Entrez dans une ville qui n'ouvre ses portes qu'une fois par an...
Amis depuis l'enfance, Prym et Joanna ont un avenir prometteur au sein de la nation d'Erit, construite sur les ruines d'une Pologne ravagée. Leur vie bascule le jour où ils sont choisis pour être envoyés dans la Zone où rôde la Chose. Les mobilisés n'ont qu'une mission : vaincre la plus dangereuse créature jamais créée par l'Homme, ou mourir en essayant.
Dix-neuf générations ont franchi les portes de la Zone. Personne n'en est jamais ressorti.
Pour Prym et Joanna, c'est un grand honneur - un sentiment que ne partage pas Edward, persuadé que ses talents de linguiste ne lui seront pas utiles de l'autre côté du Mur. Leur arrivée tumultueuse dans la Zone lui donne raison : entre guerre de territoires et phénomènes de plus en plus étranges, la Zone est un lieu de non-droits. À l'intérieur de ces murs, le monstre n'est peut-être pas celui qu'on croit...
Autrice, podcasteuse et entrepreneure, Margot Dessenne écrit depuis l’âge de dix ans. Quand elle n’est pas derrière son clavier à tuer sans remords un pauvre personnage, elle aime partager ses univers imaginaires et sa passion pour l’écriture sur Instagram. Diplômée en marketing et en communication, elle aide également les jeunes auteurs et autrices à vivre de leur passion par le biais de son podcast, d’ateliers et de ressources en ligne très variées. Absolu est son premier roman.
Fan de dystopie de la première heure, de Hunger Games, Le Labyrinthe, ou de l'Attaque des Titans ? Ce livre est une vraie replongée effectuée avec brio dans ce genre. Découvrez l'histoire de Prym, Joanna et Ed, et leur mission pour sauver l'humanité de ce qu'elle a elle-même engendrée.
Varsovie est devenue un tombeau aux portes closes. La Chose rôde, et c'est pour éradiquer cette menace que, chaque année depuis 19 ans, 100 élites sont choisies pour aller remplir une mission : entrer dans la Zone et tuer ce Monstre.
"Dix-neuf générations ont franchi les portes de la Zone. Personne n'en est jamais ressorti."
J'ai tellement, tellement aimé du début à la fin. Je suis tombé dedans dès le prologue : mon âme d'adolescente s'est réveillée et a prit le contrôle haha, tout en ayant cette petite voix de lectrice d'aujourd'hui qui lui confirmait que ce qu'elle lisait était excellent, et je n'ai pas eu besoin d'une introduction de 150 pages pour m'en rendre compte. Introduction qui n'existe pas : ici tu rentres dans le vif du sujet directement.
Le livre est séparé en sept parties et chacune d'elle s'enchaine à merveille dans un rythme effrené et infernal qui nous tient en haleine pendant 640 pages. Quand je laissais le livre de côté, je continuais d'y penser, de faire des hypothèses des 800 mystères et dès que je le reprenais c'était pour me laisser embarquer, le souffle court et la chair de poule au corps.
On se trouve dans une société évoluée technologiquement qui se répartie en castes de capacités : les stratèges, les médics, les soldats et les diplomates. Mais une fois passé les murs de la Zone, on se retrouve sans rien dans une ancienne Varsovie en pleine guerre des gangs où chacun a son histoire et ses intérêts.
L'univers est maîtrisé et le nombre de personnages bien qu'important ne nous perd pas. Mais surtout, c'est la sensation de plonger dans l'action, d'être totalement immergé, que cet univers me permettait d'avoir. J'étais clairement dans la Zone, avec eux, avec les fleurs lumineuses partout et cette nature qui reprend ses droits, ce sentiment d'urbex à chaque habitation, ce centre commercial, ce stade, cette rivière...
Et ce qui a aussi permis cette immersion, ce sont les personnages : on suit principalement Prym, qui est devenu un de mes personnages masculin préféré ever, la poigne de fer du soldat avec un grand coeur qui donnerait tout pour sauver les siens, Joanna, une médic au grand sang froid et à l'intelligence redoutable et Ed qui pense que sa formation de linguiste ne lui sera d'aucune utilité et qui a cette voix dans la tête qui lui souffle sans cesse qu'il ne vaut pas le coup et qu'il ne fera pas le poids. Mikolaj, Zuzanna, Olimpia, Lisse, ils sont encore nombreux dont la psychologie est approfondie et pour lesquels j'ai eu des pincements au coeur, un sentiment d'injustice, l'envie d'en savoir plus.
Alors oui, le genre, le rythme, l'univers, les personnes, tout était réuni. Mais sans la plume de Margot, cela aurait-il eu la même saveur ?
C'est là qu'est la flamme d'Absolu : des chapitres pourtant assez longs qui passaient en un claquement de doigts, des heures passées à lire qui donnaient le sentiment d'être des minutes et les dizaines de post it qui sont dans mon livre qui attesteront de la beauté des phrases, des moments drôles, des moments touchants, de ceux qui m'ont brisé en deux (parce qu'ils ont existé).
L'envie de le relire alors que je l'ai fini il y a deux jours.
C'est ça la différence entre une excellente lecture et un coup de coeur. Et Absolu est un coup de coeur.
Depuis le temps que j'entendais parler d'Absolu sur les réseaux, j'avais hâte de le découvrir à mon tour ! J'avais lu les premiers chapitres sur wattpad il y a un moment, et ça m'avait envoyé de très bonnes vibes, à la Hunger Games et Le Labyrinthe, aka la belle époque des dystopies, tu connais. Eh bah, c'était tout à fait ça, avec, finalement, un côté très Divergente qui m'a happée. C'est un univers original, riche, très bien construit et fascinant que l'autrice a su construire. Je me suis beaucoup attachée aux personnages (surtout Edward, Zuzanna & Prym) (et dans cet ordre, s'il vous plait) (mais j'espère voir plus de Miko par la suite, c'est totalement le genre de personnages sur lequel je crush d'habitude oopsie). J'ai trouvé le rythme paradoxalement assez lent, avec beaucoup de descriptions pour te mettre dans l'ambiance mais, en même temps, ça bouge en fait pas mal et il y a des pointes d'action très régulièrement, avec plot twists et trahisons à gogo, on adooooore. Bref, une très belle découverte avec ce premier d'une dystopie efficace et prenante... à quand la suite ? (no pression Margot) 👀
C’est pour ce genre de roman que j’adore être une lectrice.
🔥 Alors oui, honnêtement, j’y suis initialement allée pour la nostalgie de toutes ces dystopies populaires qui ont rythmé mon adolescence. Je voulais retrouver une vibe similaire et me sentir systématique en danger auprès de personnages courageux. Et oui, Absolu c’est totalement ça. Mais c’est aussi et surtout tellement plus. C’est vraiment un chef d’œuvre à part entière qui n’a rien à envier aux sagas mondialement connues et honnêtement ? J’ai succombé dès les premières pages.
