«Les petits cons de la corniche. La bande. On ne sait les nommer autrement. Leur corps est incisif, leur âge dilaté entre treize et dix-sept, et c'est un seul et même âge, celui de la conquête : on détourne la joue du baiser maternel, on crache dans la soupe, on déserte la maison.»
Le temps d'un été, quelques adolescents désœuvrés défient les lois de la gravitation en plongeant le long de la corniche Kennedy. Derrière ses jumelles, un commissaire, chargé de la surveillance de cette zone du littoral, les observe. Entre tolérance zéro et goût de l'interdit, les choses vont s'envenimer…
Âpre et sensuelle, la magie de ce roman ne tient qu'à un fil, celle d'une écriture sans temps morts, cristallisant tous les vertiges.
Maylis de Kerangal est une femme de lettres française, née le 16 juin 1967 à Toulon. Elle passe son enfance au Havre, fille et petite-fille de capitaine au long cours. Elle étudie en classe préparatoire au lycée Jeanne-d'Arc de Rouen et ensuite à Paris de 1985 à 1990 l'histoire, la philosophie et l'ethnologie. Elle commence à travailler chez Gallimard jeunesse une première fois de 1991 à 1996, avant de faire deux séjours aux États-Unis, à Golden dans le Colorado en 1997. Elle reprend sa formation en passant une année à l'EHESS à Paris en 1998.
Carrière d'écrivain[modifier | modifier le code] Elle publie son premier roman, Je marche sous un ciel de traîne, en 2000, suivis en 2003 par La Vie voyageuse, puis par Ni fleurs, ni couronnes en 2006, Dans les rapides en 2007 et par Corniche Kennedy en 2008. Ce dernier roman figure cette année-là dans la sélection de plusieurs prix littéraires comme le Médicis ou le Femina.
Elle crée en même temps les Éditions du Baron Perché spécialisées dans la jeunesse où elle travaille de 2004 à 2008, avant de se consacrer à l'écriture. Elle participe aussi à la revue Inculte3.
Son roman Naissance d'un pont est publié en 2010. Selon elle, « Il s’agit d’une sorte de western, autrement dit d’un roman de fondation, et la référence à ce genre cinématographique opère dans le texte, l’écriture travaille en plan large, brasse du ciel, des paysages, des matières, des hommes, et resserre sa focale sur les héros qui sont toujours pris dans l’action, dans la nécessité de répondre à une situation. ». Le 3 novembre 2010, l'ouvrage remporte à l'unanimité et au premier tour le prix Médicis. Le livre remporte aussi le Prix Franz Hessel et est, la même année, sélectionné pour les prix Femina, Goncourt, et Flore. Le Prix Franz Hessel permet à l'ouvrage de bénéficier d'une traduction en allemand, parue en 2012 chez Suhrkamp.
En 2011, elle est l'une des participantes du Salon du livre de Beyrouth au BIEL (Beirut International Exhibition & Leisure Center).
En 2012, elle remporte le prix Landerneau pour son roman Tangente vers l'est paru aux éditions Verticales.
En 2014, elle est la première lauréate du Roman des étudiants France Culture-Télérama (ancien Prix France Culture-Télérama), pour son roman Réparer les vivants14 qui a été aussi couronnée par le Grand prix RTL-Lire 2014. Dans celui-ci, elle suit pendant 24 heures le périple du coeur du jeune Simon, en mort cérébrale, jusqu'à la transplantation.
Questa immagine e quelle che seguono sono tratte dal film omonimo diretto da Dominique Cabrera nel 2016.
Sempre la baia azzurra, i tuffi, la schiuma, le grida, gli stessi pischelli che saltano nel mare dei Greci e questo sole inclemente che percuote il litorale, brucia la retina di quelli che fissano la pietra calcarea della corniche, il mare scintilla come lo zucchero, e i calabroni sonnecchiano, è piena estate, il 20 luglio, sono quasi le tre.
