Le Chaâba ? Un bidonville au bord du Rhône, près de Lyon, il n'y a pas si longtemps... Un amas de baraques en bois, trop vite bâties par ces immigrants qui ont fui la misère algérienne. Ici comme ailleurs, les éclats de rire des enfants résonnent dès le lever du soleil. Les " gones " se lavent à l'eau de puits et font leurs devoirs à même la terre. Mais chaque matin, ils enfilent leurs souliers pour se rendre à l'école avec les autres... Là, derrière les mots inscrits sur le cahier d'écriture, de nouveaux horizons apparaissent. Un monde de connaissances, de rêves et d'espoirs à découvrir.
Azouz Begag is a French writer, politician and researcher in economics and sociology at the CNRS.
Begag has written approximately 20 literary books for adults and children, as well as songs. Furthermore, he is the scriptwriter of the French movie Camping à la ferme ("Camping at the farm"), where he exposed his vision of "three levels of riches" multiculturalism in today's French society : the advantages of its relatively new multiethnicity due to a new non-European immigration mixed with the basis of its historical and natural multiculturality whether coming from the riches of its several regional cultures and languages or from the successful integration of previous waves of European immigration during its history.
Ce roman traite le chemin d’un jeune homme qui est face à sa jeunesse, qui avance jour par jour dans cette développement. Le chemin n’est surtout pas facile mais marqué avec nombreux événements encourageant qui donne du sens à la vie.
Azouz est né en France. Ses parents sont d'origine algérienne et toute la famille habitent dans un bidonville, le Chaâba, dont le père Bouzid est le chef. Ils vivent ensemble avec la communauté algérienne dans des baraques près de Lyon.
Azouz est différant de son frère et de ses mecs algériens. Autrement dit il aime lire des livres et il aime aller à l’école. En revanche il veut absolument faire partie de la bande Arabe du Chaâba. Avec ce dilemme il grandit. Tous les matins il se lève dans son environnement familier comme un gone du Chaâba. Il passe des heures entières avec les autres gones, au marché, en faire la chasse, en lançant des cailloux sur les voitures, dans lesquelles les putes travaillent et tas des autres bêtises.
Par contre à l’école les Arabes de sa classe n’ont rien à rire. Tous les matins le maître se met à parler de morale. Les élèves français lèvent tous les doigts pour prendre la parole, pour montrer leur concordance morale. Les élèves français lui montrent chaque jour un monde inaccessible. Azouz se rends compte de son origine, un bidonville de baraques en planches et en tôles ondulées, et que ce sont les pauvres qui vivent de cette manière. C’est un des nombreuses humiliations qu’Azouz doit subir dans sa jeune vie entre les cultures algériennes et françaises.
Analyse contenu
L’histoire se démarre en plein milieu de la vie d’un petit garçon, Azouz. Donc les situations familiales, les relations amicales et les difficultés sociales tout s’installe pendant les premiers pages du livre avec des exemples vivante et impressionnant. En conséquence on s’immerge progressivement dans l’environnement du petit Azouz.
Cette histoire est une autobiographie de l’auteur. Il raconte sa vie quand il était petit et habitait dans un bidonville. C’était un lieu pour une communauté Arabes d’environ 50 personnes. Certes c’était une vie différemment d’aujourd’hui concernant la pauvreté et la prospérité de ces familles mais les jeunes pouvaient aller à l’école.
Analyse de style
Il y a plusieurs styles d’écriture. En premier lieu la langue familière qui est parlé entre les gones, les mecs, les gars. Ça donne un style authentique dans la communication entre les jeunes. Exemple de mots : T’as les mouilles ? T’es con ! Ouais. Je sais pas, moi ! Pédé !
Puis il y a la langue « bouzidienne ». Ce sont des mots parler des natifs de Sétifs (Algérie). C’est Bouzid et la communauté qui parlent comme ça. Exemple de mots : La boulicia (la police), la tilifiziou (la télévision), la bart’mâ (l’appartement), li zbour (le sport). Attention aux faux amis : le filou, c’est un vélo !
