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Les Démoniaques
C'est l'histoire d'une vengeance.L'histoire d'une fille qui affronte une bête.Son proxénète, son violeur.Son père.Drogues, meurtres, esclaves sexuelles, pédophilie. Au cœur d'un village qui borde l'autoroute, entre marécages lugubres et forêts profondes, un monstre se déploie.Depuis la Souille, son repère situé au cœur de la forêt, l'Ours dirige son clan d'une poigne de fer et repousse chaque jour les frontières de son empire criminel.Sa fille Kimy n'a qu'une obsession : attendre froidement l'heure de la vengeance. Car si personne ne se souvient de son visage, nul n'oubliera sa colère.Dans un thriller à la densité paroxystique, Köping prend le lecteur à la gorge et connecte, page après page, les fils d'une bombe à retardement. Une onde de choc étourdissante qui fait figure d'événement dans la scène littéraire française.(présentation éditeur)
380 pages, Pocket Book
Published November 3, 2022
179 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 45 reviews
April 23, 2025
Totalmente atrapante, eso si, muy duro y no apto para sensibilidades, y eso que no se trata tanto de que sea muy explícito en los hechos sino en el vocabulario y la forma de ser y pensar de los personajes, que son lo peorcito de la sociedad.4,5 estrellas
March 26, 2025
Aquí no hay magia como en El artesano.
January 29, 2019
Je termine à l’instant « Les démoniaques » et je hurle toute seule dans mon salon : « C’est quoi cette putain de fin Mattias ?? » Est-ce que tu veux vraiment créer une génération de frustrés, révoltés du Bounty après avoir créé une génération d’insomniaques ? La secte des adorateurs de Mattias Köping, légèrement agités du bocal, semble encore sévir après la lecture de chaque nouvel opus.
Donc, j’ai tout fait à l’envers. J’ai commencé par la fin en lisant d’abord « Le Manufacturier ». Je m’en fiche, je fais ce que je veux. « Les démoniaques » était dans ma bibliothèque depuis sa sortie, commencé et lâché devant la violence du texte. Après « Le Manufacturier », autant dire que j’étais prête et méga prête à rentrer dans la cour de l’horreur : j’avais déjà atteint des émotions paroxystiques sur l’échelle des souffrances très personnelles, imaginée par Mattias. Autant dire qu’après avoir lu ça, je pouvais tout lire : une promenade de santé, a piece of cake, fingers in the nose. (oui j’utilise des anglicismes si je veux, de l’anglais si je veux et je me fous comme de l’an 40 de la pétition qui circule actuellement)
Bienvenue dans Bisounours Land. Dans « Les démoniaques », on fait connaissance de papa ours. On a envie de le rencontrer celui-là, tant il a l’air humain et sympathique. Si l’on oublie son physique de géant vert, doté de belles grosses papattes à te dévisser la tête quand il t’en colle une, de pieds pointure 49 et d’une anatomie masculine disons avantageuse, il inspire le respect immédiat. À la tête de nombreuses entreprises qui ne connaissent pas la crise, vente de drogues en tout genre, trafic d’êtres humains, réseaux de prostitution (dressage, abattage, utilisation maximale et non exhaustive) et organisateur de fiestas orgiaques en tout genre, il a aussi l’immense qualité de cogner régulièrement sur sa fille Kimy, de la violer régulièrement et de la refiler à ses potes, membres permanents de ce microcosme de poètes. Il n’a qu’un amour dans sa vie : sa bagnole. C’est dire à quel point la cocaïne a attaqué son cerveau. Il est secondé par son frère, à peu près aussi con que lui dans le genre handicapé du bulbe, et par une mère surnommée « mère tendresse » tant sa gentillesse, sa compassion et son amour de l’autre la caractérise. Tout ce petit monde fait allègrement chanter une communauté entière : par la dépendance à la drogue d’abord, fournie en masse, et par l’enregistrement d’ébats plus inoffensifs les uns que les autres, avec quelques écharpages en fin de viol histoire d’ajouter un peu de piment. Tant de tendresse à l’état brut m’a bouleversée ! Malgré toute cette ambiance feel-good à l’eau de rose, figurez-vous que Kimy décide de se révolter. Elle en a marre que son père la viole, que les amis de son père la violent (ah ces gosses, je te jure quelle ingratitude!) et veut faire payer son paternel pour l’ensemble de son oeuvre. Comment va-t-elle s’y prendre pour le faire tomber ? Y a-t-il un espoir d’avenir pour une gamine qui a connu tant de souffrances ? L’ours est-il sur le chemin de la rédemption ? Vous le saurez après la pub!
Cet inoffensif roman de terroir (oui, on est dans la campagne profonde) va réveiller vos instincts primaires (la corde qu’on le pende haut et court) et vous encourager à aller chercher votre AK47 dans le garage (oui, c’est la Californie ici, faites gaffe, je suis équipée) pour sauter dans le bouquin et y faire un grand coup de nettoyage… à sec! Tu es féministe engagée ? Qu’à cela ne tienne !! La femme dans toute sa splendeur est mise en avant, résumée à un tas de viande sans cervelle dont on se sert allegretto et dont on ferme la grande gueule dès qu’elle émet un autre son que celui du râle intercoïtal, et qu’on égorge d’un coup, d’un seul quand elle est trop usée pour servir. Place de choix, enviée et vénérée, magnifique ode au corps féminin, souplesse absolue des corps qui s’entrechoquent, soumission choisie et sublimée. Une véritable invitation au voyage !
Une place de choix est gardée pour Kimy, la gosse qui fête son 15ème anniversaire à quatre pattes, entourée de gros libineux qui veulent jouer à chat perché. En terme d’enfance maltraitée, elle peut remplir un carnet de rendez-vous psy pendant une vie entière. Elle a tout connu, tout vécu, tout subi. Il ne reste pas grand chose dont elle soit encore réellement vierge (à part peut-être du sentiment d’aimer et d’être aimée) et c’est animée d’une certaine rancune (tu m’étonnes) qu’elle décide de s’attaquer à son charmant papa avec pour objectif de le détruire irrémédiablement. Il faut bien que quelqu’un fasse le sale boulot ! Je vous le dis tout net : la prochaine fois qu’une de mes gosses rentre avec une sale note, je vais lui demander si elle veut finir comme Kimy ! Ça devrait la faire réfléchir un peu !
Sans plaisanter, ce livre provoque une révolte quasi animale chez le lecteur. Quelque chose de très instinctif s’empare de votre cerveau qui ne peut plus fonctionner normalement. La réflexion est mise au second plan pour ne laisser place qu’à l’émotion pure, et avec elle, un désir intense, presque suffocant de vengeance. Les bas instincts, ceux que vous ne pensiez pas avoir, font surface et balayent toute raison sur leur passage. La petite société de campagne, bien sous tout rapport, gangrenée jusqu’à la moelle engendre une remontée de bile et l’envie de vomir. Tout le monde fait partie de ces petits arrangements entre amis, le maire, les représentants de la justice, la police, les services sociaux. Le lecteur est alors le seul témoin de la réalité de Viaduc-sur-Bauge, petite bourgade tranquille et honorable.
