr 1984: Rintaro, ein schüchterner Junge, der sich nie vom frühen Tod seiner Mutter erholt hat, verliebt sich in die rhythmische Sportgymnastik, nachdem er eines Abends eine junge Frau an einem Schrein tanzen sieht. Sein altmodischer Vater ist strikt dagegen, dass Rintaro sich diesem Frauensport widmet. Doch Rintaro trainiert heimlich und nimmt Jahre später selbst an einem Wettbewerb teil, was angesichts seines Geschlechts für Aufruhr sorgt. Kann Rintaro alle Widerstände überwinden und seinen Traum tanzen? Quelle: carlsen.de
Meinung:
Vielen Dank an den Verlag für das Rezensionsexemplar!
Das Cover gefällt mir echt gut, es ist hauptsächlich in zwei Farben gehalten und daher eher dezent, dennoch zeigt es schon um was es in dem Manga geht.
Der Zeichenstil ist echt genial. Es wird sich sehr auf die Gefühle konzentriert und es gibt auch nicht allzu viele Gespräche, dennoch merkt man Rintario immer an, wie es ihm gerade geht und auch bei den anderen Figuren braucht man keine zusätzliche Info, was sie denken.
Zu Beginn lernt man Rintaro kennen, der von seinen Mitschülern immer gemobbt wird. Als er seine Lehrerin Rhythmische Sportgymnastik machen sieht ist ihm klar, dass er das auch möchte, allerdings sieht die Gesellschaft dies eher als Frauensport.
Das Genre von diesem Manga war mir gänzlich neu, da ich mich meist im Fantasy oder Romance Bereich bewege, dennoch hat mich die Idee sehr neugierig gemacht. Ich habe mich also ganz auf die Geschichte eingelassen und wurde auch nicht enttäuscht. Bereits der Einstieg ist bedrückend, weil Rintaro keinerlei Freude in seinem Leben hat und erst durch die Rhythmische Sportgymnastik etwas findet, das ihm gefällt und das er machen möchte.
Rintaro ist ein stiller Junge, er hat keine wirklichen Freunde und sein Vater will, dass er nach ihm das Fischerboot übernimmt. Rintaro versucht es ihm oft recht zu machen und stellt sich selbst hinten an, aber nachdem er den Sport für sich entdeckt ändert er sich. Ich fand es wundervoll zu sehen, wie eine Leidenschaft jemanden so sehr verändern kann. Plötzlich hat er sich für das eingesetzt, was er will, hat sich nicht reinreden lassen und stand dazu, dass ihm Rhythmische Sportgymnastik Spaß macht.
Als weitere wichtige Person würde ich Frau Samejima nennen, sie unterrichtet Rintaor in der Schule und beim Sport und sieht sofort sein Potential. Ebenso versucht sie ihm bestmöglich zu helfen um dieses auszuschöpfen. Sie war mein Lieblingscharakter in dem Buch, da sie sich wirklich für andere einsetzt und versucht zu helfen, wo sie nur kann.
Die Geschichte selbst hat mir wirklich gut gefallen, ich habe nicht damit gerechnet, dass sie mich so fesseln würde. Rintaro hat mich wirklich beeindruckt mit seinem Ehrgeiz und seiner Wandlung von dem stillen Jungen. Ich finde von ihm kann man sich sehr viel abschauen.
Wie schon erwähnt hat auch der Zeichenstil sehr viel dazu beigetraten, denn man braucht oftmals gar keine Worte um etwas klar zu machen. Besonders in Erinnerung sind mir die Übungen von Rintaro geblieben, wenn er etwas wirklich perfekt machen wollte und nicht aufgegeben hat.
Ich habe so sehr gehofft, dass sein Vater ihn endlich anfängt wahrzunehmen. Rintaro hat zu Hause eigentlich nur seine Schwester und nichtmal sie unterstützt ihn wirklich, sondern nimmt es einfach hin. Ich kann mir aber gut vorstellen, dass sein Vater einfach alle Gefühle von sich weist, seit seine Frau gestorben ist, das hat ihn sicher sehr mitgenommen. Aber dazu erfährt man hoffentlich im zweiten Band noch mehr.
