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Les Rêveurs définitifs
"Il ne s’agissait pas de choisir entre rêver sa vie et la vivre, il fallait faire les deux."
Traductrice, Emma habite un petit appartement avec Quentin, son fils de quatorze ans.
Lasse de traduire des bluettes sans intérêt, elle rêve d’écrire un grand roman. Au lieu de quoi, elle est contrainte d’accepter une mission de conseil chez Kiwi, un géant du web qui veut développer un logiciel de traduction infaillible. Mais participer à cette entreprise, n’est-ce pas contribuer à rendre son métier inutile ?
Tandis qu’Emma se débat dans ses contradictions, Quentin, lui, vit des aventures extraordinaires dans les jeux vidéo et s’imagine en gameur de génie. Jusqu’au jour où il est contacté par une mystérieuse organisation qui veut s’attaquer à Kiwi.
Plongés chacun dans leur réalité, au risque de s’éloigner, mère et fils vont se retrouver réunis dans la «vraie vie» par des enjeux qui les dépassent…
Mêlant savamment fiction et réalité, Camille de Peretti convie ses lecteurs à un voyage ludique, qui questionne la puissance de l’imaginaire, du rêve et finalement de la littérature.
Traductrice, Emma habite un petit appartement avec Quentin, son fils de quatorze ans.
Lasse de traduire des bluettes sans intérêt, elle rêve d’écrire un grand roman. Au lieu de quoi, elle est contrainte d’accepter une mission de conseil chez Kiwi, un géant du web qui veut développer un logiciel de traduction infaillible. Mais participer à cette entreprise, n’est-ce pas contribuer à rendre son métier inutile ?
Tandis qu’Emma se débat dans ses contradictions, Quentin, lui, vit des aventures extraordinaires dans les jeux vidéo et s’imagine en gameur de génie. Jusqu’au jour où il est contacté par une mystérieuse organisation qui veut s’attaquer à Kiwi.
Plongés chacun dans leur réalité, au risque de s’éloigner, mère et fils vont se retrouver réunis dans la «vraie vie» par des enjeux qui les dépassent…
Mêlant savamment fiction et réalité, Camille de Peretti convie ses lecteurs à un voyage ludique, qui questionne la puissance de l’imaginaire, du rêve et finalement de la littérature.
259 pages, Kindle Edition
Published August 18, 2021
19 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 9 of 9 reviews
July 26, 2021
2,5 étoiles ou 3 étoiles je ne sais pas trop.
Je me retrouve un peu confuse par la lecture de ce livre qui aborde beaucoup de thématiques - la mère célibataire, l'enfant accro aux jeux vidéo, les amourettes de l'une et de l'autre, puis plus généralement la place des intelligences artificielles et la différence entre le réel et le virtuel.
Je n'ai pas détesté ma lecture, au contraire le style était très agréable, mais j'ai du mal à saisir ce que je dois en retenir. Il aurait mérité peut-être 100 pages de plus, un approfondissement de certaines thématiques (je n'ai pas compris l'intérêt des chapitres de la grand-mère ?).
Ça reste quand même une assez bonne surprise qui arrive pour la rentrée littéraire !
Je me retrouve un peu confuse par la lecture de ce livre qui aborde beaucoup de thématiques - la mère célibataire, l'enfant accro aux jeux vidéo, les amourettes de l'une et de l'autre, puis plus généralement la place des intelligences artificielles et la différence entre le réel et le virtuel.
Je n'ai pas détesté ma lecture, au contraire le style était très agréable, mais j'ai du mal à saisir ce que je dois en retenir. Il aurait mérité peut-être 100 pages de plus, un approfondissement de certaines thématiques (je n'ai pas compris l'intérêt des chapitres de la grand-mère ?).
Ça reste quand même une assez bonne surprise qui arrive pour la rentrée littéraire !
September 28, 2021
J'ai 2 problèmes avec ce livre.
Problème N°1: Si quelqu'un pouvait me dire de quoi il parle, je lui en serais très reconnaissante.
Je l'ai lu, hein, c'est pas la question.
L'ennui, c'est que j'ai l'impression d'en avoir appris plus sur lui en lisant sa quatrième de couverture qu'en lisant son contenu.
Je ne suis pas contre les expériences narratives du type "stream of consciousness" façon Virginia Woolf. Mais il faut qu'elles aient un cadre, une direction, un sens. Mrs Dalloway, par exemple, était construit autour de l'idée de passer une journée en temps réel ou presque dans la tête du personnage éponyme, une femme de la noblesse londonienne désœuvrée. Qu'on adhère ou pas au principe, le résultat a une certaine beauté : c'est un peu comme jouer à un "walking simulator" qui serait basé dans l'Angleterre de l'entre-deux-guerres. On a de la profondeur psychologique, ça grouille de vie autour de nous, c'est coloré, et en même temps profondément mélancolique.