🔥 Le monde que Margot a fait naître est absolument fascinant. On sent combien elle maîtrise son world building, combien chaque détail est cohérent et combien chaque chapitre nous fait plonger un peu plus dans l’ambiance de la Zone. J’avais totalement la sensation d’y être. Chaque lieu dépeint m’a donnée des airs d’urbex d’ailleurs, c’était très visuel. Et j’ai également adoré ce contraste assez propre à la dystopie : un futur où la technologie est surdéveloppée vient se fracasser à un retour presque à l’instinct primaire, pour survivre. Inutile de dire combien c’était saisissant et là encore, effectué avec talent.
🔥 J’avoue avoir eu une appréhension avant de me lancer dans la lecture : la pluralité des points de vue. Probablement peur de survoler un peu chaque personnage sans créer de véritable attache. Mais Margot a balayé mes doutes en proposant des personnages extrêmement bien écrits. Chacune de leur personnalité est si singulière qu’il est impossible de les confondre et surtout, ils sont parfaitement imparfaits. C’est cette complexité qui m’a autant fait vibrer avec chacun d’eux. Ils ont tous quelque chose à apporter à l’histoire et je n’aurais pas voulu qu’il en soit autrement.
🔥 Évidemment, gros coeur sur Edward. Mon alter ego dans cette saga, qui a à peu près autant de capacités de survie que moi. Je l’ai trouvé particulièrement réaliste dans un monde où tout le monde ne peut pas avoir un talent inné pour le combat. Son côté plus cérébral m’a parlée, ainsi que ses angoisses. Avec ses personnages, Margot propose une très belle diversité et ça fait du bien d’apprendre à connaître un groupe aussi riche.
🔥 D’ordinaire, je suis quelqu’un qui attend la fin d’un livre pour faire le point sur mon avis mais avec celui-ci, j’ai très vite su qu’il allait me marquer au fer rouge. J’ai fait défiler les pages et cette suspicion n’a cessé de se confirmer : Absolu était en train de devenir l’un de mes nouveaux chouchous. Alors merci pour ce rythme qui tient en haleine. Merci pour ce tome 1 tellement pas introductif. Merci pour cette plume si envoûtante. Merci pour la fascination, les émotions, la peur, l’attachement, la surprise. Pour ce coup de cœur immense.
Un premier roman très prometteur qui annonce une suite encore plus dingue ! Arrêtez tout ce que vous faites : la dystopie est de nouveau dans la place !!!!
Dans Absolu, on retrouve tous les codes qui nous ont fait adorer la dystopie : un rythme rapide et maîtrisé, une multitude d’actions, des personnages hauts en couleur et des enjeux pour le moins mortels….
Entrez dans la zone a vos risques et périls les amis et surtout, n’oubliez pas qui est votre véritable ennemi…
Attention, je parle de l'histoire, donc je vais mentionner des détails qui peuvent être considérés comme de légers spoilers, mais je ne mentionne rien en ce qui concerne l'intrigue ou les personnages en tant que tels, je reste assez floue. À vous de voir si vous tentez quand même la lecture. ;)
Bon.
Je dois reconnaître que Margot Dessenne a vraiment réussi son coup de communication autour de son roman. Si vous traînez sur les réseaux de la bookosphère, c'est quasiment impossible de ne pas l'avoir vu passer. À l'origine publiée sur Wattpad, elle a su fédérer une communauté et un lectorat qui lui ont permis de se faire une place dans la bookosphère et d'attirer l'attention d'une maison d'édition avec pignon sur rue. Franchement, bien joué. Et je comprends pourquoi le pitch a attiré : on reconnaît bien les influences dystopiques des sagas hyper célèbres il y a dix-quinze ans et qui rendent toute une frange de lectorat vraiment nostalgique de cette époque. Je dois lui reconnaître aussi un projet très ambitieux, et chapeau pour avoir mené à bien chaque tome, surtout s'ils sont aussi dodus que le premier. Le rythme est aussi une des choses qu'elle maîtrise, et qui s'inscrit dans la mouvance des page-turners en YA.
Quelque part, je comprends son succès. Mais ça ne suffit franchement pas pour moi à en faire un bon roman. Même en posant mon cerveau.
Tout d'abord, j'ai eu énormément de mal avec la plume de l'autrice, trop simple et maladroite à mon goût. On sent que ça manque énormément de maturité. Il y a des métaphores sorties de nulle part, qui essaient d'évoquer de belles images mais qui tombent en fait complètement à côté, sans compter les mots utilisés à la place d'autres, et des tournures de phrases vraiment crispantes. L'abondance du on à la troisième personne du passé simple, c'est juste un enfer, ça ne passe vraiment pas pour moi en littérature. Je sais que c'est moins lourd d'écrire "on se dépêcha" plutôt que "nous nous dépêchâmes", mais en fait il y avait moyen de choisir une narration beaucoup moins lourde et scolaire... C'est un peu le rôle de l'écrivain·e... ou au moins des relectaires. Et aussi, mamamia les tics d'écriture. On retrouve toujours les mêmes expressions, et ce n'est pas un effet de style à ce stade : c'est vraiment juste un tic d'écriture. Et pitié, ne venez pas me dire que c'est intrinsèque à la littérature young adult parce que je vais me fâcher tout rouge : j'ai plusieurs exemples d'autrices qui réussissent à avoir une langue suffisamment travaillée pour être agréable à lire sans toutefois être inabordable pour leur lectorat. On peut être accessible et travailler son écriture, ce n'est pas incompatible, au contraire même.
Je trouve ça dommage qu'une équipe aussi prestigieuse (en théorie)(oui, je ne vais pas non plus faire un rant sur le monde de l'édition français...) que BigBang/Bragelonne n'ait pas poussé plus que ça le travail éditorial sur ce texte... Notamment en ce qui concerne les incohérences : par exemple, on a un personnage blessé en début de roman, mais d'une page à l'autre, c'est le mollet ou la cuisse qui est touché. C'est peut-être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup : c'est quelque chose qui me sort complètement de mon immersion quand je dois revenir une page en arrière pour voir si j'ai mal lu. Et surtout, ça brise ma confiance de lectrice. Le diable se cache dans les détails, yadiyada. C'est typiquement le genre de choses qui aurait dû être relevées aux relectures éditoriales...