Fazit:
Ich will wissen, wie es mit Rintaro weiter geht. Seine Geschichte hat mich echt berührt und zeigt, dass man alles erreichen kann, wenn man es nur will, auch wenn die Gesellschaft das anders sieht. Dass sich Rintaro von den Kommentaren, dass dies ein Sport für Frauen sei, nicht abbringen ließ ist inspirierend und ich bin gespannt, wie es ausgeht. Von mir bekommt der Manga 5 Sterne.
Je remercie la maison d'éditions Akata pour l'envoi de ce premier tome d'une duologie qui me semble plus qu'importante. Et vu ma fin de lecture, je confirme que ce titre va entrer dans les esprits. Dans les années 80 (j'étais née, donc je me souviens encore de certains points qui n'ont pas énormément évolué comme certaines mentalités, mais passons) En 1984, le harcèlement était déjà là, plus incisif, plus mesquin, plus facile à cacher par des petits mots, des gestes, des piques. Rintarô ainsi que sa sœur, on perdu leur mère. Le père travaille énormément et depuis ce décès, il n'est plus le même. Plus taciturne, plus mesquin aussi, son attitude n'aide pas à faire évoluer ses enfants et surtout Rintarô. Lui qui a besoin d'un soutien de famille, ne sachant pas comment laisser libre cours à ses émotions, il subit. Que ce soit à l'école ou à la maison, il a un peu de réconfort auprès de sa grande sœur, mais ce n'est pas assez. Jusqu'à ce qu'un jour, il tombe sur une jeune fille qui s'entraine loin des yeux de tous à la gymnastique rythmique. Une vision qui lui donne de l'espoir et l'envie d'apprendre. Mais un garçon ? En "collant" ? Avec un bâton et un ruban ? C'est inadmissible, pas vrai ?
Par chance, les personnages qui l'entourent ne sont pas tous dans cette optique. Si bien entendu nous avons toujours les rageux, nous avons également du vrai soutien et des gens qui croit en lui. Lui, ce petit garçon qui en a tellement entendu qu'il est maladroits même en éternuant. Lui qui ne se fait aucunement confiance. Lui qui a toujours ce besoin de reconnaissance vis-à-vis de son père qui ne voit qu'une honte en ce fils. Alors comme va-t-il réagir lorsqu'il apprendra que son fils veut faire de la gymnastique ?
Rintarô subit pas mal de mauvaises choses et même s'il se renferme sur lui-même, il a trouvé sa voie. Particulier ? Non, c'est un adolescent mal dans sa peau que nous présente l'auteur, avec ses failles, ses défauts, mais aussi et surtout sa ténacité. Il veut pouvoir bien faire partout où il passe. Le ton est donné et si par moment nous avons des envies de prendre certains personnages et de les secouer, je suis admirative de la façon dont l'auteur nous montre le cheminement de pensées de ce garçon qui va se créer sa propre bulle. Une bulle de danse, de gymnastique rythmique, des pas différents, mais il aime ce qu'il fait et cela se ressent. Adieu le harcèlement, les moqueries, il oublie tout, ou presque. L'histoire avec son père est complexe, tous deux sont abimés, fatigués et dans ce cas il est difficile de voir autre chose que l'avenir qui donnera à manger dans la bouche de ses enfants que la passion. Sera-t-elle assez nourrissante ? Il est assez simple de comprendre une fois ce premier tome refermé que les liens distendus entre le père et le fils ne sont pas parfaits, loin de là.
Nous avons pas mal de questions cachées qui proviennent des personnages, et nous petits lecteurs nous comprenons ce que cela signifie. Je ne vous dévoile rien de plus, il faut lire et découvrir les dessins pour comprendre le tout. Les émotions sont fortes, l'envie de prendre ce petit garçon dans ses bras et de lui dire que tout ira bien est une idée, mais s'il avait vraiment ça, est-ce qu'il serait aussi bon dans sa discipline ? Je ne dit pas qu'il ne faut pas un minimum, Rintarô a ce besoin de ressentir de l'amour et de la reconnaissance par son père, c'est certain car le manque de sa mère est conséquent, mais s'il n'avait pas eu ce semblant de conversation au début avec son père, aurait-il été dans ces lieux à cette heure ? Aurait-il découvert sa passion et donc son potentiel ? C'est un peu violent certes, mais parfois pour avoir le meilleur il faut passer par des endroits un peu glauques et remonter cette pente raide, sans penser aux autres, sans se laisser porter par le fameux regard des autres. Ce sport utilisé est également important.
