Cosa succede al mondo dei "Tre moschettieri", se lo si coniuga al femminile? Come si articola - sotto l'abilissima penna di Dumas - quell'universo fatto di intrighi e avventure, di coraggio e spavalderia, di sentimenti di onore e di passione intensi almeno quanto le ignavie e i tradimenti che sono chiamati a contrastare, se a combattersi, e senza esclusione di colpi, sono le donne? È il 1844 quando appare per la prima volta, pubblicata a puntate su "La Patrie", "La guerra delle donne". Lo scenario è quello della Fronda, degli anni attorno al 1650, di una Francia in cui la regina, Anna d'Austria, e il suo ministro, il cardinale Mazzarino, devono fronteggiare la ribellione diffusa di una nobiltà che ha eletto a suo simbolo la principessa di Condé. Le due madri lottano a nome e per conto dei figli bambini, Luigi XIV e il piccolo Condé. Ma la guerra delle donne non è solo quella dello sfondo storico generale in cui il romanzo si svolge. Altre due donne, le protagoniste, schierate sulle opposte sponde, tessono la trama dei loro fili diplomatici e militari, ciascuna per far vincere la propria parte. Due eroine dai tratti contrapposti: Nanon de Lartigues, la bruna avvenente e irresistibile, brillante, astuta e appassionata; e Claire de Cambes, che dietro l'apparenza della delicatezza, della fragilità, della femminilità sottomessa, cela tesori di coraggio e una impressionante capacità di affrontare le situazioni più drammatiche. Opposte in tutto, Nanon e Claire si accorgeranno di esserlo anche nella passione per lo stesso uomo…
This note regards Alexandre Dumas, père, the father of Alexandre Dumas, fils (son). For the son, see Alexandre Dumas fils.
Alexandre Dumas père, born Alexandre Dumas Davy de la Pailleterie, was a towering figure of 19th-century French literature whose historical novels and adventure tales earned global renown. Best known for The Three Musketeers, The Count of Monte Cristo, and other swashbuckling epics, Dumas crafted stories filled with daring heroes, dramatic twists, and vivid historical backdrops. His works, often serialized and immensely popular with the public, helped shape the modern adventure genre and remain enduring staples of world literature. Dumas was the son of Thomas-Alexandre Dumas, a celebrated general in Revolutionary France and the highest-ranking man of African descent in a European army at the time. His father’s early death left the family in poverty, but Dumas’s upbringing was nonetheless marked by strong personal ambition and a deep admiration for his father’s achievements. He moved to Paris as a young man and began his literary career writing for the theatre, quickly rising to prominence in the Romantic movement with successful plays like Henri III et sa cour and Antony. In the 1840s, Dumas turned increasingly toward prose fiction, particularly serialized novels, which reached vast audiences through French newspapers. His collaboration with Auguste Maquet, a skilled plotter and historian, proved fruitful. While Maquet drafted outlines and conducted research, Dumas infused the narratives with flair, dialogue, and color. The result was a string of literary triumphs, including The Three Musketeers and The Count of Monte Cristo, both published in 1844. These novels exemplified Dumas’s flair for suspenseful pacing, memorable characters, and grand themes of justice, loyalty, and revenge. The D’Artagnan Romances—The Three Musketeers, Twenty Years After, and The Vicomte of Bragelonne—cemented his fame. They follow the adventures of the titular Gascon hero and his comrades Athos, Porthos, and Aramis, blending historical fact and fiction into richly imagined narratives. The Count of Monte Cristo offered a darker, more introspective tale of betrayal and retribution, with intricate plotting and a deeply philosophical core. Dumas was also active in journalism and theater. He founded the Théâtre Historique in Paris, which staged dramatizations of his own novels. A prolific and energetic writer, he is estimated to have written or co-written over 100,000 pages of fiction, plays, memoirs, travel books, and essays. He also had a strong interest in food and published a massive culinary encyclopedia, Le Grand Dictionnaire de cuisine, filled with recipes, anecdotes, and reflections on gastronomy. Despite his enormous success, Dumas was frequently plagued by financial troubles. He led a lavish lifestyle, building the ornate Château de Monte-Cristo near Paris, employing large staffs, and supporting many friends and relatives. His generosity and appetite for life often outpaced his income, leading to mounting debts. Still, his creative drive rarely waned. Dumas’s mixed-race background was a source of both pride and tension in his life. He was outspoken about his heritage and used his platform to address race and injustice. In his novel Georges, he explored issues of colonialism and identity through a Creole protagonist. Though he encountered racism, he refused to be silenced, famously replying to a racial insult by pointing to his ancestry and achievements with dignity and wit. Later in life, Dumas continued writing and traveling, spending time in Belgium, Italy, and Russia. He supported nationalist causes, particularly Italian unification, and even founded a newspaper to advocate for Giuseppe Garibaldi. Though his popularity waned somewhat in his final years, his literary legacy grew steadily. He wrote in a style that was accessible, entertaining, and emotionally reso
"Et moi, je lis un autre roman de Dumas maintenant," m'a dit mon amie italienne. "Lequel?" "La Guerre des Femmes. Voila," et elle a agité un volume rose épais devant la caméra de son ordinateur. "Quoi?! Jamais entendu parler!" "Oui, on dit ici que cette une version féminine des 'Les Trois Mousquetaires'," elle a cité la résumé. "Incroyable! Et pourquoi est-ce que je n'en ai jamais entendu parler?!"