Je suis pratiquement sûre que l'auteure ambitionnait d'écrire le Mrs Dalloway du 21e siècle, 100 ans presque tout rond après l'original. Et malgré son talent pour décrire les situations ordinaires et leur vacuité, à titre personnel, j'ai beaucoup de mal à adhérer à ses choix en termes de narration.
Tu prends une famille monoparentale quelconque (même si je dois reconnaître que le côté "quelconque" est assumé avec un certain panache), tu la jette dans une intrigue rachitique vaguement unificatrice à base de technophobie primaire, tu émailles le tout de commentaires éculés sur la vacuité de nos vies modernes, et roule ma poule.
On a beaucoup de thèmes et de réflexions en tout genre, certaines étant réellement intéressantes. Malheureusement, tout ça se bouscule dans le désordre, sans rien pour donner un minimum de cohérence. Chaque thème et chaque réflexion (trouver l'amour quand on a peur de s'attacher, l'isolement engendré par la poursuite de ses propres rêves, le jeu vidéo comme moyen d'exprimer sa personnalité étouffée dans le monde réel, les IA qui commencent à empiéter sur des domaines que les humains considèrent encore comme leur chasse gardée et la tension qui en résulte...) pourrait faire l'objet d'un livre à part entière.
Au lieu de quoi, on se retrouve avec des embryons de concepts qui flottent les uns à côté des autres, chacun débordant sur l'espace vital du voisin faute de place. Je n'y connais rien en jardinage, mais il me semble que ce genre de condition n'est pas propice à la croissance des plantes...
Problème N°2 :
En toute honnêteté, ce problème-là pourrait ne peut pas être considéré comme tel par d'autres lectrices. Disons juste que, au niveau de ma sensibilité personnelle, je l'ai vécu comme une forme de trahison assez brutale.
Le livre, dans ses dernières pages, condamne tout ce sur quoi l'auteure posait précédemment un regard compatissant, et vice-versa. Une trahison d'autant plus incompréhensible qu'elle va de paire avec une accélération brutale de l'histoire, en rupture avec le rythme assez lent auquel on s'était habitué.
Pendant les 3/4 de l'histoire, les livres "feel-good" s'en prennent régulièrement plein la tête, mais l'auteure conclue son propre livre en disant qu'il faut vivre dans le moment présent et savoir apprécier les belles choses de la vie… ce qui est précisément le message d'un roman "feel-good" typique.
Dans le même ordre d'idées, le livre nous présente le rêve comme un moyen de mieux vivre les situations difficiles du monde réel. Et puis d'un seul coup, dans les dernières pages, Heu, what? C'est un peu soudain, non? On peut pas au moins en débattre, avant d'en tirer cette conclusion ?
Sur ce coup-là, ça m'a autant énervé que la fin de Ready Player One (le film, en tout cas: je ne sais pas ce qu'il en est pour le livre), parce que ça relève exactement de la même naïveté : (spoiler "émotionnel" mineur ->)
Dans le cas des Rêveurs définitifs, .
Oh comme c'est beau, oh comme ça sonne bien ! Sauf que la vérité, c'est que rêver ou ne pas rêver ne changera absolument rien à sa réalité. Emma sera toujours une mère célibataire avec des problèmes d'argent, et elle mangera toujours des pâtes et des pizzas surgelées. Sa seule liberté, c'est de choisir entre s'émerveiller sur son plat de pâtes froides et penser à quelque chose de plus appétissant pendant qu'elle mange. Qu'est-ce qui justifie qu'on la prive de cette liberté?
Si j'ai une rage de dents, et qu'on me propose un anti-douleur efficace sans effets secondaires, j'aurais tort de le refuser. Ne plus avoir mal ne m'empêchera pas de prendre rendez-vous chez le dentiste, tout comme rêver n'empêche pas Emma de chercher des solutions à ses problèmes d'argent. Le fait que le livre se conclue sur une conclusion aussi tranchée après s'être donné autant de mal pour nous faire aimer ses personnages et leurs défauts est pour moi une faute impardonnable.
L'ironie, c'est que la quatrième de couverture, citant un passage de la première moitié du livre, nous dit qu'il ne faut pas choisir entre le rêve et la vie, parce qu'il faut prendre les deux. Pour moi, c'est l'évidence même. Pour le livre, ça l'est beaucoup moins.