Una banda di ragazzini tra i tredici e i diciassette anni provenienti dalla periferia di Marsiglia, e quindi per lo più arabi, si raduna sulla Piatta, una piattaforma naturale a picco sul mare accanto alla strada costiera, la corniche del titolo. Si sfidano nei tuffi, buttandosi giù dagli scogli alti diversi metri, attenti a evitare quelli bassi e affioranti, a prendere il verso giusto della corrente che non li sbatta sulla roccia. Alla banda, comandata da Eddy, soprannominato Bégé, comandante per carisma naturale, si aggrega Suzanne, che abita in una villa protetta dal parco lungo la corniche: è un corpo estraneo, borghese in mezzo ai figli del proletariato magherebino. Ma l’amore non conosce razza, è comandato dai brividi sulla pelle, dal tremore delle vene dei polsi, dalle scintille negli sguardi.
Marsiglia come Napoli e Palermo: in tre sullo scooter senza casco.
Un poliziotto, Sylvestre Opéra, li scruta col binocolo dalle finestre del vicino commissariato, li vuole e deve cacciare, eliminarli perché sono una sfida ai benpensanti, fanno rumore, sono troppo allegri, troppo giovani, troppo belli, troppo liberi. Sul finale fa la sua comparsa un chilo di cocaina. Fin troppa trama per un romanzo di Mayliss de Kerangal, che mi ha abituato a plot ben più scabri. È il suo esordio letterario, 2008.
Un inno all’adolescenza, l’età dell’eternità e del pericolo, del dominio del corpo, qui intesa come età della vita, più che stato dell’essere. Il vero salto non è quello dalla roccia nel mare, ma quello verso e nella vita. Fin da questo suo esordio, la scrittura di Maylis de Kerangal è densa, solida, carnosa, costruita, materica, mostra, e racchiude, i corpi, le rocce, le creste, il sale delle onde. Parole scolpite. Parole che mostrano al lettore rendendolo spettatore: la luce, il calore, l’energia, la corniche, l’adolescenza.
Il racconto si fa minerale, aderisce al paesaggio, roccia per roccia, e poi liquido, una cosa sola con il mare, fino a mimare l’aria, la sua consistenza, ogni tonalità di cielo. Lo stesso vale per i personaggi: aderenza carnale, parole che diventano pelle, muscoli tesi, sudore.
Il y a quelques temps, pas si longtemps mais il semble que cela fasse des années maintenant, je vivais à Marseille. Et puis, comme c'est le cas pour beaucoup d'entre nous, je suis partie à Paris. Et j'ai oublié. Je suis devenue une fourmi, abeille ouvrière dans la ruche exécutant son travail de manière consciencieuse, marchant dans les tunnels sans se poser de questions. J'ai oublié le goût de l'eau quand on boit la tasse. J'ai oublié la brûlure du sel dans les yeux quand on veut voir sous l'eau. J'ai oublié l'odeur de la ville qui cuit sous un soleil de plomb. Et surtout j'ai oublié la liberté. Celle qui nous prend de court quand on est perdu au milieux des eaux, celle qui nous etouffe presque quand on regarde le jour décliner depuis un rocher qui a accumulé le soleil toute la journée, celle qui fait imploser notre corps alors qu'on s'est élancé et qu'on voit la surface de l'eau s'approcher à toute vitesse. Et puis Maylis de Kerangal est arrivée. Elle a débarqué avec son nom un peu aristo et ses mots magiques. Elle a donné des corps à cette liberté et alors je me suis souvenue de tout. Corniche Kennedy c'est un roman qui libère et c'est assez rare pour être souligné.
