Face à l’océan qui menace de noyer l’Europe, Flavia quitte son village sur la goélette du capitaine Blunt pour se réfugier aux Etats-Unis. Tombée à l’eau près de la gigantesque digue qui protège New York, elle est sauvée par Chris et tombe amoureuse de lui. Découvrant que ses parents – des scientifiques à la tête de la mission Oceania – sont encore vivants, elle se jure de les retrouver...
Hélène Montardre est née en 1954 à Montreuil, mais ses racines se trouvent dans les monts du Forez. Grâce au hasard des mutations de son père, elle habite successivement à Saint-Étienne, Marvejols, Nantes, Loudun, Issoire où elle passe le bac pour poursuivre des études d'anglais à l'université de Clermont-Ferrand, études qui la conduiront jusqu'à une thèse de doctorat en études américaines.
Petite, quand on lui demandait ce qu'elle voudrait faire plus tard, elle répondait : écrire, voyager, avoir des enfants. Cela ne correspondait à aucun métier précis... Alors elle en a exercé plusieurs : assistante de direction, guide culturel, éditrice.
Les voyages ? Ils ont toujours fait partie de sa vie.
Les enfants ? Elle a deux filles.
L'écriture ? L'écriture a toujours été une certitude, un fil conducteur, un besoin, le seul moyen qu'elle ait trouvé pour transmettre rêves, envies, espoir, mais aussi la force et la fragilité de la vie et de la mémoire. Ses livres, romans, albums contes, documentaires (une cinquantaine publiés à ce jour) s'adressent aux enfants, aux petits, aux grands, aux ados et à tous ceux qui ont envie d'y mettre leur nez. La littérature de jeunesse la passionne et l'interpelle à un point tel qu'elle lui a consacré une deuxième thèse de doctorat portant sur l'image des personnages féminins.
Depuis 1981, Hélène Montardre vit dans la région toulousaine avec son compagnon qui est aussi le père de ses enfants (ce qui tombe plutôt bien). Mais elle s'en échappe souvent pour rencontrer ses lecteurs, voyager, ou retrouver le Forez, la région des Bois Noirs au coeur des « Monts du Soir » où naissent ses idées de romans.
Oceania – Die Prophezeiung (Oceania #1) von Hélène Montardre (4 Sterne)
Spoiler-freier Kommentar
Ich glaube, was mich an diesem Buch direkt angesprochen hat, war der Titel. Oceania. Ich habe nicht einmal die Zusammenfassung gelesen, oder überhaupt richtig auf den Buchdeckel geschaut, da hatte ich das Buch schon in der Hand, bereit es aus meiner Bücherei auszuleihen. Vielleicht hatte ich die Hoffnung, dass Oceania etwas vergleichbar Mystisches wie Atlantis ist. (Das war kein Spoiler!)
In dem Buch geht es um Flavia, eine junge Französin, deren Heimat an der Küste vom ansteigenden Meerespegel bedroht wird. Ihr Großvater schickt sie illegal nach Amerika, wo sie zwar vor dem Wasser geschützt ist, nicht aber vor der ausländerfeindlichen, amerikanischen Regierung.
Flavia ist eine gute Heldin. Vielleicht nimmt sie die Dinge, die ihr geschehen, teilweise etwas zu sehr an ohne Fragen zu stellen und vielleicht hat sie teilweise einen etwas zu naiven Blick auf die Welt, aber ihre Geschichte und ihre Erlebnisse sind interessant zu verfolgen. Ihre von ihrem Großvater erlernten Fähigkeiten als Späherin stellen für mich nach wie vor ein großes Fragezeichen dar. Ich denke, dass dies das fantastische Element des Buchs ist, denn bisher fehlt mir jegliches Verständnis dafür. Ich habe die Hoffnung, dass das in den nächsten Bänden noch besser erklärt wird, vor allem welche Teile nun genau als fantastisch (und nicht wissenschaftlich) zu interpretieren sind.
Außer „fantastischen Elementen“ verspricht der Buchdeckel auch noch „aktuelle Umweltfragen“. Die Umweltfragen werden in diesem Band etwas mehr angesprochen. Im Fokus ist natürlich der Klimawandel, der ansteigende Meerespegel und wie die verschiedenen Kontinente, Länder und Regierungen auf die bevorstehende Katastrophe reagiert haben.
Aber mehr als nur Umweltfragen hat mich die gesamte Aktualität des Buchs mitgerissen. Natürlich wurde es nicht erst letztes Jahr im September geschrieben, weswegen das thematische Zutreffen des Buchs Zufall ist, aber ein wichtiger Teil der Geschichte handelt von Immigranten, die unerwünscht sind und das Land größtenteils illegal bezogen haben. Im Gegensatz zu den Geschehnissen in der realen Welt (denke und hoffe ich) ist die Medienübertragung hier so selektiv, dass die Menschen, die in Sicherheit leben, nicht wissen, wie die Menschen auf anderen Erdteilen leiden müssen und in welcher Gefahr diese schweben.
