La boîte de Pandore est désormais ouverte… à l’arrivée du vaisseau Seconde Chance, le mystérieux champ de force du système solaire de Dyson a disparu. Les extraterrestres qui y étaient emprisonnés ont immédiatement attaqué l’expédition humaine, qui a dû s’enfuir en abandonnant deux membres de son équipage. Ceux-ci ont été capturés, et leur mémoire pillée. Le secret des trous de ver et du voyage interstellaire est désormais connu des Dysoniens. Pour se défendre, l’humanité se lance dans la construction d’une flotte de vaisseaux de guerre. Mais, face à des extraterrestres belliqueux et conquérant, il est sans doute déjà trop tard. L’invasion aura lieu. Il reste juste à savoir quand, et où. L’Étoile de Pandore est un space opera grandiose en quatre volumes dont voici le deuxième.
Peter F. Hamilton is a British science fiction author. He is best known for writing space opera. As of the publication of his tenth novel in 2004, his works had sold over two million copies worldwide, making him Britain's biggest-selling science fiction author.
Malgré le fait que je l’ai lu au moment optimal, c’est à dire à un moment où j’avais vraiment envie de le lire et pas juste pour avancer mes séries, je suis désolée de dire que je me suis royalement fait chier dedans.
De quoi ça parle : Les humains, en allant explorer un phénomène étrange et inexpliqué qu’ils ont repéré loin dans la galaxie, ont ouvert la boite de pandore : A cause de leur venue, la bulle qui enfermait des extraterrestres très dangereux a disparue. Ils ont réveillé des créatures qui n’auront de cesse de s’étendre à l’infini jusqu’à ce que l’univers entier soit leur. Tout ce second tome parle de la préparation au combat inévitable sur des années. Parce qu’évidemment aucun des deux peuples n’est prêt à la guerre sur le moment, il faut créer l’armée, les vaisseaux, et trouver un moyen de se rendre sur place pour se confronter, les deux zones étant très éloignées les unes des autres.
On voit donc tout le coté politique de l’ensemble du coté des humains, les petites magouilles des différentes familles pour que les usines soient installées chez eux ou utilisent leurs ressources pour faire plus de profit. C’est même une partie très importante de l’ensemble. Et c’est la partie qui ne m’a pas du tout plu.
Franchement, il y a une myriade de noms qui vont et viennent, des personnages qu’on ne soit que pendant un chapitre parce que c’est eux qui ont organisé la soirée où vont se rencontrer en secret tel et tel tête de famille qui vont du coup se mettre d’accord pour faire telle ou telle concession, avec coucherie adaptée bien sur. Evidemment tout les personnages sont beaux, intelligents, magouilleurs et quasiment immortels avec leurs cures de rajeunissement à l’infini et leurs sauvegardes. Mais pour moi ils étaient tous totalement interchangeables. On se croirait dans Les feux de l’amour, ou Dallas !
En fait les seuls parties qui m’ont plu sont celles où on suit les extraterrestres, parce que c’était différent, et celles avec Ozzie, un des personnages du premier tome qui est perdu dans les voies, sur des mondes extraterrestres. Mais c’était des parties vraiment minoritaire sur l’ensemble de ce tome qui est un gros pavé.
Du coup, malheureusement au milieu du roman je suis passé en mode « lecture rapide ». Les seuls chapitres que j’ai lu avec un peu plus d’attention étaient ceux cité au dessus. Tout le reste m’est totalement passé par dessus la tête. Même les scènes d’action et les batailles sur le final m’ont ennuyé et même en lecture rapide je les ai trouvé longues et sans intérêt vu que je n’avais aucune attache pour les humains.
Par contre il y a tout de même un point que j’ai beaucoup apprécié, et qui constitue à mon avis l’intérêt de l’ensemble. c’est le fait que le coté découverte de l’autre apporte aussi des changements au niveau des extraterrestres. En effet le fait d’avoir assimilé des humains leur fait ressentir les choses de façon différentes. Et si pour l’instant cette modification du comportement n’a pas entraîné de changement direct dans la situation général, elle progresse petit à petit tout du long. Et je pari que ça sera un point développé bien plus en détail ou du moins un point important pour la suite du récit.