Certes, c’est un livre très difficile, à ne pas mettre dans toutes les mains. La violence est terrible, les scènes décrites insoutenables, les mots incisifs, les descriptions précises ne laissent pas de place au doute. Au milieu de cette noirceur, surgit quand même une lueur d’espoir par l’intermédiaire d’un personnage clé : Henri. Personnage doublement intéressant puisqu’il est autant vecteur d’espoir que victime. C’est presque logiquement que sa rencontre avec Kimy est adoubée alors qu’elle poserait question hors de ce contexte précis.
Je pars toujours du principe qu’un livre doive susciter des émotions, bonnes ou mauvaises et surtout s’affranchir de toute indifférence pour être considéré comme bon. Partagée entre pitié, dégoût, soif de vengeance, mais aussi tendresse et compassion, les émotions qu’il génère sont intenses. La plume de Mattias Köping, déjà acérée, sans compromission, poétique et noire vous embarque dans les tréfonds de l’âme humaine, dont on ne peut/veut sortir indemne. Son talent est confirmé dans « Le Manufacturier ».
Il est désormais un pilier de la littérature noire avec lequel il faudra compter.
Donc, j’ai tout fait à l’envers. J’ai commencé par la fin en lisant d’abord « Le Manufacturier ». Je m’en fiche, je fais ce que je veux. « Les démoniaques » était dans ma bibliothèque depuis sa sortie, commencé et lâché devant la violence du texte. Après « Le Manufacturier », autant dire que j’étais prête et méga prête à rentrer dans la cour de l’horreur : j’avais déjà atteint des émotions paroxystiques sur l’échelle des souffrances très personnelles, imaginée par Mattias. Autant dire qu’après avoir lu ça, je pouvais tout lire : une promenade de santé, a piece of cake, fingers in the nose. (oui j’utilise des anglicismes si je veux, de l’anglais si je veux et je me fous comme de l’an 40 de la pétition qui circule actuellement)
Bienvenue dans Bisounours Land. Dans « Les démoniaques », on fait connaissance de papa ours. On a envie de le rencontrer celui-là, tant il a l’air humain et sympathique. Si l’on oublie son physique de géant vert, doté de belles grosses papattes à te dévisser la tête quand il t’en colle une, de pieds pointure 49 et d’une anatomie masculine disons avantageuse, il inspire le respect immédiat. À la tête de nombreuses entreprises qui ne connaissent pas la crise, vente de drogues en tout genre, trafic d’êtres humains, réseaux de prostitution (dressage, abattage, utilisation maximale et non exhaustive) et organisateur de fiestas orgiaques en tout genre, il a aussi l’immense qualité de cogner régulièrement sur sa fille Kimy, de la violer régulièrement et de la refiler à ses potes, membres permanents de ce microcosme de poètes. Il n’a qu’un amour dans sa vie : sa bagnole. C’est dire à quel point la cocaïne a attaqué son cerveau. Il est secondé par son frère, à peu près aussi con que lui dans le genre handicapé du bulbe, et par une mère surnommée « mère tendresse » tant sa gentillesse, sa compassion et son amour de l’autre la caractérise. Tout ce petit monde fait allègrement chanter une communauté entière : par la dépendance à la drogue d’abord, fournie en masse, et par l’enregistrement d’ébats plus inoffensifs les uns que les autres, avec quelques écharpages en fin de viol histoire d’ajouter un peu de piment. Tant de tendresse à l’état brut m’a bouleversée ! Malgré toute cette ambiance feel-good à l’eau de rose, figurez-vous que Kimy décide de se révolter. Elle en a marre que son père la viole, que les amis de son père la violent (ah ces gosses, je te jure quelle ingratitude!) et veut faire payer son paternel pour l’ensemble de son oeuvre. Comment va-t-elle s’y prendre pour le faire tomber ? Y a-t-il un espoir d’avenir pour une gamine qui a connu tant de souffrances ? L’ours est-il sur le chemin de la rédemption ? Vous le saurez après la pub!
Cet inoffensif roman de terroir (oui, on est dans la campagne profonde) va réveiller vos instincts primaires (la corde qu’on le pende haut et court) et vous encourager à aller chercher votre AK47 dans le garage (oui, c’est la Californie ici, faites gaffe, je suis équipée) pour sauter dans le bouquin et y faire un grand coup de nettoyage… à sec! Tu es féministe engagée ? Qu’à cela ne tienne !! La femme dans toute sa splendeur est mise en avant, résumée à un tas de viande sans cervelle dont on se sert allegretto et dont on ferme la grande gueule dès qu’elle émet un autre son que celui du râle intercoïtal, et qu’on égorge d’un coup, d’un seul quand elle est trop usée pour servir. Place de choix, enviée et vénérée, magnifique ode au corps féminin, souplesse absolue des corps qui s’entrechoquent, soumission choisie et sublimée. Une véritable invitation au voyage !
Une place de choix est gardée pour Kimy, la gosse qui fête son 15ème anniversaire à quatre pattes, entourée de gros libineux qui veulent jouer à chat perché. En terme d’enfance maltraitée, elle peut remplir un carnet de rendez-vous psy pendant une vie entière. Elle a tout connu, tout vécu, tout subi. Il ne reste pas grand chose dont elle soit encore réellement vierge (à part peut-être du sentiment d’aimer et d’être aimée) et c’est animée d’une certaine rancune (tu m’étonnes) qu’elle décide de s’attaquer à son charmant papa avec pour objectif de le détruire irrémédiablement. Il faut bien que quelqu’un fasse le sale boulot ! Je vous le dis tout net : la prochaine fois qu’une de mes gosses rentre avec une sale note, je vais lui demander si elle veut finir comme Kimy ! Ça devrait la faire réfléchir un peu !
Sans plaisanter, ce livre provoque une révolte quasi animale chez le lecteur. Quelque chose de très instinctif s’empare de votre cerveau qui ne peut plus fonctionner normalement. La réflexion est mise au second plan pour ne laisser place qu’à l’émotion pure, et avec elle, un désir intense, presque suffocant de vengeance. Les bas instincts, ceux que vous ne pensiez pas avoir, font surface et balayent toute raison sur leur passage. La petite société de campagne, bien sous tout rapport, gangrenée jusqu’à la moelle engendre une remontée de bile et l’envie de vomir. Tout le monde fait partie de ces petits arrangements entre amis, le maire, les représentants de la justice, la police, les services sociaux. Le lecteur est alors le seul témoin de la réalité de Viaduc-sur-Bauge, petite bourgade tranquille et honorable.
Certes, c’est un livre très difficile, à ne pas mettre dans toutes les mains. La violence est terrible, les scènes décrites insoutenables, les mots incisifs, les descriptions précises ne laissent pas de place au doute. Au milieu de cette noirceur, surgit quand même une lueur d’espoir par l’intermédiaire d’un personnage clé : Henri. Personnage doublement intéressant puisqu’il est autant vecteur d’espoir que victime. C’est presque logiquement que sa rencontre avec Kimy est adoubée alors qu’elle poserait question hors de ce contexte précis.
