Palestel est un caire parmi des milliards d'autres au sein de l'acumen. Au plus bas de l'échelle sociale et sans espoir que cela puisse changer un jour, il a, jusque-là, vécu d'expédients. Mais sa sécurité n'est plus assurée et il doit fuir sa planète natale clandestinement. Malheureusement pour lui, le Prime Garant Bosmor, qui règne sur l'ensemble des mondes de l'acumen, vient de faire l'objet d'une tentative d'assassinat. Rien qui le concerne, a priori. Ce n'est pourtant pas ce que semblent penser les multiples forces qui se lancent à ses trousses, le traquant de planète en planète. Space opera sans temps mort, Étoiles sans issue est une course-poursuite trépidante aux répercussions politiques implacables.
Né en 1968, Laurent Genefort a vingt ans lorsque paraît son premier roman dans la mythique collection « Anticipation » du Fleuve Noir. Quarante ouvrages plus tard, deux Grand Prix de l’Imaginaire et un prix Rosny Aîné en poche, il est l’une des figures de proue de la science-fiction française et, sans doute, le meilleur créateur d’univers du domaine.
Petit retour dans la science-fiction avec ce volume unique. Première surprise, ce n’est pas si jeunesse que ça, je dirais plus vers 13/14 ans. La couverture est magnifique et donne envie de s’y plonger. Premièrement, j’ai trouvé la construction de ce monde, la politique plutôt bien faite. On s’imagine parfaitement comment cet univers est régi par la force dirigeante et comment la population vit. Cela ressemble au système de caste que l’on a dans certains pays de chez nous. Ce côté-là est vraiment intéressant mais pas autant exploité que je l’aurai voulu. Deuxièmement, mon bémol sera pour des éléments qui ont eu un impact mineur sur ma lecture. Déjà le personnage principal Palestel, ne vous attendez pas à un héros en devenir. C’est plutôt un sac à patates que l’on transporte d’un endroit à un autre. Le fait aussi que les méchants arrivent en un claquement de doigts a retrouvé notre personnage dans tout l’univers… Et bien sûr, la fin, je me suis dit tout ça pour ça. Je m’attendais à quelque chose de plus fort, plus percutant. Eh non. Cependant, cela ne m’a pas empêché d’apprécier ma lecture grâce à l’ambiance générale et l’univers dépeint dans cet opus. Pour conclure, malgré quelques petits défauts, j’ai passé un bon moment de lecture. Ce one shot est une bonne entrée en science-fiction pour les ados mais aussi les adultes. https://la-bibliotheque-du-labyrinthe...
Du space opéra, classique. Rien de bien révolutionnaire dans l'histoire ci ce n'est la non-histoire d'amour. Le héro est motivé par des raisons qui lui sont inconnue, puisqu'il n'aime plus la femme qu'il recherche et pour laquelle il prend autant de risque.