Nos rêves de pauvres , c'est d'abord l'histoire de la famille Dendoune. Une histoire qui commence en 1950, quand le papa, berger kabyle, débarque seul en région parisienne le ventre vide, mais des envies de bosser plein les mains et le cœur rempli d'ambitions pour tous les siens. Une histoire qui se prolonge dans une cité HLM de l'Île-Saint-Denis, où la maman se bat pour que ses neuf enfants ne manquent de rien. Les petits Dendoune grandissent et leurs rêves aussi. Nadir, le plus jeune, rêve de trains électriques, de cours de tennis, mais aussi d'une police pour tous... Pas simple d'avoir des rêves de riches quand on a une vie de pauvres. Nadir Dendoune raconte ses parents, leur courage, leur amour, mais aussi leur culture. Cette culture de pauvres à laquelle il est si attaché. L'histoire du clan Dendoune, c'est une histoire universelle, une histoire française.
" Ce récit intime, immense déclaration d'amour à des parents héros, ravive la saveur d' Une vie devant soi . " Le Parisien
C'était le seul livre (type ‘roman’) dans nôtre appartement que nous louons au Portugal. Mais c'était fantastique !
Il s'agit d'un mémoire, un éloge à ses parents algériens. Il y a des références aux livres de Marcel Pagnol (comme “La gloire de mon père”). Il explique combien il a été difficile pour lui et sa famille de vivre en France.
Les chapitres sont assez courts. (Je l'ai lu pendant une semaine.) Le niveau de langue n'est pas trop difficile.
Got emotional multiple times. A beautiful point of view. A beautiful book. The point of view of those who get pushed onto the fences of the suburbs. Those who are filmed like animals in cages to fuel stereotypes and widen the gap between social classes in France