Je pars toujours du principe qu’un livre doive susciter des émotions, bonnes ou mauvaises et surtout s’affranchir de toute indifférence pour être considéré comme bon. Partagée entre pitié, dégoût, soif de vengeance, mais aussi tendresse et compassion, les émotions qu’il génère sont intenses. La plume de Mattias Köping, déjà acérée, sans compromission, poétique et noire vous embarque dans les tréfonds de l’âme humaine, dont on ne peut/veut sortir indemne. Son talent est confirmé dans « Le Manufacturier ».
Il est désormais un pilier de la littérature noire avec lequel il faudra compter.
February 7, 2017
Une lecture qui ne ressemble à aucune autre, je vous le dis tout de suite:
Prudes, bien-pensants et âmes sensibles S'ABSTENIR!
Chronique complète sur mon blog: http://liseuseenserie.blogspot.com/20...
Prudes, bien-pensants et âmes sensibles S'ABSTENIR!
Chronique complète sur mon blog: http://liseuseenserie.blogspot.com/20...
July 12, 2025
7.75/10
Novela bastante dura esta en la que se tratan temas jodidos, como la pederastia, prostitución, venta de drogas, violaciones etc...Sin llegar a niveles muy descriptivos durante su narración, si puede llegar a herir la sensibilidad de algún lector, aunque como digo, en casi ningún caso la narrativa alcanza esas cotas, es más bien lo que deja entrever la trama y lo que comentan los personajes, aunque sin entrar en detalles escabrosos.
La novela se centra en una chica joven, cuya vida ha sido un infierno por el simple hecho de haber nacido en el lugar y familia equivocada. Hasta que un día la chica dice basta y decide devolverles todo el sufrimiento que le han hecho pasar.
La trama tiene bastante ritmo, los personajes son fáciles de odiar, como para no, sabiendo lo que hacen y sus diálogos, y en general si que es de esas lecturas que te dejan huella.
Por ponerle algún pero, pues quizás la relación que se crea entre dos personajes no me pareció verosímil, pero tampoco es nada grave.
Novela bastante dura esta en la que se tratan temas jodidos, como la pederastia, prostitución, venta de drogas, violaciones etc...Sin llegar a niveles muy descriptivos durante su narración, si puede llegar a herir la sensibilidad de algún lector, aunque como digo, en casi ningún caso la narrativa alcanza esas cotas, es más bien lo que deja entrever la trama y lo que comentan los personajes, aunque sin entrar en detalles escabrosos.
La novela se centra en una chica joven, cuya vida ha sido un infierno por el simple hecho de haber nacido en el lugar y familia equivocada. Hasta que un día la chica dice basta y decide devolverles todo el sufrimiento que le han hecho pasar.
La trama tiene bastante ritmo, los personajes son fáciles de odiar, como para no, sabiendo lo que hacen y sus diálogos, y en general si que es de esas lecturas que te dejan huella.
Por ponerle algún pero, pues quizás la relación que se crea entre dos personajes no me pareció verosímil, pero tampoco es nada grave.
December 17, 2024
Me llamó la atención porque sentí que podía ser un buen giro a la típica tropa de historia de venganza, pero diez capítulos dentro y empecé a preguntarme en qué lío me había metido. No lo digo porque toque temas con los que puede ser difícil lidiar (drogadicción, abuso, prostitución, pedofilia), sino porque es una mala historia, punto.
Es un libro aburrido, repetitivo, sin nada de tensión aunque promete ser un thriller, que abusa del factor shock, y que tiene decenas de páginas desperdiciadas porque en ellas se especulaba lo que uno como lector ya sabía.
Lo peor de todo es que Henri (un cuarentón), quien se supone sirve como héroe en la novela, a final de cuentas es igual de despreciable que el Oso y los demás depredadores sexuales por siquiera mirar a Kim con lascivia la primera vez que la conoce. Amén de que tiene explícitos encuentros íntimos con ella, siendo esta una adolescente. ¿Y se supone que tenemos que sentir pena cuando el Oso lo muele a palos? Por favor.
Otra cosa que me cayó súper mal fue que el autor constantemente llamara a la protagonista "Kimy" pese a que ella dijera que odiaba ese nombre. Fue como, bueno, narrador, ¿de qué lado estás? ¿Ni a ti te importa esta chica?
Además, ese final "trágico" no pudo importarme menos porque una vez estuve dispuesta a prestarle atención a Kim, la historia cambió de rumbo completamente y se sintió como que abandonó por completo a su protagonista para centrarse en puntos de vista que no añadían nada. Las investigaciones policiacas estuvieron de más; creo que hubiera sido más efectivo que solo se mostraran las consecuencias de sus reuniones, por ejemplo, no las reuniones enteras. Qué asco.
Ni mencionar los infinitos párrafos y diálogos repetitivos, o los capítulos enteros de info-dumping, que hicieron la lectura el triple de pesada.
Lo terminé solamente porque no quería sentir que desperdicié mi dinero.
Es un libro aburrido, repetitivo, sin nada de tensión aunque promete ser un thriller, que abusa del factor shock, y que tiene decenas de páginas desperdiciadas porque en ellas se especulaba lo que uno como lector ya sabía.
Lo peor de todo es que Henri (un cuarentón), quien se supone sirve como héroe en la novela, a final de cuentas es igual de despreciable que el Oso y los demás depredadores sexuales por siquiera mirar a Kim con lascivia la primera vez que la conoce. Amén de que tiene explícitos encuentros íntimos con ella, siendo esta una adolescente. ¿Y se supone que tenemos que sentir pena cuando el Oso lo muele a palos? Por favor.
Otra cosa que me cayó súper mal fue que el autor constantemente llamara a la protagonista "Kimy" pese a que ella dijera que odiaba ese nombre. Fue como, bueno, narrador, ¿de qué lado estás? ¿Ni a ti te importa esta chica?
Además, ese final "trágico" no pudo importarme menos porque una vez estuve dispuesta a prestarle atención a Kim, la historia cambió de rumbo completamente y se sintió como que abandonó por completo a su protagonista para centrarse en puntos de vista que no añadían nada. Las investigaciones policiacas estuvieron de más; creo que hubiera sido más efectivo que solo se mostraran las consecuencias de sus reuniones, por ejemplo, no las reuniones enteras. Qué asco.
Ni mencionar los infinitos párrafos y diálogos repetitivos, o los capítulos enteros de info-dumping, que hicieron la lectura el triple de pesada.
Lo terminé solamente porque no quería sentir que desperdicié mi dinero.
November 16, 2021
Je suis sur le cul!
J'avais beaucoup d'attente pour ce livre et my god! J'ai été tout sauf déçue.
Une plume acérée, une histoire vraiment noire, il faut avoir le coeur solide et bien accroché! Et les personnages 😲 wow! On en déteste une méchante gang, certains passages j'avais envie de pleurer de rage! Et le personnage principal, Kimy 😍 un réel coup de coeur pour cette fille résiliente et forte... Juste wow!
De l'action presque tout le long et une fin de dingue !
Ai-je besoin de vous dire que j'ai adoré ce livre ? Après le manufacturier et maintenant les démoniaques, Mattias Köping fait définitivement parti de mes auteurs coup de coeur ! Vraiment hâte au prochain 🤩
J'avais beaucoup d'attente pour ce livre et my god! J'ai été tout sauf déçue.