Problème N°1: Si quelqu'un pouvait me dire de quoi il parle, je lui en serais très reconnaissante.
Je l'ai lu, hein, c'est pas la question.
L'ennui, c'est que j'ai l'impression d'en avoir appris plus sur lui en lisant sa quatrième de couverture qu'en lisant son contenu.
Je ne suis pas contre les expériences narratives du type "stream of consciousness" façon Virginia Woolf. Mais il faut qu'elles aient un cadre, une direction, un sens. Mrs Dalloway, par exemple, était construit autour de l'idée de passer une journée en temps réel ou presque dans la tête du personnage éponyme, une femme de la noblesse londonienne désœuvrée. Qu'on adhère ou pas au principe, le résultat a une certaine beauté : c'est un peu comme jouer à un "walking simulator" qui serait basé dans l'Angleterre de l'entre-deux-guerres. On a de la profondeur psychologique, ça grouille de vie autour de nous, c'est coloré, et en même temps profondément mélancolique.
Je suis pratiquement sûre que l'auteure ambitionnait d'écrire le Mrs Dalloway du 21e siècle, 100 ans presque tout rond après l'original. Et malgré son talent pour décrire les situations ordinaires et leur vacuité, à titre personnel, j'ai beaucoup de mal à adhérer à ses choix en termes de narration.
Tu prends une famille monoparentale quelconque (même si je dois reconnaître que le côté "quelconque" est assumé avec un certain panache), tu la jette dans une intrigue rachitique vaguement unificatrice à base de technophobie primaire, tu émailles le tout de commentaires éculés sur la vacuité de nos vies modernes, et roule ma poule.
On a beaucoup de thèmes et de réflexions en tout genre, certaines étant réellement intéressantes. Malheureusement, tout ça se bouscule dans le désordre, sans rien pour donner un minimum de cohérence. Chaque thème et chaque réflexion (trouver l'amour quand on a peur de s'attacher, l'isolement engendré par la poursuite de ses propres rêves, le jeu vidéo comme moyen d'exprimer sa personnalité étouffée dans le monde réel, les IA qui commencent à empiéter sur des domaines que les humains considèrent encore comme leur chasse gardée et la tension qui en résulte...) pourrait faire l'objet d'un livre à part entière.
Au lieu de quoi, on se retrouve avec des embryons de concepts qui flottent les uns à côté des autres, chacun débordant sur l'espace vital du voisin faute de place. Je n'y connais rien en jardinage, mais il me semble que ce genre de condition n'est pas propice à la croissance des plantes...
Problème N°2 :
En toute honnêteté, ce problème-là pourrait ne peut pas être considéré comme tel par d'autres lectrices. Disons juste que, au niveau de ma sensibilité personnelle, je l'ai vécu comme une forme de trahison assez brutale.
Le livre, dans ses dernières pages, condamne tout ce sur quoi l'auteure posait précédemment un regard compatissant, et vice-versa. Une trahison d'autant plus incompréhensible qu'elle va de paire avec une accélération brutale de l'histoire, en rupture avec le rythme assez lent auquel on s'était habitué.
Pendant les 3/4 de l'histoire, les livres "feel-good" s'en prennent régulièrement plein la tête, mais l'auteure conclue son propre livre en disant qu'il faut vivre dans le moment présent et savoir apprécier les belles choses de la vie… ce qui est précisément le message d'un roman "feel-good" typique.
Dans le même ordre d'idées, le livre nous présente le rêve comme un moyen de mieux vivre les situations difficiles du monde réel. Et puis d'un seul coup, dans les dernières pages, Heu, what? C'est un peu soudain, non? On peut pas au moins en débattre, avant d'en tirer cette conclusion ?
Sur ce coup-là, ça m'a autant énervé que la fin de Ready Player One (le film, en tout cas: je ne sais pas ce qu'il en est pour le livre), parce que ça relève exactement de la même naïveté : (spoiler "émotionnel" mineur ->)
Dans le cas des Rêveurs définitifs, .
Oh comme c'est beau, oh comme ça sonne bien ! Sauf que la vérité, c'est que rêver ou ne pas rêver ne changera absolument rien à sa réalité. Emma sera toujours une mère célibataire avec des problèmes d'argent, et elle mangera toujours des pâtes et des pizzas surgelées. Sa seule liberté, c'est de choisir entre s'émerveiller sur son plat de pâtes froides et penser à quelque chose de plus appétissant pendant qu'elle mange. Qu'est-ce qui justifie qu'on la prive de cette liberté?