C’est dommage que ce tome m’ai ennuyé, parce que si tout le livre n’avait été que des passages avec Ozzie ou un développement de ce point la, j’aurai passé un très bon moment. Mais la suite ça sera sans moi, je n’ai pas le courage de revivre cette expérience de lecture très pénible.
Je pense aussi qu’au final ce qui m’a aussi déçu après coup c’est que je me suis rendu compte que même en lisant l’ensemble de façon rapide et en loupant la moitié j’ai quand même compris sans problème où allait l’intrigue de ce tome. Du coup ça me conforte dans le fait que tout ce blabla sur les beaux, riches, et puissants et leurs magouilles ne servait pas à grand chose et qu’on aurait pu s’en passer. Et du coup j’ai déjà l’impression de savoir où la suite va mener, la trame me semble assez claire. Ça renforce aussi ma non-envie de lire la suite, parce que je trouve que ça manque quand même de surprises.
Peter F. Hamilton rejoint donc la liste des auteurs « pas pour moi », avec Pratchett, Gemmell et Neil Gaiman, vu que c’est la seconde de ses œuvres que j’abandonne pour des raisons similaires.
Po sedmisetstránkovém úvodu jsem už věděl co očekávat a na pomalejší tempo se spoustou odboček jsem byl připravený. Některé linky jsou zábavné více, jiné méně, ale dohromady už se mi díky nim v hlavě docela pěkně poskládala mapa Společenství. Pospojované či uzavřené všechny ale ještě zdaleka nejsou, doufám že se toho dočkám v dalších dílech. Pořádné akce ve formě mimozemské invaze se dočkáte až v závěru, a stojí za to si na ni počkat.
Nu prea mai am răbdare pentru romanele-fluviu, doar că Peter F. Hamilton are un stil de a scrie care mă face să-l citesc până când adorm efectiv cu cartea în mână. Cele patru volume din saga Pandorei au împreună aproape 2500 de pagini, l-am început pe primul doar ca să văd ce hram poartă autorul, și m-am trezit la un moment dat că sunt profund dezamăgit de faptul că am terminat de citit ultima pagină și nu mai există un al cincilea volum la care să mă reped. Hamilton e multitask. Un scriitor care ignoră mentalitatea standard a cititorului obișnuit, care trăiește cu impresia că o carte nu poate aparține decât unui anumit gen literar. Am fost convins, pe rând, ba că “Steaua Pandorei” e SF, hard SF și chiar heavy SF, ba că e fantasy, ba că e de fapt un foarte bun roman polițist… Și am avut de fiecare dată dreptate, pentru că lucrarea lui Hamilton este un melanj al genurilor, iar autorul reușește să le îmbine cu o lejeritate pe care nu am mai întâlnit-o la niciun alt scriitor. Personaj preferat? Greu de ales, dar mă voi opri totuși la Paula Myo, detectiva de elită care, dacă romanul va fi ecranizat, va fi aproape sigur interpretată de Lucy Liu, cine altcineva... Rasa extraterestră preferată? Sunt mai multe, așa că o voi menționa pe cea antipatizată de toată lumea. Civilizația Primilor… Aflați la sute de ani lumină de lumile Commonwealth-ului, nereprezentând un pericol în viitorul apropiat pentru că nu au noțiuni despre deplasarea prin găurile de vierme create artificial și aduși în pragul casei noastre (ca în atâtea alte romane SF) de trufia pământenilor… Oamenii se duc să scormonească în cuibul de viespi și obțin (incredibil, ce surpriză) un roi de viespi hotărâte să distrugă orice întâlnesc în cale. Iar noi acum trebuie să ne apărăm, ce să facem, sărmane victime neajutorate… Finalul romanului este halucinant (“Găsitoarea-potecii căzu peste marginea planetei”), Hamilton taie pur și simplu cu barda firul narativ, pune punct și semnează, lăsându-l pe cititorul chiaun să orbecăie prin librării, cu speranța că la un moment dat o să apară și volumul următor. Acest tip de încheiere nu este însă unul inedit. Edgar Allan Poe, la finalul romanului “Aventurile lui Arthur Gordon Pym” a scris “Atunci, barca noastră s-a repezit în braţele cataractei, unde o prăpastie s-a deschis de la sine, să ne primească”. Presupun că Peter F. Hamilton l-a citit pe Poe și a fost fascinat de final, sau pur și simplu există o comunitate secretă a scriitorilor cărora le vine la un moment dat să-și azvârle personajele peste marginea lumii, și chiar o fac.