En outre quelques passages sont très amusant et tellement drôles de lire. Cependant il y a plusieurs passages tristes ou avec de l’humiliation. Le lecteur suivi l’histoire attentivement à cause de ces changements d’événement et d’émotions. Il y a beaucoup de discours direct. Ce choix stylistique incite à la comparaison interculturelle et ça apporte beaucoup de dynamisme à l’histoire.
Extrait
Sur le chemin de l’école, avec les gones du Chaâba : -Halte ! Arrêtez-vous tous ! J’ai un truc à vous montrer. Le convoi stoppe. -Vous savez pas comment on fait pour embrasser une femme ? La foule, peu experte en la matière, reste muette, tandis que Moustaf tente de réagir, sans conviction : -Moi je sais. On se touche les bouches. -Non c’est pas ça, rétorque le cousin. Y a que moi qui sais. Vous voulez le savoir ? Aucune réaction. -Vous voulez pas le savoir ? Eh ben, vous l’saurez pas ! Il fait quelques pas en avant et nous fait face à nouveau. -J’vais vous le dire quand même. Eh ben, on ouvre la bouche et on met la langue dans la bouche de la femme ! Voilà ! Aucune réaction. -On se touche les langues, quoi ? C’est pas dur. On fait comme ça. Ouvrant le bras comme s’il tenait une femme, il penche la tête à droite et, de sa bouche fine, il sort une langue pointure et lui fait faire des grimaces dans tout les sens. Quelle étrange pratique ! Ils sont vraiment fous ces Romains. Heureusement qu’ils ne chiquent pas les boulettes de chemma. Le cours de Rabah a figé tout le monde. Le moniteur a senti la perplexité de l’auditoire, alors il s’approche de Saida pour passer aux travaux dirigés. -Bouge pas, Saida. On va leur montrer comment les Français s’embrassent. Surprise, puis déroutée, elle fait une volte-face instantanée, abandonne son cartable dans un buisson et s’enfuit, les jambes à son cou, chez elle. Je n’ai pas compris, ce qui s’est passé. Mais je ris à pleines dents en regardant Rabah s’esclaffer. Le convoi redémarre.
Opinion personnelle
Tout d’abord ce livre n’est pas intéressant pour les jeunes qui n’ont pas de racines Algériens. Les jeunes Suisse traitent la comparaison interculturelle, la pauvreté et l’injustice pendant toute leur carrière scolaire. Pourquoi alors lire et discuter de nouveau de ça ? Je suis convaincu qu’ils préfèrent d’agir concrètement pour faire quelque chose contre l’injustice. Ensuite ce livre ne permet pas une lecture à plusieurs niveaux. À mon avis c’est uniquement pour les bons lecteurs. Le niveau linguistique est élevé et ne correspond pas aux élèves de secondaire I. Le livre n’a pas des chapitres et il ne contient pas des illustrations qui soutiennent la lecture. Certes il existe un film mais la langue est quand même assez difficile.
Somme toute l’histoire m’a très intéressé et m’a beaucoup apporté. Il est vrai qu’au début je me demandais, pourquoi il me raconte cette histoire ancienne ? Mais de plus en plus j’ai suivi attentivement la perspective d’Azouz et j’ai pris la position d’un jeune garçon qui a fait des expériences différent de moi-même. Finalement j’ai appris que la période de formation personnelle pendant la jeunesse a besoin d’un réseau social. La plupart de nos habilités se développe dans la vie quotidienne, donc il besoin l’accompagnement pour les jeunes. Premièrement pour amortir des défait et deuxièmement pour encourager de la nouvelle initiative.
Shantytown Kid is an autobiographical bildungsroman (well, kind of, because it doesn’t trace the growth of the protagonist till adulthood but does treat of his formative years) written by a Frenchman with Algerian roots who grew to become a minister in the French government. I read it for a paper this semester and probably wouldn’t have heard of it if not for that. The book was delightful for the most part, letting humour soften the blow of the harsh reality of growing as an Arab immigrant in a multicultural France. It’s sometimes very insightful but at other times a bit lacking. The episodes which show how the kids treat and think of sex and women were quite disturbing to me, especially the nonchalance with which they were written. And the book also came to an abrupt end. But there are certainly some episodes that I will remember fondly. We’ll see if reading around the text (that is, critical material on it) will make me appreciate it more than I do now – that does seem to happen to me often.