Si j'ai une rage de dents, et qu'on me propose un anti-douleur efficace sans effets secondaires, j'aurais tort de le refuser. Ne plus avoir mal ne m'empêchera pas de prendre rendez-vous chez le dentiste, tout comme rêver n'empêche pas Emma de chercher des solutions à ses problèmes d'argent. Le fait que le livre se conclue sur une conclusion aussi tranchée après s'être donné autant de mal pour nous faire aimer ses personnages et leurs défauts est pour moi une faute impardonnable.
L'ironie, c'est que la quatrième de couverture, citant un passage de la première moitié du livre, nous dit qu'il ne faut pas choisir entre le rêve et la vie, parce qu'il faut prendre les deux. Pour moi, c'est l'évidence même. Pour le livre, ça l'est beaucoup moins.
September 26, 2023
c'était très déconstruit
y'avait beaucoup de thématiques différentes qui ont été abordées mais sans réel lien
le fil rouge disparait complètement à l'avancée des chapitres
la façon d'abordée certaines thématiques : addiction des jeux vidéos, amourettes, mère solitaire, société, solitude... sont intéressantes mais souvent pas assez développées.
potentiel de fou mais bâclé
y'avait beaucoup de thématiques différentes qui ont été abordées mais sans réel lien
le fil rouge disparait complètement à l'avancée des chapitres
la façon d'abordée certaines thématiques : addiction des jeux vidéos, amourettes, mère solitaire, société, solitude... sont intéressantes mais souvent pas assez développées.
potentiel de fou mais bâclé
September 2, 2021
Pour la rentrée littéraire 2021, Camille de Peretti propose avec Les rêveurs définitifs une réflexion sur les freins que chacun s’inventent pour ne pas se sentir bien dans son quotidien. A travers trois âges de la vie, la vie se décline aléatoire, incertaine et inquiétante alors le recours aux rêves éveillés, d’un ailleurs, d’une situation différente ou d’un avenir plus rose, est une manière pour supporter le quotidien.
Dans la famille Tence, il y a la mère, Emma, qui vit son rêve ou rêve sa vie. Puis vient le fils, Quentin, collégien ordinaire en troisième avec son avatar, Shrimp, beaucoup plus débrouillard, beaucoup moins timide et terriblement plus expérimenté. Quentin rêve de scotcher ses profs avec des réparties à la « Shrimp » et de se délecter de leurs mines stupéfaites. Et, puis, il y a aussi la grand-mère, Martine, vingt ans en 68, sténodactylo devenue secrétaire de direction auprès de son avocat, Alain. Il lui aura fallu dix ans pour s’affirmer et arrêter cette relation adultère pour s’assumer en femme seule élevant son enfant.
Emma est traductrice de romances ou de romans Feel-Good. Seules les couleurs pastelles des couvertures changent…. Évidemment, Emma aimerait tellement écrire son premier roman et que ce soit un succès retentissant !
Normalement, Emma se débrouille malgré sa phobie administrative. Mais, là, les impôts se font pressants et lui réclame cinq mille euros ! Au fil de l’inquiétude et des tentatives d’Emma, Camille de Peretti déroule la vie de ses personnages : Quentin et ses compétences de hacker, Emma et son romantisme incorrigible et Martine avec ses peurs irrationnelles.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
Dans la famille Tence, il y a la mère, Emma, qui vit son rêve ou rêve sa vie. Puis vient le fils, Quentin, collégien ordinaire en troisième avec son avatar, Shrimp, beaucoup plus débrouillard, beaucoup moins timide et terriblement plus expérimenté. Quentin rêve de scotcher ses profs avec des réparties à la « Shrimp » et de se délecter de leurs mines stupéfaites. Et, puis, il y a aussi la grand-mère, Martine, vingt ans en 68, sténodactylo devenue secrétaire de direction auprès de son avocat, Alain. Il lui aura fallu dix ans pour s’affirmer et arrêter cette relation adultère pour s’assumer en femme seule élevant son enfant.
Emma est traductrice de romances ou de romans Feel-Good. Seules les couleurs pastelles des couvertures changent…. Évidemment, Emma aimerait tellement écrire son premier roman et que ce soit un succès retentissant !
Normalement, Emma se débrouille malgré sa phobie administrative. Mais, là, les impôts se font pressants et lui réclame cinq mille euros ! Au fil de l’inquiétude et des tentatives d’Emma, Camille de Peretti déroule la vie de ses personnages : Quentin et ses compétences de hacker, Emma et son romantisme incorrigible et Martine avec ses peurs irrationnelles.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
August 18, 2021
Emma est mère célibataire, traductrice de romances et autre livres feel-good, dont elle se lasse car ils se déroulent toujours de la même façon, seuls les protagonistes changent ! Son fils Quentin est un adolescent solitaire et investi dans ses jeux vidéo MMPORG dans lesquels il trouve sa réalité et perd sa timidité et sa retenue.