Une plume acérée, une histoire vraiment noire, il faut avoir le coeur solide et bien accroché! Et les personnages 😲 wow! On en déteste une méchante gang, certains passages j'avais envie de pleurer de rage! Et le personnage principal, Kimy 😍 un réel coup de coeur pour cette fille résiliente et forte... Juste wow!
De l'action presque tout le long et une fin de dingue !
Ai-je besoin de vous dire que j'ai adoré ce livre ? Après le manufacturier et maintenant les démoniaques, Mattias Köping fait définitivement parti de mes auteurs coup de coeur ! Vraiment hâte au prochain 🤩
March 4, 2024
Los endemoniados es una novela que engancha desde la primera página y que no da respiro al lector. Mattias Köping nos sumerge, más bien nos empuja hacia un abismo en el que reina la crueldad sin nombre y la maldad más absoluta; es decisión vuestra si queréis dejaros caer.
RESEÑA COMPLETA: https://atrapadaenunashojasdepapel.bl...
RESEÑA COMPLETA: https://atrapadaenunashojasdepapel.bl...
January 2, 2020
Un roman qui cogne fort. Dès ses premières lignes, on sent qu'on va être amené à s'immerger dans un monde vicieux, d'une cruauté sans nom, d'un mal absolu. une histoire violente et bouleversante jusqu'à la toute fin qui nous arrache les cheveux par poignées.
October 18, 2025
No apto para todos los públicos, pero bueno,ya lo imaginas.
Peor que el Artesano, mucho más complejo y retorcido, aún así cumple.
La verdad es que este autor, no se anda con florituras,ni con una prosa muy cuidada. Es directo, crudo y bastante brutal.
Bastante más ajustado a la realidad que la mayoría de novelas negras, que en su mayoría son batante sosas,incluso a veces ñoñas y tan comerciales que parecen todas similares.
Peor que el Artesano, mucho más complejo y retorcido, aún así cumple.
La verdad es que este autor, no se anda con florituras,ni con una prosa muy cuidada. Es directo, crudo y bastante brutal.
Bastante más ajustado a la realidad que la mayoría de novelas negras, que en su mayoría son batante sosas,incluso a veces ñoñas y tan comerciales que parecen todas similares.
March 7, 2024
Une claque !
April 13, 2025
L’Ours, bien en haut de la chaîne alimentaire de cette petite ville Viaduc-sur-bauge ne pourrait être plus heureux. Le trafiquant, entrepreneur, père et scélérat continue à faire marcher les affaires de bon train avec son réseau de prostitution de mineures, son commerce de drogue plus que rentable et surtout sa particulière clientèle prête à desserrer la bourse en échange de voir ses fantasmes les plus sombres se réaliser. C’est le cas de le dire, L’Ours tient plus d’une proie entre ses griffes. Pourtant Kimmy, 18 ans et depuis peu laissée sans surveillance, rumine dans son coin de la tanière une petite surprise pour son père. C’est qu’après autant d’années enfermé avec les prédateurs l’enfant aura appris à chasser à son tour.
° ˛ ° ˚* _Π_____*☽˚ ˛
✩ ˚˛˚*/______/__＼ ✩
˚ ˛˚˛˚｜ 田田｜門｜ ˚⌖𓄃 ོ
Je n’arrive pas à croire que le premier livre de 400 pages que je lis après des années soit un livre qui ne m’a pas plu. Cependant, finir un livre de cette ampleur en quelques jours veut aussi dire que le sujet était captivant. Malheureusement je n’ai pas été impressionnée par le dénouement de cette histoire. Je dirais qu’a partir de la moitié du roman les actions deviennent prévisibles. Je considérerais ce livre comme un drame plutôt qu’un suspense. L’histoire est racontée du point de vue de Kimmy ce qui est une grande erreur selon mon opinion. Ce livre aurait bénéficié d’être raconté selon la perspective des enquêteurs dont l’introduction était tardive et discordante avec le récit. Dans un thriller il faut réserver quelques révélations pour le tour final afin de garder le lecteur intéressé. Cependant, dans ce cas comme l’histoire est raconté par Kimmy, nous connaissons déjà les secrets de L’Ours et vers la fin il n’y a plus vraiment cet effet de surprise. Sinon, pour les points positifs je pense que l’auteur a réussi à établir une histoire crédible et réaliste. Il y avait beaucoup d’informations intéressantes à propos du trafic de mineures et du système judiciaire et ses failles ce qui était dense, mais à la fois rafraîchissant à lire.
° ˛ ° ˚* _Π_____*☽˚ ˛
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˚ ˛˚˛˚｜ 田田｜門｜ ˚⌖𓄃 ོ
Je n’arrive pas à croire que le premier livre de 400 pages que je lis après des années soit un livre qui ne m’a pas plu. Cependant, finir un livre de cette ampleur en quelques jours veut aussi dire que le sujet était captivant. Malheureusement je n’ai pas été impressionnée par le dénouement de cette histoire. Je dirais qu’a partir de la moitié du roman les actions deviennent prévisibles. Je considérerais ce livre comme un drame plutôt qu’un suspense. L’histoire est racontée du point de vue de Kimmy ce qui est une grande erreur selon mon opinion. Ce livre aurait bénéficié d’être raconté selon la perspective des enquêteurs dont l’introduction était tardive et discordante avec le récit. Dans un thriller il faut réserver quelques révélations pour le tour final afin de garder le lecteur intéressé. Cependant, dans ce cas comme l’histoire est raconté par Kimmy, nous connaissons déjà les secrets de L’Ours et vers la fin il n’y a plus vraiment cet effet de surprise. Sinon, pour les points positifs je pense que l’auteur a réussi à établir une histoire crédible et réaliste. Il y avait beaucoup d’informations intéressantes à propos du trafic de mineures et du système judiciaire et ses failles ce qui était dense, mais à la fois rafraîchissant à lire.
March 21, 2020
" Les démoniaques " de Matthias Köping (371p)
Ed. La mécanique générale.
Bonjour les fous de lectures.....
Vous cherchez du noir? il y en a !
Vous cherchez du glaugue? Il y en a !
Vous chercher de la violence? Il y en a !
Vous chercher un thriller qui vous prend aux tripes? Le voici !!!!!
Âmes sensibles s’abstenir !!!! ( Déja la 4°de couverture vous donne un avant-goût)
Bref résumé:
Histoire d'une vengeance.
Histoire de Kim,victime de son bourreau de père qui est a la fois violeur, dealer et proxénète et pédophile à ses heures.
Au fond de la forêt sévit " l'ours", il y a implanté son QG et de là dirige son réseau de perversités.
Tous les pontes des allentours viennent y brûler leurs ailes.
L'ours domine, l'ours fait peur...
Mais il y a Kim, sa fille qui veille et rêve de vengeance...
A vous de découvrir la suite ...et la fin risque de vous surprendre !!!