Livre qui se lit vite, autobiographie efficace : on y croit, ça ne sent pas trop le "faux", et on s'attache (mais pas trop) à l'histoire de l'auteur. Le style est agréable à lire et on progresse rapidement dans le récit d'Azouz Begag.
On retrouve des thèmes "classiques" de l'autobiographie : - rôle des pairs dans la construction / déconstruction de soi - éloignement (mais pas trop) des valeurs familiales - ici, on a aussi toutes les questions liées à l'immigration et l'intégration (avec le rôle mi-fondateur, mi-destructeur de l'école); ce qui est le plus réussi - à mon sens - c'est l'expression de la violence symbolique à laquelle certain-e-s peuvent être confrontés en arrivant en France
Pas une lecture époustouflante, mais c'était un bon moment.
I am not one for autobiographies, as the ones I have previously read have been quite drawn out and tedious. However, this was an interesting read and a different topic from what I usually read. Funnily enough, for someone on a campus whose regional focus is the MENA region, I lack a lot of knowledge on it, so reading about the Algerian diaspora experience and the shanty towns in 1980s France was enriching.
The book itself was enjoyable in parts. The family dynamic, I thought, was fun to read about, especially from the perspective of the youngest son. The parts where you read about the childhood fun of the children of the shantytown I found amusing and very endearing. What I particularly enjoyed was the fact that the book did not strictly follow the autobiographical structure, where we are constantly bombarded with the author's reflection of their life. Instead, it followed more of a storyline nature. I think what allows for this lack of constraint of a "typical" autobiography is the fact that the book spans about 3 years of Azouz Begag's childhood.
However, there are many faults with the book. Firstly, how women are written is just foul. Yes it was published in 1986, yet the manner in which the sex workers were talked about was reductionist and, honestly, sexist. Furthermore, the females in the book are only viewed favourably when close to the author, but when outside of the circle of Begag, the women are crazy or sexually promiscuous. Secondly, there is a part in the book between two boys and one girl that was horrifying to read. With a lack of warning or the necessary build up for the sexual nature of the scene. Particularly, with how the aftermath just ends with a throwaway sentence and never revisited. Finally, the book lacked flow. A scene would just abruptly end with no clarity.
Overall, I would give the book 2 1/2 stars. Understandable and easy to read, yet the faults sadly outweigh its positives.
In Le gone du Chaaba many Algerian families have found themselves living in Shantytown, a place of extreme poverty with no electricity and unhygienic conditions in Lyon, France. In spite of the rough conditions of the Chaaba (Shantytown), young Azouz is determined to succeed in school. Faced with racism from his fellow French classmates as well as from his Arab friends, Azouz must use his intelligence to persevere. In this autobiographical novel, Azouz Begag introduces a world that is rarely spoken of, the world of immigrants who have established themselves in another country. In spite of his insistence of being born in France, Azouz is always seen by his classmates as an other, or a threat. Similarly, once Azouz begins to study and rise in the rankings of his class, he is rejected by his fellow Arab peers who struggle in the school system. Begag is thorough with his depictions of racism and multiculturalism, yet he keeps the reader at a distance from his characters. Although the most important part of the story is the sociological implications, it would have been nice to have a better understanding of what went on in Azouz's (the character) psyche. While I was able to grasp how he must have felt when facing racist taunts from others, it was unclear what personally motivated him to pursue his education in spite of the adversity he faced.
