Une histoire dingue où Zéphyrin, le lycéen, tombe raide amoureux d'une fille née à l'orée du XVIIe siècle et dont le portrait se trouve au musée du Louvre. Jusqu'à présent, tout a roulé pour Zéphyrin. Le petit appartement à Montmartre avec sa mère, les copains, le lycée. Dans l'ensemble, la vie est belle et sans secousses.
Jusqu'à ce que " Supertanker ", la prof d'art, organise une visite au Louvre. Zéphyrin, que les primitifs italiens ne passionnent guère, quitte le groupe, entre au hasard dans une salle et, là, sa vie bascule.
Est-il possible qu'un garçon né en 1995 tombe en un dixième de seconde raide amoureux d'une fille ayant vu le jour au début du XVIIe siècle et dont le portrait se trouve devant lui ? Et surtout, qu'est-ce qui explique cette blessure soudaine, ce sang qui coule à son bras ?
Aidé par un flic perplexe et un vieux savant, va-t-il éclaircir le mystère de la seconde chance ? Celle qui est donnée à ceux qui se sont manqués dans une première vie.
L’un des premier compliments que je peux faire à ce livre est qu’il est très intéressant et très surprenant, l’histoire est très original, peut-être un peu trop loufoque, surtout dans l’explication mais j’en reparlerai. Le portrait de Jacob van de Johnen à l’aire très jolie et très bien d’écrit, il est quand même le centre de cette histoire bien qu’il n’existe pas en vrai, j’aurai aimé que cette Elizabeth D soir basé sur une vrai personne ou un vrai tableau mais bon ce n’est qu’un détail et puis au contraire le fait que tout sorte de l’imagination de l’auteur est quelque chose de plutôt impressionnant. J’ai beaucoup aimé les retournements de situation, tout au long du livre j’ai été impressionné comme, la fille du tableau « encore » vivante aujourd’hui, cela entraîne un jeux de piste intéressant et Firin a de très bonnes réflexions ainsi que le photographe. J’ai beaucoup de mal à être surprise que ce soit dans des livres ou des séries mais dans ce livre je l’ai beaucoup été, très appréciable. Je n’ai pas apprécié que le protagoniste relativise autant après l’échouement de ses pistes pour retrouver la fille, c’est une réaction humaine donc cela est censé nous aider a s’identifier au personnage mais ça n’a pas fonctionné pour moi, j’aime la détermination et là il a abandonné trop vite a mon goût mais elle heureusement il y a eu un des retournements de situation que j’aime tant et c’est elle qui l’a retrouvé. Zéphyrin part dans le 49 et le 44 endroit que je connais très bien alors lorsqu’il parlait des décors qu’il voyait je reconnaissais et c’était un plaisir. J’aime les compliments que fait Zéphyrin, l’auteur utilise de belles tournures de phrases pour décrire Elizabeth. Le gros point négatif est l’explication plutôt bancale, j’ai eu du mal au début avec ce chercheur mais bon l’auteur a réussi à nous faire avaler son explication qu’un peu trop philosophique pour moi. Tout le passage de l’explication était je dirais pas ennuyeux mais pas très agréable non plus. J’ai beaucoup aimé la détermination de Laurence ( fille du tableau, nouvelle Elizabeth ) même si ce n’est pas en accord avec le type du livre qui est le journal de Zéphyrin, j’aurai aimé un de ces points de vue mais je comprend que ça aurait été inadapté et étrange dans le déroulement. Mais elle a aussi beaucoup de logique et a eu une bonne réflexion pour le retrouver. La mère de Zéphyrin, Jocelyne, premièrement je n’ai pas compris pourquoi il l’appel ainsi ( par son prénom ) il n’y a pas d’explication, c’est peut-être pour que les lecteurs sache de qui il parle mais un simple mère ou maman aurait été compréhensible. Bref, deuxièmement je trouve que ce personnage n’est pas assez développé, elle a l’air d’avoir une histoire et un caractère mais l’auteur nous l’a décris que d’une seul façon : une professeure un peu stricte mais touchante. J’aurai apprécié qu’il développe son personnage car l’histoire avec le père de Firin avant l’air intéressante mais elle n’en parle que très peu. Très bonne fin avec le voyage en , le retour sur les terres de leur premières vies et ce baiser rêvé par les anciens eux autant que ceux d’aujourd’hui.
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