Ils semblent se nourrir de sang. Leurs victimes sont retrouvées exsangues. Eva Svärta et le commandant Vauvert viennent enfin de mettre un terme aux agissements des frères Salaville. Mais les meurtres continuent, défiant toute logique. Les talents d'Eva, policière albinos dotée d'un instinct hors normes, vont la conduire aux frontières de la rationalité. Là où, à tout instant, votre propre reflet dans le miroir pourrait vous engloutir, où la part d'ombre d'Eva causera sa perte ou lui sauvera la vie...
" Un thriller oppressant qui entraîne ses lecteurs au-delà de la raison. " franceculture.fr
Cet ouvrage a reçu le prix CinéCinéma Frisson et le prix polar du Festival de Cognac
Lauréat du Prix CinéCinéma Frissons 2011 et du Prix Polar de Cognac 2010
Né en 1974, le Toulousain Sire Cédric occupe depuis plusieurs années une place de choix sur la scène du thriller français.
Il est l’auteur de huit romans et de deux recueils de nouvelles, aux frontières du mystère et du frisson.
Il a reçu le prix Masterton pour son roman L’enfant des cimetières et le prestigieux prix Polar du festival de Cognac pour son thriller De fièvre et de sang.
Ses livres sont traduits en plusieurs langues.
Son nouveau roman, Du feu de l'enfer, est paru aux éditions Presses de la Cité en mars 2017.
„Gorączka i krew” i „Pierwsza krew” francuskiego pisarza Cédrica Sire to dreszczowce z motywem okultystycznym, które powinien zapamiętać każdy, kto przepada za krwawymi thrillerami w duchu „Milczenia owiec” Thomasa Harrisa czy „Purpurowych rzek” Jean-Christophe’a Grangé.
Dreszczowce francuskich autorów mają to do siebie, że uderzają w czytelnika z impetem swoją bezlitosną brutalnością. Nieprzygotowany czytelnik może poczuć się nawet, jakby dostał obuchem w brzuch. Cédric Sire, podobnie jak inni twórcy francuskich thrillerów, od razu rzuca czytelnika na pożarcie wilkom. Jego „Pierwsza krew”, podobnie jak poprzedni tom, czyli „Gorączka i krew”, przepełniona jest ludzkim okrucieństwem, niewyobrażalną potwornością i niewytłumaczalną makabrą. Tutaj mordercy i zwyrodnialcy są tutaj ogarnięci szalonymi obsesjami, ciągle szukają drogi do największej ciemności wewnątrz ich samych. Ich zbrodni nie da się logicznie wytłumaczyć – wierzą w rzeczy tak obłąkane, że nie bez przyczyny książki Cédric Sire nazywa się thrillerami okultystycznymi. W tym wszystkim policja i detektywi, których dręczą koszmarne sny, wspomnienia, które mogłyby złamać każdego. A oni trwają i próbują zatrzymać tę bestialską przemoc, nawet kosztem ich samych.
„Pierwsza krew” to fascynująca opowieść, którą z trudem odkłada się na nocny stolik, chociaż nadchodząca noc może zwiastować koszmary. Autor trzyma czytelnika mocno w szponach i nie wypuszcza, dopóki nie poznamy wszystkich zakamarków zwyrodniałej ludzkiej duszy, dopóki nie zbadamy wszystkich tropów. Warto jednak pamiętać, że zarówno „Gorączka i krew”, jak i „Pierwsza krew” to tytuły dla czytelników o mocnych nerwach, o mocnych żołądkach, których pewne sprawy, o ile pozostają fikcyjne, nie dręczą wewnętrznie całymi dniami.
J'avais rencontré Sire Cédric lors des Quais du Polar à Lyon en 2016 (oui ce livre est resté dans ma PAL beaucoup trop longtemps). Depuis, j'ai toujours vu d'excellents avis sur ses romans donc j'avais hâte de plonger dedans à mon tour.
Alors, comment dire... Ce livre, je l'ai bouffé, littéralement (ou presque). J'ai lu les 200 premières pages en 3-4 jours car j'avais peu de temps pour lire et les 400 dernières en une journée. Voilà. L'écriture est hyper addictive, c'est un vrai page turner.
J'ai adoré l'histoire, policière bien sûr mais avec des touches de fantastique un peu partout qui m'ont tenue en haleine jusqu'à la fin. J'ai beaucoup aimé les explications qui piochent dans diverses mythologies et autres histoires gothiques et qui donnent une ambiance très particulière à ce roman. Un petit avertissement tout de même, c'est très très gore et glauque, notamment dans les premiers chapitres. C'est peut-être ce qui a ralenti ma lecture au début car je ne suis vraiment pas une habituée de ce type de roman.
J'ai bien accroché également avec les enquêteurs de l'histoire qui sont souvent pour moi le point faible des romans policiers. On n'échappe pas au personnage principal à problème mais Eva a une histoire plus originale que ce que j'ai pu lire auparavant (vous savez l'inspecteur qui a la quarantaine, qui fume, boit, est divorcé et a des difficultés de communication avec ses enfants) et on assez vite intrigué par son passé mystérieux.
Le seul point négatif que je pourrais trouver est peut-être le côté un peu too much du dénouement final. J'ai trouvé que ça manquait de subtilité par rapport au reste du livre. Mais ça n'a pas entaché mon impression de lecture très positive !