Ensuite, j'ai eu beaucoup de mal avec les personnages qui manquent... de caractérisation. Honnêtement, leurs voix se ressemblent toutes (mais bon, iels sont trouze mille à faire la narration alors ça n'aide pas), et on est la grande majorité du temps dans un beau cas de raconter plutôt que montrer. Peut-être la faute à un rythme vraiment très soutenu qui n'offre pas assez la place pour creuser les personnages (pourtant on a eu des gros moments de rien qui auraient pu être l'occasion parfaite pour ça). Je n'ai pas cru un instant aux moments d'émotions, j'étais à peine surprise d'un des rebondissements de début de roman (même si chapeau à l'autrice pour l'avoir fait, surtout dans ce genre de littérature, ça bouscule un peu, on est content·es), et je n'ai pas cru une seule seconde aux discours d'acceptation (trop téléphonés, voire carrément sortis de nulle part) et aux relations entre les personnages. Tout s'enchaîne trop pour qu'il y ait une vraie logique, avec aussi une gestion de la chronologie complètement pétée. Je suis nulle en maths, heureusement pour l'autrice, mais les calculs me semblaient quand même pas bons, Kevin... Entre la narration qui te fait croire que ça dure une journée alors qu'il s'est passé une semaine, ou un mois quand il s'est passé quatre jours... Vraiment, c'était complètement improbable comme gestion du temps. Je suis incapable de vous donner une idée de la timeline de la narration. J'ai envie de vous dire un mois et demi et même sans en être sûre je crois ne pas être loin : ça me bute complètement, a fortiori quand on essaie de prendre la mesure de ce que l'autrice a essayé de construire avec la Zone.
Parce que ce sera mon dernier point, et c'est celui qui m'a laissé le plus perplexe : pourquoi le monde est-il aussi peu creusé et cohérent ? Ne me sortez pas l'excuse du tome 1 : on peut très bien prendre son temps pour établir la complexité d'un système, surtout si on décide de l'étaler sur trois tomes MAIS on a quand même le devoir de poser des bases solides pendant le premier tome. Surtout si vous voulez en plus les faire basculer par la suite, et là encore, faut avoir le souci du détail, et des explications cohérentes à offrir. La plupart du temps, les choix de l'autrice ressemblaient plutôt à des facilités : "Ah tiens, on va se demander comment ils font pour boire vu qu'on ouvre les portes qu'une fois par an, et bah hop, je vais dire que l'eau du fleuve qui alimente la capitale est rendue potable par les gens de l'extérieur pour les gens de l'intérieur <3" ou "oh tiens, ils vont manger du pigeon, c'est plus exotique que le poulet... oui mais on va se demander comment ils font pour avoir autant de pigeons, surtout qu'ils en mangent à chaque repas, et qu'ils sont au maximum deux mille... eh bah on va dire qu'on sait pas pourquoi, mais il y a toujours des pigeons". Ensuite, l'utilisation abusive du latin : pourquoi ? Et c'est quoi cette explication vraiment claquée au sol de la création d'Erit avec en plus la faute rejetée à la Chine en sous-ligne ? Pourquoi il n'y a plus de racisme et un laïcisme radical, mais une homophobie totale ? Pourquoi chaque en-tête de chapitre nous donne trois lignes de lore inutiles, alors même que tout nous est déjà raconté par l'histoire (ça c'est vraiment prendre son lectorat pour des pigeons)(et je vous rappelle qu'ils sont MANGÉS À CHAQUE PAGE) ? Vraiment, à un moment donné quand on construit un monde dystopique, on essaie de se creuser un peu les méninges pour faire quelque chose de cohérent... Et pour adresser certaines choses. Oui parce que spoiler alert, la dystopie c'est politique, et j'ai trouvé les explications de lore vraiment trop tirées par les cheveux, ça n'a pas vraiment de cohérence avec l'évolution du monde actuel, et je n'y vois aucun parallèle. Oui, avant qu'on me saute sur le râble, Hunger Games aussi est vachement éloigné de notre monde actuel, mais y a une critique vachement intéressante de l'exploitation/asservissement, du capitalisme, des mécanismes de pouvoir et du divertissement, entre autres, et ce n'est pas le cas d'Absolu. Ici, l'aspect politique me semble vraiment être une coquille vide, alors que c'est là que la dystopie tire le meilleur en général. En un sens, ça me fait penser au Labyrinthe qui était peut-être divertissant, mais dont l'intrigue principale était complètement creuse. Alors faire revivre la dystopie en 2024, eh franchement oui, je fais moi aussi partie de cette génération dont l'adolescence a été baignée par le genre, mais essayons de la tirer à son meilleur niveau.
Si vous êtes arrivé·es jusque là, félicitations : apparemment j'avais des choses à dire, et elles n'étaient pas forcément agréables. Je m'attendais à rien en commençant ce roman, et s'il a été un peu moins pire que ce que je pensais, il n'en est pas moins resté décevant. Peut-être que le tome 2 sera mieux : après tout la plume de l'autrice aura eu le temps de mûrir, et on apprend avec chaque roman qu'on écrit, mais je ne pense pas être là pour vous en parler, parce que je ne le lirai probablement pas.
Avis à tous les fans de Dystopie : sachez que le digne successeur français de Hunger Games est enfin arrivé. Je répète régulièrement que je préfère la Fantasy à la Dystopie mais Absolu fait désormais partie de mes rares exceptions qui confirment la règle. Je suis bien incapable de me souvenir du dernier roman qui m’a fait pleurer, mais celui-ci l’a fait. C’était les montagnes russes émotionnelles : j’ai ressenti tout un arc-en-ciel d’émotions différentes.🎢🌈
Absolu : Les Mobilisés m’a tenue en haleine depuis le prologue jusqu’à la dernière ligne. Chaque fois que je croyais que je ne pourrais pas être davantage émue, surprise ou attachée aux personnages, un plot-twist de génie survenait et inscrivait un peu plus ce roman dans mon cœur, me rendait un peu plus addict.
C’est un peu Game of Thrones version Dystopie donc je vous recommanderais plutôt de ne pas trop vous attacher à ces personnages mais cela est impossible. Vous aurez le cœur brisé en découvrant l’histoire de la brillante Joanna. Vous tomberez fou amoureux de notre Prym, le soldat si empathique et loyal. Vous serez ému aux larmes par la dualité d’Edward, dont le courage si subtil s’oppose à son profond manque de confiance en lui. Zuzanna, Olimpia, Aleksander, Lise, Mikolaj et tous les autres Mobilisés rentreront dans votre cœur pour ne plus jamais en ressortir. 🪷
La Zone où rôde la dangereuse Chose est un univers dystopique parfaitement maîtrisé. J’ai eu un coup de cœur pour l’ambiance urbex où la nature reprend ses droits (coucou les lys lumineux) et également pour les nombreuses références culturelles polonaises et les pouvoirs complets de nos personnages. L’intrigue, les personnes, l’univers et la plume exquise de Margot hantent mon esprit depuis que j’ai terminé ce roman. Alors faites comme moi et…
Mais quelle pépite ! Si c’est un premier roman, que nous promets la suite ?! Je me suis régalée, les pages défilent toutes seules et nous plongent dans les tréfonds de la nature humaine dans les temps les plus compliqués. Un fabuleux mélange de dystopie, SF et fantastique, avec des personnages attachants et un réalisme bluffant. Bref, foncez en librairie le 1er février !
