Accroupie, toute de blanc vêtue, l'enfant regarde en silence, les yeux exorbités, le gros boucher assommer, au fond d'un grand trou noir, le bœuf ; le bœuf du petit Jésus. Le bruit du choc, la vue du sang que la mère phtisique boit à petites gorgées, colorant de rouge ses lèvres pâlies marqueront à jamais l'enfance de Mary.
Une œuvre flamboyante qui met en scène la vie rude que mena une petite fille élevée à la hussarde par son père officier dans l'armée impériale. Mary deviendra un monstre assoiffé de sang... Elle aura un compte à régler avec le «mâle» qui a tué en elle l'innocence.
Rachilde was the nom de plume of Marguerite Vallette-Eymery, a French author who was born February 11, 1860 in Périgueux, Périgord, Dordogne, Aquitaine, France during the Second French Empire and died in April 4, 1953. She is considered to be a pioneer of anti-realistic drama and a participant in the Decadent movement. Rachilde was married to Alfred Vallette.
Though it concludes with the usual catalog of depravities and decor that you'd expect from a Decadent novel, this novel has a lot more going on in terms of character, plot and language than its sensationalistic title suggests: it's a surprisingly absorbing feminist Bildungsroman, ornamented with stylish turns of phrase and surprising insights, and always run through with the twin streams of sadism and hysteria that make for a delightfully confused heroine.
Quite a page turner from the sole notable woman in the decadent clique. The first half covers the childhood of our anti-heroine to show how her vicious streak developed, and I could have managed with less of that. I didn't find her so extremely cruel as the title suggests. Flattery and coquetry that leads to a man desiring her, and then rejecting him - that seems tame by Sadean standards. Shaming her seducer and lording it over him for the rest of his life - ditto. But there are highlights that make up for these weak spots.
Un peu décevant, surtout sur la fin... Autant la première partie (l'enfance militaire de Mary) est travaillée à fond, avec beaucoup d'humour et d'empathie, autant la deuxième partie (son adolescence et sa vie de femme à Paris) est superficielle, prévisible, voire un peu bâclée. Dommage, parce qu'il y a des tableaux très réussis dans les deux !
2.5 Deux tiers de hors sujet enfance provinciale / un tiers de ts les motifs de l’Animale et Monsieur vénus recyclés en moins bien ;;; outrageusement déçue par le marketing bataillien du sang/bœuf absolument pas réinvestis À part les métaphores surexcitées et les 5 dernières pages, Rachilde my disgusting darling tu n’as pas frappé très fort cette fois
2.5/5. le debut etait sympathique, et je me suis dit que ça me réconcilierait avec la littérature classique, chose qui m'ennuie depuis mes etudes de lettres & littérature. malheureusement, l'histoire s'est vite révélée ennuyeuse, et j'ai été décu.
I can't say I liked it but I also can't say that it was an aweful book to read. I guess, it was the most disgusting thing I've ever read. Not the way the author wrote, but the story itself. I just hope only half of it really happened...