On ne peut être que happé par cette histoire qui nous plonge dans ce qu'il y a de plus noir chez l'homme.
je ne suis pas très fan de thriller et donc loin d'être une spécialiste du genre mais ce roman est dur, très dur et cependant addictif, très addictif !!!
Tout ce qui est laid, amoral y est rassemblé.
Matthis Köping nous captive par sa plume alerte, nous donne l'impresson d'être un voyeur.
On se demande où cela va s’arrêter mais on ne peut s'empêcher de tourner les pages en attendant, le soufle suspendu, la vengeance de Kim
Bravo à l’auteur pour cette analyse chirurgicale de la perversité.
le rythme soutenu a réussi à me tenir en haleine de la première à la dernière page.
Grand prix du jury des mines noires amplement mérité
Vous qui oserez vous y plonger ... après...votre prochaine lecture ne pourra être que légère
December 4, 2019
Lorsque j'ai fait dédicacer le livre, Mattias Köping m'avait prévenu en me demandant si je savais dans quoi je m'engageais, car c'était du lourd, du violent. Tout juste si je n'entendais pas Michel Audiard m'avertissant que mes yeux de lecteur allaient être pulvérisés aux quatre coins de Paris.... à ceci près que je me trouvais alors au Salon du Polar de l’Iris Noir de Bruxelles.
Cet avertissement est fait à sa juste valeur car il faut le concéder certaines scènes sont pour le moins violentes, crues, et pourraient heurter la sensibilité de certains lecteurs. Les autres vont adorer, car si elles peuvent déranger, ces scènes sont essentielles pour poser le roman, mettre dans l'ambiance délétère loin de toute morale et de comprendre la psychologie et le projet de Kimy.
Mattias Köping nous offre un très grand roman noir, bien serré, avec des personnages qui peuvent paraître cliché, mais qui ne doivent pas être loin de la vraie lie de notre société. Au fur et à mesure du roman, les personnages dévoilent leurs faiblesses, leur déchirure, ou au contraire se montrent de plus en plus Méphistophélès.
Si pendant les premières pages, l'écriture semble hachée c'est pour mieux montrer la rudesse et la brusquerie du monde dans lequel vit Kimy, mais très rapidement on s'habitue à l'ambiance et à cette écriture, à moins que ce ne soit celle-ci qui se fluidifie. On se prend à voir les pages défiler, l'ampleur de la gangrène affectant cette région, le projet de Kimy se monter et se dérouler.
Un roman puissant et épuisant, pour les amateurs du noir foncé.
https://quoilire.wordpress.com/2019/1...
Cet avertissement est fait à sa juste valeur car il faut le concéder certaines scènes sont pour le moins violentes, crues, et pourraient heurter la sensibilité de certains lecteurs. Les autres vont adorer, car si elles peuvent déranger, ces scènes sont essentielles pour poser le roman, mettre dans l'ambiance délétère loin de toute morale et de comprendre la psychologie et le projet de Kimy.
Mattias Köping nous offre un très grand roman noir, bien serré, avec des personnages qui peuvent paraître cliché, mais qui ne doivent pas être loin de la vraie lie de notre société. Au fur et à mesure du roman, les personnages dévoilent leurs faiblesses, leur déchirure, ou au contraire se montrent de plus en plus Méphistophélès.
Si pendant les premières pages, l'écriture semble hachée c'est pour mieux montrer la rudesse et la brusquerie du monde dans lequel vit Kimy, mais très rapidement on s'habitue à l'ambiance et à cette écriture, à moins que ce ne soit celle-ci qui se fluidifie. On se prend à voir les pages défiler, l'ampleur de la gangrène affectant cette région, le projet de Kimy se monter et se dérouler.
Un roman puissant et épuisant, pour les amateurs du noir foncé.
https://quoilire.wordpress.com/2019/1...
May 4, 2017
Un livre choc, un livre qui claque !
Une immersion dans les bas-fonds (y a-t ‘il plus bas que les bas-fonds ?) du trafic en tout genre, là où la femme a moins de valeur qu'une voiture, là où les magouilles sont juste une normalité quotidienne.
La sensation de me retrouver près de 30 ans auparavant à la lecture de "Moi, Christiane F, 13 ans, droguée, prostituée. Dans ce monde qui, quelque part, ne semble pas exister...Ce monde qu'il est impossible d'imaginer sans l'avoir vécu...Ce monde que personne ne veut connaître...
Qu'a donc vécu Mattias Köping pour être capable de retranscrire avec autant de précision ce milieu pourri ? Ce milieu où les sentiments ont été détruit, ou l'espoir devient incongru ou tout simplement absent.
La trame a un côté "déjà vu", prévisible et sans trop de surprise mais l'écrit en fait quelque chose de tout spécial. Des phrases courtes qui transpercent comme un coup de poignard. Chaque mot est douleur. Chaque mot ramène direct à une image, un tsunami d'images...
Ça baigne dans la fange, dans la crasse, dans le dégueulasse, dans l'innommable, dans tout ce qu'il y a de pire dans notre pauvre humanité.
Prévoyez, d'ailleurs, un seau...Certaines scènes sont véritablement à vomir d'autant plus que Mattias réussi à encrer les faits dans une réalité époustouflante...
Ça cogne, ça tape, ça clap, ça percute. C'est dur, très très dur et disons le franchement, âme sensible s'abstenir. Pas un seul instant de répit, l'horreur se déverse tel en un flot incessant et ce jusqu'au superbe final !
Une histoire de vengeance démoniaque...
Une immersion dans les bas-fonds (y a-t ‘il plus bas que les bas-fonds ?) du trafic en tout genre, là où la femme a moins de valeur qu'une voiture, là où les magouilles sont juste une normalité quotidienne.
La sensation de me retrouver près de 30 ans auparavant à la lecture de "Moi, Christiane F, 13 ans, droguée, prostituée. Dans ce monde qui, quelque part, ne semble pas exister...Ce monde qu'il est impossible d'imaginer sans l'avoir vécu...Ce monde que personne ne veut connaître...
Qu'a donc vécu Mattias Köping pour être capable de retranscrire avec autant de précision ce milieu pourri ? Ce milieu où les sentiments ont été détruit, ou l'espoir devient incongru ou tout simplement absent.
La trame a un côté "déjà vu", prévisible et sans trop de surprise mais l'écrit en fait quelque chose de tout spécial. Des phrases courtes qui transpercent comme un coup de poignard. Chaque mot est douleur. Chaque mot ramène direct à une image, un tsunami d'images...
Ça baigne dans la fange, dans la crasse, dans le dégueulasse, dans l'innommable, dans tout ce qu'il y a de pire dans notre pauvre humanité.
Prévoyez, d'ailleurs, un seau...Certaines scènes sont véritablement à vomir d'autant plus que Mattias réussi à encrer les faits dans une réalité époustouflante...
Ça cogne, ça tape, ça clap, ça percute. C'est dur, très très dur et disons le franchement, âme sensible s'abstenir. Pas un seul instant de répit, l'horreur se déverse tel en un flot incessant et ce jusqu'au superbe final !
Une histoire de vengeance démoniaque...
December 20, 2019
2012 : Kimy, 15 ans est violée par son père, son oncle, et des amis de ceux-ci. Premières pages, dures et percutantes. On est directement plongé dans l’ambiance du livre.
