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Baruchusu (New Basic) (New Basic Art Series) (2006) ISBN: 4887833016 [Japanese Import]
FRENCH-GERMAN PAINTER COUNT BALTHASAR KLOSSOWSKI DE ROLA (1908-2001), KNOWN AS BALTHUS, SHOCKED THE PARISIAN ART WORLD IN 1934 WITH HIS DREAMY, SENSUAL, NEO-CLASSICAL PORTRAITS OF NYMPHETS AT A TIME WHEN SURREALISM AND ABSTRACTION WERE DE RIGUEUR. AS A PROVOCATEUR, BALTHUS WAS OFTEN SCORNED; AS AN ARTIST, HE WAS WIDELY EMBRACED AS A PRODIGY. IN RESPONSE TO CRITICS OF HIS REALIST STYLE, BALTHUS SAID: "THE REAL ISN'T WHAT YOU THINK YOU SEE. ONE CAN BE A REALIST OF THE UNREAL AND A FIGURATIVE PAINTER OF THE INVISIBLE." HIS EROTIC, POETIC PAINTINGS LIVE ON AS EXAMPLES OF THE BEST FIGURATIVE WORK OF THE MODERN ERA.
- GenresArtNonfictionNSFW
Tankobon Softcover
First published January 1, 2003
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About the author
Gilles Néret
127 books49 followersGilles Néret (1933 - August 3, 2005) was a French art critic and historian, journalist and curator. He wrote extensively on the history of erotica.
He organized several art retrospectives in Japan and founded the SEIBU museum and the Wildenstein Gallery in Tokyo. He directed art reviews such as L’Oeil and Connaissance des Arts and received the Elie Faure Prize in 1981 for his publications. Since 1992, Néret was an editor for Taschen, for which he has written catalogues raisonnés of the works of Klimt and others, as well as the author of Erotica Universalis.
He organized several art retrospectives in Japan and founded the SEIBU museum and the Wildenstein Gallery in Tokyo. He directed art reviews such as L’Oeil and Connaissance des Arts and received the Elie Faure Prize in 1981 for his publications. Since 1992, Néret was an editor for Taschen, for which he has written catalogues raisonnés of the works of Klimt and others, as well as the author of Erotica Universalis.
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Community Reviews
Displaying 1 - 6 of 6 reviews
November 30, 2022
Un livre qui cite beaucoup Charles Baudelaire, car comme l'indique le sous-titre Balthasar Klossowski de Rola, dit Balthus, était « Le Roi des chats » (nom d'un autoportrait de 1935).
On pouvait visiter une exposition sur l'artiste entre le 2 septembre 2018 et le 1 janvier 2019 à la Fondation Beyeler proche de chez moi. Il s'agit d'une « institution culturelle suisse de droit privé située à Riehen, à proximité immédiate de la ville de Bâle ». En prévision de cette visite j'avais emprunté à la médiathèque cet album des prestigieuses éditions Tachen. Comme le livre n'a pas encore de critique ici, je vais en dire quelques mots.
Tout d'abord je vais commencé par mentionner que mon tableau préféré de l'exposition fut « Le Cerisier », un tableau de 1940 que le peintre lui-même désigne comme « l'expression d'une bouffée de joie. Une manière de dire zut à la guerre, au malheur, à l'Histoire… ». Ce superbe tableau prouve notamment que si les scènes d'intérieur sont prépondérantes dans son oeuvre, Balthus était cependant tout aussi capable de réaliser des paysages de premier ordre. Mais ne cherchez pas la reproduction de ce tableau dans le livre, elle n'y est hélas pas. D'autres paysages peuvent être admirés pages 22 à 25.
Richesse et ambiguïtés sont principales caractéristiques de l'oeuvre de Balthus dont je n'apprécie pas spécialement l'univers pictural. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier le travail de Gilles Néret qui en décortique l'oeuvre en trois parties (Réincarner la peinture, le Roi des chats, de l'autre côté du miroir) suivi d'une liste de repères biographique. le livre met pleinement en évidence le caractère à la fois fascinant et déroutant des tableaux de Balthus dont les sujets suscitent plus que jamais la controverse et les polémiques, car ils mêlent rêves et réalité, érotisme et ingénuité. « Balthus peint d'abord des lumières et des formes » insiste l'auteur (p. 7) et il se déclare lui-même « figuratif de l'invisible ».
Enfin, quelques mots sur la couverture qui reproduit « La Jupe blanche » de 1937. À partir de 1930, Balthus réalise neuf portraits de son amie et future épouse Antoinette de Watteville. Ce tableau se démarque par l'attention que le peintre accorde aux motifs ornant les chaussures et les draperies, ainsi qu'à la pose langoureuse de la jeune femme. le jeu de la représentation, qui alterne entre dissimulation et dévoilement, a préoccupé Balthus, une des figures les plus singulières de l'art moderne, toute sa vie.
On pouvait visiter une exposition sur l'artiste entre le 2 septembre 2018 et le 1 janvier 2019 à la Fondation Beyeler proche de chez moi. Il s'agit d'une « institution culturelle suisse de droit privé située à Riehen, à proximité immédiate de la ville de Bâle ». En prévision de cette visite j'avais emprunté à la médiathèque cet album des prestigieuses éditions Tachen. Comme le livre n'a pas encore de critique ici, je vais en dire quelques mots.