La couverture est glauquissime, pleine de promesses sanglantes et dégoulinantes, tout y est. On s’aperçoit vite que le contenu est à la hauteur des nos espérances (ou phobies, c’est selon). Les amateurs d’hémoglobine ne seront pas déçus, ça coule à flot, on patauge joyeusement dans le sang et les tripes du début à la fin. Comme on dit chez moi, ça pègue. L’horreur des crimes dont il est question est quasiment palpable, l’ambiance est terriblement bien évoquée, l’histoire est très bien construite et tient en haleine d’un bout à l’autre, les chapitres courts permettent un rythme très soutenu. Comme dans tous les (bons) thrillers on ne passe pas à côté du cliché du héros ou de l’héroïne rattrapé(e) par un lourd passé qu’il/elle se refuse à admettre, jusqu’à ce que les événements le/la mette au pied du mur. Le caractère fantastique pourra rebuter les esprits cartésiens hermétiques au genre. Tout démarre comme une enquête classique, avant de verser dans l’irrationnel, peu à peu, sur fond de folie sanguinaire et de mythologie. J’ai aimé cette nouvelle dimension illustrée par la légende (plus ou moins avérée) d’Erzsébet Bathory. Un style agréable et enlevé qui coule tout seul, des personnages intéressants et malmenés. Un bon thriller redoutablement efficace qui pourrait laisser imaginer une suite étant donnés certains détails relatifs au passé d’Eva Svärta. Mais peut-être que je m’égare et qu’il n’y aura pas de suite, hélas !
En mars dernier, j'avais lu La mort en tête, le troisième tome de la trilogie Eva Svärta. Cela avait été un gros coup de cœur, alors lorsque Sire Cédric est venu en dédicaces à Cultura Trignac, j'ai craqué pour les deux premiers tomes de la série. Je viens de terminer De fièvre et de sang, le premier opus, et quel plaisir de découvrir les prémices de la relation d'Eva et Alexandre ! Encore une fois, j'ai été emportée dès les premiers instants, ayant beaucoup de mal à me limiter à quelques chapitres pour savourer cette lecture. Cependant, le suspense étant à son maximum, on ne peut pas résister très longtemps à l'appel de ce roman riche en émotions. Je ne vous cache pas qu'il faut avoir le cœur bien accroché pour faire face à toutes les horreurs présentes dans ce tome, mais on est tellement happé par la singularité des personnages principaux qu'on ne peut finalement pas s'empêcher de poursuivre notre lecture. D'ailleurs, je vais m'empresser de dévorer le deuxième tome, pour connaître les nouvelles aventures de ce duo de choc !
Si vous n'avez pas encore découvert l'univers de Sire Cédric, je vous recommande vivement cette trilogie. Vous y trouverez une plume singulière, un suspense parfaitement tenu du début jusqu'à la fin, des personnages au caractère bien trempé qui ne nous laissent pas indifférents et surtout des intrigues très bien ficelées. Qu'attendez-vous ?
Ce fut un plaisir de retrouver le Commandant Vauvert et un plaisir de découvrir Eva Svärta (un flic albinos, déclic de mon envie de lire ce roman)
Bien-sûr, pas mal de clichés dus au registre littéraire mais l'écriture de Sire Cédric est si immersive qu'on accepte volontiers ces lieux communs.
Malheureusement, je fus malgré moi spoilée sur le mobile des criminels, je n'ai donc pas eu d'effet de surprise mais j'ai tout de même pu apprécier les mésaventures (relativement horribles) du duo de flics.
On se retrouve ce dimanche avec un auteur dont je prends chaque fois plus de plaisir à découvrir les livres. J'ai commencé par L'enfant des cimetières, avant de faire un formidable bond dans le temps dans les aventures du commandant Vauvert, avec La mort en tête. Après la courte digression de Avec tes yeux, paru tout récemment et dans lequel ne figurait aucun des deux enquêteurs fétiches de l'auteur, je me suis dit qu'il me fallait reprendre l'histoire d'Eva Svärta et Alexandre Vauvert dans un semblant d'ordre. Et me voici avec De fièvre et de sang.
Chacun de ces ouvrages délicieusement terrifiants a été dévoré en quelques jours à peine, de véritables « page turners » que j'ai souvent bien du mal à lâcher. De fièvre et de sang n'a pas dérogé à la règle. On y retrouve notre commandant Vauvert, faisant équipe avec une profileuse albinos du nom d'Eva Svärta. Tous deux mènent l'enquête sur la disparition d'une jeune fille enlevée alors qu'elle se rendait chez une amie, dans le sud ouest de la France. Grâce à l'incroyable capacité d'Eva à se mettre dans la peau de la victime, la jeune fille est finalement sauvée, ses kidnappeurs, deux frères complètement désaxés, tués, et nombre d'autres affaires similaires du même coup résolues.
Seulement voilà, un an plus tard à Paris, de nouveaux cadavres sont retrouvés, atrocement mutilés selon un mode opératoire parfaitement identique à celui des deux frères. Dès lors, tout va très très vite, et Sire Cédric nous entraîne sur ses pas dans une course folle contre le temps et la mort. L'écriture est électrique ! Glauque, malsaine, clairement dérangeante. Âmes sensibles s'abstenir, parce que certaines descriptions des corps mutilés sont à vous retourner l'estomac ! En outre, ce qui fait la particularité des romans de Sire Cédric, c'est à dire ce savant mélange de thriller et de fantastique, participe ici comme jamais à la montée de l'horreur, jusqu'à vous laisser pantelant.