Die Erzählung setzt sich mit diesen Fragen auf wunderbare und realistische Weise auseinander. Teilweise habe ich mich selbst beim Nicken erwischt und teilweise wurde ich von meiner beschränkten Sicht auf die Welt aufgeschreckt. Es war nur Fiktion, aber ein Blick in die Nachrichten zeigt, wie viel Non-Fiktion darin steckt.
Die Qualität der Erzählung wurde erheblich vom Erzählstil unterstützt. In der dritten Person erzählt, schafft die Autorin es aber stets, den Überblick über alle Charaktere zu behalten und den Leser flüssig durch die Geschichte zu führen. Die Wortwahl ist angemessen anspruchsvoll, dementsprechend war das Leseerlebnis – bis auf wenige Tippfehler – ein voller Genuss.
Der einzige wirkliche Kritikpunkt, den ich an diesem Buch habe, ist die Lesezufriedenheit mit dem Zuschlagen des Buchs. Das Buch kam mir weniger wie ein eigenständiger Band vor und erschien mir viel mehr wie eine sehr lange Einleitung. Zwar gibt es eine Entwicklung innerhalb des Buchs, aber zu keinem Zeitpunkt eine richtige Lösung. Es werden Lösungsansätze angedeutet, Prozesse in der Entwicklung und (zum Glück nur leicht) Dinge über Flavias Leben angedeutet, von denen sie nichts weiß. Bisher fehlen Detail und Tiefe. Nach dem Ende des Buchs scheint es erst richtig loszugehen. Was mir am wenigsten gefallen hat, war, dass ich den Titel nicht in Verbindung mit den Geschehnissen bringen konnte. Es gibt nur den allerkleinsten Hinweis auf „Oceania“ und von einer Prophezeiung ist nie (direkt) die Rede.
Aber wie das nun einmal in solchen Büchern ist, man kann es nicht abwarten, den nächsten Band zu lesen. Was ich mache.
Dans un futur très proche, les océans de la planète se sont élevés de plusieurs mètres, engloutissant des régions entières du monde. Les habitants de la Terre ont fuit les rivages pour se concentrer massivement dans les grandes métropoles qui sont encore à l'abri des eaux, quitte à dormir sur des cartons dans la rue...
En France, derrière l'immense dune qui les protège encore de l'océan Atlantique, Flavia vit une existence calme et retirée chez son grand-père, mais pour combien de temps encore, car la dune est attaquée par l'océan qui la grignote jour après jour un peu plus.
De l'autre côté de l'océan, les Etats-Unis ont trouvé la solution : ils ont construit une immense digue sur la côte qui protège les habitants de l'océan et de toute intrusion......
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Une belle histoire où le grand-père de Flavia essaye par tous les moyens d'envoyer sa petite-fille aux Etats-Unis derrière la digue protectrice, afin de la sauver de la montée inexorable des océans.
Une dystopie futuriste où l'avenir est à court terme, où l'espoir n'est plus, où la liberté de la presse et des individus n'existe plus. De quoi largement réfléchir...
Un très agréable tome 1 à découvrir : je recommande !
La tétralogie d' "Océania" : 1) la prophétie des oiseaux 2) horizon blanc 3) sur les ailes du vent 4) le murmure des étoiles.
Ce premier tome d'une tétralogie dystopique a attisé ma curiosité par son aspect écologique mais je trouve qu'au final ce point précis, qui est pourtant la base de toute cette histoire, aurait mérité d'être plus poussé, plus approfondi pour sensibiliser le jeune lectorat auquel il se destine.
Flavia me semble correspondre en tout point au stéréotype de l'héroïne adolescente que l'on retrouve dans presque tous les romans dystopiques pour adolescents ou jeunes adultes : 16 ans, plutôt jolie, plus intelligente que les autres, orpheline, ayant une capacité de patience très limitée mais une "chance" extraordinaire car il y a toujours quelqu'un pour l'aider, la protéger, la sauver. C'est sans doute pour cela que je ne me suis pas particulièrement attachée à elle. En réalité, elle ne fait pas grand chose, ce sont toujours les autres personnages qui font avancer l'histoire. Et son "coup de foudre" réciproque avec Chris m'a laissée de marbre, trouvant cette romance trop forcée.
Je trouvais qu'il ne se passait pas grand chose au final dans ce premier tome : une petite traversée de l'Atlantique et quelques tours sur la digue à New York. D'ailleurs, j'aurais bien aimé que l'auteure nous explique un peu plus précisément combien de temps dure cette traversée de l'océan, combien de temps elle passe à New York, etc. car la notion du temps était assez confuse : parle-t-on de jours ? de semaines ? ou de mois ?
J'ai apprécier la plume, que j'ai trouvée facile à lire. Les chapitres sont courts, un autre point positif.
Sans spoiler quoi que ce soit, il se passe (enfin) quelque chose d'important dans les derniers chapitre, et j'ai été surprise par la violence de l'évènement. Cela reste expliqué de façon assez soft mais j'ai presque eu l'impression de lire un nouveau tome de Hunger Games.