Je me suis ennuyée durant toute la lecture de ce livre. L'histoire n'était pas trop à mon goût et je n'aimais pas le style d'écriture de l'auteure. Je n'ai pas trop compris l'intrigue et l'intérêt de ce roman. Bref, je ne conseille pas :(
《 Ils ont accru leur vitesse car c'était leur plaisir, impatients qu'ils sont de s'avancer toujours plus vite et plus en avant sur le front de la vie ; ils ont les yeux brûlés par le soleil qui monte devant eux, les joues râpées par les vents, et sur la langue la poussière de l'asphalte : ils ont la peau des aventuriers. 》 Corniche Kennedy, c'est le roman d'été qui vous fait goûter la sensation écœurante d'après avoir bu la tasse, c'est l'histoire de l'enfance trop vite délaissée, l'odeur de la cigarette allongé sur le bord d'une pierre brûlante, le bruit des vagues qui claquent la roche et des cris des courageux qui osent sauter. Bref Corniche Kennedy c'est le parfait réalisme un peu étrange de Maylis de Kérangal mis au service des paysages marseillais et d'un combat contre une jeunesse intrépide.
Primo romanzo che leggo della celebrata de Kerangal. Prima considerazione: non è il mio genere perché io amo le scritture ricche ma semplici, lineari, scorrevoli, lei invece ha una scrittura molto ricercata e molto carica, piena di metafore e ghiribizzi, poetica e intensa direbbero molti, io invece trovo questo tipo di scrittura virtuosistica, fine a se stessa, puro esercizio di stile. Tanto più che -seconda considerazione- è un romanzo in cui succede pochissimo, quasi nulla, e anche per questo non è il mio genere, io amo le storie. Questo è più una fotografia, scattata a un gruppo di adolescenti sbandati che rischiano la vita tuffandosi ogni giorno da un promontorio troppo alto: un inno all'adolescenza spericolata, ribelle, intensa, furiosa. Terzo: è un romanzo fatto di descrizioni, le rocce, il mare, l'afa, la sabbia, il cemento, le erbacce, la polvere, l'asfalto, la ruggine, la sporcizia, sì, sì ho capito, bellissime descrizioni, vive, vibranti, ma dopo un po' che palle. Dialoghi praticamente nessuno, e anche per questo non è il mio genere, io adoro i dialoghi fatti bene. I personaggi sono solo accennati, silouhette, abbozzi; gli adulti, specie il protagonista, commissario di polizia alcolizzato e sfinito (un cliché) sfiorano sempre il caricaturale, il grottesco. Gli adulti sono ridicoli, urlano, strepitano, sono stanchi, patetici, non ce la fanno. I giovani invece sono coraggiosi e intensi. Deja-vu? Ma sì, già visto, già sentito, roba vecchia. Quarta considerazione: il finale non esiste. Dicono che non importa, sarà, ma come sono più belli e coraggiosi i romanzi che hanno un finale, una conclusione, che vanno da qualche parte. Ricapitolando, niente storia, niente personaggi, niente dialoghi, niente finale, cosa resta? Resta lo stile. Forse bellissimo, sicuramente creativo, molto moderno. Ma a me non basta. Se è tutto qui, la celebrata de Kerangal è un bluff, che non farà storia.
Ce livre capte magnifiquement bien l'âge dangereux, difficile et emotionnel de l'adolescence entre 13 et 17 ans. Les descriptions de la corniche et de la vie des jeunes qui passent leur journée au soleil et à sauter des rochers sont époustouflants. J'ai hâte de voir le film maintenant!
Innamorata della prosa della de Kerangal da Riparare i viventi, non sono stata delusa da questo romanzo, anche se leggerlo in francese è stata una fatica. Ho adorato l'ambientazione, la descrizione dei luoghi (Marsiglia, il mare, il sole, le Calanques) e dei sentimenti (l'adolescenza elevata a stato d'animo, un miscuglio di incertezza e coraggio) anche se la trama, soprattutto quella poliziesca, mi è sembrata debole e posticcia.
Il film che ha ispirato è un piacere per gli occhi.