Les deux héros sont atypiques, particulièrement Eva. Profileuse albinos, elle a été victime d'un tueur en série lorsqu'elle avait 6 ans, et cela l'a rendue capable de se mettre dans la tête, non pas des tueurs, mais de leurs victimes. Alexandre Vauvert est un peu plus cliché en flic désabusé qui fonce tête baissée dans les ennuis, mais ce colosse au grand cœur est tellement attachant qu'on oublie bien vite ce travers. Diablement bien construite et menée tambour battant, l'intrigue balaie de toutes façons tout sur son passage, et ce sentiment d'urgence qui s'en dégage, grâce à un style incisif, des chapitres courts et l'alternance des points de vue, nous entraîne, pauvres lecteurs, comme fétus de paille dans un vent violent.
Efficace et haletant, De fièvre et de sang est un excellent thriller fantastique, à côté duquel il ne faut pas passer.
Eva Svärta, commandant au SRPJ au 36, Quai des Orfèvres à Paris, et Alexandre Vauvert, commandant au SRPJ de Toulouse vont être amenés à faire équipe ensemble pour traquer "Les vampires de la montagne Noire". Les Salaville, deux frères, deux redoutables tueurs en série ayant commis dans leur ferme des meurtres atroces. Eva et Alexandre vont réussir à les neutraliser, seulement ils partagent tous les deux un sentiment étrange, comme si l'affaire était loin d'être réellement mise en lumière et réglée. Tous deux retournent pourtant à leurs postes respectifs, elle à Paris, lui à Toulouse, et un an plus tard, ça recommence...
C'était une lecture terriblement haletante et addictive, où l'angoisse monte crescendo et ne vous lâche plus jusqu'à la fin. Le fait d'alterner les points de vue et d'être dans l'esprit des différents personnages (les victimes, les tueurs, Eva, Alexandre, Erwan...) a rendu ma lecture encore plus réaliste. J'avais l'impression d'être moi aussi embarquée dans l'horreur. C'était vraiment effrayant mais fabuleux aussi car finalement je n'ai pas fait que lire cette histoire, je l'ai aussi vécue.
J'ai trouvé ce couple d'enquêteurs principal vraiment attachant. Eva, la trentaine, est albinos et cache un lourd et terrible passé dont elle ne parle pas. Elle fonctionne à l'instinct et est dotée d'un don d'empathie qui frôle l'irrationnel. Ce sens particulier rend ses techniques de profilage redoutablement efficaces mais la font aussi passer pour un monstre aux yeux de certains de ses collègues qui ne la comprennent pas et de ce fait la dédaignent.
Alexandre est un colosse de 2 mètres, un homme fort, déterminé, engagé et compétent lui aussi dans son travail. Ses méthodes directes, parfois expéditives et ses manquements aux protocoles de police lui attirent des ennuis mais il n'en a que faire. Seules comptent à ses yeux l'affaire, la protection de potentielles victimes ainsi que celle de son équipe.
Nous sommes entraînés à leurs côtés à travers toute la France, de Paris à la Région Midi-Pyrénées où le tueur en série sévit. Honnêtement le fait de connaître moi-même certaines villes décrites m'a fait froid dans le dos et ma lecture en a été que plus oppressante encore. Ce sentiment de malaise m'a poursuivie tout du long et je ne verrai d'ailleurs plus les bergeries de l'Aveyron de la même façon à présent. (...)
Quand j'ai commencé à lire De fièvre et de sang, je ne pensais pas que je me retrouverais à manger plus de 600 pages en deux jours, et à ajouter toute la bibliographie de Sire Cédric dans ma wishlist. Et pourtant, c'est ce qui vient de se passer...
On suit le commandant Vauvert et une profileuse albinos, Eva, qui enquêtent sur la disparition de plusieurs jeunes femmes. Ils retrouvent la dernière victime, Eloïse Lombard, chez ses kidnappeurs, les frères Salaville. Ils retrouvent également sur place une vingtaine de cadavres pendus par les pieds, le visage arraché, toutes vidées de leur sang. La maison est pleine de pentacles et noms de divinités/démons tracés au sang sur les murs et le sol. Après la mort des frère et six mois d'enquête, l'affaire et classée. Jusqu'au jour où les meurtres recommencent de plus belle, pile un an après le sauvetage d'Eloïse...
Ce roman est un véritable page-turner! L'écriture fluide de l'auteur y est pour beaucoup, mais aussi l'ambiance angoissante qui plane sur l'histoire, et qui ne nous lâche pas jusqu'au bout! Entre paranormal et ésotérisme, Sire Cédric nous fait passer par tout un panel d'émotions très rapidement.
De plus, l'histoire est extrêmement bien menée! Rien, aucun indice qui pouvait nous faire deviner la fin avant nos personnages principaux, un thriller vraiment bien ficelé en somme. Mon seul regret, c'est qu'on en apprenne pas plus sur le passé d'Eva et Vauvert. Autant celui de notre profileuse est un minimum expliqué (même si je trouve ça trop peu), celui de Vauvert nous est totalement inconnu.