Mais quel bonheur de se replonger dans une bonne dystopie. Depuis ma lecture de La faucheuse, je n’avais pas réussi à retrouver une dystopie qui sache me tenir en haleine. Eh bien c’est chose faite avec Absolu !
Je dois avouer que j’ai eu du mal a me repérer au début. Il y a beaucoup de personnages, d’informations et très peu de réponses. Mais ces 100 premières pages sont nécessaires pour bien poser l’univers. Heureusement ça s’est vite dénoué et j’ai pu profiter de l’histoire à fond.
C’est un parfait mélange entre Labyrinthe, Hunger Games et Divergente alors évidemment j’ai ADORÉ. Les personnages sont incroyables, il y a des retournements de situation de MALADE. Je ne savais plus ou donner de la tête. Y’a des moments j’étais tellement choquée que j’arrivais même pas à pleurer.
Le roman est divisé en 7 parties et j’ai vraiment adoré cet aspect, chaque partie est bien définie et on a pas le temps de s’ennuyer. J’ai aussi beaucoup apprécié qu’on suive le point de vue de plusieurs personnages, ça donne vraiment de la profondeur à l’histoire.
Il y a une petite romance naissante et j’ai trop hâte de la voir évoluer dans les prochains tomes.
Le système de « pouvoirs » et de capacités est très bien exploité dans ce premier tome mais j’ai hâte d’en savoir plus dans les suivants ! La fin est juste dingue et je n’ai qu’une hâte : LIRE LA SUITE.
3.5 ✨Je vais commencer par dire que pour une première œuvre, ce livre est bluffant. L’écriture et le style sont magnifiques, impeccables, et le décor très bien posé. Nous sommes vite entraînés dans l’univers, c’est réaliste que ce soit dans ou hors de la Zone.
J’en ressors pourtant mitigée. Le livre me tenait quand je le lisais, mais dès que j’arrêtais pour réfléchir, des éléments venaient me déranger ce qui faisait que j’avais de la difficulté à le reprendre
Les conflits existant au sein de la Zone sont très peu expliqués et les quelques raisons données pas satisfaisantes. Les Willis se battent contres les Conquérants pour une histoire de vengeance, les Errants vivent relativement en paix grâce à des traités mais hors de question qu’ils s’entraident. Il existe dans la Zone une animosité que j’explique mal: ils sont tous pris là et le plus grand danger ce n’est pas la Chose mais la bêtise humaine: parce que s’ils s’entendaient un peu 90% du livre n’existerait pas et qu’aucun de ces conflits n’a de raison d’être, crédible. (Oh Nouvel Ordre sont méchants, ils tuent tout le monde, on a aucune idée pourquoi donc on les tue nous aussi)
Je vais aussi rajouter un bémol sur les Épreuves du début, chez les Conquérants. C’est la Zone. C’est dangereux. Mais hey! Envoyons toutes nos recrues droguées ramener un truc inutile pour pouvoir les classer (alors que l’Institut vient de passer 10 ans à les former dans une discipline) Si au moins il y avait eu un but utile à la fin.
On sent que l’autrice retient certaines informations pour la suite, mais j’étais constamment sortie de ma lecture parce que les personnages ne se les posaient pas et que ça me paraissait incroyable (que Prym le parfait soldat y croit je veux bien, mais Ed qui passe tout son temps à douter et remettre en question… particulièrement sa présence, ça mettait beaucoup trop en évidence que ces questions ne seraient pas adressées parce que ça mettraient probablement le lecteur sur une piste)
J’aurais aussi aimé une logique derrière les dons. On passe d’avoir des visions du futur, à des mains qui brûlent, contrôle de la gravité, à faire pousser des plantes. Comme c’est de la dystopie, nos lois naturelles devraient s’appliquer un minimum ou au moins avoir une explication pourquoi X obtient Y. Même si on me donnait l’explication que c’est de la magie, dans un univers fantastique cette absence de logique ne passerait pas. (J’étais contente pour les conséquences qui étaient très en lien et bien pensées)
Les personnages étaient réussis, réalistes dans leurs émotions, leurs inquiétudes, mais il y en avait beaucoup trop pour que je m’attache. La première mort fracassante m’a plus fait mal pour ceux qui doivent faire leur deuil que pour la perte du personnage en soi. Une trahison à la fin m’a fait hausser un sourcil, sans plus parce que ce personnage était tout au plus sympathique.
Une bonne lecture qui aurait été plus satisfaisante sans toute la hype qui l’entourait. Certains points m’ont déçus parce que j’en attendais plus (la fin notamment, haute en action mais qui devra avoir une explication satisfaisante parce que j’ai vraiment fini en me disant: tout ça pour ça? Et si ma théorie se confirme, elle aussi devra avoir une explication solide) Certaines tournures (morts-trahison) auraient aussi été plus surprenantes si ce n’était pas partout sur les réseaux sociaux qu’aucun personnage n’est à l’abris et que l’autrice aime faire souffrir. (Je prend ce point sur moi par contre, mais disons que la communication qui entourait la sortie de ce livre m’a un peu gâché le plaisir. Dès le début des pages, j’ai deviné qui n’arriverait pas à survivre…. Grâce à la couverture, parce que je savais qu’il allait y avoir des morts)
Bref! A tous ceux qui sont curieux: foncez! C’est une bonne lecture divertissante, remplie d’action. Je lirai le tome 2 pour savoir si ma théorie est juste (ce qui est selon moi un point à donner) mais j’y vais avec un peu d’appréhension, par peur d’être déçue par les explications.
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2.5 J’ai eu un peu de mal à lire ce livre. Les personnages sont plats, les relations entre eux n’ont rien de transcendant et l’intrigue n’avançait pas pendant une bonne partie du livre. J’en attendais davantage d’un livre de 550 pages. Je me suis ennuyée à plusieurs moments. J’attendais plus d’actions vu le synopsis. Le début dans la Zone et la fin sont pour moi les highlight du bouquin.
On est ici sur une dystopie YA très qualitative ! J’avais peur que les multiples POV me posent problème mais en fait pas du tout ! L’autrice introduit les personnages petit à petit donc on a pas tous les POV dès le début ! Le changement de personnage est très fluide donc pour ça bravo !
Côté plume j’ai rien à dire elle est vraiment agréable et on ne dirait pas que c’est un premier roman ! Le récit est en plus très rythmé et ça j’apprécie !