« Ils n’entendent rien, ont oublié tout ce qui blesse, ce qui boite et entrave, ont oublié tout le monde et ne pensent à personne, sont terribles à cette heure, sans scrupules et sans remords : rien ne les pousse dans le dos, rien qu’ils doivent fuir, c’est meme l’inverse, c’est l’avant, ce qui est au-devant qui les fait fuir comme on se presse au bal. »
A meh book overall. L'écriture, le style est original, intéressant, fluide, donne envie de lire. L'autrice explore un aspect du monde: les p'tits cons d'adolescents qui passent leur journée à faire des sauts de 7 mètres dans la mer, à se prélasser sur la plage, à draguer et à fuir la responsabilité. Puis de temps en temps, elle met en place en contraste : on est plongé dans le monde adulte, on suit Sylvestre Opéra, policier, les affaires de prostitution et de drogue. Le deuxième était un plaisir à lire, mais il n'y en avait pas assez. L'attention est focalisée sur les adolescents. Je me suis ennuyé. + La fin n'était vraiment pas une fin digne de se nom. Aucune satisfaction finale
⭐ - le style d'écriture est intéressant/ innovant/ adapté à l'histoire/ donne envie de lire ⭐ - l'œuvre explore un aspect du monde ☆ - l'œuvre explore une idée intéressante ☆ - je voulais y revenir pour continuer la lecture ☆ - elle a changé ma vision du monde ou a apporté qqch
J'ai plutôt bien aimé cette lecture. Il y a pas mal de moments où on a envie de savoir la suite et c'est assez captivant. En revanche il y a aussi beaucoup de pages que j'ai passé car elles n'étaient pas intéressantes à mon goût.
Je n’arrive plus à lire,, donc ce n’était pas le bon moment de lire ce livre mais j’ai quand même beaucoup aimé la plume de l’auteure. Je vais sûrement le relire une prochaine fois!!
Sympa mais sans plus. Un peu de mal à rentrer dedans au début, ensuite j'ai retrouvé l'écriture que j'aime trop mais le sujet et l'histoire sont un peu bof.
Des jeunes désoeuvrés et sans trop de repères se retrouvent pour sauter du haut de promontoires sur la Méditerranée, près de Marseille ; un vieux flic les observe, tout en traquant, poussé par un passé que l'on découvre peu à peu, les trafics de drogue et de prostituées ; les trois histoires vont converger à la fin. Il y a finalement peu d'histoires, ou alors des schémas que l'on connaît déjà (des jeunes têtes brûlées qui veulent aller jusqu'au bout de l'aventure, incandescence adolescente) - parfois les recherches stylistiques paraissent excessives eu égard à la faiblesse du matériel narratif. Quelques incohérence aussi : on nous décrit comment le flux arrive au bureau le matin, avant de nous apprendre qu'il dort sur son lieu de travail... Il reste qu'on finit par se prendre de sympathie pour les personnages sans que l'auteure ait eu l'air de nous pousser dans cette direction et que les images nées de ce roman restent collées à la mémoire comme une vignette.
Per l’esattezza vorrei dare due stelline e mezzo. La scrittura è magnetica, anche originale ma suona un po’ falsa, più che personaggi “figurine” osservate da una certa distanza, ad eccezione di Mario che ha una maggiore caratterizzazione; breve ma non per questo intenso.
Un excellent livre sur l'adolescence! Une écriture qui ne s'arrête jamais, très particulière, addictive, crue par moment, incroyablement riche à d'autres, le texte nous essouffle, nous noie, nous submerge tant il est beau. Les jeunes de la corniche marseillaise sautent dans l'eau depuis des promontoires de plus en plus hauts, et l'interdit les pousse à continuer et à confronter la police jour après jour. Petites amourettes de vacances, chef de bande qui doit tenir son rôle, la vie adolescente est scrutée à la loupe magnifiquement, et l'arrivée d'une jeune fille aisée parmi les jeunes de la cité va tout remettre en cause. En parallèle, le policier Sylvestre Opéra les surveille depuis longtemps, les connaît par coeur, les envie un peu aussi. On entre dans son passé, on comprend ses démons. Les personnages sont entiers et vrais, l'histoire est simple et réelle. Une grande plume qui restera dans les écrits. Je recommande sans hésiter, pour les adolescents autant que pour les adultes!
Enfin un roman de cette auteure qui ne me tombe pas des mains.