Mais malgré ça, j'en ressort extrêmement satisfaite, et très contente de cette lecture, c'est un coup de cœur pour moi. Vous aimez les romans horrifiques et les thrillers bien ficelés? Alors De fièvre et de sang est fait pour vous!
Eva Svärta et le commandant Vauvert mettent hors d'état de nuire deux frères, les frères Salaville. Ils ont perpétrés une série de crimes tout à fait hors du commun dans leur brutalité. Alors que la future "victime" est sauvé in-extremis, la police découvre des scènes macabres inimaginables dans les lieux qui abritaient les deux monstres. Deux ? Pas si sûr... Un an après, les meurtres recommencent...
Troisième Sire Cédric que je lis, et pas des moindres. Mon dieu, quelle claque ! Difficile de mettre ma lecture sur "Pause". Le fait que les chapitres soient très courts n'aident en rien (Allez, plus que trois pages...! Oh? Le prochain chapitre ne fait que 5 pages... Bon allez, après c'est tout!)
J'appréciais déjà le commandant Vauvert dans "L'enfant des cimetières", et ça continue... voire, ça s'intensifie. J'ai découvert Eva Svärta, la flic albinos, complétement allumée et déterminée, qui fait une forte impression dès les premiers chapitres. J'ai hâte de la retrouver. Sire Cédric n'a pas fait d'elle un "Terminator" (beaucoup seraient tombés dans ce piège), et mets sur un même plan d'égalité ses forces et ses faiblesses. J'ai hâte de voir comment la relation de ces deux personnages va évoluer.
Au niveau de l'histoire en elle même... Et bien... Elle est juste, géniale. Sombre autant qu'on le souhaite, haletante, plausible dans son irrationalité, magistrale, effrayante, prenante.
Jusqu'à maintenant, j'aimais les livres de Sire Cédric. Maintenant, je suis fan.
Comme tout bon thriller, celui-ci ne déroge pas à la règle du début à la fin on est tenu en haleine, impossible de le lâcher. Sire Cédric propose un thriller fantastique, aux personnages hors normes, Eva Svärta profileuse albinos est une écorchée vive, tout au long du livre on sait qu'elle à été victime d'un traumatisme dans son enfance, la progression du livre nous révèle au fur et à mesure ce qui c'est réellement passée lorsqu'elle était enfant, et pourquoi elle a de tels agissements aujourd'hui... même ce traumatisme n'est qu'une invitation à poursuivre la lecture pour connaître le fin mot du cas d'Eva.
On comprend rapidement que les faits et le meurtrier dépasse tout ce que l'on peut imaginer ? Comment est-il possible de retrouver du sang dont l'ADN correspond à des gens bel et bien morts et ce depuis un assez long moment pour que ce sang ne puissent venir d'eux ? Les créatures qui apparaissent sont immortelles et d'où viennet-elles ? Les miroirs semblent être vivants et vous épier ! Autant d'interrogations qui semblent irréelles, est-ce des hallucinations collectives ? Du début à la fin, le lecteur n'a qu'une envie c'est de connaître l'issue finale... encore un pavé que j'ai dévoré... Lecture à conseiller aux amateurs de thriller fantastique.
Un amalgame insolite de la fameuse légende d'Élisabeth Bathory (Comtesse sanglante), la sorcellerie et l'hallucination. Dans ce livre, la tueuse en série, n'est qu'une femme atteinte de progéria, qui croit avoir trouvé son remède dans le sang de ses jeunes victimes. L'état de meurtrière aussi bien que celui de commandante (femme albinos! en charge de ce dossier criminel) nous fait pitié. En effet, elles sont les femmes blessées, frustrées et plus que tout furieuses, soit par les injustices sociales soit par l'accablement biologique. Elles cherchent à se venger chacune à sa manière, l'une en aidant les victimes, l'autre en se baignant dans le sang...
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Ultra sanglant, inutilement racoleur et totalement invraisemblable. Dommage parce que la première partie est extra, avant que ça ne se mette à délirer, le rythme est excellent et le duo d enquêteurs est vraiment chouette. Pourquoi gâcher tout en exagérant à ce point ? Si je lis la suite, c est uniquement pour ce couple atypique, en espérant qu il se calme sur le surnaturel de bas étage.
Mon premier Sire Cedric, un bon thriller avec une touche de fantastique. Il y a juste certains passages qu'il ne faut peut être pas lire en mangeant, l'auteur est apparemment friand de descriptions détaillées bien sanguinolentes, âmes sensibles s'abstenir donc.
J'ai pris mon temps pour manger le livre car entre le 22/7 et 30/07, je suis restée plusieurs soirées sans lire ^^.
Je viens donc de terminer le second roman de Mr Sire Cédric, qui correspond à la première enquête commune entre le Cmdt Vauvert (Toulouse) et le Cmdt Svarta (Paris). (j'ai fini les bouquins parus chez Pocket).