Du côté de l’intrigue je la trouve très cohérente même si à la fin de ce tome j’ai beaucoup de questions sans réponses ! Je pense que c’est normal et que la suite nous réserve encore pleins de surprise ! 🤓
En revanche, un élément a péché pour ma part et c’est ce qui explique que je ne mets pas plus : les inspirations qui sont à mes yeux trop présentes. J’imaginais carrément Eren de SNK à la place de Prym et c’est embêtant ! Comme je sentais fortement les vibes Le labyrinthe, Hunger Games et L’Attaque des titans je voyais les choses venir ! Puis le gros problème c’est que je n’arrivais pas à me détacher de ces sagas… Peut-être me fallait-il plus de descriptions pour vraiment imaginer cet univers et ne plus le comparer avec d’autres ? Peut-être que j’en attendais trop aussi ? Difficile de savoir !
Alors je suis consciente que c’est YA et que le côté prévisible est logique mais quand je lis une dystopie je cherche le côté original dans l’univers. J’aime quand c’est complexe et que tout un système injuste à en crever existe ! Ça me donne envie de tout casser avec eux !
Donc tout dépend de vos goûts et de votre rapport avec les sagas citées ! Il en reste pas moins que c’est un très bon bouquin très prometteur et que je lirai la suite avec grand plaisir !
J'ai trouvé l'intrigue très bien ficelée, de même que le développement de chaque narrateur (peut-être un peu trop de personnages, j'étais confuse par rapport à certains). J'ai juste trouvé la narration un peu lourde par moments, pas fan du worldbuilding avec en background le menaçant impérialisme chinois (have you met the US ?) et les influences qui se font sentir m'amènent à développer des théories plutôt crédibles qui seraient un peu trop évidentes si elles se révélaient vraies...
Cependant, pour une dystopie, j'ai trouvé cela vraiment trop lisse politiquement (parce que s'il y a bien un genre qui est politique, c'est la dystopie). Tout était bien carré sous tous les angles, et c'est ça qui m'a dérangé. Ça manquait clairement de relief pour que ce soit une lecture marquante.
(Théorie spoiler : la Chose qui parle me donne la même impression que lorsqu'on croise la mère de Connie dans un village dans SNK, et je soupçonne un plot twist du même genre que SNK globalement, ça expliquerait le titre Absolu btw, maaaaais maybe I'm wrong ?)
(Théorie GROS spoiler il est encore temps d'arrêter votre lecture : dans la lignée de ma théorie précédente, je pense qu'il n'y a pas une mais DES Choses (cf quand Suzanna se demandait comment la Chose pouvait longer le mur à la surface et les poursuivre dans le métro en même temps), que les Choses de la Zone sont en réalité les 3 créateurs de la Chose originale et que la Chose est le stade *absolu* de la mutation, ce qui est très cohérent avec la mutation de Lise, et je fous ça en commentaire pour voir si j'ai un peu de vrai dans mes théories le moment venu)
J’ai du me laisser quelques jours avant de me lancer dans l’écriture de cette revue. Me remettre de mes émotions et prendre du recul.
🧟S’il y a bien une chose qui m’a sauté aux yeux dès les premiers chapitres, c’est à quel point le roman est bien pensé. Je ne savais vraiment pas de quoi parlait Absolu et je pensais que ce serait un peu à la Labyrinthe ou Hunger Games, c’est-à-dire des jeunes envoyés dans un milieu hostile et dont la survie dépendrait de leurs capacités à s’adapter aux obstacles rencontrés. Quelle était ma surprise en découvrant qu’en fait… pas du tout !
🧟Honnêtement, j’ai repoussé la lecture de ce roman parce que j’avais quelques réserves quant aux multiples points de vue. Je n’en ai pas l’habitude. Au final, ça ne m’a absolument pas dérangée tellement c’était fluide et chaque personnage avait son petit quelque chose à rajouter qui donnait plus de relief à l’histoire.
🧟Parlons des personnages. Ils ont tous leur propre histoire et leurs particularités. Nos héros sont divers et variés et quel bonheur d’avoir un personnage sourd, j’ai trouvé que c’était une très belle représentation.
🧟 « On rentre à la maison ? » Cette ligne mérite son propre petit paragraphe. Je m’en remets pas.
🧟Enfin, ce qui m’a tenu en haleine du début à la fin : les mystères. On a tellement de questions et si peu de réponses, il me tarde d’avoir le fin mot de l’histoire (mais pas trop vite non plus, faisons durer le plaisir).
🧟LA FIN. Je m’attendais à des problèmes mais là… Ils sont vraiment dans la mouise nos amis 💀
🧟Aleksander, EPOUSE-MOI🫂 Ensuite on adoptera Edward 🫂
bon plot mais assez mal exécuté ??? genre narration multiple mais pas de différence entre les personnages du coup on s’attache pas à eux je trouve. + la description des personnages noirs et l’acharnement sur edward ? je vais pas commenter dessus.
par contre le worldbuilding est vraiment très très bon, dommage que la construction des personnages ne suive pas du tout.
Voilà une sortie qui me tentait fortement. Avec Absolu on est sur un mélange de Hunger Games, Divergente, Le labyrinthe et même un brin Je suis une légende. Imaginez-vous dans un univers quelque peu futuriste. Chaque année, des jeunes sont envoyés dans La zone pour combattre La Chose. La vingtième sélection s'apprête à y aller. Mais aucun des précédents envoyés n'est jamais revenu. Prym et Joanna, passent les portes de La zone avec la peur au ventre de savoir ce qui les attend.
On est sur un univers vraiment bien pensé. C'est un mélange de ce que l'on connait déjà avec une bonne dose de nouveauté et surtout une brochette de personnages aux caractères, aux émotions et surtout aux objectifs bien différents. J'ai apprécié voir que chacun d'eux avait sa personnalité mais aussi ses points forts et fragilités. Au fil des pages, on s'attache forcément à l'un (ou plusieurs) d'entre eux. Une chose est sûre, je ne m'attendais pas à la tournure de certains personnages. Finalement, on les découvre sous un autre angle au fur et à mesure des événements auxquels ils doivent faire face. Ainsi, si Edward est à première vue le peureux de l'histoire, il démontre un tel altruisme et une grande gentillesse qui feront de lui un personnage plus fort qu'il n'y parait. Prym (j'ai bugué sur le prénom, je l'avoue, HG), lui, est un combattant, sur-entrainé. Clairement, c'est le personnage le plus mis en avant dans ce premier tome et vous comprendrez pourquoi ensuite. Un brin trop héros pour moi, mais ce n'est que mon avis. Côté personnages féminins, nous ne sommes pas en reste, Olimpia s'est démarquée à mes yeux, j'aime assez ce côté très solitaire et inaccessible. Je ne vous en dirais pas plus mais sachez que d'un point de vue à l'autre on en apprend sur tout l'univers et cela promet. Bref, forcément l'un d'entre vous parlera, c'est une certitude. Pour ma part, j'aurais aimé me contenter d'un nombre plus limité de personnages (dont on suit le point de vue), mais comme il faut s'attendre à tout, personne n'est à l'abri, j'ai envie de dire, mieux vaut partir avec plus.