Alexandre Dumas père (1802-1870) (Crédit d'image: Nadar, Public domain, via Wikimedia Commons).
Mais bien sûr que je devais lire une version féminine des "Les Trois Mousquetaires"! Il n'y avait pas une version audio en Français (il y en avait en russe et en espagnol, mais cela me semblait un peu trop de perversion pour écouter un livre de Dumas, et en plus mon espagnol n'est pas assez bon), donc j'ai commencé à lire sur Kindle. Et j'ai lu... et lu... et lu... mais quel ennui... encore un petit effort... voila, enfin c'est devenu un peu plus captivant... et j'ai lu encore... et encore... et je suis tombée malade et j'ai lu en lit pendant des heures... et finalement, j'ai fini. Et maintenant je sais pourquoi il n'y a pas un livre audio en Français et aussi pourquoi je n'ai jamais entendu parler de "La Guerre des Femmes" -- c'est parce que ce roman est une réflexion pâle et faible de "Les Trois Mousquetaires".
Oui, nous avons ici quelques personnages féminins au centre de la scène. Bravo, Dumas, pour cette tentative de changement.
Bien dit, commandant, quoique en vérité, si nous n’y faisions pas attention, les femmes font en ce moment-ci une véritable croisade contre notre autorité : témoin ce que disait devant moi M. le cardinal à don Louis de Haro. — Et que disait-il donc ? demanda Canolles. — « Vous êtes bien heureux, vous ! Les femmes d’Espagne ne s’occupent que d’argent, de coquetterie et de galants, tandis que les femmes de France ne prennent plus à cette heure un amant sans l’avoir essayé sur la question politique, si bien, ajoutait-il d’un air désespéré, que les rendez-vous d’amour se passent aujourd’hui à traiter sérieusement des affaires de gouvernement. » — Aussi, dit Canolles, la guerre que nous faisons s’appelle-t-elle la Guerre des Femmes : ce qui ne laisse pas que d’être flatteur pour nous.
Mais on ne doit pas en attendre trop -- Dumas reste quand même un homme de son temps, et les efforts titanesques et les intrigues diaboliques des deux personnages féminins principaux tournent autours des hommes et leur but principal est d'avoir un objet de leur amour pour elles-mêmes. Une lecture pour féministes, ce n'est décidément pas, tout comme "Les Trois Mousquetaires" ou "Le Comte de Monte-Cristo".
— Cela ne serait pas arrivé, dit Mme de Tourville, si l’on avait suivi mon plan. — C’est vrai, dit la princesse, on ne veut jamais faire ce que nous proposons, sous prétexte que nous sommes des femmes et que nous n’entendons rien à la guerre… Les hommes font à leur tête et se font battre.
En fin de compte, pour mois, l'aspect le plus intéressant de "La Guerre des Femmes" et justement ça: pourquoi ça "ne marche pas" ici, pas même la moitié aussi bien que dans "Les Trois Mousquetaire"?
À première vue, tous les composants nécessaires sont là: la concentration d'intriques et de malentendus est la même ou peut être encore plus élevée, et le mélodrame -- il y en a trop! Donc peut être c'est ça le problème -- trop de mélodrame? Non, pas seulement.
