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蟲師 / Mushishi #8
Mushishi, Tome 8
Ginko poursuit inlassablement son périple à travers la campagne japonaise. Impossible pour lui de rester très longtemps au même endroit car sa présence attire toute sorte de mushis pouvant représenter un danger pour son entourage.
Suite à une blessure, Ginko est en convalescence dans une famille de paysans. Il remarque que Hôichi, l'homme qui l'a recueilli se comporte d'une étrange façon. Pour Ginko, c'est l'oeuvre des mushis et il met Hôichi en garde. Le jeune homme suivra-t-il les conseils du mushishi ?
Suite à une blessure, Ginko est en convalescence dans une famille de paysans. Il remarque que Hôichi, l'homme qui l'a recueilli se comporte d'une étrange façon. Pour Ginko, c'est l'oeuvre des mushis et il met Hôichi en garde. Le jeune homme suivra-t-il les conseils du mushishi ?
222 pages, Paperback
First published February 23, 2007
3 people are currently reading
175 people want to read
About the author
Yuki Urushibara
34 books212 followersYuki Urushibara (漆原友紀) is a Japanese manga artist from Yamaguchi Prefecture.
She is best known for the series Mushishi, for which she received an Excellence Prize for manga at the 2003 Japan Media Arts Festival and the 2006 Kodansha Manga Award for general manga.
She is also known by the pen name Soyogo Shima (志摩 冬青 Shima Soyogo).
She is best known for the series Mushishi, for which she received an Excellence Prize for manga at the 2003 Japan Media Arts Festival and the 2006 Kodansha Manga Award for general manga.
She is also known by the pen name Soyogo Shima (志摩 冬青 Shima Soyogo).
Ratings & Reviews
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Community Reviews
Displaying 1 - 22 of 22 reviews
December 30, 2024
➺
4/5 🌟
March 4, 2022
Ósma odsłona cyklu rozpoczyna się tutaj od historii pewnego mężczyzny, który swoją ciężką pracą zdołał przemienić niegościnny kawałek ziemi w pola pozwalające wyżywić jego bliskich. Tereny, które niegdyś były nieurodzajami, nagle stały się polami „mlekiem płynącymi”. Nie była to jednak tylko zasługa wytężonej pracy wspomnianego mężczyzny, ale również „mushi”, które karmiły się jego poświęceniem. Autorka doskonale pokazuje tutaj, że determinacja i praca przynoszą z czasem oczekiwane efekty, wszystko jednak ma swoją cenę i trzeba być gotowym na jej „zapłacenie”. Rozdział Na dnie zimy odbiega od ludzkich emocji, przyjmując bardziej „ekologiczny” wydźwięk i stawiając głównego bohatera serii w sytuacji zmagania się z naturą. Autorka doskonale pokazuje tutaj, że pewnych wydarzeń nie da się przewidzieć i trzeba się jakoś do nich dostosować. Z dostępnych w mandze historii (pięć rozdziałów) mocno wyróżnia się również ostatni z rozdziałów – Błotna trawa. Ginko poszukuje tutaj przyczyny specyficznej przypadłości mieszkańców pewnej wsi, na nogach których wyrastają dziwne narośla/pąki. Cała sprawa powiązana jest okoliczną górą i tajemnicą, o której pewien z mieszkańców chciałby zapomnieć. Opowieść tą można uznać za kwintesencje serii, autorka miesza tu naturę i jej wpływ na człowieka z ludzkimi emocjami oraz wydarzeniami pokazującymi nasz destrukcyjny charakter. Oczywiście nic z tego nie jest podane w lekkiej i prostej formie, a całe wykreowane przesłanie trzeba samemu odkryć i zrozumieć.
Podobnie jak warstwa fabularna, zmianą nie ulega tutaj również oprawa rysunkowa. Mushishi #8 to mistyczny i niezwykle urokliwy styl graficzny, którym trudno jest się nie zachwycać. Urushibara na przestrzeni kolejnych części doprowadziła swoje zdolności do perfekcji i potrafi ona z pozornie prostych i szorstkich kadrów wydobyć niezwykłą artystyczną głębię (doskonale wpasowującą się w klimat tytułu).
https://popkulturowykociolek.pl/recen...
Podobnie jak warstwa fabularna, zmianą nie ulega tutaj również oprawa rysunkowa. Mushishi #8 to mistyczny i niezwykle urokliwy styl graficzny, którym trudno jest się nie zachwycać. Urushibara na przestrzeni kolejnych części doprowadziła swoje zdolności do perfekcji i potrafi ona z pozornie prostych i szorstkich kadrów wydobyć niezwykłą artystyczną głębię (doskonale wpasowującą się w klimat tytułu).
https://popkulturowykociolek.pl/recen...