Septembre 2015 : Kimy a 18 ans est vit dans un petit village, Viaduc sur Bauge. Bienvenu en enfer !
Elle y vit avec son père Jacky Mauchrétien, “l’ours”, un être abject, trafiquant en tous genre, propriétaire d’établissement de nuit et exploitant forestier. Tueur, violeur, proxénète, vous serait d’accord avec moi, l’homme parfait, il nous vend du rêve ! Elle n’a qu’une obsession, se venger de ceux qui lui on fait du mal !
On découvre que l’enfer est sur terre et qu’il se trouve dans ce petit village ! Là, vivent tranquillement des monstres, qui corrompent, abîmes leur entourage. Ils n’ont aucune morale, et ont la joie de posséder tous les vices possibles et inimaginables existant sur terre.
Un livre violent, percutant. L’auteur ne nous épargne pas, en n’omettant aucun détail des sévices infligés aux victimes.
Mais quelle claque on prend en lisant ce roman. On plonge très vite dans l’horreur, la violence et surtout dans ce qu’il existe de plus noir et sale chez l’homme, un monde où la pitié n’existe pas et n’a surtout pas sa place.
Un coup de cœur absolu pour ce livre de dingue. Âmes sensibles s’abstenir.
Septembre 2015 : Kimy a 18 ans est vit dans un petit village, Viaduc sur Bauge. Bienvenu en enfer !
Elle y vit avec son père Jacky Mauchrétien, “l’ours”, un être abject, trafiquant en tous genre, propriétaire d’établissement de nuit et exploitant forestier. Tueur, violeur, proxénète, vous serait d’accord avec moi, l’homme parfait, il nous vend du rêve ! Elle n’a qu’une obsession, se venger de ceux qui lui on fait du mal !
On découvre que l’enfer est sur terre et qu’il se trouve dans ce petit village ! Là, vivent tranquillement des monstres, qui corrompent, abîmes leur entourage. Ils n’ont aucune morale, et ont la joie de posséder tous les vices possibles et inimaginables existant sur terre.
Un livre violent, percutant. L’auteur ne nous épargne pas, en n’omettant aucun détail des sévices infligés aux victimes.
Mais quelle claque on prend en lisant ce roman. On plonge très vite dans l’horreur, la violence et surtout dans ce qu’il existe de plus noir et sale chez l’homme, un monde où la pitié n’existe pas et n’a surtout pas sa place.
Un coup de cœur absolu pour ce livre de dingue. Âmes sensibles s’abstenir.
August 12, 2021
Je m'attendais au pire en attaquant la lecture de ce roman, tellement j'avais vu des commentaires mettant le lecteur en garde à son sujet : attention, âmes sensibles s'abstenir !
Ces commentaires étaient loin de me déranger. D'ailleurs, je cherchais justement un récit qui bouleverse l'âme sensible que j'ai peut être ^^
Et en fait, sur CE point là, j'ai été un peu déçu. Certes, le cadre du récit est profondément noir, glauque, sinistre, insoutenable. Mais la manière dont l'auteur le construit au fil des pages ne l'est pas vraiment. Pas grand chose tirant vers le gore ou des descriptions effroyables. Ca, on en est loin.
Mais en aucun cas ceci a terni le plaisir de lire Les Démoniaques. Mattias Köping a un talent fou pour rendre les dialogues vivants et réels, pour tisser son histoire de chapitre en chapitre, pour donner un cachet attachant aux personnages principaux que sont (pour moi) Kim et Henri.
On finit chaque chapitre avec une seule envie : lire le suivant dans la foulée.
Et quand arrive la fin, on se demande bien quel prochain livre va pouvoir procurer autant d'émotions.
Ces commentaires étaient loin de me déranger. D'ailleurs, je cherchais justement un récit qui bouleverse l'âme sensible que j'ai peut être ^^
Et en fait, sur CE point là, j'ai été un peu déçu. Certes, le cadre du récit est profondément noir, glauque, sinistre, insoutenable. Mais la manière dont l'auteur le construit au fil des pages ne l'est pas vraiment. Pas grand chose tirant vers le gore ou des descriptions effroyables. Ca, on en est loin.
Mais en aucun cas ceci a terni le plaisir de lire Les Démoniaques. Mattias Köping a un talent fou pour rendre les dialogues vivants et réels, pour tisser son histoire de chapitre en chapitre, pour donner un cachet attachant aux personnages principaux que sont (pour moi) Kim et Henri.
On finit chaque chapitre avec une seule envie : lire le suivant dans la foulée.
Et quand arrive la fin, on se demande bien quel prochain livre va pouvoir procurer autant d'émotions.
July 29, 2022
Deuxième lecture à trois ans d'intervalle pour ce premier titre de Mattias Köping. Il m'a encore fait forte impression !😱
Le résumé ne dit pas grand-chose et en révèle pourtant toute l'essence. L'histoire de Kimy, 17 ans, qui se jure de faire tomber son père Jacky Mauchrétien et toute sa clique. Violée à plusieurs reprise par son père et ses hommes par le passé, elle vend aujourd'hui sa drogue et rapporte l'argent à la maison. Le jour où elle vole, bien qu'elle préfère dire « emprunte » (puisqu'elle le rend par la suite) à un homme, un espoir naît de cette relation étonnante... 😲
J'avais peur, en commençant cette relecture, d'avoir tout oublié de l'histoire et finalement non, son souvenir est resté assez vivace dans mon esprit. C'est un roman glauque et dégueulasse que nous offre l'auteur. Tous les vices de la race humaine sont concentrés ici. Viol, drogue, alcool, sadisme, meurtre... Il n'y a pas à dire, pour moi qui adore quand c'est violent et sombre, je n'ai absolument pas été déçue 😏
Ceux qui me connaissent savent que j'apprécie particulièrement les histoires de vengeance et celle de Kimy est orchestrée à merveille. J'ai adoré son personnage. Elle m'a énormément touchée, bouleversée avec la vie qu'elle a traversée. Cependant, elle ne s'est jamais plainte, ne s'est jamais apitoyée sur elle-même ni n'a baissé les bras, c'est un personnage que j'admire de par sa force et sa détermination à vouloir enfin vivre la vie qu'elle mérite 😌 Bien que sa scolarité n'ait été qu'une traversée du désert, elle est pourtant très intelligente. Qui aurait cru qu'une jeune femme tout juste majeure ferait tomber celui qu'on appelle l'Ours et d'autres personnes influentes ? Une fois la machine lancée, c'est tout simplement l'hécatombe 😨 Autre personnage que j'ai beaucoup aimé c'est Henri qui, de victimée mentale, passe à acteur dans la destruction de l'Ours et son empire.