Le moins que l'on puisse dire, cette histoire ne risque pas de faire de l'anémie lol. C'est un véritable "bain de sang" de la première à la dernière page. Nos deux policiers "justiciers" mettent fin aux agissements des frères Salaville surnommés par les médias "les vampires de la montagne Noire". "Sans le savoir", ils stoppent de manière "temporaire" le rite. Je mets des guillemets pour "Sans le savoir", car au fond d'eux, Eva et Alexandre sentent que "ce n'est pas fini". En effet, les meurtres reprendront 13 mois plus tard sur Paris. La reprise de l'enquête aboutira au kidnapping et la torture du Cmdt Svarta. Et bien sur, ils trouveront la personne qui est réellement derrière les assassinats mais l'arrêter ne s’avérera pas aussi facile. Alexandre et Eva réussissent à sauver, in extremis, une victime. Par la suite, on apprendra que son père et elle ont déménagés sur ..... Paris.
Franchement, pour avoir lu Chattam et Thilliez et d'autres auteurs "thriller" étrangers, je ne ne suis pas ... Comment dire "effarouchée"? Mais là, je reconnais que ce que font subir les frangins et "Saint Claire", c'est dégueulasse et réellement sadique! Entre couper les membres et arracher les visages des victimes choisies, pour le rituel de l'autre frappa-dingue, qui sont encore en vie oO'. A l'histoire "physique", il faut bien sur saupoudrer le tout du surnaturel qui renforce l'horreur.
Plus de détails:
- Les frères Roman et Claude Salaville sont 2 gars complètement hors-service niveau cerveau. Le psychiatre, lui-même, les décrit comme des animaux. Encore que, les animaux ne font pas ce que ces tarés ont fait de leur vivant! Oui, je précise de leur vivant car même "morts", ils frappent toujours mais sous une apparence différente (loups noirs aux yeux rouges). Une apparence qui est très liée à l'histoire d’Elizabeth Bathory.
- Pourquoi "Elizabeth Bathory"? Lors de l'un des internements en milieu psychiatrique, les frangins font la connaissance d'une jeune fille " Judith Saint claire" qui souffre d'une maladie rare et incurable. La maladie de Progéria ( vieillissement des cellules). Par curiosité, j'ai tapé un oeil sur le net pour avoir plus d'informations. Cette "folle" se met en tête qu'elle peut guérir via un rituel de vieille magie noire oublié de tous depuis des millénaires => Sacrifier 70 jeunes filles, faire couler des larmes et cris de sang en faveur d'anciens Dieux noirs. (En Hongrie, des siècles auparavant, la comtesse Bathory ne supportant pas de vieillir et de s'enlaidir se décide à tuer des centaines de jeunes filles vierges afin de les vider de leur sang et .. d'en remplir sa baignoire ... son idée de la fontaine de Jouvence personnelle. Le sang représente la vie.)
Saint-Clair réussit le sacrifice des septante jeunes filles et pourrait enfin jouir de la jeunesse et beauté éternelles ... mais Eva lui mettra des bâtons dans les roues une bonne fois pour toute. Le plus "ironique", elle le fait avec l'aide des Dieux ténébreux et les esprits des victimes qui réclament "vengeance". C'est l'effet boomerang qui revient dans la tronche à Saint-Claire.
- Eva. Via les lectures des autres romans, j'ai su ce qui lui était arrivé à sa sœur jumelle " Justyna" et elle à l'âge de 6 ans. Ici, on a toutes les explications via les flashs back qu'Eva revit lors de sa détention.
Pour le surnaturel:
- Le rite et ses sacrifices et les autres actes de magie noire. - Les loups qui représentent les victimes. - Les miroirs qui servent de moyen de transport aux loups et de "vision" à la dingue. - Le fantôme de Justyna, qui aide Eva (et lui force à se souvenir de leur meurtrier qui est leur père). - Le masque de porcelaine. - Les dons des deux policiers :)
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Présentation De fièvre et de sang de Sire Cédric Eloïse, 16 ans, sait qu’elle va mourir. Elle a perdu beaucoup de sang. Elle a été enlevée par Claude et Roman Salaville qui ont la trentaine et vivent seuls, reculés de tout.
Alexandre et Eva travaillent ensemble sur une enquête. Ils se ressemblent. Ils ont un passé fait de ténèbres.
Avis De fièvre et de sang de Sire Cédric Pourquoi laisser passer autant de temps avant de me plonger dans les anciens romans de Sire Cédric, maintenant Cédric Sire ? J’en avais acheté pas mal lors d’une séance de dédicaces et ils m’attendent sagement dans ma PAL. Je me plonge, très vite, dans chacune de ces dernières parutions. Et il me tarde le prochain. J’ai eu la chance de le rencontrer, à nouveau, à Quai du Polar à Lyon. J’ai acheté, même si j’ai le grand format, le format poche de son dernier roman, juste pour avoir la dédicace. Et puis, c’est un tel plaisir d’échanger quelques mots avec lui, de le rencontrer à nouveau. Un romancier très proche de ses lecteurs, que ce soit sur les réseaux sociaux ou en face à face. Bref, un petit résumé qui annonce que j’ai aimé, adoré, le roman que j’ai lu et retrouvé avec délices le commandant Alexandre Vauvert qui travaille à Toulouse et qui a fort à faire avec toutes ces morts horribles. En cela, il est assisté d’une jeune femme, commandant à Paris et profiler, Eva.