August 12, 2018
この巻好きだった！カラーページもいっぱい！
一番好きな話は隠リ江だった。話はマーマーだったけど景色がすごくキレイだった！日本のヴェネツィアみたい！
本当にあるかな、その町？あるなら行きたい！
一番好きな話は隠リ江だった。話はマーマーだったけど景色がすごくキレイだった！日本のヴェネツィアみたい！
本当にあるかな、その町？あるなら行きたい！
May 14, 2024
Cada historia atrapa y despierta la imaginación
December 18, 2021
20211218 2nd read
後面的集數再刷次數比較少耶
--
20210417 賣掉紙本書@玫瑰色二手書店
--
20210101 購入KOBO版
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20200815 購自樂天書城
--
20091224 借自中正大學圖書館
後面的集數再刷次數比較少耶
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20210417 賣掉紙本書@玫瑰色二手書店
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20210101 購入KOBO版
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20200815 購自樂天書城
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20091224 借自中正大學圖書館
January 10, 2024
Cette anthologie du fantastique des campagnes japonaises continue de me séduire par sa force tranquille et son ambiance douce-amère entêtante. Les histoires passent, l’émotion reste.
Avec un tome à la couverture très hivernale, de saison donc pour moi qui le lit en janvier, l’autrice nous invite à plonger dans des histoires très aqueuses cette fois, où l’eau sous toutes ses formes jouera un rôle clé dans les malédictions pesant sur les êtres qu’on rencontre. Avec poésie, elle va nous conter les destins souvent un peu tragique mais toujours fort beau et émouvant dont Ginko est spectateur et parfois soignant. Toujours pas de fil rouge, juste la vie, des rencontres.
Cela devait être un pur bonheur pour les lecteurs japonais de retrouver périodiquement les chapitres de Mushishi lors de leur prépublication tant le format des histoires s’y prête. Nous, à lire par volume, on y perd un peu, alors j’essaie d’étaler au maximum ma lecture en n’enchaînant pas les tomes, mais ce n’est pas pareil. Mushishi ça se savoure une fois de temps en temps, pour prendre plaisir à revenir dans cet univers, à se laisser couvrir de cette ambiance et bercer par les destins tragiques croisés.
Dans ce tome, je me répète, mais c’est 5 chapitres, 5 nouvelles histoires. Pas de fil rouge ou de développement de l’univers cette fois, juste des rencontres au gré du voyage de Ginko et un chapitre le concernant. Il s’agit de croiser avec émotion une petite famille qui vit dans l’abondance grâce au travail incessant du père dans les terres avoisinantes, mais cela est grâce à une terrible malédiction qui m’a serrée le coeur. Il y a également cette enfant, orpheline de mère, trop attachée à sa nourrice qui ne parvient pas à couper le lien et navigue sur des canaux métaphoriques pour la retrouver sans cesse. C’était touchant et mignon. Plus triste, l’histoire de cette femme amenant partout la pluie où qu’elle passe et n’osant s’installer nulle part car ça cause plus de désagrément qu’autre chose, elle le sait, elle l’a vécue. Enfin, assez rude, il y a le mystère autour de cet homme touché différemment des autres villageois par une malédiction de la montagne d’à côté. Il a fait quelque chose de terrible pour mériter cela.
L’autrice joue sur les émotions et varie les histoires, les ambiances, les rencontres. Elle s’offre même une petite pause le temps d’un chapitre où son héros se perd dans le temps et une montagne enneigée. C’est juste beau. C’est simple, sans fioriture. On peut avoir l’impression qu’il ne passe pas grand chose, mais il y a toujours une nouvelle créature, de nouveaux êtres à croiser, de nouveaux sentiments qui s’animent et débordent et c’est juste beau. Les dessins de Yuki Urushibara sont superbes, oniriques, doux, entêtant. C’est vraiment un gros regret que de ne pas avoir les versions en couleur quand ça devrait être le cas, car on sent la poésie de leur aquarelle. Si seulement…
Emotion et poésie sont encore et toujours au rendez-vous de ces nouvelles rencontres dans un tome très porté sur l’eau. Des histoires tantôt douces, tantôt poignantes, tantôt plus rudes, mais toujours une belle et riche atmosphère qui nous saisit et ne nous lâche plus. Avis aux amateurs de fantastique simple mais onirique. Petites préférences pour l’histoire de la malédiction familiale et de la fille porteuse de pluie. Plus prix de l’audace pour la terrible dernière histoire et sa morale.