La plume de l'auteur est précise, parfois vulgaire, parfois poétique mais toujours efficace. Et même si c'est une relecture, je ne me suis ennuyée à aucun moment. On est surpris, les événements s'enchaînent souvent à un rythme effréné où je perdais mon souffle 😵
Pourtant, après relecture, un nouvel éclairage s'est fait pour moi. Mon impression finale c'est que ce n'est pas très crédible, c'est too much mais... j'aime ça ! Comme je le disais à ma partenaire de lecture, l'auteur a rassemblé plusieurs aspects véridiques et choquants. Le tout perd en crédibilité mais certainement pas en sensations !😅
Une excellente relecture et il me tarde de découvrir le Manufacturier ! Aux amateurs de très noir et de glauque, ce livre est absolument fait pour vous !😍
Le résumé ne dit pas grand-chose et en révèle pourtant toute l'essence. L'histoire de Kimy, 17 ans, qui se jure de faire tomber son père Jacky Mauchrétien et toute sa clique. Violée à plusieurs reprise par son père et ses hommes par le passé, elle vend aujourd'hui sa drogue et rapporte l'argent à la maison. Le jour où elle vole, bien qu'elle préfère dire « emprunte » (puisqu'elle le rend par la suite) à un homme, un espoir naît de cette relation étonnante... 😲
J'avais peur, en commençant cette relecture, d'avoir tout oublié de l'histoire et finalement non, son souvenir est resté assez vivace dans mon esprit. C'est un roman glauque et dégueulasse que nous offre l'auteur. Tous les vices de la race humaine sont concentrés ici. Viol, drogue, alcool, sadisme, meurtre... Il n'y a pas à dire, pour moi qui adore quand c'est violent et sombre, je n'ai absolument pas été déçue 😏
Ceux qui me connaissent savent que j'apprécie particulièrement les histoires de vengeance et celle de Kimy est orchestrée à merveille. J'ai adoré son personnage. Elle m'a énormément touchée, bouleversée avec la vie qu'elle a traversée. Cependant, elle ne s'est jamais plainte, ne s'est jamais apitoyée sur elle-même ni n'a baissé les bras, c'est un personnage que j'admire de par sa force et sa détermination à vouloir enfin vivre la vie qu'elle mérite 😌 Bien que sa scolarité n'ait été qu'une traversée du désert, elle est pourtant très intelligente. Qui aurait cru qu'une jeune femme tout juste majeure ferait tomber celui qu'on appelle l'Ours et d'autres personnes influentes ? Une fois la machine lancée, c'est tout simplement l'hécatombe 😨 Autre personnage que j'ai beaucoup aimé c'est Henri qui, de victimée mentale, passe à acteur dans la destruction de l'Ours et son empire.
La plume de l'auteur est précise, parfois vulgaire, parfois poétique mais toujours efficace. Et même si c'est une relecture, je ne me suis ennuyée à aucun moment. On est surpris, les événements s'enchaînent souvent à un rythme effréné où je perdais mon souffle 😵
Pourtant, après relecture, un nouvel éclairage s'est fait pour moi. Mon impression finale c'est que ce n'est pas très crédible, c'est too much mais... j'aime ça ! Comme je le disais à ma partenaire de lecture, l'auteur a rassemblé plusieurs aspects véridiques et choquants. Le tout perd en crédibilité mais certainement pas en sensations !😅
Une excellente relecture et il me tarde de découvrir le Manufacturier ! Aux amateurs de très noir et de glauque, ce livre est absolument fait pour vous !😍
September 28, 2025
Una historia brutal. En todos los aspectos. Yo ya estoy curtida en esto de la violencia, pero aún así, creo que ha sido de los libros más bestias que he leído nunca.
El estilo me ha gustado mucho, es directo sin ser simple, con capítulos cortos y fluidos.
Una narración plagada de todos los males que (a)traen a las mafias: drogas, armas, tráfico de personas para explotación sexual…
Y Kimy. Kim, como le gusta a ella. A sus 18 años ha conocido lo más crudo y cruel de la vida, violada desde pequeña por su padre y amigos hasta que con 18 años deja de ser “apetecible”. Es entonces cuando decide por sí misma. Y vaya si la lía. Me ha gustado mucho el personaje, una chica muy fuerte, con las cosas claras y el corazón de piedra a causa de su mala vida hasta que encuentra un aliado para su causa. La venganza está servida. Me ha gustado el desarrollo del personaje. Solo hay una cosa que no me ha gustado, me ha roto el corazoncito, pero hace al libro más coherente, por lo que no tengo ninguna crítica que hacerle.
Ni siquiera la enredada operación policial se hace pesada, pese a que empieza hacia el 60% del libro.
No recomendado para estómagos sensibles, pero si crees que ya lo has visto todo, prepárate, es tu novela 100%. No falta violencia, no, estremece realmente, pero con la descripción justa en ciertas escenas.
A mí me ha encantado y por suerte acerté comprando dos novelas del autor a ciegas, voy a por la segunda de cabeza.
El estilo me ha gustado mucho, es directo sin ser simple, con capítulos cortos y fluidos.
Una narración plagada de todos los males que (a)traen a las mafias: drogas, armas, tráfico de personas para explotación sexual…
Y Kimy. Kim, como le gusta a ella. A sus 18 años ha conocido lo más crudo y cruel de la vida, violada desde pequeña por su padre y amigos hasta que con 18 años deja de ser “apetecible”. Es entonces cuando decide por sí misma. Y vaya si la lía. Me ha gustado mucho el personaje, una chica muy fuerte, con las cosas claras y el corazón de piedra a causa de su mala vida hasta que encuentra un aliado para su causa. La venganza está servida. Me ha gustado el desarrollo del personaje. Solo hay una cosa que no me ha gustado, me ha roto el corazoncito, pero hace al libro más coherente, por lo que no tengo ninguna crítica que hacerle.
Ni siquiera la enredada operación policial se hace pesada, pese a que empieza hacia el 60% del libro.
No recomendado para estómagos sensibles, pero si crees que ya lo has visto todo, prepárate, es tu novela 100%. No falta violencia, no, estremece realmente, pero con la descripción justa en ciertas escenas.
A mí me ha encantado y por suerte acerté comprando dos novelas del autor a ciegas, voy a por la segunda de cabeza.
July 1, 2025
"Joyeux anniversaire, salope! Joyeux anniversaire, salope !"Ils l'ont encerclée, hilare, à poil. (...) Elle est à quatre pattes au milieu de la meute, fragile et nue, déchirée de sanglots. Son père la maintient par les cheveux. Elle s'appelle Kimy. Ce soir, on fête ses 15 ans"
Ce livre commence avec ces quelques lignes. Elles donnent le ton d'une lecture qui n'est pas pour les âmes sensibles.
J'ai rencontré Kimy, cette jeune femme qui a vécu le pire mais qui est déterminée à se venger.Elle va croiser la route d'un prof de son lycée et sa vie va changer.
L'histoire est dure, cruelle, intense. Mattias Köping nous livre une histoire sur fond de vérité, celle qui dérange, celle que l'on ignore. Ce livre a reçu plusieurs prix et il les mérite tellement.
C'est percutant, troublant, émouvant. Oui parce que Kimy c'est une petite lumière dans ce tourbillon de noir. Elle porte l'histoire sur ses frêles épaules et on s'y attache tellement. On tremble pour elle, la tension est parfois insoutenable, l'effroi, la colère, jusqu'à la haine. La palette d'émotions y passe, on veut tellement la sauver.