Ce premier tome fait monter doucement mais surement cette tension. Car si la première étape consiste à passer de l'autre côté des portes pour entrer dans la zone, nos personnages vont aller de surprise en surprise. Et clairement, c'est à faire froid dans le dos. Imaginez une zone (Varsovie ici) où tout n'est que ruine et vous ne savez pas si vous reverrez un jour l'extérieur. Le pire dans tout ça, c'est que les précédentes générations ne sont plus du tout les mêmes et n'ont pas le même objectif que les nouveaux venus. Un petit côté oppressant et beaucoup de doutes. Car oui, au fil des rencontres, il va falloir déterminer qui est digne de confiance et qui se joue des autres. Ajouté à cela des mutations aussi aléatoires qu'étranges et vous obtenez le combo gagnant. J'ai été plutôt bien embarqué par cet aspect. J'avais bien cerné certains personnages alors que d'autres m'ont assez surprise. Toutefois, l'univers étant bien développé, il n'est pas sans longueurs. Quelques passages m'ont paru un peu lents et cassaient un peu mon rythme. Il m'a manqué ce petit truc qui fait qu'on ne peut pas lâcher sa lecture et qu'ont y revient sans cesse, même si je l'ai lu en deux soirs ce qui, pour certains est déjà bien.
Le dernier tiers du récit nous surprend quand on s'y attend le moins et arrive à bouleverser toutes nos certitudes. Je l'avoue, j'ai été vraiment surprise par les rebondissements finaux, à s'en décrocher la mâchoire, comme quoi, une fois bien dans l'histoire, on se prend au jeu et on en redemande. Il faut dire que ce premier tome se termine sur un cliffhanger digne de ce nom. Il nous faut clairement la suite rapidement. A l'automne prochain si cela ne change pas.
En conclusion, on est sur un très bon premier tome de dystopie, young adult avec un univers vraiment travaillé et prometteurs. On retrouve les éléments typiques du genre avec une bonne dose de modernité et un mélange convaincant. Des personnages très différents les uns des autres et une bonne base pour la suite. Curieuse de poursuivre l'aventure !
COUP DE CŒUR 💛 Je reviens très vite pour laisser mon avis mais… wow, cette lecture était incroyable je m’en remets pas !
Update
Prym, Joanna, Edward, Mikołaj, Lise, Aleksander, Gwidon, Zuzanna, Lech (oui même lui), Łucja, Artur, Olimpia, Tesla, Kaja, Raïna, Heronim, Jacek… Tant de personnages qui m’ont accompagnée durant ma lecture et que je n’oublierai pas. (Avec un petit coup de cœur pour Zuzanna je l’avoue et Lise et Miko)
memoria eruditissimo, pugnatum corpus, cogitabat animo, manus protegens : des spécialités qui divisent et rassemblent à la fois
Les Conquérants, Les Wilis, Les Errants, Le Nouvel Ordre : quatre clans différents et pourtant assez semblables
Les Instituts, la Zone : des lieux qui ne nous laissent pas de marbre
La Chose
ABSOLU, c’est tout ça et c’est bien plus encore
Fan inconditionnelle de dystopie et de science-fiction, Le Labyrinthe avait été mon première coup de cœur de ce genre et je le pensais indétrônable. Je cherchais un livre qui me replongerait dans la même ambiance, qui me ferait ressentir la même chose que cette lecture. Et bien voilà, je l’ai trouvé : c’est ABSOLU. Oui, il se peut que ce livre ait détrôné Le Labyrinthe. Il lui ressemble, oui un peu et pourtant il est si différent. ABSOLU est unique.
Margot a mis dans ce livre tous les éléments que je cherchais. Je savais que ce livre qu’il me fallait, ce serait le sien. J’en étais convaincue et j’avais raison. Son histoire m’a replongée dans un monde pas tout beau, avec des clans, avec des amitiés, avec un régime politique dont on sait peu et qui n’est pas ce qu’il semble être, avec un monstre. Ou des monstres ?
Les 150 dernières pages m’ont arraché de nombreux cris et j’en suis tellement heureuse : j’aime les retournements de situation et les révélations. Au niveau des personnages ça va ça vient, on a différents points de vue, ceux de sept des personnages.
Je n’ai pas pu le lâcher. Je l’ai fini en à peine plus de 48h après l’avoir reçu.
Et vous savez quoi ? J’ai même eu de la peine pour la Chose, je me suis attachée à elle. Oui oui.
Et puis, ce coup de cœur, il est aussi un peu parce qu’il y a un aspect personnel : je suis Margot depuis 3 ans maintenant, et ce livre je l’ai vue en parler avant même qu’il soit accepté par une ME. Je n’avais pas voulu le lire sur wattpad parce que j’étais certaine de l’avoir un jour en papier entre mes mains, et je suis bien heureuse d’y avoir cru. 3 ans que je suis et j’admire Margot et me voilà avec son livre entre les mains qui s’est avéré être la merveille que j’attendais et plus encore.
Ce livre sort le 1er février. Je ne peux que vous conseiller de vous précipiter en libraire ce jour-là pour l’obtenir.
Je dois avouer que dès les premières pages j’ai été happée par cette histoire. Dès le début j’ai su que j’allais au coups de cœur. J’avais peur vu tous les avis positif d’être déçue mais ce fut tout le contraire.
Une histoire qui m’a beaucoup rappelé le Labyrinthe que j’avais adoré mais alors là c’est même encore mieux. On a un système de magie juste incroyable, et original, une intrigue qui ne te laisse pas de moment de repos. Toujours sur ses gardes. Un univers qui mêle monde postapocalyptique et magie. Un genre de mélange dystopie et fantastique incroyable !
L’écriture est sublime. Elle a su passer des émotions, passez de sensations et même presque des odeur à travers ses mots. J’ai été heureuse, triste, en colère. J’ai eu du dégout, de la pitié. Tant d’émotions en peu de mots. Elle à traiter de sujets tellement dur et en même temps vrai. On suit beaucoup de personnage et même si au début c’est un peu déroutant à chaque fois qu’on en découvre un nouveau, on n’a pas de mal à l’intégrer et presque à le connaitre rapidement. Je mettrais quand même un TW sur certain sujet abordé même de manière « superficielle » comme le suicide mais surtout le sang, la mort etc…
Les personnages sont juste incroyables et vrais. Ils sont remplis d’émotions, de tendresse ou de haine. L’autrice a su bien développé et utilisé leur diffèrent caractères.
Un coup de cœur pour ce roman aussi original que magique.
Franchement je comprends pas... Les idées sont clairement sympa, mais beaucoup de déjà vue dans l ère 2010 des dystopies YA. Toutes les tropes peuvent se voir, mieux faites dans des textes récents mais soit.