Avis complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
Avec un tome à la couverture très hivernale, de saison donc pour moi qui le lit en janvier, l’autrice nous invite à plonger dans des histoires très aqueuses cette fois, où l’eau sous toutes ses formes jouera un rôle clé dans les malédictions pesant sur les êtres qu’on rencontre. Avec poésie, elle va nous conter les destins souvent un peu tragique mais toujours fort beau et émouvant dont Ginko est spectateur et parfois soignant. Toujours pas de fil rouge, juste la vie, des rencontres.
Cela devait être un pur bonheur pour les lecteurs japonais de retrouver périodiquement les chapitres de Mushishi lors de leur prépublication tant le format des histoires s’y prête. Nous, à lire par volume, on y perd un peu, alors j’essaie d’étaler au maximum ma lecture en n’enchaînant pas les tomes, mais ce n’est pas pareil. Mushishi ça se savoure une fois de temps en temps, pour prendre plaisir à revenir dans cet univers, à se laisser couvrir de cette ambiance et bercer par les destins tragiques croisés.
Dans ce tome, je me répète, mais c’est 5 chapitres, 5 nouvelles histoires. Pas de fil rouge ou de développement de l’univers cette fois, juste des rencontres au gré du voyage de Ginko et un chapitre le concernant. Il s’agit de croiser avec émotion une petite famille qui vit dans l’abondance grâce au travail incessant du père dans les terres avoisinantes, mais cela est grâce à une terrible malédiction qui m’a serrée le coeur. Il y a également cette enfant, orpheline de mère, trop attachée à sa nourrice qui ne parvient pas à couper le lien et navigue sur des canaux métaphoriques pour la retrouver sans cesse. C’était touchant et mignon. Plus triste, l’histoire de cette femme amenant partout la pluie où qu’elle passe et n’osant s’installer nulle part car ça cause plus de désagrément qu’autre chose, elle le sait, elle l’a vécue. Enfin, assez rude, il y a le mystère autour de cet homme touché différemment des autres villageois par une malédiction de la montagne d’à côté. Il a fait quelque chose de terrible pour mériter cela.
L’autrice joue sur les émotions et varie les histoires, les ambiances, les rencontres. Elle s’offre même une petite pause le temps d’un chapitre où son héros se perd dans le temps et une montagne enneigée. C’est juste beau. C’est simple, sans fioriture. On peut avoir l’impression qu’il ne passe pas grand chose, mais il y a toujours une nouvelle créature, de nouveaux êtres à croiser, de nouveaux sentiments qui s’animent et débordent et c’est juste beau. Les dessins de Yuki Urushibara sont superbes, oniriques, doux, entêtant. C’est vraiment un gros regret que de ne pas avoir les versions en couleur quand ça devrait être le cas, car on sent la poésie de leur aquarelle. Si seulement…
Emotion et poésie sont encore et toujours au rendez-vous de ces nouvelles rencontres dans un tome très porté sur l’eau. Des histoires tantôt douces, tantôt poignantes, tantôt plus rudes, mais toujours une belle et riche atmosphère qui nous saisit et ne nous lâche plus. Avis aux amateurs de fantastique simple mais onirique. Petites préférences pour l’histoire de la malédiction familiale et de la fille porteuse de pluie. Plus prix de l’audace pour la terrible dernière histoire et sa morale.
Avis complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
February 20, 2022
Das erste Kapitel „Das Tal der Gezeiten“ zeigt einen Mann, der unglaublich leistungsfähig ist. Durch seine unglaublichen Bemühungen gedeihen die Felder und die Familie hat genügend zu Essen. Aber all das kommt durch einen Mushi.
Diese Geschichte zeigt uns, wie gut es sich anfühlt leistungsfähig zu sein und wie es uns beflügelt, wenn wir sehen, wieviel Erfolg es uns bringt. Aber ist es immer so einfach? Ich konnte aus dieser Geschichte mitnehmen, dass Pausen für die Leistung sehr wichtig sind. Alles hat seinen Preis: Wenn ich nur durcharbeite und keine Verantwortung für meinen Körper übernehme, wird dieser irgendwann Schaden nehmen. Es ist sehr wichtig auf sich selbst zu achten.