Après une première partie plutôt encourageante mais non sans défauts, j'attendais beaucoup de cette seconde partie qui s'est révélée décevante. Toujours aussi verbeux, l'auteur arrive à maintenir l'intérêt avec de bons passages (la découverte de l'intérieur de l'enveloppe qui tient ses promesses) et quelques personnages attachants (Ozzie & Orion, Paula). Mais ces derniers sont un peu perdus dans les quelques 700 pages du bouquin, qui aurait franchement gagné à être élaguée. Je pardonnais la longueur de la première partie qui s'attachait à développer l'univers, mais ici, excepté Ozzie et Orion ainsi que les Primiens, le reste est assez franchement décevant. C'est tout simplement trop dilué. Le problème vient autant des personnages très caricaturaux, et dont on n'a cure pour la majorité d'être eux, que du scénario trèèès prévisible et mal amené. Les ficelles sont grosses et les jeux de pouvoir soporifiques. Je m'interroge aussi sur le découpage arbitraire des chapitres, inégaux en longueur, qui n'obéit pas non plus à un impératif scénaristique. Ce déséquilibre est assez symptomatique de l'oeuvre on dirait. Je continue, pour Orion & Ozzie.
Tout comme le premier volume j’ai adoré le second. Par contre il y a certaines longueurs... un livre très distrayant qui nous plonge dans un univers peut être pas si lointain ? À la fin tout comme dans le premier volume l’action s’accélère... j’ai hâte de lire la suite.
Et nous voila parti avec ce deuxième tome. L'auteur continue de construire son univers en nous faisant parcourir les chemins Silfiens et en nous présentant les fameux Primiens qui menacent la Terre, surtout MatinLumièreMontagne. J'ai trouvé très longue la première partie du tome. Les petites magouilles politiques entre les grandes familles n'étaient pas vraiment intéressantes. Pourtant, je suis bon public pour les intrigues politiques en général. Mais là, ça manquait un peu de profondeur. La deuxième partie du roman est plus intéressante avec la découverte des Primiens. Et surtout le final avec la bataille est totalement épique. les Primiens font preuve d'une force de frappe immense face à une humanité totalement dépassée forcée d'abandonner les mondes ciblés. Ce tome opère également un glissement intéressant autour de l'Arpenteur d'étoiles et pose une question : Et si le complot n'était pas là où on le croit ?
Pour moi cette saga présente toujours les mêmes atouts et les mêmes faiblesses. L'univers est foisonnant, bien construit. Mais on est toujours noyé sous le flot de personnages. Certains sont là le temps d'un chapitre ou même d'une scène. Et on a tendance à se demander si on doit faire un effort pour le retenir ou pas. Autre conséquence, les personnages clés (Paula Myo, Ozzie, Sheldon...) surnagent difficilement au milieu de cet océan de personnages. Les chapitres sont très longs et on a l'impression que l'auteur ne sait pas découper sa narration pour la rendre fluide et efficace. Pour moi, on perd clairement en dynamique de lecture.
Cela dit, je prends toujours plaisir à lire ce space opera et j'enchaine avec le tome 3.