Le fisc se rappelant à son bon souvenir, Emma doit trouver une grosse somme rapidement. Son commanditaire principal la recommande à une société qui travaille sur l’Intelligence Artificielle et voudrait en créer une capable de traduire des œuvres, non plus littéralement mais aussi avec le style de l’auteur !
C’est un livre qui se lit facilement et avec plaisir même si j’ai préféré tout ce qui a trait à Quentin et sa recherche personnelle, ses motivations, ses conflits d’adolescents qui même à travers des jeux vidéo restent quelque chose de concret ! Et que je comprends tout à fait, pour être moi-même une fan absolue de jeux vidéo (qui s’est soignée) !
En ce qui concerne la vie d’Emma, toutes les situations sont attendues, relativement proche du cliché, mère célibataire, indépendante, encore appétissante, sensible à une œillade enflammée parce que blasée par son travail et qui se demande sans cesse si elle ne ferait pas mieux de vivre en rêve continuellement.
Mais je n’ai pas bien compris la partie IA, du moins la partie recherche et réunions a été peu travaillée alors que cela allait remettre en cause le travail de traducteur et de tous ceux qui travaillent sur le sujet de la langue.
#Lesrêveursdéfinitifs #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2021
Le fisc se rappelant à son bon souvenir, Emma doit trouver une grosse somme rapidement. Son commanditaire principal la recommande à une société qui travaille sur l’Intelligence Artificielle et voudrait en créer une capable de traduire des œuvres, non plus littéralement mais aussi avec le style de l’auteur !
C’est un livre qui se lit facilement et avec plaisir même si j’ai préféré tout ce qui a trait à Quentin et sa recherche personnelle, ses motivations, ses conflits d’adolescents qui même à travers des jeux vidéo restent quelque chose de concret ! Et que je comprends tout à fait, pour être moi-même une fan absolue de jeux vidéo (qui s’est soignée) !
En ce qui concerne la vie d’Emma, toutes les situations sont attendues, relativement proche du cliché, mère célibataire, indépendante, encore appétissante, sensible à une œillade enflammée parce que blasée par son travail et qui se demande sans cesse si elle ne ferait pas mieux de vivre en rêve continuellement.
Mais je n’ai pas bien compris la partie IA, du moins la partie recherche et réunions a été peu travaillée alors que cela allait remettre en cause le travail de traducteur et de tous ceux qui travaillent sur le sujet de la langue.
#Lesrêveursdéfinitifs #NetGalleyFrance #rentreelitteraire2021
March 18, 2022
Je me suis un peu ennuyée, même si je n’ai pas lâché, j’ai survolé pas mal de pages.
Je ne sais pas trop de quoi parle le roman ni ce que j’en garde.
Beaucoup de sujets effleurés sans vraiment de point de vue, une volonté de coller à l’époque, et après ?
J’ai aimé l’idée des visions du personnage principal qui s’invente des situations avec le même sérieux qu’une to do list - le droit de contrôler le rêve éveillé. Mais encore une fois, c’est juste posé.
Peut-être que comme sur la couverture, le nom de l’auteur un peu trop gros, le titre presque disparu, le roman a fondu et il ne reste pas grand chose, c’est bien dommage.
Je ne sais pas trop de quoi parle le roman ni ce que j’en garde.
Beaucoup de sujets effleurés sans vraiment de point de vue, une volonté de coller à l’époque, et après ?
J’ai aimé l’idée des visions du personnage principal qui s’invente des situations avec le même sérieux qu’une to do list - le droit de contrôler le rêve éveillé. Mais encore une fois, c’est juste posé.
Peut-être que comme sur la couverture, le nom de l’auteur un peu trop gros, le titre presque disparu, le roman a fondu et il ne reste pas grand chose, c’est bien dommage.
August 21, 2025
On a tous des scénarios que l’on imagine dans notre tête sans cesse, et dont on ne parle jamais.
J’ai adoré le côté linguistique du livre, et aussi le lien avec l’intelligence artificielle, grand problématique de notre ère. Tout est très bien traité, il y a encore une fois beaucoup de recherches et de poésie dans le texte.
J’ai adoré le côté linguistique du livre, et aussi le lien avec l’intelligence artificielle, grand problématique de notre ère. Tout est très bien traité, il y a encore une fois beaucoup de recherches et de poésie dans le texte.
December 1, 2024
De belles et justes fulgurances
February 25, 2025
2.75 j’aurais aime plussss
Displaying 1 - 9 of 9 reviews