In „Die Tiefen des Winters“ geht es genau darum. Ginko ist vom Wächter des Waldes gerufen wurden. Ein Berg ist komplett abgeschottet von der Umgebung. Unser Protagonist versucht den Frühling wieder herbeizuholen. Das Kapitel besteht aus vielen großen Bildern, wenig Text. Es ist unglaublich, wie Yuki Urushibara es schafft mit dem groben Zeichenstil eine tiefe, mystische Stimmung zu erschaffen. Dieses Gefühl beim Lesen war einfach unglaublich. Ich fühle mich danach ausgeruht, voller Hoffnung und Kraft.
„Der verborgene Fluss“ handelt von einem unsichtbaren Weg, der zwischen dem Bewusstsein von Yura und Sumi verläuft. Was immer eine der beiden denkt oder den anderen wissen lassen möchte kommt beim Gegenüber an. Die Mushi Kairogi sind dafür verantwortlich. Bestimmt kennst du das Gefühl, dass du dich manchmal einem anderen Menschen verbunden fühlst. Bei dieser Geschichte musste ich daran denken. Das klingt so schön harmonisch, aber hier geht es um weitaus mehr. Gefühle zu teilen und nachzuempfinden ist auch anstrengend und so müssen sich die Charaktere dieser Herausforderung stellen. Wie? Das erfährst du in Mushishi Band 8 ;).
Die Kurzgeschichte „Sonnenschauer“ handelt mehr vom Regen. Überall wo Teru auftaucht regnet es. Sie kann den Regen vorher sagen. In den Dörfern, wo es trocken ist, ist das sehr praktisch wegen der Ernte. Daher reist sie immer umher. Auf einem Halt begegnet Teru Ginko. Dieser erzählt ihr von der Ursache. Total verzweifelt möchte die junge Frau etwas dagegen tun. So einfach ist es leider nicht. Ginkos Worte haben mir hier viel Mut gemacht. Schlimme Dinge passieren und wir sind nicht unbedingt dafür verantwortlich. Wir können lernen damit zu leben.
In „Schlammiges Gras“ wachsen den Einwohnern des Dorfes Knospen an den Beinen. Unser Protagonist sucht die Ursache dafür und findet eine Erfahrung vom Tod. Jemand ist auf den Schlamm auf dem Berg getreten als er eine Opfergabe für den Verstorbenen bringen wollte. Hier hinter steckt weitaus mehr. Mir hat dieses Leseerlebnis gezeigt, dass wir mit der Natur verbunden sind. Wenn wir sterben und begraben werden, werden wir Teil der Natur.
Diese Geschichte zeigt uns, wie gut es sich anfühlt leistungsfähig zu sein und wie es uns beflügelt, wenn wir sehen, wieviel Erfolg es uns bringt. Aber ist es immer so einfach? Ich konnte aus dieser Geschichte mitnehmen, dass Pausen für die Leistung sehr wichtig sind. Alles hat seinen Preis: Wenn ich nur durcharbeite und keine Verantwortung für meinen Körper übernehme, wird dieser irgendwann Schaden nehmen. Es ist sehr wichtig auf sich selbst zu achten.
In „Die Tiefen des Winters“ geht es genau darum. Ginko ist vom Wächter des Waldes gerufen wurden. Ein Berg ist komplett abgeschottet von der Umgebung. Unser Protagonist versucht den Frühling wieder herbeizuholen. Das Kapitel besteht aus vielen großen Bildern, wenig Text. Es ist unglaublich, wie Yuki Urushibara es schafft mit dem groben Zeichenstil eine tiefe, mystische Stimmung zu erschaffen. Dieses Gefühl beim Lesen war einfach unglaublich. Ich fühle mich danach ausgeruht, voller Hoffnung und Kraft.
„Der verborgene Fluss“ handelt von einem unsichtbaren Weg, der zwischen dem Bewusstsein von Yura und Sumi verläuft. Was immer eine der beiden denkt oder den anderen wissen lassen möchte kommt beim Gegenüber an. Die Mushi Kairogi sind dafür verantwortlich. Bestimmt kennst du das Gefühl, dass du dich manchmal einem anderen Menschen verbunden fühlst. Bei dieser Geschichte musste ich daran denken. Das klingt so schön harmonisch, aber hier geht es um weitaus mehr. Gefühle zu teilen und nachzuempfinden ist auch anstrengend und so müssen sich die Charaktere dieser Herausforderung stellen. Wie? Das erfährst du in Mushishi Band 8 ;).