J'avais vu le film tiré de ce livre à sa sortie, et avais découvert à cette occasion, comme beaucoup, les conditions de vie des immigrés maghrébins -de certains au moins- lorsqu'ils sont arrivés en France. La lecture du livre m'a permis de replonger dans cette période sombre de notre histoire récente, avec l'avantage d'y adjoindre -par rapport au film- plus de détails, et de couvrir également une période de temps plus étendue. Le film a pour lui par contre (de mémoire) le fait d'entendre parler en arabe lors de certains dialogues, ce qui peut éventuellement manquer dans le livre. Une lecture que je conseille, d'autant plus que la lecture est aisée et le livre relativement court. En ce qui me concerne, j'en ai fait la lecture à ma fille, qui devait le lire dans le cadre de son cours de français de troisième... De bons moments passés ensemble autour d'un bon livre !
Contrainte de le lire pour le lycée, je me suis donc plongé dans ce livre, qui se lis très vite. Je n'ai pas du tout aimé, évidement ce n'est pas le genre de livre que je lis d'habitude, mais l'atmosphère du livre.. non vraiment pas. Le sexisme, les attouchements sexuels, la femme réduit à l'état d'objet, et les enfants à des adultes.. Même si c'est la réalité des choses, je trouve sa très malsain. À fuire.
I read this one as part of my recent French course. It was an absolutely delightful book. Very humbling to realise where Azouz started his life! Excellent.
Livre prêté par Sofia. Je me demande si c'est une autobiographie et à quel point la description de la vie se famille est fidèle à la réalité. J'ai beaucoup aimé le personnage principal qui a un peu honte d'être premier de la classe, je me suis identifié à lui. Cependant j'ai énormément jugé le comportement des parents. C'est l'histoire d'Azouz un jeune garçon Algérien vivant dans un bidonville du côté de Lyon. Il raconte son quotidien au Chaaba, l'école, le marché, la vie de famille, les amis... Sa vie est bouleversé quand des familles commencent à quitter le Chaaba, la communauté se désintègre, sa famille va financer partir aussi pour amenager dans un petit appartement à Lyon avec eau et électricité, tout le confort moderne, il avait hâte de déménager mais l'adaptation est un peu difficile au début. Mais il arrive à prendre ses marques et très vite il entre au collège ou il se lie d'amitié avec son professeur de français qui est pied noir et qui parle arabe. A la maison les choses sont toujours un peu compliqué, son père est imprévisible et retourne parfois au Chaaba plusieurs jours sans donner de nouvelles, les problèmes d'argent l'inquiète... Un jour une lettre arrive, il faut quitter le nouvel appartement, pourtant ils ont payés toutes leurs factures !! Le logement a changé de propriétaire et va être vendu, la famille doit déménager mais ils parviennent à trouver un autre appartement dans le quartier et le roman finit sur une bonne note.
De manière générale je ne peux m'empêcher de remarquer que les femmes sont marginalisé dans ce roman, la mère est cloîtré à la maison, la sœur Zhora reçoit uniquement des ordres et des reproches, elle a pourtant un rôle important car elle est l'interprète de la famille. Ma perception est sans doute biase par le roman que j'ai lu précédemment qui met en avant l'oppression de la femme dans la société Algérienne. Mais bon il y a beaucoup de choses qui vont dans ce sens, la perception des prostituées, le traitement réservé à Samia, le comportement d'Azouz et ses amis qui s'amusent à soulever les jupes...
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Lecture contextuelle. Alors que je me rendais à Lyon pour passer mon oral d’admission du capes interne, j’ai voulu lire un livre que se passe dans la ville dans laquelle je me rendais. Lyon. J’ai tout de suite pensé au gone du Chaâba. Le Chaâba dans les années 1950-60 était un bidonville aux alentours de Villeurbanne habité par des migrants algériens pour fuir la misère de leur pays et espérer une meilleure vie. Azouz Begag dépeint avec beaucoup d’émotions (d’humour mais aussi de tristesse) la différence culturelle. Le racisme des francais envers les algériens (et les personnes arabes plus généralement) mais aussi des Arabes envers Azouz parce que celui-ci s’adapte et apprécie le système français, l’école. Il réussit, et c’est une marque qu’il ne serait pas arabe pour ses voisins du Chaâba. Quel place prendre quand on n’est ni arabe ni français, mais aussi les deux en même temps? Passionnant et touchant, autobiographique aussi.