Il faut dire qu’il est court, que la tension monte au fur et à mesure des pages, et que le vocabulaire n’est pas trop pontifiant.
J’ai aimé les adolescents si bien croqués, sous le soleil de Marseille.
J’ai moins adhéré au personnage du policier ventru et de son chef prêt à tout.
Certains mots oubliés jetés en fin de paragraphes m’ont fait sourire, comme si l’auteure avait à côté d’elle un dictionnaire des mots disparus et qu’elle piochait dedans.
Je n’oublierai pas de sitôt Eddy et sa bande, ni Suzanne.
L’image que je retiendrai :
Celle des plongeoirs nommés Just do it et Face to Face.
The positive points were that it's a story with teenagers doing bullshit. So we can relate to them : always wanting to do risky thing and shit. I also liked the dual pov with the cop and the mc, it helps us to understand the situation and the danger of jumping from the cliff.
However, I found the characters too cliché, too stereotyped. There's the rich and hot love interest, the one with absent parents, the group of annoying girls... I think it lacked diversity. I didn't like the writing style too. The sentences were too long : I forgot what was said in the beginning when I finished the sentence. I know it's to create musicality and everything but still, if it's a story destined to a 13-17 year old range, it should be a minimum readable.
Déçue… j’avais été éblouie par la lecture de « Réparer les vivants », mais la, peut être un manque d’intrigue, un style qui peine à se définir… pourtant il y a des choses belles, la transcription des sensations avant et pendant les plongeons, quelques beaux mots sur le langage et la littérature, mais au final un sentiment d’inachevé. Pas un mot sur la prostituée russe dont le profil s’évanouit, et des personnages trop brièvement vivants. Aurait mérité plus de place.
Après coup, après maturation, peut être que là réside toute la beauté de ce roman, qui comme un plongeon s’épanouit puis s’évanouit… je ne sais pas quoi en penser.
very nice book for french class. j'ai beaucoup aimé l'ambiance d'été et de Marseille et les histoires entre les jeunes de la Corniche. Although c'était un peu moins envoûtant les histoires du flic qui est au bout du rouleau et un peu insupp. je trouve que c'était moins bien traité (mais peut être réaliste jsp). On voit bien les deux côtés des vies des jeunes où ils sont malheureux chez eux et où ils vivent la vida loca dehors et comment ils finissent par perdre leur amitiés à la fin... ce qui est plutôt décevant et rapide puisqu'ils étaient assez heureux ensemble. Je recommande as a short summer read!
Indecisa fino all’ultimo, ma alla fine le merita 4 stelle. Corniche Kennedy é un libro breve ma che non si fa leggere semplicemente, la scrittura é complessa, lo stile particolare, spesso non si trova un punto per una pagina intera. C’é qualcosa che ha ricordato molto lo stile degli italiani che apprezzo, come Elena Ferrante o Erri De Luca. Forse é l’ambientazione al sud, forse i protagonisti, dei ragazzini che si impadroniscono di un pezzo di città e sfidano polizia, genitori, mare. Bella lettura.
J'adore ce style tranchant en un souffle. Maylis de Keeangal sait à coup sûr instaurer une ambiance, et celle de Marseille au plus chaud de l'été, c'est magique. Mais malgré ça, le merveilleux n'a pas opéré comme je l'espérais. À cause, il me semble, de cette manie de sauter d'une histoire - des adolescents vivants et paumés qui sautent dans la mer, à une autre - l'histoire du flic qui a un lien avec une prostituée russe. Et la fin avec cette prise de came? Nan, ça ne va pas. Il fait se concentrer. Là, on dirait que l'autrice ne sait plus de quoi elle voulait parler.
At first I thought that I wouldn't like it. I didn't really understand the story but after a few pages and chapters i really liked it. It was a book that we had to read for school but I didn't expect it to be that good. As a teenager I think that this is a really good recommendation. Refreshing, extraordinary and kinda unexpected kinda surprising too. Didn't expect some things at all. It explain well how teenagers feel and live. I can sometimes relate to them and I love that !!