Alexandre et Eva mettent le point final à une enquête en donnant l’assaut dans une ferme isolée. Des jeunes filles ont disparu. Ils découvrent un véritable charnier avec du sang partout, de la peau… Ils semblent avoir des hallucinations en voyant des sortes de loups. Pour eux, ces deux hommes, aux nombreux problèmes psychologiques, ont semé la terreur pendant plus d’un an. Mais Alexandre et Eva ont comme un goût d’inachevé. Après cette enquête, ils prennent des nouvelles l’un de l’autre mais ils ne se disent pas tout.
Le temps passe et Eva, après une absence de deux mois, mise en congés forcés, revient au travail suite à la découverte d’un corps. Si elle a la confiance de son chef, il lui adjoint un commandant avec qui elle ne s’entend pas. Cette nouvelle enquête fait ressurgir des souvenirs pas si vieux que ça, mais également des souvenirs de plus de 20 ans. Eva cache un sombre secret. Elle ne s’est jamais confiée à quiconque même si ses collègues en connaissent quelques bribes. Sur sa route, sur cette enquête, elle va retrouver Alexandre.
Une enquête menée tambour battant, un véritable thriller qui mêle psychologie mais aussi surnaturel. Une très grande maîtrise dans l’écriture, une très grande maîtrise au niveau des explications et une énorme recherche sur les mythes qui peuvent faire froid dans le dos. Avec son grand sens du détail, l’auteur va vraiment au fond des choses, notamment dans l’étude des caractères de ses personnages. Alexandre et Eva sont deux grands accidentés de la vie. Ils ne vivent que pour leur travail. Le premier est insomniaque depuis ses plus jeunes années. La seconde cache un drame familial qui va ressurgir au fur et à mesure de l’enquête. Va-t-elle arrêter d’éprouver de la culpabilité envers ce qui s’est passé et le fait qu’elle n’a pas su protéger sa soeur ? Qu’ils soient blessés, suspendus, Alexandre et Eva doivent sauver des femmes, arrêter cet assassin et tenter de comprendre ce qu’il se passe, même si cela dépasse l’entendement et au mépris de leurs vies. Eva, très professionnelle et reconnue dans son métier, se met à la place des tueurs. Par contre, lorsque cela concerne des enfants, elle voit rouge comme ses yeux, qu’elle doit absolument protéger car la particularité d’Eva, entre autre, est qu’elle est albinos.
Avec Sire Cédric, il ne faut vraiment pas avoir peur de ce qui se passe dans ses romans. L’estomac et le coeur doivent être bien attachés. Les souffrances subies font mal au lecteur, mais de mon côté tout est bien passé. C’est également très visuel.
Vous l’aurez compris, ce roman est un coup de coeur pour moi.
„Gorączkę i krew” Cedrica Sire czytałam w gorączkowym szale i krew nie raz mi się zagotowała. Jakie to było dobre! Nie spodziewałam się, że książka aż tak mnie zaskoczy. Sire stworzył trzymający od pierwszej strony kryminał, do którego wkraczają elementy fantasy. Do tego tak pięknie ze sobą to współgra.
Książka rozpoczyna się brutalnie, nie ma tutaj owijania w bawełnę i od razu jesteśmy świadkami porwania szesnastoletniej Eloise Lombard. Dziewczyna padnie ofiarą dwóch braci Romana i Claude’a Salaville, którzy na swoim koncie mają już śmierć wielu młodych dziewczyn. Do makabrycznych morderstw dojdzie na południu Francji, gdzie schwytane a później zmasakrowane ciała będą stanowiły część krwawego rytuału. Dlaczego bracia poćwiartowali ciała kobiet i spuścili z nich krew? Dlaczego żadna z nich nie ma twarzy? Do akcji wkroczą policjanci – miejscowy policjant Alexandre Vauvert i mieszkająca w Paryżu Eva Svarta. Gdy wydaje się, że zagadka została rozwiązana, to kilka miesięcy później do identycznej zbrodni dojdzie w Paryżu. Na jednym morderstwie oczywiście się nie skończy. Do akcji ponownie wkroczy komisarz Eva. Kobieta nie zdaje sobie sprawy z tego, że sama znajdzie się w śmiertelnym niebezpieczeństwie. Czy uda się rozwiązać zagadkę, zanim zginą niewinne kobiety? Co wspólnego z krwawym rytuałem ma postać Elżbiety Batory? Czy ktoś chce otworzyć morderstwa przez nią popełniane?
Strzeżcie się luster, w których odbijają się oczy wilka! Cóż, nie będę ukrywać, ale książka „Gorączka i krew” wciągnęła mnie już na samym początku i napięcie nie opuszczało aż do ostatniej strony. Zagadka jest skonstruowana w intrygujący sposób i gdy już wiemy, jak się zakończy historia brutalnych morderstw, to autor serwuje nam taki zwrot akcji, że nasza teoria upada. Nigdy nie wpadłabym na to, że pojawią się tutaj elementy związane z magicznymi rytuałami. Czy jest to możliwe, żeby we współczesnym świecie działała magia krwi? I jaka jest tutaj rola wilków? Nawiązanie do historii Elżbiety Batory, która by przeciwdziałać starzeniu się, kąpała się w krwi, jest tutaj mistrzowskie.