Mon gros gros problème avec ce livre est le caractère expédié rapide et externe de la narration. On est sur un roman à la première personne avec des points de vue présentés comme multiples pour des personnages qui sont au même endroit et interagissent. On doit donc être en point de vue interne... Mais ce n'est pas le cas. Il n' y a que du tell, que des affirmations, qui balaient toutes les considérations internes aux personnages et toute caractérisation.... Toute émotion est expédiée en une phrase et jamais plus mise en lumière après...
Exemple (sans spoil) : les gens de leur ville ont un cerebrum qui leur permet de ressentir constamment les émotions des gens. On l enleve aux personnages et une unique fois la protagoniste dit que ça lui fait hyper bizarre de ne plus savoir les émotions des autres et c'est un changement ÉNORME.... Mais après on n en reparle plus jamais genre wtf ?
Tout est comme ça, la narration manque de relief, de constance et de développement. Résultat, impossible de distinguer les points de vue des personnages, et un récit très rapide mais où le manque d affect fait que je me suis beaucoup ennuyée...
Dommage, je n'étais sûrement pas le public cible non plus, mais je ne comprends pas la hype...
« Seuls les monstres survivent en enfer. » . J’ai passé un super bon moment avec ce livre, on retrouve les codes de la dystopie, dans une histoire où des jeunes sont envoyés une fois tous les ans dans « la Zone » une ville cachée derrière un immense mur. personne ne sait ce qu’il s’y passe, et les jeunes mobilisés des années précédentes ne sont jamais revenus. . Le récit se lit vraiment très rapidement, dès le départ j’ai beaucoup accroché avec la plume. j’ai ainsi plongé facilement avec les personnages. il y a différents pdv mais ce n’est pas perturbant, tout est vraiment très bien amené. les pensées se mêlent à l’action et un rythme s’installe. j’ai beaucoup aimé le personnage de zuzanna mais aussi celui d’edward, de prym et d’aleksander (lise aussi 😩🛐). . Que ce soit l’intrigue, les persos, les rebondissements tout est fait de manière à montrer la complexité des personnages. ils hésitent, doutent… il y a une véritable atmosphère grise.
j’ai froncer les sourcils de fou à beaucoup de moments mais j’ai pas trouver ça mauvais, un peu trop de point de vue à mon goût pour qu’on s’attache réellement aux persos, j’pense quand mm lire la suite ça m’intrigue
J'ai attendu un an que la hype redescende un peu autour de ce livre pour le découvrir, surtout que je suis l'autrice quotidiennement sur les réseaux pour ces précieuses productions autour de l'écriture pour les jeunes auteurs. Ainsi, on m'a beaucoup parlé et recommandé ce livre (étant fan de dystopie à la Hunger Games, Divergente et aussi de SNK, j'allais forcément être convaincue !). Mais me voilà un peu mitigée et loin du coup de cœur pour ce premier tome.
Commençons par le positif ! L'histoire se lit facilement. J'aime beaucoup l'atmosphère qui se dégage de l'univers : on plonge vraiment dans cette ville abandonné, caractéristique que j'aime tant dans les dystopies. Toutefois j'ai eu un peu de mal à rentrer complétement dedans : il y a souvent de longues phrases pour apporter des détails mais qui n'ont parfois que peu d'intérêts et ont tendance à me perdre dans le récit. De plus, j'ai eu beaucoup de mal avec l'alternance de point de vue. Je me suis vite retrouvée perdue au début pour identifier qui est qui, qui parle, etc. De plus, certains points de vue n'interviennent qu'occasionnellement et je me demande la pertinence si ce n'est qu'avoir une facilité narrative.. J'ai eu du mal avec certaines personnalités et à m'attacher aux personnages. Le seul qui me plait et bien ... Bref.
Une autre chose positive : l'inclusion de personnes sourdes est un point positif très peu vu qui est vraiment inclusif et valorisant. Les combats internes de la Zone entre les clans sont intéressants mais on passe très vite de l'un à l'autre sans trop de difficultés.
Autre gros point négatif que j'évoque en GROS SPOILER : la mort Joanna qui était le personnage féminin principal depuis le début ça m'a beaucoup embêté pour m'identifier en tant que femme. Certes il y en a d'autres par la suite mais c'est différent car elles sont issues de la Zone directement. (suis-je claire ?).
De même je me permets de faire des remarques concernant la Chose (attention spoiler du tome 1 et je vais faire des suppositions pour la suite) : je trouve que l'explication de pourquoi on l'a croisé en 2 mois seulement parce qu'elle tourne en rond autour des murs ... Mouais. Surtout qu'il semblerait qu'il y aurait une deuxième chose (si on comprend les deux allusions avec la présence de cette dernière dans les sous-sols). Cette fin vient un peu comme un deus ex machina qui me convint peu. Et pour terminer : le fait de gazer les Mobilisés situés en Pologne avec le lourd passé dans l'Histoire juive, je suis surprise de ce choix.
Histoire prenante et intéressante. Malgré la brique bien épaisse, on déroule les pages rapidement et on veut savoir où ça s’en va. Beaucoup de revirements de situation. De situations surprenantes et d’action.
Les différents points de vue et personnages sont bien utilisés pour faire avancer l’histoire. J’aurais personnellement pris un peu moins de point de vue. Ça devient mélangeant et on ne s’attache pas à tout ce monde là.
Deuxième bémol : le premier chapitre. Je comprends le pourquoi du comment mais je trouve que c’est rough comme départ de lire un chapitre entier sans rien comprendre à ce qui se passe et à la terminologie. J’avais quasiment le goût de le relire une fois que j’ai eu les clefs. J’pense que ça aurait pu être fait autrement.
Ce sont des mini-détails. J’ai beaucoup aimé et très curieuse de connaître la suite.
Je n'ai pas les mots pour décrire cette lecture.. c'était incroyable ! J'ai retrouvé mon amour pour la dystopie et que j'avais ressentie à l'époque de Hunger Games Divergente ou encore Le Labyrinthe. L'univers est extrêmement bien construit et ficelé j'étais complètement immergée dedans ! Aucuns personnages n'est laissé de côté, chacun à son chapitre, son histoire, tous sont travaillés impossible de pas s'attacher à eux... L'autrice a fait un travail monstre et arrive à nous surprendre dans chaque nouvelle partie ! Je suis vraiment triste de quitter ce roman et je ferme cette dernière page avec une tellement hâte pour la suite !
Vous connaissez cette sensation de vide ? De non sens une fois que vous terminer un livre ? C'est exactement ce que je ressens ici pour Absolu. Bien sûr, ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, mais je crois que je ne l'ai jamais ressenti avec autant de puissance, de profondeur et de douleur. J'ai refermé Absolu il y a quelques heures à peine, et mon monde ne s'est toujours pas remis en place, il n'a toujours aucun sens, aucun équilibre.