Le vaisseau "Seconde chance" a fui à toute vitesse du système de Dyson, suite à l'attaque des Dysoniens, et, en plus, il a dû abandonner 2 membres de l'équipage. Suite à la nature extrêmement agressive des Dysoniens et à leur infrastructure industrielle qui paraît d'une productivité époustouflante, il faut se préparer à une invasion qui pourrait être assez proche. On met donc en chantier une génération de vaisseaux de combat tout en essayant de s'assurer de protéger les planètes et les villes les plus importantes. Il y a aussi les Gardiens qui soupçonnent derrière tout cela la main de l'Arpenteur, un extraterrestre, fictif selon la majorité des habitants du Commonwealth, mais bien réel et agissant dans l'ombre, pour le chef des Gardiens.
Et c'est reparti pour un tour, et on se promène avec une autre enquête policière sur l'infiltration possible de l'Arpenteur au niveau de la chaine de commandement, ainsi que le voyage d'Ozzie dans les chemins des Silfens. Après quelques centaines de pages (beaucoup de verbiage), finalement, on a un peu d'action, même si, selon moi, on sous-estime l'acquisition d'une science et d'une technologie différente, ainsi que la mise en place d'un infrastructure gigantesque.
Finalement, j'ai des problèmes avec cet auteur qui est beaucoup trop verbeux à mon goût, avec une science plus ou moins plausible, et dont les histoires frôlent la fantasy.
Encore là, j'ai aimé un peu plus le deuxième tome, mais pas assez pour lui donner 4 étoiles.
Těžko hodnotit Invazi samostatně, protože stejně jako předchozí díl není nikterak ukončena. Zatímco u Bariéry jsem si to vysvětloval tím, že spolu s Invazí jde o jednu knihu rozdělenou do dvou svazků, tady jsem už alespoň částečné uzavření čekal. Stejně jako v prvním díle zde není úplně přehršel akce. Jde spíše o pomalý postup mnoha různých linií sledující rozličné postavy. Velmi oceňuji, jak autor dokáže vykreslit budoucnost plnou fantastických technologií z pohledu běžných lidí a ukázat tím, že vyspělá technologie není samospásná a má i své nevýhody. Závěrečná část knihy dost razantně mění tempo a je jen škoda, že ve chvíli, kdy se rozjela naplno končí. Stejně jako u Bariéry je záporem asi až přílišná rozvláčnost popisů a fakt, že ne úplně všechny linky a postavy mě dokázaly zaujmout. Nicméně nutno podoknout, že situace se mi zdála lepší, než u prvního dílu. Možná tím, že jsem s postavami už byl obeznámen. Celkově jde o nadprůměrnou space operu, která se zaměřuje na aspekty, se kterými se až tak běžně v podobných příbězích nesetkáváme. Další díl mě určitě nemine a čekám, jakých obrátek nabere a jak všechny události zapadnou do sebe a vytvoří tzv. bigger picture. Stejně jako Bariéře dávám 4/5.
Ok, l'ennesimo nome del modello della locomotiva del treno o del tipo di pneumatici del pick up sono informazioni completamente inutili, ma che ci vuoi fare, fa parte del processo narrativo di Hamilton. Si dilunga, viaggia tra le sottotrame infarcendole di dettagli, però affascina. O almeno affascina me... questo processo di world building così pignolo, che mi pare mutuato in parte dalla tradizione narrativa e in parte dal mondo dei videogiochi di ruolo, mi ha colpito fin dalla sua prima opera letta... Ho aspettato un po' per rileggere questa seconda parte di pandora's star (letto anni fa in inglese) per non dover aspettare troppo il seguito della traduzione, uscita pochi mesi fa sempre sui jumbo urania...
Critique commune Tome 1 et 2 (un seul roman en anglais) :
Petite hésitation entre 3 et 4*..
Un Grand Space opéra, avec multiples points de vue qui se rejoignent à la fin (sauf le périple d’Ozzie, dont on ne comprend pas vraiment l’intérêt à la fin de roman, peut-être le suivant ?)