Die Kurzgeschichte „Sonnenschauer“ handelt mehr vom Regen. Überall wo Teru auftaucht regnet es. Sie kann den Regen vorher sagen. In den Dörfern, wo es trocken ist, ist das sehr praktisch wegen der Ernte. Daher reist sie immer umher. Auf einem Halt begegnet Teru Ginko. Dieser erzählt ihr von der Ursache. Total verzweifelt möchte die junge Frau etwas dagegen tun. So einfach ist es leider nicht. Ginkos Worte haben mir hier viel Mut gemacht. Schlimme Dinge passieren und wir sind nicht unbedingt dafür verantwortlich. Wir können lernen damit zu leben.
In „Schlammiges Gras“ wachsen den Einwohnern des Dorfes Knospen an den Beinen. Unser Protagonist sucht die Ursache dafür und findet eine Erfahrung vom Tod. Jemand ist auf den Schlamm auf dem Berg getreten als er eine Opfergabe für den Verstorbenen bringen wollte. Hier hinter steckt weitaus mehr. Mir hat dieses Leseerlebnis gezeigt, dass wir mit der Natur verbunden sind. Wenn wir sterben und begraben werden, werden wir Teil der Natur.
October 13, 2022
Solo por la última historia este tomo se merece todos los elogios, aunque también por La lluvia con sol, pero lo realizado con Las malezas del lodo es brutal. Las historias muchas veces son contadas como moralejas, pero este no es el caso, es la presentación fiel de como nos sentiríamos en situaciones límites, y como también debemos enfrentarlas. La muerte siempre es complicada, y justamente de eso se trata gran parte Mushishi, pero cuando uno lleva el olor de la muerte, es diferente. Una genialidad, realmente no deja de sorprenderme la mangaka, aunque tendré que descansar un poco para leer el siguiente tomo, porque ese mal sabor de boca no podré quitármelo fácilmente.
February 3, 2025
El valle donde surge la leche
Las profundidades del invierno
El canal oculto
Lluvia a pleno sol
La hierba del lodo
Aunque una de las historias es una broma y otra tiene un significado de especial cariño… no puedo dejar de pensar que el hilo conductor de todas es la amargura.
A todos los personajes les pasa algo, hacen algo, que acarrean consigo por mucho tiempo y deben vivir con las consecuencias. ¿Tal vez es porque está vez Ginko no pudo curar la mayor parte de las dolencias?
Las profundidades del invierno
El canal oculto
Lluvia a pleno sol
La hierba del lodo
Aunque una de las historias es una broma y otra tiene un significado de especial cariño… no puedo dejar de pensar que el hilo conductor de todas es la amargura.
A todos los personajes les pasa algo, hacen algo, que acarrean consigo por mucho tiempo y deben vivir con las consecuencias. ¿Tal vez es porque está vez Ginko no pudo curar la mayor parte de las dolencias?
October 13, 2020
The best one in this for me is when Ginko is all alone on the mountain. The formula of Ginko not being the one knowing it all (cause there is no one else there) is refreshing, also the ending gives it a comedic undertones.
But am I tired of this...
But am I tired of this...
August 12, 2020
好喜歡大烏龜山主噢。她畫山主和畫山的篇章都好好看。畫海也是，畫自然也是，畫蟲也是，當然也有其中各種反應互動的人XDDD
所以基本上就是所有故事嘛（咦
不過我真的最喜歡有山主的段落！（heart
（然後隱江心有靈犀這篇怎麼超級有種被甜到的感覺www
所以基本上就是所有故事嘛（咦
不過我真的最喜歡有山主的段落！（heart
（然後隱江心有靈犀這篇怎麼超級有種被甜到的感覺www
May 25, 2021
miałam się śmiać, że ginko trzy razy powiedział "kurwa", ale ten ostatni rozdział mnie złamał i sama powiedziałam "kurwa"
June 24, 2021
Todas las historias estuvieron meh! Pero la última me dejó 🤡. Lamentablemente, este es el tomo que menos me ha gustado hasta ahora.
June 23, 2024
Otra buena coleccion de cuentos, varios aca tristes o tragicos
Esos mushi hay de todo tipo
Y como en todo, el dibujo ayuda muchisimo
4.67 stars
Esos mushi hay de todo tipo
Y como en todo, el dibujo ayuda muchisimo
4.67 stars
Read
July 7, 2024Me gustaron todas las historias, pero fav a las profundidades del invierno, me encanto la tortuguita
July 22, 2024
ginko 😭😭😭😭
August 20, 2025
Tortuga borracha :)
This entire review has been hidden because of spoilers.
January 14, 2012
The last story in this volume The mud weed (chapter 40) was quite disturbing and yet strangely poetic.
March 19, 2021
Primera calificación: 5/5.
Segunda calificación: 3'5/5.
Segunda calificación: 3'5/5.
Displaying 1 - 22 of 22 reviews