J'ai toujours adoré les dystopies, surtout pour leur côté très prenant, qui vous amène à ne pas réussir à lâcher le livre. Et Absolu est le summum de la dystopie, tout ayant été réussi avec brio. J'ai suivi ce livre avant même qu'il soit publié, à travers le compte instagram de l'autrice, puis à travers sa publication sur wattpad, et je savais que le potentiel de cette histoire allait me couper le souffle. L'acheter et le lire me paraissait l'évidence même. Ce livre brille par chacun de ces aspects. Une histoire qui correspond parfaitement à la dystopie mais qui en même temps s'en éloigne de manière juste suffisante à travers de nombreux thèmes, sous-entendus et questionnements que l'autrice disperse ici et là, rendant l'histoire tellement profonde et passionnante que ce livre devient impossible à lâcher. Et puis la petite touche de fantasy à fini de rendre cet univers magique et parfait à mes yeux. L'histoire ne m'en semblait que plus approfondie, plus intrigante, et je cherchais véritablement des réponses, à comprendre, entre deux battements affolés de mon cœur. Car il faut dire que, au-delà du fait que les actions s'enchaînent, elles ne s'arrêtent jamais. L'atmosphère du livre est donc parfaitement rendue, on ressent cette pression, cette angoisse, mais aussi cette fierté, cette peur... C'était magique.
Je suis habituée à lire des dystopies, et c'est d'ailleurs un de mes genres favoris. Mais à travers ces livres, je suis souvent déçue par le manque d'approfondissement du style, qui dessert bien les actions mais parait trop simple, trop superflu et sans réelle volonté de se démarquer. Absolu, c'est tout l'inverse. J'applaudis Margot Dessene, je l'admire, puisque, je vous l'ai dit, ce roman brille par chacun de ces aspects, et le style d'écriture en fait plus que partie. Il devient un pilier de l'histoire, pas juste un élément superflu qui peut améliorer l'impression finale, non, il devient essentiel au livre, à sa compréhension. Je pense que j'ai rarement mis autant de post-it dans un seul livre, voir jamais. Le style rendant chaque passage magnifique, chaque passage intéressant, car pas une seule fois je ne me suis ennuyée, pas une seule fois j'ai cherché l'utilité. C'était magique. Mieux encore, et cela ne m'était jamais arrivée, je me suis surprise, en lisant un chapitre, de sortir de ma lecture pour me dire que cette scène, la discussion entre les deux personnages, est vraiment magnifique. Margot Dessene a réussi à surpasser le fait de plonger dans l'histoire : j'étais l'histoire, j'étais les personnages, je vivais dans la zone. Je ne lisais plus je voyageais. Et c'était magique.
L'histoire brille surtout par ses personnages. Jamais, sur le papier, il ne m'ait été donné de lire des personnages si réels. La mention des menstruations, des personnages sourds, d'autres mal dans leur peau, d'autre blesser de l'intérieur, aux origines toutes différentes... Et c'est pourquoi ça devient encore plus dur de quitter l'histoire. Il y a sept narrateurs, et un foisonnement de personnages secondaires, mais jamais, au grand jamais, je ne me suis perdue. Plus que ça, j'étais ces personnages, j'étais dans leur tête, je faisais leurs actions. Alors oui, j'ai souffert Joanna. J'ai ri avec Mikolaj. J'ai suivi mon cœur avec Edward. Je me suis battue avec Prym. Je me suis émancipée avec Olympia. J'ai trouvé un sens à ma vie avec Zuzanna. J'ai appris la gentillesse avec Lise. J'ai pardonné avec Aleksander. Absolu brille par ses personnages, par leur construction, leur approfondissement, leur caractère, leurs actions. Absolu est ces personnages. Je ne pouvais refermer le livre et les quitter, je ne pouvais pas. Puisque ça voulait dire les abandonner, les laisser, et surtout ça voulait dire qu'ils n'étaient plus avec moi, que je ne savais plus leurs actions. Alors que, paradoxalement, je voulais tellement savoir la fin. Et quelle fin ! Ce livre, vous l'aurez compris, m'a fait dire un nombre incalculable de fois jamais, mais je n'avais réellement JAMAIS lu une fin qui m'a laissé si abasourdi et démuni devant l'absence d'un tome deux ! Une fin juste splendide et parfaitement bien menée.
Alors, vous pensez peut-être avoir deviner qu'Absolu est pour moi un coup de cœur. Mais mon envie grandissante de le relire alors que ça ne fait même pas un jour que je l'ai terminé et le vide en moi pensent tout autrement. Absolu n'est pas un coup de cœur. C'est LE coup de cœur, LE livre.
4,5/5 ⭐️ Ouaaa quelle claque !! L’univers ressemble très fortement au Labyrinthe :) J’ai beaucoup aimé l’histoire, il y a beaucoup d’actions, pas le temps de s’ennuyer ! Je me suis attachée aux personnages principaux et j’ai aimé suivre leurs relations. Pour les points un peu plus négatif : un peu trop de personnage, je me suis perdu un grand nombre de fois :( et le roman est assez sombre avec beaucoup de morts donc il ne faut pas être sensible !! Olalala la fin hâte de lire le tome 2
ce premier tome est tout simplement extrêmement prometteur pour la suite, wow. la plume de margot est fluide et agréable. ce livre m'a, dès les premières pages, fait vivre les émotions que j'ai ressenti il y a presque 10 ans en découvrant le labyrinthe et la dystopie. absolu m'a fait retrouver tout ce que j'aime tant dans la dystopie ainsi que tout ce qui a fait du labyrinthe ma safe place depuis. ce premier tome s'est rapidement avéré être un coup de cœur pour moi et je suis intimement persuadée que cette saga va doucement devenir une nouvelle safe place ❤️🩹 le worldbuilding est très bien développé, on ne se sent pas perdu et au contraire, on a rapidement l'impression d'accompagner les personnages dans leurs aventures et dans les mystères qui composent l'univers. de nombreuses interrogations se forment tout au long du livre et on sent que tout a été pensé en amont. cela promet vraiment une très bonne suite de saga 😌 les personnages sont nombreux mais personnellement, j'adore! ils sont tous très attachants et on a juste envie d'apprendre à les connaître d'autant plus. ils apportent tous quelque chose, ont tous leur particularité, leur personnalité et les relations qu'ils créent sont juste si belles.ils évoluent dans un contexte sans pitié et complexe et pourtant sont si sincères et purs entre eux. j'ai eu un coup de cœur infini pour edward <3 il m'a touché plus que les autres et il a déjà une place toute particulière dans mon cœur. je me suis reconnue en lui comme dans peu de personnages et j'avais vraiment l'impression que c'était moi (en plus, il a le même mbti que moi donc ça veut tout dire). je ne me suis pas du tout ennuyé, l'action est vraiment présente et on souhaite juste tourner la page pour enfin avoir les réponses à nos questions! c'est donc un véritable coup de cœur et j'attend la suite avec une grande impatience! (d'ailleurs, est-ce qu'on peut parler de cette fin??? j'ai besoin de connaître la suite omg 😩)