Bardzo ciekawą postacią jest sama kryminolog od portretów psychologicznych – kobieta albinos Eva Svarta. Jej przeszłość jest owiana tajemnicą, wiemy tylko to, że w młodości przeżyła ogromną traumę. Co się stało? I czy demony powrócą? Autor nie oszczędza czytelnika, opisy są tutaj brutalne i szokujące, nie tylko policjantów zbierało na wymioty. Lubię wątki fantasy, ale jeszcze z takim wątkiem nie spotkałam się w żadnej książce. Otwórzcie swój umysł, bo to, o czym przeczytacie, nie będzie miało rzeczywistego wyjaśnienia.
Debiutancka książka francuskiego autora zasługuje na uwagę. Mam nadzieję, że autor nie poprzestanie tylko na tej książce, ale pociągnie wątek komisarz Evy w jeszcze kilku częściach. Czy też w nich będą wątki fantasy? Zobaczymy, na razie polecam „Gorączkę i krew”, gdzie trupów nie brakuje, krew się leje, a po podwórku biegają wilki o czerwonych oczach.
Cédric Sire est, pour moi, une valeur sûre. Je sais que lorsque je vais ouvrir l’un de ses livres, je vais l’apprécier. Et c’est avec plaisir que j’annonce que malgré une gigantesque reading slump et un manque complet d’intérêt pour la lecture, j’ai aimé “De fièvre et de sang.” Une valeur sûre je vous dit !
J’ai avalé les 300 premières pages en une soirée, comme toujours avec cet auteur dont je dévore les romans plus que je ne les lis. Et puis soudain, toute cette intrigue autour du personnage d’Eva… C’est à ce moment-là que j’ai eu du mal à continuer ma lecture, ou plutôt à me forcer à me poser pour plus d’une petite demi-heure peu productive (ma vie personnelle étant probablement en grande partie responsable).
Je sais bien qu’Eva est le personnage central de cette série de polar, mais ça n’a pas accroché avec elle. Bien que j’aime l’idée de sa backstory, je n’ai aucun atôme crochu avec elle que je trouve… peu charismatique ? Difficile à expliquer, pas sûre de ce que j’en pense ou si ce n’est pas juste une histoire de reading slump, à confirmer avec la suite de la série.
Mis à part tout ce passage concentré sur le petit problème que rencontre Eva, j’ai aimé “De fièvre et de sang.” Le lore autour de notre tueur en série est formidable puisqu’il s’inspire d’une de mes criminelles favorites de l’Histoire. Tout ce côté mystique a été difficile à cerner au début (est-on vraiment sur du fantastique ou y a-t-il une explication rationnelle à ces phénomènes ? Je me suis triturée le cerveau pendant un long moment ce qui m’a souvent sortie de ma lecture…), mais une fois que j’ai compris de quoi il en retournait, j’avais hâte de retrouver notre tueur.
Je pensais initialement donner 3,5 étoiles à ce roman, puis la scène finale a débutée… j’ai sué, j’ai arrêté de respirer et je me suis retrouvée la bouche bée devant ces visuels tellement impactants, cette atmosphère lugubre, paniquée, violente, que je voyais défiler devant mes yeux. J’ai été incapable de prédire la fin qui m’a tout bonnement laissée sur le cul…
Pour cette scène finale mémorable et tous les frissons qu’elle m’a apportée, 4 étoiles.
La vache ! ça c’est un livre comme je les adore ! Je l’ai dévoré !
Dès les premières pages on est plongés dans l’enquête avec cette gamine enlevée et qui ne sait pas ce qui va lui arriver. Je n’ai pas pu lâcher jusqu’à ce qu’on sache ! Ensuite l’histoire entre dans sa seconde partie et si le début ressemble à du serial killer de base (mais bien hard quand même), la suite nous emporte dans un thriller fantastique qui fait froid dans le dos !
Eva est un personnage vraiment intéressant, avec un lourd passé qu’on a très envie de découvrir et sur lequel le voile sera levé au fur et à mesure. Disons que cette nouvelle enquête va la forcer à se souvenir. Alexandre est un Vauvert est top aussi ! J’adore sa ténacité et cette sensibilité sous les muscles. Ils forment un super duo !
En plus de l’enquête compliquée, l’auteur nous fait (re)découvrir un univers particulier : gothique, et sans clichés. J’ai apprécié. Tout s’emboîte parfaitement, on a aucun répit et les nerfs sont mis à rude épreuve. A un moment je tenais le livre d’une main et était à deux doigts de me bouffer les ongles de l’autre !
C’est un roman intense ! J’ai toujours peur du fantastique dans les thrillers mais là c’est menu d’une main de maître ! Sire Cédric est un fan de Stephen King et je suis certaine que son mentor serait d’accord pour dire qu’il assure un max dans ce genre !