D'ailleurs, sans vouloir faire de politique, le récit aurait presque des accents prophétiques quand il aborde les sujets de l'immigration et de la désinformation et mésinformation aux États-Unis.
Au final, j'ai trouvé le roman facile à lire et divertissant même s'il manquait de substance à mon goût.
Ce roman avait marqué mon adolescence et je ne suis pas déçue de l’avoir relu.
Une expédition à travers un monde au bord du précipice, où les problèmes environnementaux et le réchauffement climatique sont les plus grands enjeux qui existent.
Tous ces grands sujets qui peuvent faire peur sont abordés en douceur, sans pour autant atténuer et enjoliver les choses. La fonte des glaces, la montée des eaux et toutes les conséquences que cela représente sont abordés et je pense que dans les prochains tomes, on abordera d’autres sujets. Il s’agit d’une approche particulièrement intéressante pour sensibiliser les jeunes à qui est destiné cette saga.
Il y a beaucoup de moments de tensions (souvent du à l’indécision de Flavia 🤡) qui permettent de maintenir l’attention du lecteur. Je ne me suis pas ennuyée durant toute cette lecture.
Flavia est un personnage assez intéressant mais dont j’attends encore beaucoup d’évolution à l’avenir. Elle a des comportements très enfantins, justifiable par son jeune âge.
La relation Chris et Flavia était mignonne mais pour l’instant elle n’a pas eu grand grand intérêt.
Fairly good. I don't always enjoy the romance in YA novels, it tends to just go a tad too far, but I really enjoyed the idea of the book , and it was really interesting to see this point of view on climate change and everything related. Flavia is really fun, and I enjoy her stubbornness. I really want to read the second one and will have to borrow it off a friend sometime soon.
i liked this book but don’t plan on continuing with the series. apocalyptic stories aren’t my thing. it’s just that thinking we might experience this stresses me out. also i didn’t feel any kind of chemistry between the two love interest flavia and chris. was wayyy too insta-love for me
Un livre prenant qui aborde l'environnement et les enjeux politiques et sociaux qui en découlent. J'ai beaucoup aimé ce point. En revanche, j'ai eu du mal avec la relation Chris-Flavia qui n'est à mes yeux pas très crédible... Malgré tout, je suis curieuse de découvrir la suite !
Un des livres que j’ai lu le plus dans ma vie (avec les 3 autres 😅) Écriture super simple et le livre convient a une tranche d‘ âge très grande Une histoire d’amoure attachante Le livre montre ce que la planète pourrait devenir, c’est très beau
Flavia vit avec son grand-père, Anatole, sur la côte Atlantique. Mais avec la montée des eaux, Anatole la met sur un voilier en route pour l’Amérique. L’Amérique qui s’est protégée par une immense digue.
Omniprésente est la nature, Flavia a appris à la connaître grâce à Anatole et son ami Matthieu. Anatole lui a appris la migration des oiseaux, Matthieu lui a appris à pêcher. L’eau est important, d’abord parce qu’elle est source de danger, la dune de sable risque de se détruire ; et on passe une partie du livre à traverser l’Atlantique sur un voilier.
Dans un futur proche avec la montée des eaux, l’Europe n’a pas anticipé ces changements climatiques et se retrouve dévastée, les Pays-Bas sont sous l’eau. L’Amérique, quant à elle, s’est protégée et emmurée par sa digue. Sa digue empêchant l’eau et les hommes de rentrer sur sa terre.
Les parents de Flavia étaient des scientifiques, ils ont disparu lors d’un naufrage officiellement. L’énigme des parents de Flavia et sur la Science en général font de l’ouvrage un page-turner.
Avant d’arriver, Flavia est emportée par une vague, elle est sauvé par un Américain, Chris. Celui-ci la protégera, la logera, la cachera car elle est une clandestine ; mais aussi parce que le jeune homme est sous le charme. Flavia et lui, c’est comme une évidence. Elle lui fait ouvrir les yeux sur le monde qui l’entoure et il se mettra à résister.
Un livre catastrophe sur la montée des eaux, l’Amérique protégée par une digue. Une histoire d’amour naissante et touchante. Plaisant et hâte de lire la suite.
J’ai tout simplement adoré cette lecture, les personnages sont si attachants et l’histoire est à la fois fantastique et réaliste. C’est un livre qui se lit très facilement, l’écriture de l’auteure est fluide et légère. Les thèmes abordés par se romans sont très importants et surtout d’actualité, il traite à merveille de l’immigration et surtout du réchauffement climatique. Un poil déçu par la longueur de l’intrigue, qui ne se dévoile réellement que sur les 100 dernières pages du roman.
Das Buch war ein Überraschungsfund in einem offenen Bücherschrank. Ich fand es eine sehr spannende Geschichte und gut erzählt, ließ such sehr flüssig lesen. Leider Frage ich mich bis zum Ende, was Oceania eigentlich ist (wird nur einmal erwähnt), und von der Prophezeihung ist gar nicht die Rede ... Ich denke jedoch, dass ich bei Gelegenheit die nächsten Bücher lesen werde.
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