Jusqu'au bout, ce livre est d'une dureté absolue, une souffrance émotionnelle, un calvaire pour le cœur.
Mais il est exceptionnel !
Sublime dans son horreur !
Ce drame est tout bonnement captivant et indéniablement parfait !
Ce livre commence avec ces quelques lignes. Elles donnent le ton d'une lecture qui n'est pas pour les âmes sensibles.
J'ai rencontré Kimy, cette jeune femme qui a vécu le pire mais qui est déterminée à se venger.Elle va croiser la route d'un prof de son lycée et sa vie va changer.
L'histoire est dure, cruelle, intense. Mattias Köping nous livre une histoire sur fond de vérité, celle qui dérange, celle que l'on ignore. Ce livre a reçu plusieurs prix et il les mérite tellement.
C'est percutant, troublant, émouvant. Oui parce que Kimy c'est une petite lumière dans ce tourbillon de noir. Elle porte l'histoire sur ses frêles épaules et on s'y attache tellement. On tremble pour elle, la tension est parfois insoutenable, l'effroi, la colère, jusqu'à la haine. La palette d'émotions y passe, on veut tellement la sauver.
Jusqu'au bout, ce livre est d'une dureté absolue, une souffrance émotionnelle, un calvaire pour le cœur.
Mais il est exceptionnel !
Sublime dans son horreur !
Ce drame est tout bonnement captivant et indéniablement parfait !
January 14, 2023
Quelle gifle impitoyable je me suis prise !
Sans aucun doute, Mattias Köping entre dans mon panthéon d'auteurs phare.
La noirceur de son récit, tout du long est glaçante et je ne dis qu'une chose : si vous traverser les cinquante premières pages...Eh bien vous n'êtes pas encore prêts pour ce qui vous attend à la fin !
Dans cette noirceur, il y a malgré tout une lumière vacillante, celle de son héroïne, nourrie par une vengeance justifiée et qui, derrière ses manières rustres, a de merveilleuses qualités.
La relation qu'elle tisse avec Henri, le second personnage principal pourrait être glauque si on n'y voyait pas une façon pour eux de survivre à leur manière.
Des chapitres courts qui s'enfilent comme des coups de poing dans le ventre. L'envie de faire une pause, mais de ne pas y parvenir car la frénésie du récit nous entraine sans cesse dans l'insoutenable et qu'on veut savoir comme tout ça va finir, s'ils vont tous payer.
Un chef d'oeuvre du roman noir par excellence.
Je vais me hâter de lire le manufacturier maintenant, parce que je suis définitivement fan.
Sans aucun doute, Mattias Köping entre dans mon panthéon d'auteurs phare.
La noirceur de son récit, tout du long est glaçante et je ne dis qu'une chose : si vous traverser les cinquante premières pages...Eh bien vous n'êtes pas encore prêts pour ce qui vous attend à la fin !
Dans cette noirceur, il y a malgré tout une lumière vacillante, celle de son héroïne, nourrie par une vengeance justifiée et qui, derrière ses manières rustres, a de merveilleuses qualités.
La relation qu'elle tisse avec Henri, le second personnage principal pourrait être glauque si on n'y voyait pas une façon pour eux de survivre à leur manière.
Des chapitres courts qui s'enfilent comme des coups de poing dans le ventre. L'envie de faire une pause, mais de ne pas y parvenir car la frénésie du récit nous entraine sans cesse dans l'insoutenable et qu'on veut savoir comme tout ça va finir, s'ils vont tous payer.
Un chef d'oeuvre du roman noir par excellence.
Je vais me hâter de lire le manufacturier maintenant, parce que je suis définitivement fan.
November 8, 2020
Je recommande ce thriller. C'est mon premier de Mattias Kopping et je pense ça ne sera pas le dernier.
Beaucoup ont dit que c'est un livre noir avec beaucoup d'aggressivité et de vulgarité. Je pense qu'il faut dire les choses comme elles sont et par cette méthode, l'auteur a réussi à capter mon attention et à me faire vivre dans ce monde de traffic de drogue, de prostitution, de réseau de bondits. La fin est inattendu pour moi. La mort de Kimy par Loulou démontre que le passé nous rattrappe à chaque fois même si les choses compliqués ont l'air de s'arranger. Je ne sais pas pourquoi la scène de mort de Dumentier m'a rappelé des scènes du film "Scarface" même si le contexte est totalement différent.
Globalement, l'idée du roman est géniale.
J'ai beaucoup aimé.
Beaucoup ont dit que c'est un livre noir avec beaucoup d'aggressivité et de vulgarité. Je pense qu'il faut dire les choses comme elles sont et par cette méthode, l'auteur a réussi à capter mon attention et à me faire vivre dans ce monde de traffic de drogue, de prostitution, de réseau de bondits. La fin est inattendu pour moi. La mort de Kimy par Loulou démontre que le passé nous rattrappe à chaque fois même si les choses compliqués ont l'air de s'arranger. Je ne sais pas pourquoi la scène de mort de Dumentier m'a rappelé des scènes du film "Scarface" même si le contexte est totalement différent.
Globalement, l'idée du roman est géniale.
J'ai beaucoup aimé.
This entire review has been hidden because of spoilers.
February 16, 2021
Viaduc sur Bauge vous souhaite la bienvenue dans cette campagne remplit de noirceur, de pervers, violeurs et drogués. Dès les premières lignes, on est plongé directement dans cet océan de noirceur, dans cette ambiance glauque, sombre voire trash. Mais malgré cette noirceur, il y a de la lumière, de l'optimisme et de l'espoir, que Kimy puisse s'en sortir et surtout se venger, notamment grâce à l'aide d'Henri. On est face ici à un duo atypique mais terriblement touchant, mis en valeur par la plume magistrale de Köping, autant acerbe et cru qu'indéfiniment belle.
Âmes sensibles s'abstenir !
Âmes sensibles s'abstenir !
July 4, 2025
Increïble ... he devorat el llibre amb la rapidesa que feia anys que no experimentava.
La estructura del llibre en petits capítols el fa de lectura ràpida pel salt d'escena a escena, sobretot en la bogeria que es desplega al final.
Enganxat per un llibre cru en el contingut i la forma d'escriure de l'autor.
Brutal en tots els sentits: la història, la forma d'escriure, els personatges i l'ambient.
La estructura del llibre en petits capítols el fa de lectura ràpida pel salt d'escena a escena, sobretot en la bogeria que es desplega al final.
Enganxat per un llibre cru en el contingut i la forma d'escriure de l'autor.
Brutal en tots els sentits: la història, la forma d'escriure, els personatges i l'ambient.
July 8, 2025
Es un libro brutal, con un final completamente inesperado, no es un libro apto para todas las personas, la gente sensible, realmente no se los recomiendo.
Sin dudas, ha convertido en uno de mis libros favoritos .
Sin dudas, ha convertido en uno de mis libros favoritos .
May 31, 2017
Topissime !
January 1, 2020
Woaw woaw.. woaw.. que dire de plus.. j'ai adoré...
January 27, 2020
6 étoiles c’est possible ?
June 18, 2020
Brillant ! juste brillant !
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