Fun fact : j’ai passé mon oral dans le lycée Antoine de Saint-Exupéry dans le quartier de la Croix Rousse. Lycée dans lequel Azouz Begag va aller aussi. (J’adore les lectures contextuels svp arrêtez de centraliser l’intégralité de la littérature française sur Paris, merci)
Conseillée par une professeure à l’Université. Je pensais alors m’adonner à une lecture proche d’un texte universitaire. J’ai été déçue en m’apercevant qu’il s’agissait d’un roman Jeunesse. De plus, le récit ne m’a pas passionnée. Je ré-essaierais malgré tout de relire une oeuvre de cet auteur -plus appropriée-pour me faire une meilleure idée. J’ai personnellement été déçue, mais je note tout de même que c’est un très bon livre pour enfant, ne serait-ce que pour raconter les classes sociales, la vie dans les bidons-villes, etc. Le fait que ce soit un roman jeunesse -court- permet une lecture (très) fluide et rapide.
4,5 Je ne peux dire que de bonnes choses sur ce livre : une autobiographie truffée de rebondissements et d'événements avec des personnages qui m'ont fait penser à mon enfance. L'écriture a bien traduit chaque émotion et chaques détails avec une grande finesse. J'avoue que la littérature maghrébine ou beur n'était pas mon genre de prédilection mais ce livre a changé complétement mon avis sur celle-ci et m'a donné la chance de tisser des liens avec elle.
Started as a 2-stars book, but the end was better than the beginning, so a 3-stars verdict.
I quite liked the depiction of school, and how Azouz is troubled : he wants to integrate into French society, wants to be a good student, but still wants to be an Arab, and he is torn between those two positions. But, OMG, so much casual sexism in this book. Sometimes, I forget how far we've come since the 1960s.
L'histoire se suit facilement, mais bien que je sois moi aussi algérien, je n'ai pu être touché par le livre. Je pense qu'il conviendra mieux a quelqu'un ayant connu une vie similaire a l'auteur (origine algérien vivant dans un bidonville en France). Le style est simple mais un peu trop commun à mon goût.
J'aime ce livre car il parle de ma ville natale. J'aime ce livre car il parle de sujets délicats, dans une plume incroyablement belle. J'aime ce livre qui me rappelle les quatre coins de cette sublime ville. Mais ce qui me déçoit, c'est de ne pas avoir tant accroché que ça. Comme s'il manquait quelque chose que je n'arrive pas définir. Un bon livre, une lecture courte, un bon moment
Un livre prenant et facile à lire (la plume de l’auteur n’en reste pas moins très jolie). On s’attache facilement aux habitants du chaaba, tout particulièrement au petit Azouz, espiègle et marrant. L’auteur a parfaitement su combiner humour et émotion, sans que l’un prenne le pas sur l’autre congratulations 🍾🍾
Un récit autobiographique de la jeunesse d'Azouz Begag fort intéressant, touchant et parfois grinçant. L'on ne peut par la suite qu'admirer l'ascension prodigieuse de Begag et sa réussite. Se lit rapidement.
I read this for my class immigration and identity in France but tbh I would recommend for everyone! It’s really interesting and super easy to read. Also historical!!
Don’t get on me abt logging books I read for class allow me to have a little bit of joy (all I do is read at this point)
Begag nous raconte son enfance à la Chaaba ( bidonville à Lyon ). Il décrit les conditions misérables et les relations entre les arabes et les français.
Honest and eye-opening while remaining youthfully blind. Begag reveals struggles of belonging familiar to anyone who has felt adrift in their homeland.
En vrai 4,5/5. Roman autobiographique. On découvre la vie qu’a mené l’auteur dans les bidonvilles lyonnais durant son enfance. On retrouve un petit garçon attachant rempli de rêve, d’espoir et de motivation. J’ai bcp apprécié ma lecture, elle était plutôt rapide ! COOL !