Donc voilà un second roman de Sire Cédric qu’i m’aura foutu des frissons ! En plus, comme je lui ai dit, une partie se passe là où je vais emménager, je vais flipper maintenant ahah Evidemment, il m’a donné envie de le lire, encore ! Prochaine fois que je le vois, je prends les deux autres tomes ♥
Livre du moment "De fièvre et de sang" de Cedric Sire. De fièvre et de sang m’a happé dès les premières pages. J’ai été séduit par le rythme soutenu, la noirceur de l’ambiance et le style incisif de Cédric Sire. L’auteur construit un polar efficace, mené tambour battant, où l’on ne s’ennuie jamais. L’enquêtrice Eva Svärta, avec ses zones d’ombre et sa personnalité tourmentée, m’a particulièrement marqué. Cependant, au fil du récit, j’ai été de plus en plus réservé face à l’orientation ésotérique que prend l’intrigue. À mon sens, les éléments surnaturels, bien qu’originaux, finissent par affaiblir la cohérence du scénario. L’enquête policière, pourtant solide, se retrouve parasitée par un imaginaire mystique un peu envahissant. Ce glissement vers le fantastique m’a parfois sorti de l’histoire. En définitive, j’ai apprécié ce roman pour son intensité, sa noirceur et la maîtrise narrative de l’auteur. Mais j’aurais préféré qu’il reste ancré dans un réalisme plus brut. Le mélange des genres, s’il peut séduire, m’a ici laissé un sentiment d’inachevé.
Voilà un roman duquel j'attendais beaucoup. J'ai souvent entendu parler de Cédric Sire et les critiques étaient plutôt dithyrambiques.
Si j'ai bien accroché à l'histoire au départ, il en a été tout autrement à partir de la moitié du roman. Je n'ai pas du tout apprécié la tournure "fantastique" qu'a pris le récit. Je reconnais toutefois qu'il s'agit d'une appréciation très subjective et en aucun cas je ne remets en question la créativité et le talent littéraire de l'auteur. Il s'agit simplement d'un type d'intrigue auquel je n'adhère pas, qui plus est lorsqu'il s'agit d'un roman policier ou d'un thriller. Malgré tout, je suis allée jusqu'au bout de ma lecture, même si, je dois l'avouer, j'ai lu le dernier tiers du roman en diagonale...
Je ne saurais dire à l'heure actuelle si je tenterai à nouveau un Cédric Sire. Semble-t-il que d'autres romans de l'auteur ne contiennent aucun élément fantastique. À suivre au cours des prochains mois!
Premier contact réussi pour moi avec Cédric Sire/Sire Cédric. J'ai passé un bon moment avec ce thriller teinté de fantastique qui change du polar pur et dur à la Franck Thilliez (mon auteur préféré). L'auteur propose dès le début un personnage principal original : une sorte de profileuse albinos au passé trouble et à la personnalité sans concessions. Le récit est dès le début très glauque et très noir. Le rythme a un peu de mal à décoller. L'auteur passe beaucoup de temps dans la tête de ses personnages, à nous présenter leur psyché et à développer leur personnalité. Mais une fois qu'il appuie sur l'accélérateur, on ne s'arrête plus et on fonce droit dans le mur à pleine vitesse. La plume est addictive, le récit prends une tonalité fantastique et horrifique qui m'évoque Graham Masterton. Cédric Sire est terriblement bon dans cet exercice. La fin est réussie et je suis convaincue que je relirai cet auteur.
Pour public averti. Sire Cédric égale à lui même dans l'ambiance cauchemardesque. Une intrigue menée tambour battant qui comme il est de coutume chez cet auteur vous pousse à ne plus lâcher le livre tant que la lecture n'est pas achevée. J'ai beaucoup apprécié l'entrée direct dans le vif du sujet (sans mauvais jeu de mots) plus rapide à mon sens que dans Vindicta. Je lirais le second tome des aventures d'Eva Svärta très prochainement avec grand plaisir. Pour résumer un condensé de roman policier de gore et une goutte de Metal sont les ingrédients de ce roman noir (pour ne pas dire rouge sang.) qui vous emmèneront au bout du cauchemar pour notre plus grand plaisir. Fan de films d'horreur vous serez à la noce.
le premier Cédric Sire que je lis. est ce que j'ai aimé ? oui. à partir du chapitre 60 ça s'emballe, et ça devient un bon page turner. Après, perso, je n'aime pas quand c'est un mélange de surnaturel sur fond d'enquête policière et de meurtres. Ou il faut que je sois complètement dans du surnaturel avec des fantômes, sorcières et autres entités paranormales, soit il faut que ce soit plus réel que la présence de ma belle-mere à Noël. Donc là pour le coup, ce mélange de meurtres horribles des frères Salaville au service de cette entité surnaturelle qui prend vie au travers d'un miroir. mouef..... à noter qu'il fait parti d'une trilogie, reprenant ce duo d'inspecteur.
Sire Cédric a trouvé son personnage avec le flic Vauvert et j'ai pu retrouver cette ambiance de thriller fantastique - voire ésotérique -, flirtant avec le macabre. Une histoire bien menée, bien écrite dont on aime tourner les pages. L'auteur joue avec nos nerfs, avec les différents personnages et les ressorts de l'intrigue.
It was not THAT bad, but... okay, it was. I mean I ddin't expect this book to be unputdownable but c'mon, it is not even run-of-the-mill book. My first thought about the plot was "disgusting" and the last one was the same. This book has no one (1) character I liked and yeah, I read most of this in 2 days but it was like drinking a bitter medicine at a clip. Ugh.
Des flics borderline comme on les aime, des crimes sanglants, de nombreux rebondissements, une enquête sur les chapeaux de roue … aucun doute, Sire Cédric ait y faire pour tenir ses lecteurs en haleine !