Les moments d’action sont vraiment très bons, une sacrée imagination / World-Building très détaillé, mais il y a qd même des passages un peu looonnngs (le périple d’Ozzie, l’histoire des Primiens), certains détails dont on aurait pu se passer et gagner en un roman plus dense.
Ca reste néanomins un bon moment de lecture, à suivre avec le roman suivant Judas unchained...
Космическа опера. Всъщност в описането на "космическа опера" по речниците сигурно стои корицата на тази книга на П.Ф.Хамилтън :) Първият том е доста увлекателен, макар и разводнен в най-добрите традиции на жанра. И не, няма да е пресилено да се каже, че завършва с "cliffhanger" :)
Rha il est fort cet auteur ! Mais commencons par le commencement. Ce second tome voit le retour de la première expédition vers Dyson Alpha (vous vous souvenez de cette étoile emprisonnée dans une sphère ?), la découverte que certaines espèces extra-terrestres sont juste hostiles, la découverte que certains complots sont mieux cachés que d'autres, et enfin, ce qui était évident dès le début : la guerre. Tout ça est évident. Tout ça tient grâce à de sacrées ficelles. Mais franchement, je trouve cet auteur sacrément fort. parce que même si les ficelles sont épaisses, même si les thèmes sont archi-rebattus, je gobe tout comme une andouille. Prenons par exemple les paisibles habitants de je ne sais plus quelle planète dédiée au tourisme vert. Bon, ils habitent dans leur vallée, ils refusent la pollution, même quand il s'agit d'installer un détecteur. Et évidement ils vont se faire attaquer par les extra-terrestres. Et évidement leur courage les aidera à survivre (à défaut de résister). Tout ça est d'un simple ! Néanmoins, on est réellement avec eux quand leurs vertes montagnes sont nettoyées à grands coups de bombes nucléaires. On y croit quand ils essayent de combattre ces méchants extra-terrestres à coups de fusils de chasse. Ma seule réserve, en fait, tient aux extra-terrestres. Là, pour le coup,, je pense que l'auteur aurait pu se dispenser complètement de nous en parler, parce que ça ne sert pas réellement son propos (du moins pour l'instant) de nous faire prendre conscience de son/leur altérité fondamentale. Je me doute bien que le dernier tome verra soit la destruction du monstre d'outre-espace, soit son alliance avec les gentils humains pour combattre un péril encore plus grand, mais je trouve pour l'instant son procédé artificiel. Cela dit, ça ne concerne qu'une cinquantaine de pages sur les ... 600 ? 700 ? de ce deuxième tome qui promet encore plus de déchirement, encore plus de violence, encore plus de courage dans les deux suivants. Ah, il y avait aussi un autre truc que je trouvais too much : le coup d'Ozzie qui, en conclusion de ce tome, tombe comme Rincevent en son temps par-dessus bord. peut-être était-ce justement une citation ? Ca m'a un peu fait sourire, notez bien, mais pas tant que ça en fait. Ca n'en fait pas un livre moins recommandable, notez bien. En fait, c'est même le contraire : une elcture pas forcément très intelligente, mais à très haute teneur en distraction.
Le premier tome avait mis la barre très haute dans la construction d'un univers géant et crédible mais le deuxième est encore mieux ! Les aventures d'Ozzie et Orion en parallèle sont très agréable à suivre et permettent de varier la lecture de cette très dense histoire.
Took me a long time to read this one, so I think the interrest was lost for me along the way. It's still a good SF novel, players are beginning to move their pieces for the universe control. It's
C'est encore plus mauvais que la première partie !
Peter Hamilton consacre des centaines de pages à des sous-intrigues sans le moindre intérêt. Les personnages sont très nombreux mais sans la moindre épaisseur. Les sujets de réflexion sont survolés. Le décor n'a aucune crédibilité en tant qu'environnement futuriste.