De la gymnastique rythmique, un rêve que toutes petites filles nées un peu avant que cette discipline ne débarque sur nos écrans désiraient. De la grâce, de la fluidité, un corps souple qui se forme et se déforme et autant être honnête, personne n'aurait eu l'idée de voir un homme dans les rangs. Et pourtant, rien n'est obligatoirement pour homme ou pour femme. L'envie, le désir, les émotions, le potentiel, le talent... Pourquoi est-ce que le mot gymnastique devrait être cantonné au genre féminin ? Parce qu'un homme ne serait pas capable de faire aussi bien ? Parce qu'un homme n'en serait pas un s'il faisait joujou avec un ruban ou un ballon (pourtant le foot c'est avec un ballon, mais passons). Parce qu'un homme se doit d'être un homme, point final ? (Et tout ce que les adultes de l'époque pouvait probablement penser (vous avez vu le mot, j'ai mis probablement, je ne mets pas tout le monde dans le même sac) Bref, l'auteur nous montre le chemin parcouru d'un garçon pas comme les autres parce qu'il désire être autre chose qu'une brute ou un pêcheur. Un chemin tortueux certes, avec des secrets et des rebondissements, des besoins d'être vus par le plus important.
En conclusion, j'ai lu d'une traite ce manga (et pourtant j'étais prête à m'endormir mdr) Rintarô est un personnage qui passe par de nombreuses phases : de la maltraitance au désespoir, il parvient à trouver sa passion, son guide, sa lumière et l'espoir qu'il aperçoit le ravit et nous aussi. C'est rempli de courage, de compréhension (et l'inverse également) de secrets, d'émotions fragiles et puis il faut être honnête le tout début de ce tome nous montre qu'il est parvenu à un certain niveau : malgré ses appréhensions, les regards des autres et surtout les pensées de son père. Voir le chemin parcouru nous monter une belle évolution et il en reste encore beaucoup vu la fin de ce tome. Je n'ai plus qu'à découvrir la suite dans le tome 2.
Agréablement surprise par ce tome 1 très généreux en nombre de pages! On y suit l'aventure de Rintarô qui a plusieurs défis à surmonter: il n'a plus sa mère et son père est loin de le supporter, de l'encourager, de l'aider à grandir... Quand il voit pour la première fois la gymnastique rythmique, il est fasciné et se lance dans l'apprentissage.
C'est très intéressant de lire Au rythme de mon ruban après Céüs, un autre manga qui raconte aussi l'histoire (vraie dans le cas de Céüs) d'un athlète masculin fasciné par ce sport féminin. En France, tout le monde comprend très vite que ce sera difficile pour Céüs de pratiquer ce sport. Mais au Japon, la gymnastique rythmique est moins connue au moment où l'histoire débute (les années 80): au début, Rintarô ne sait pas que ce sport n'est pratiqué que par des femmes. Puis, avec les Jeux olympiques qui passe à la télé, on assiste à la découverte et la popularité grandissante de ce sport.
Le personnage du père est également intéressant car ses propos sont sûrement réalistes pour les jeunes comme Céüs et Rintarô qui brisent les frontières. On montre aussi que, même si la passion réelle est présente, le support de quelques filles-clés est essentiel pour que Rintarô arrive à s'améliorer.
Le tome 1 est généreux, il y a beaucoup de pages. Les dessins de Kurokawa Yumi transmettent toute la concentration et la fascination de Rintarô. Les toutes premières pages sont magnifiques. Cela donne envie de terminer cette courte histoire en deux tomes qui n'est pas seulement un manga de sport, mais aussi de détermination.
Parmi les animes qui ont marqué mon enfance, il y eu Cynthia ou le rythme de la vie, une superbe histoire de gymnaste sublimée dans sa version manga arrivée tardivement chez nous. Alors en ce mois des fiertés, je suis ravie de retrouver ce sport cher à mon coeur pour une histoire pleine d’humanité en plus.