Je crois que le problème principal est dans les antagonistes masculins, est surtout le héros romantique Cannoles -- une figure en carton qui ne prendre jamais vie. D'Artagnan, Athos, Porthos, Aramis -- les quatre archétypes, chacun avec son propre charactér, chacun tellement mémorable et vivant qu'il nous semble les connaître. Et Canolles -- un jeune homme, un très beau jeune homme, un jeune homme brillant qui courre après des belles femmes, ah, regardez, il est courageux aussi, ah, il est très courageux... Une belle figure en carton très courageuse, donc. Et son adversaire diabolique Cauvignac n'est pas beaucoup mieux -- une figure en carton à peine vivante.
Il y a quand même quelques récompenses pour les lecteurs qui persévéreront jusqu'à la fin.
Par exemple, on y rencontrera La Rochefoucauld, le même de Memoirs et Maximes. Et on apercevra que peut être Dumas aimait et appréciait ce personnage historique de la même manière qu'il "aimait" Mazarin: dans "La Guerre des Femmes" La Rochefoucald est cynique et sans pitié, un vrai ange maléfique.
Derrière la troupe allait rêveur, et les rênes sur le cou de son cheval, cet homme au regard faux et aux mains blanches, qui inscrivait plus tard, en tête de ses Mémoires, cette phrase assez étrange pour un philosophe moraliste : « Je crois qu’il faut se contenter de témoigner de la compassion, mais se garder d’en avoir. C’est une passion qui n’est bonne à rien au dedans d’une âme bien faite, qui ne sert qu’à affaiblir le cœur, et qu’on doit laisser au peuple qui, n’exécutant jamais rien par raison, a besoin de passions pour faire les choses. »
Messieurs, dit la reine, au lieu d’attendre ici que ce trait soit raccommodé, il fait beau, l’air du soir est frais, voulez-vous marcher un peu ? — Aux ordres de Votre Majesté, dit M. de La Rochefoucauld en s’inclinant. — Venez près de moi, duc, vous me direz quelques-unes de vos belles maximes ; vous avez dû en faire bon nombre depuis que nous ne nous sommes vus.
Ceci est à considérer, reprit la princesse, tandis que M. de La Rochefoucauld, souriant de son plus méprisant sourire, regardait en pitié toutes ces femmes raisonnant sur des choses de guerre qui embarrassaient les hommes les plus hardis et les plus entreprenants.
François VI, duc de la Rochefoucauld, mémorialiste (1613-1680) (Crédit d'image: Théodore Chassériau, Public domain, via Wikimedia Commons)
Et l'autre récompense c'est la fin elle-même --
Read in 2024.["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>["br"]>
"Voi vi occupate di politica, e ciò è molto noioso, io faccio l'amore, e ciò è molto divertente"
Meglio specificarlo subito: se si è in cerca di un novello pirotecnico d'Artagnan o d'un altro spietato vendicatore come Edmond a cui consacrare il proprio cuore, qui si casca male. La guerra delle donne è un romanzo storico corale, privo di un protagonista catalizzatore; un'opera in cui, spiace dirlo, si avverte da parte di Dumas e Maquet una certa fretta espositiva. Mancano parecchie motivazioni ai sentimenti che spingono all'azione i molteplici personaggi, e spesso le semplici comparse risultano più memorabili dei tanti co-protagonisti. La stessa Storia, quella che il sommo Alexandre con la sua opera di scrittore si fregiava di saper mettere in scena come nessun altro al mondo, in questo caso più che altrove è un mero contorno alle vicende romanzesche.
Tuttavia, per quanto privo della forza, dello slancio e della portata omerica dei capolavori di Dumas, il romanzo è ugualmente trascinante, rutilante, inaspettato, sorprendente. Si legge che è un piacere e arrivati alla fine se ne vorrebbe ancora. Gli argomenti toccati da Dumas sono come sempre fra i più varî: l'indole umana, la follia amorosa, l'ipocrisia dei potenti, l'assurda crudeltà delle guerre civili, l'arte di arrangiarsi, il prezzo della fedeltà in un vuoto ideale e molto altro ancora. Ma il vero fulcro del romanzo, il suo motore romanzesco, è una scintillante commedia degli equivoci, un pirandelliano giuoco delle parti fatto di ripetuti travestimenti, scambi di persona, mascheramenti, qui pro quo, una giostra di continui colpi di scena in un crescendo di suspense e tensione narrativa che nel finale arriva a sfiorare le vette della miglior produzione dell'imperatore dei feuilleton.
