On la connaissait peintre : ses recueils d'aquarelles félines, du Chat zen aux Quatre Saisons du chat , agrémentées de pensées issues de la sagesse orientale, ont fait le tour du monde. On l'a découverte écrivaine grâce à un texte touchant, Le Chat qui m'aimait , mettant en scène Healey, le chat qui lui a fait aimer les chats. Kwong Kuen-Shan dévoile dans ce récit combien les chats, dans leur grande sagesse, l'ont aidée dans sa vie de femme et de créatrice. Illustré d'aquarelles originales, ce récit est une ode à ces félins, desquels nous avons chaque jour tant à apprendre.
Tous les grands ouvrages de Kwong Kuen-Shan sont chez Pocket.
Ça parlait beaucoup moins de chats et beaucoup plus de l’autrice que ce à quoi je m'attendais. On est vraiment sur un récit de vie très autobiographique, au point où j’ai parfois été mal à l'aise d’être autant impliquée dans l’intimité des personnes mentionnées. L’aspects le plus intéressant du livre concernait les différences culturelles mises en lumière par l’autrice, qui est une Chinoise de Hong Kong. J’ai appris beaucoup de choses de cette manière, et j’ai apprécié l’inclusion des nombreux poèmes chinois.