Prévue en deux gros tomes dans la collection »small », à savoir accessible dès le plus jeune âge, d’Akata, cette série de Yumi Kurokawa nous arrive du magazine Harta de Kadokawa qui a fait suite au Fellow où on peut retrouver des succès comme Bride Stories, Dans le sens du vent..., Isabella Bird. On sent de suite qu’on est sur de la qualité.
Et qualité il y a ici dans ce récit aux petits oignons qui va à merveille avec notre mois de juin, mois des fiertés, puisqu’il met en scène une jeune garçon talentueux qui pratique et adore la gymnastique rythmique féminine après avoir eu un coup de foudre pour la manipulation du ruban. Après une première et rapide entrée en matière dans le présent où il présente une magnifique performance, nous repartons dans le passé pour suivre son parcours assurément heurté, vu que c’est un homme dans une pratique féminine.
Comment vous dire que j’ai adoré cela ? J’ai trouvé l’autrice très juste, reprenant certes les codes traditionnels du genre : un héros pauvre, dans une famille marquée par le décès de la mère et un père pêcheur devenu plus que bourru ; un héros aussi maltraité par ses camarades parce que ne rentrant pas dans les codes des garçons »virils » et bagarreurs ; enfin un héros à la passion dévorante qui va vite progresser. Son enthousiasme est contagieux. L’autrice sait nous transmettre sa passion et on vibre au rythme de ses progrès sous la houlette de sa professeure à l’école comme au club qui accepte de le prendre sous son aile. Les dessins sont splendides, transmettant à merveille la finesse et la poésie de ce sport, mais aussi la grande part de soi-même qu’on y met, ici avec ce héros qui trouve là un exutoire à un quotidien difficile et s’y métamorphose.
C’est ainsi passionnant de suivre de chapitre en chapitre la naissance de sa passion, ses premiers pas avec ses instruments, son travail pour s’assouplir, la force physique et mentale qu’il gagne avec cette pratique, l’assurance qu’il prend qui lui permet de surmonter regards et moqueries, mais aussi relation compliquée avec son paternel. L’autrice mène tout cela de main de maître, avec finesse, émotion et justesse, sans en faire trop dans le pathos grâce à cette juste dose de passion et de joie de s’être trouvé.
Pour le moment, ce premier tome, assez copieux, est vraiment accès sur la découverte et le début de la construction de ce jeune héros. L’autrice commence tout juste à appuyer sur ses grandes capacités et à montrer comme il a un apprentissage fulgurant, qui subjugue tous ceux qui s’y intéressent. J’ai donc très hâte de suivre son évolution sportive dans le tome 2. J’ai l’impression, sur le volet plus personnel, qu’il a fait le plus gros du chemin dans ce tome sur la question des relations familiales. Il restera donc sûrement à travailler sur celle de la vision genrée / normée de certains sports comme ici, pour mettre en lumière que cela n’a pas lieu d’être si des sportifs peu importe leur sexe s’y intéresse. J’ai bon espoir.
Très belle, riche et émouvante surprise que ce diptyque sportif sur fond certes de passion mais aussi de découverte de soi et surtout de la question des genres dans le sport. J’ai aimé la douceur de l’autrice qui se retrouve aussi bien dans son trait que dans sa manière de mener l’histoire et d’écrire ce héros si attendrissant dans son parcours. En ce mois des fiertés, comment ne pas conseiller à chaque jeune de lire ce type d’histoire pour montrer que leur genre ne doit pas les couper d’une passion. Encore une fois, bravo Akata !
Slice of life fürs Herz Ich finde Geschichten, die dazu einladen, trotz allen Widerständen seinen Träumen zu folgen, gehen einem immer besonders ans Herz. Genauso ist es auch in »Tanz in die abendliche Stille«. Hier geht es um den Jungen Rintaro, der in der rhythmischen Gymnastik seine Leidenschaft entdeckt. EIne der Art, die in dunklen Zeiten Licht spendet. Mit ganzem Herzen möchte er dieser Leidenschaft folgen und setzt sich allen Widerständen zum Trotz. Seinen Mitschülern, der Annahme, dass der Sport eigentlich nur für Frauen ist, und nicht zuletzt seinem Vater, der ein großes Problem mit seiner Leidenschaft hat. Zum Glück gibt es aber auch Menschen, die an Rintaro glauben. Allen voran er selbst. Die Geschichte ist wirklich sehr berührend und inspirierend. Sie wird in zwei Bänden abgeschlossen sein. Daher spricht wirklich gar nichts dagegen, den Titel unbedingt zu lesen. Das ist nämlich eine der Geschichte, die einem noch lange im Kopf herumschwirren wird. Auf die gute Art versteht sich. Instagram: @sandrasmangas
Une histoire magnifique et émouvante d'un petit garçon qui souhaite faire de la gymnastique rythmique mais qui n'est pas accompagné par ses proches.
