Ce roman inédit constitue une aventure à part entière dans l'univers de A Plague Tale . Situé chronologiquement entre les événements de A Plague Innocence et A Plague Requiem , le roman A Plague Tenebris narre les mésaventures d'Amicia et Hugo, ainsi que de leur mère Béatrice et de leur ami Lucas, confrontés à de nouveaux antagonistes. 1348. Quelques jours après le combat qui les a opposés au Grand Inquisiteur Vitalis, Amicia et Hugo apprennent qu'ils sont recherchés et prennent la direction de l'Est, loin des troupes anglaises affaiblies et d'une Inquisition revancharde. Secrètement à leurs trousses, des Flagellants menés par un zélote bien décidé à faire de Hugo le martyre christique qui accompagnera leurs processions en « éclaboussant du sang sacré de ses plaies l'Humanité pécheresse ». Très vite, la routine itinérante du groupe est troublée par le réveil de la Macula qui afflige Hugo de céphalées et de cauchemars terribles. Après quelques manifestations étranges qui leur permettent néanmoins d'échapper à l'implacable exorciste, Béatrice et Lucas sont catégoriques : les cauchemars d'Hugo, exaltés par la Macula, commencent à altérer le réel autour de lui (émotions contagieuses, confusion des sens, hallucinations, rats paniqués qui échappent à l'appel du garçonnet). Les jours passent, et les symptômes d'Hugo s'intensifient, mettant en péril à la fois sa santé mentale et la vie de ses compagnons. Un roman haletant, développé en étroite collaboration avec le studio Asobo, où vous aurez plaisir à retrouver les personnages avant de les incarner à nouveau dans A Plague Requiem .
Après avoir plus qu'adoré A Plague Tale: Innocence, j'ai eu connaissance de livre, une prequel au second jeu, que je n'ai pas encore lancé ce jour. Je suis globalement mitigée parce qu'il se passe peu de choses, en plus de nous proposer de nombreux de vue (alors que seul celui d'Amicia est disponible dans le jeu). L'écriture est particulière, un peu lourde (dont parfois je n'ai pas compris le sens). Je pense qu'il était nécessaire à mon aventure "A Plague Tale".
Quelle beauté. Cette partie de l'histoire est beaucoup plus centrée sur Hugo. Néanmoins j'ai apprécié le développement de la relation entre personnages. J'ai versé quelques larmes à la fin je l'avoue. Maintenant je dois juste acheter la PS5 pour connaître la suite...
Ho amato moltissimo il primo episodio della serie, e quando ho saputo dell'esistenza del libro, non vedevo l'ora di leggerlo... ma è letteralmente l'intro dell'intro di Requiem, che ho reputato noioso all'inverosimile (stendiamo un velo pietoso sul gioco, salvo solo la parte dell'isola). Fino a metà libro viene narrato quello che accade in Requiem: Hugo che sogna l'isola e i suoi svenimenti, Amicia che ha attriti con la madre e la magistra che vuole solo andare in Provenza (e sul primo momento non capivo bene le frasi, perché i protagonisti hanno una giumenta di nome Provence, quindi le frasi si riferivano alla cavalla e alla destinazione finale) ad incontrare il magister Vaudin. E i topi. Gli stessi topi che tecnicamente riappaiono in Requiem, ma dopo i fatti avvenuti in Innocence (quindi c'è della incoerenza nei fatti). E NON PRIMA.
Un vero peccato, ma la storia di Innocence era nata e conclusa con il gioco, non poteva esserci un seguito. Non sono riuscita a terminarlo, anche perché ho trovato fastidiose le continue parentesi all'interno del testo, senza contare il riferimento al mais (?), cosa impossibile, dato che gli eventi di gioco sono antecedenti alla scoperta dell'America.
Lo consiglio se avete amato Requiem, ma con riserva.
Un roman passionnant et touchant lorsque l'on a joué aux deux jeux Asobo. Une histoire d'une grande qualité, à la fois d'écriture et de tension pesée !
Extrait : J’ai beaucoup apprécié les deux de la franchise, et comme j’aime également regarder s’il n’y a pas d’autres œuvres autour des franchises que j’aime, j’ai fini par tomber sur ce roman. L’intrigue nous place entre les deux jeux, qui laissent largement la place à une nouvelle aventure, emplie de joie, désillusion, tristesse, fuite et horreur. Le support étant totalement différent, je ne peux pas juger ce livre, comme je l’ai fait pour les jeux, l’attente n’est pas la même, le rythme non plus. Petite anecdote de lecture, une petite erreur s’est glissé sur l’une des pages, où Amicia est renommée Alicia… ça m’a surtout fait rire.