Tout d'abord je vais commencé par mentionner que mon tableau préféré de l'exposition fut « Le Cerisier », un tableau de 1940 que le peintre lui-même désigne comme « l'expression d'une bouffée de joie. Une manière de dire zut à la guerre, au malheur, à l'Histoire… ». Ce superbe tableau prouve notamment que si les scènes d'intérieur sont prépondérantes dans son oeuvre, Balthus était cependant tout aussi capable de réaliser des paysages de premier ordre. Mais ne cherchez pas la reproduction de ce tableau dans le livre, elle n'y est hélas pas. D'autres paysages peuvent être admirés pages 22 à 25.
Richesse et ambiguïtés sont principales caractéristiques de l'oeuvre de Balthus dont je n'apprécie pas spécialement l'univers pictural. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier le travail de Gilles Néret qui en décortique l'oeuvre en trois parties (Réincarner la peinture, le Roi des chats, de l'autre côté du miroir) suivi d'une liste de repères biographique. le livre met pleinement en évidence le caractère à la fois fascinant et déroutant des tableaux de Balthus dont les sujets suscitent plus que jamais la controverse et les polémiques, car ils mêlent rêves et réalité, érotisme et ingénuité. « Balthus peint d'abord des lumières et des formes » insiste l'auteur (p. 7) et il se déclare lui-même « figuratif de l'invisible ».
Enfin, quelques mots sur la couverture qui reproduit « La Jupe blanche » de 1937. À partir de 1930, Balthus réalise neuf portraits de son amie et future épouse Antoinette de Watteville. Ce tableau se démarque par l'attention que le peintre accorde aux motifs ornant les chaussures et les draperies, ainsi qu'à la pose langoureuse de la jeune femme. le jeu de la représentation, qui alterne entre dissimulation et dévoilement, a préoccupé Balthus, une des figures les plus singulières de l'art moderne, toute sa vie.
February 4, 2024
Balthus, as talented as he is controversial, without a doubt a misunderstood genius, one of my favorite painters of all time.
July 31, 2019
he was a creepy kitty alright
and we love him for his art
and we love him for his art
June 12, 2010
TASCHEN's "Basic Art" series consists of fairly inexpensive, full-colour introductions to dozens of painters running just under 100 pages each. This installment by Gilles Neret presents Balthus, whose oeuvre is for paintings what Nabokov's novel LOLITA was for literature: the sexuality of the adolescente. Neret gets Balthus' infamous painting "The Guitar Lesson" out of the way quickly, as this alone among the painter's works was meant to shock. In the main, Balthus' paintings are not shocking because the artist meant them so, but rather because his perennial concerns strike some viewers as inappropriate. In his text, Neret sometimes quotes from those prominent figures who were willing to take a stand for Balthus, such as Rene Char, Richard Gere and Antoin Artaud.
The works are generally presented in fine colour, with only a handful of paintings like "The Room" in less than ideal reproduction. I only wish that Neret had presented them in chronological order instead of jumbling them all up. This would have allowed the reader to see straightaway Balthus' stylistic evolution, which is pretty interesting (always figurative, but less and less intense and ever more stylized). At least the classic paintings that Balthus alludes to, such as the "Villeneuve-les-Avignons Pieta" for "The Guitar Lesson", are often presented alongside.
While the paintings are fine, what really weakens this book is Neret's writing style, which is rambling and vacuous. Then there are strange assertions, such as that the classic painting "Gabrielle d'Estrees et une de ses soeurs" is a celebration of lesbianism (which historians would scoff at), or that "The Game of Cards" is Balthus' most disturbing painting (why?). The coverage of each period of Balthus' life is also inconsistent. For most of the book Neret leaves biography aside, respecting Balthus' wish that people simply "look at the paintings". But from the 1960s, Neret becomes all too passionate about how Balthus' travels and second marriage are reflected in his paintings.
The "Basic Art" series is a great way to inexpensively familiarize yourself with the major figures of painting, but this installment could have been a lot better.
The works are generally presented in fine colour, with only a handful of paintings like "The Room" in less than ideal reproduction. I only wish that Neret had presented them in chronological order instead of jumbling them all up. This would have allowed the reader to see straightaway Balthus' stylistic evolution, which is pretty interesting (always figurative, but less and less intense and ever more stylized). At least the classic paintings that Balthus alludes to, such as the "Villeneuve-les-Avignons Pieta" for "The Guitar Lesson", are often presented alongside.
While the paintings are fine, what really weakens this book is Neret's writing style, which is rambling and vacuous. Then there are strange assertions, such as that the classic painting "Gabrielle d'Estrees et une de ses soeurs" is a celebration of lesbianism (which historians would scoff at), or that "The Game of Cards" is Balthus' most disturbing painting (why?). The coverage of each period of Balthus' life is also inconsistent. For most of the book Neret leaves biography aside, respecting Balthus' wish that people simply "look at the paintings". But from the 1960s, Neret becomes all too passionate about how Balthus' travels and second marriage are reflected in his paintings.
The "Basic Art" series is a great way to inexpensively familiarize yourself with the major figures of painting, but this installment could have been a lot better.
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August 6, 2016Description: French-German painter count Balthasar Klossowski de Rola (1908-2001), known as Balthus, shocked the Parisian art world in 1934 with his dreamy, sensual, neo-classical portraits of nymphets at a time when surrealism and abstraction were de rigueur. as a provocateur, Balthus was often scorned; as an artist, he was widely embraced as a prodigy. in response to critics of his realist style, Balthus said: ""The real isn't what you think you see. one can be a realist of the unreal and a figurative painter of the invisible."" His erotic, poetic paintings live on as examples of the best figurative work of the modern era.
April 24, 2010
Good pictures; reasonably priced.
Displaying 1 - 6 of 6 reviews