Wilfred vend des chemises dans un grand magasin de New York. Mais en marge de cette existence monotone, il mène une vie de bâton de chaise. Cependant le jeune homme a la foi, et là est son drame: comment concilier la chair et l'esprit?
Chaque homme dans sa nuit est l'aventure d'une âme qui se cache, se fourvoie et se sauve, une éducation sentimentale où le coeur a le dernier mot, parce que l'amour n'est pas seulement une affaire de lit. A l'arrière plan, il y a les paysages de l'Amérique et la ville, New York, où l'auteur a brouillé les pas de ses souvenirs dans les itinéraires du rêve.
" C'est après avoir écrit le mot fin au bas de la dernière page que je me suis interrogé sur le sens de ce long récit, écrit Julien Green, car il me fallait trouver le titre, que je n'avais pas encore découvert. Un vers de Victor Hugo, dans un poème relu par hasard, me sembla résumer le roman: " Chaque homme dans sa nuit s'en va vers la lumière... " ".
What sounds like a good idea turns out to be a religious tract aimed at our moral edification and fitted out with the trappings of a novel. The dreary account of one character's homosexuality and the self-hatred it might propagate among gays living in the sixties might be considered quite an achievement for this book, but the author gives us a two-fer: The straight protagonist dies a perfectly quick and horrible death from a terrifying sexually transmitted disease. I can only imagine Julien Green's glee when AIDS hit a couple of decades later. You see what happens when we fall away from the Church, kids?
Apología católica, que aunque bien escrita, la verdad es que es infumable. Hay momentos interesantes, pero le pongo tres estrellas por cierta calidad narrativa. Odio esta paranoia y obsesión casi esquizoide del pecado. Aquí es insoportable y asquerosa. Hasta el final mantienes la duda sobre qué tinte marca la novela, pero el final, ridículo, te lo deja claro. Al final, detrás está la salvación y el pecado. Sinceramente, no sé si le daré otra oportunidad a otra de sus novelas.
J'ai beaucoup aimé ce livre. Je l'ai acheté dans une librairie ancienne, simplement parce que le titre me plaisait et j'aime bien découvrir des livres par lesquels j'ai été attirée sur le moment. Le personnage de Wilfred est l'un des personnages les plus complexes et mieux construits que j'aie rencontré. Il est humain. On voit ses qualités, ses doutes, ses peurs, mais surtout sa foi et ses désirs. Le thème de la chrétienté et celui du désir sont très bien abordés. Les doutes, les difficultés liés à ceux-ci sont très bien exposés et on s'attache beaucoup aux personnages. Je vous le conseille vivement
Another book that I had to throw aside. The beginning started off really well and I had even thought maybe I would like it, but my attention dwindled as I read on and eventually I found it not worth my time anymore. I can't feel any sympathy for Wilfred, and I think you can make a novel about religion without having all the characters talked about religion all the time. For 80% of the conversation was about religion, having and losing faith and it sounded so pretentious, so fake, unnatural, couldn't be executed more poorly.
bibliographie complémentaire le journal de Green parsemé d’orgies au presbytère (dans le roman se manifeste sous la forme ténue d’un carrousel de frustrations)