Le personnage de Rintaro est le plus gros point fort de ce manga, il est attachant, émouvant et il poursuit ses rêves avec une telle force et une telle détermination qu'il nous donne simplement envie de secouer son entourage et d'applaudir assez fort pour qu'il n'entende pas le silence autour...
Je ne sais pas si c'est très clair mais c'est réellement ce que j'ai ressenti lors de la lecture de ce tome 1, par ailleurs les dessins sont sublimes et ils nous immergent parfaitement dans l'univers de ce jeune écolier passionné par la gymnastique rythmique.
J'ai hâte de découvrir le second et dernier tome de la duologie qui promet de me mettre les larmes aux yeux !
Wunderschöne Zeichnungen ♡ schöne Geschichte über das Leben eines Schuljungen der durch rhythmische Sportgymnastik wieder Freude und Morivation am Leben findet und den Druck der Gesellschaft trotz allem standzuhalten. Die Reihe ist in 2 Bänden abgeschlossen/ Verlag: Hayabusa ....................................................................................... Tags: slice of life, school, drama, sport, be yourself, cute character, beautiful artwork, 80s, pastell, gender Thematik, life your dream
Quin descobriment d'història, m'ha deixat amb ganes del següent i darrer volum ♥ Arran de la introducció de la gimnàstica rítmica als Jocs Olímpics de Los Angeles de 1984, un estudiant de darrer any d'escola primària que viu a Hiroshima s'hi obsessiona, descobreix que té un talent innat per aquesta pràctica i troba un mètode per evadir-se de la seva dura realitat. Un nen que haurà de lluitar per poder practicar la seva passió i defugir els prejudicis d'un poble costaner amb una forta tradició pesquera. Una història emotiva d'empoderament i en contra dels rols de gènere ♥♥♥
Un très bon premier tome qui pose rapidement les bases du récit, les enjeux et problématiques. Le dessin sert le récit à merveille, doux et expressif à la fois, et un beau dynamisme pour les scènes de danse.
J’ai refermé ce premier tome avec un petit pincement au cœur. Au rythme de mon ruban, c’est le genre de récit qui prend doucement aux tripes sans avoir besoin d’en faire trop. C’est doux, pudique, mais terriblement touchant.
On suit Rintarô, un petit garçon de Hiroshima, 1984. Depuis la mort de sa mère, il s’enferme dans le silence. À l’école, il se fait harceler, et chez lui, son père reste distant. Et puis un jour, il tombe par hasard sur une gymnaste en train de faire du ruban. Ce moment, aussi simple qu’éblouissant, rallume une flamme en lui : il veut faire ça. Il veut exister, autrement.
Ce qui m’a marquée, c’est la justesse du ton. Rien n’est forcé. Les émotions passent par les regards, les silences, les gestes. Et surtout, il y a cette poésie discrète dans la façon dont le ruban est mis en scène : un symbole de légèreté dans une vie pleine de poids. Le trait est délicat, l’ambiance très maîtrisée.
Au rythme de mon ruban n’est pas un manga sur le sport au sens classique. C’est un manga sur la reconstruction, sur la quête de soi, sur la beauté qui naît parfois au creux du chagrin. J’attends le deuxième tome avec une impatience fébrile. Car après avoir vu Rintarô faire ses premiers pas dans cet univers de grâce, j’ai terriblement envie de le voir s’envoler.
Hiroshima, 1984. Rintarô, huérfano de madre, sufre acoso escolar a la vez que los duros comentarios de su padre por no devolver los golpes. Harto, una noche, Rintarô ve a su profesora danzar con una cinta. Esto hará que desee hacer gimnasia rítmica.