L’avantage d’avoir fait les jeux avant de lire, c’est que j’ai encore la voix en tête pour les personnages connus (Hugo, Amicia, Lucas et Béatrice). Du coup, quand je lis, leur voix revient instinctivement lors de leurs dialogues, ou de leurs pensées. Pour les autres personnages, la place est faite à l’imagination ce qui donne des voix changeantes par instant. L’ennemi de ce récit me semble bien moins imposant que ceux des jeux, mais il n’en reste pas moins flippant. Très clairement fanatique, il poursuit Hugo, qu’il pense libérateur et punisseur des gens ayant pêchés. En gros, il veut qu’il utilise son pouvoir pour faire le tri, mettant volontairement de côté le fait qu’il ne fait aucune distinction. Fanatique, il va au bout de son idée, quitte à y laisser des plumes et des hommes. Sa folie est telle, que même le Pape le considère comme fou et sans doute, hérétique. C’est dire depuis combien de temps il doit l’être, puisqu’on est au moyen-âge tout de même, donc les moyens de communications sont assez long. D’ailleurs, les Papes n’ont pas toujours vécus au Vatican, ils ont souvent changés de lieu, au grès des conflits (parfois ils étaient même en France, comme à Avignon par exemple). Pour l’ère du jeu, j’ignore si le Pape se situait en France ou non.
Tous les personnages du récit ont été frappés (plus ou moins souvent), par la dureté de la vie, et ceux, même pour les plus jeunes. Ceux-ci n’ont eu d’autres choix que de grandir plus vite, n’ayant pas la chance d’Hugo, d’avoir des plus grands pour le protéger et le guider (même si ça l’énerve de ne jamais rien décider, trop jeune et n’ayant pas assez de temps pour lui expliquer, cela engendre chez lui une certaine frustration). Il faut aussi dire que malgré le réconfort apporté par ses proches, Amicia n’est pas sa mère, mais sa sœur, même si elle l’écoute, elle sait aussi plus de choses et tente surtout de le préserver. Pour Béatrice, il semblerait qu’elle n’a jamais vraiment été une mère pour ses deux enfants, ignorant Amicia au profit d’Hugo, mais uniquement pour le soigner. La santé d’Hugo tient en équilibre, et semble étroitement liée à son état d’esprit, ne pas l’écouter, c’est aussi le faire plonger plus vite… d’où l’importance de prendre le temps de l’entendre et de lui expliquer, ce que fait Amicia le plus souvent possible. Le récit est fluide, et même si la première partie semble assez longue, même les jeux commencent par un moment de joyeuseté (et en propose d’autres à plusieurs reprises), après tout, la patte de la licence, c’est de passer de la joie et l’émerveillement à l’horreur. Dans les jeux, c’est encore plus frappant avec les graphismes, on voit les villes pleines de vies et lumière, puis sombre, détruite, éventrées.
Avant de lire ce livre j'avais fini les 2 jeux A Plague Tale: Innocence et Requiem. Je les compte parmi mes jeux préférés. La qualité de l'écriture de ce livre m'a surpris, ce n'est pas juste un autre livre inspiré par un jeu vidéo, mais une véritable immersion dans l'univers A Plague Tale. On y retrouve tout le dramatisme, le grotesque, la terreur et l'éspoir et la beauté cachée parmi les ruines et surtout des personnages étranges mais attachants, bref tout ce qui a fait la marque de ce jeu unique.
I don't know if this book could be compared with the games. But it gave me a fresh outlook of the minds and lives of the characters from the games. Maybe it could have been a bit tighter and consistent with the games: it can sometimes be read as fan fiction and not an official book. Nevertheless, it worked perfectly well as a way to calm the nostalgia after finishing the second game.
I have officially ran out of De Rune's stories. A big shout out is in order for the unofficial English translation by Warren, what a hero.
Ayant adoré le jeu ( seulement le 1er , je vais pouvoir attaquer le second) , c’est avec grand interêt que je me suis porté sur ce livre . Les personnages sont vraiment fidèles au jeu ( on retrouve parfaitement nos différents héros) cependant trop peu d’action et histoire centrée sur « presque » un seul lieu. J’attendais un livre plus dynamique et une histoire plus riche ( après avoir joué au premier épisode !). La note de 4 me semble juste 🙂
Grande fan du premier jeu, je voulais lire ce bonus littéraire avant de me lancer dans le second opus mais ma déception est relativement grande... Ce roman n'est pas indispensable et j'ai même eu l'impression que certains personnages régressaient, notamment et surtout Hugo. Quel intérêt ? Le style littéraire quant à lui, assez particulier même s'il est raccord avec l'époque et l'ambiance du récit, bloque l'élan de lecture. Dommage, vraiment.