Non manca mai, nei romanzi di Dumas, un'acuta riflessione sull'agire umano; nello scenario storico caratterizzato dalle lotte di potere della Fronda, fra bellicose principesse, nobili cavalieri, dame incantevoli e pericolose, fedeli amici e astuti scampaforca, una domanda sembra sgorgare dalla penna dell'Autore: chi porta davvero la maschera? Le pedine della guerra che, chi inseguendo un ideale, chi per amore, chi per tirare a campare, sono costrette a ricorrere a mille travestimenti e sotterfugi, oppure i potenti, coloro che tutto possono, silenti colpevoli che nascondono i propri volti ipocriti sotto il velo dell'innocenza e della giustizia derivanti dal loro diritto divino a governare? Emblematico in tal senso il capitolo finale, in cui Dumas stesso scioglie l'enigma:
Non il miglior Dumas di sempre, dunque, ma un intrattenimento di tutto rispetto; ad avercene di libri così!
Avrei dovuto leggerlo in 4 settimane con un favoloso gruppo di lettura a cui sono debitrice di questo nuovo avvicinamento ai Grandi Romanzi Dumasiani, della cui lettura mi sono privata in tutti questi anni non so neanche io perchè, e invece l'ho letto in qualche giornata. Non so se l'insonnia notturna degli ultimi due giorni sia stata causata dal desiderio di finirlo, o se avendo a disposizione un paio di notti insonni io ne abbia approfittato, fatto sta che l'alba è sorta sulla parola fine (e sulla consapevolezza che Dumas ah Dumas, boia d'un vigliacc direbbe un romagnolo, dove vigliacc non significa vigliacco ma ribaldo).
Perché iniziare un qualsiasi romanzo di Dumas (senior) significa farsi prendere da una malìa inarrestabile che costringe a leggere capitolo dopo capitolo, rimanendo fissi col pensiero a cosa accadrà successivamente. Anche quando i personaggi non sono particolarmente simpatici o interessanti*, la capacità di costruzione delle storie singole intrecciate alla Storia di Dumas è fenomenale. Più lo sfondo è complicato, più Senior gode a infiorettare, fregandosene sostanzialmente dell'accuratezza, poiché quello che gli interessa è un arazzo di fondo con qualche figura che si staglia, un ordito su cui incastonare le sue gemme sfavillanti, le pietruzze colorate, i fili opachi, i nastri, i festoni. Mi sono buttata sui capitoli mai sazia, come una Madame Tourville mai sazia di piani di guerra, e mi sono fatta prendere la mano incredula che ancora una volta avrebbe prevalso la faccia tosta ma soprattutto l'indifferenza dei reali.
*a grandissime linee, siamo dalle parti della Fronda dei nobili, il Gran Condé è in prigione a scontare i suoi tentativi di alzare la cresta e spodestare il reuccio, Anna&Mazzi. E così la principessa di Condé (moglie) chiama a raccolta i nobili per un braccio di ferro a chi ce l'ha più .... reale. Ci sono due adorabili fanciulle, che si nascondono in vari modi (una sotto panni maschili, l'altra sotto sembianze di fanciullina ingenua) per manipolare i maschi che tentano di dirigere le loro vite, ci sono le principesse che per la causa sacrificano anche la parola data, ci sono le intelligenze che devono combattere quotidianamente per fare prevalere il buonsenso sulla forza bruta, ci sono le figure di contorno, a cui Dumas dedica forse le sue più belle pennellate. Le scene d'amore in genere sono strazianti, sia per il contenuto che per la forma, tante lacrime, sospiri, sguardi tremuli, singhiozzi, mani che dicono tutto. Una noia. Mentre le scene di battaglia, ma soprattutto delle sommosse, ah, si vedono gli echi della rivoluzione! L'ultimo capitolo sarà stato un pegno al bacchettonismo che stava invadendo la France. Alla fin della festa la regina Anna e la principessa di Condè se ne vanno insieme in carrozza, regalmente superiori agli sfracelli che hanno causato nelle vite altrui
i figli so piezz 'e core. soprattutto se ti chiami anna d'austria o principessa di condé, e di mezzo c'è il potere sulla francia dove la fronda nobiliare insidia l'autorità della corona. per assicurare una brillante carriera alla progenie, la regina già al centro de i tre moschettieri (qui però son passati vent'anni e a un certo punto dumas, in deficit di riguardo cavalleresco, lo sottolinea pure) si oppone alla sua rivale per vie diplomatiche, il che essendo in un feuilleton vuol dire chiaramente che se ne fanno di ogni. in primo piano però ci sono altre due dame fedelissime delle precedenti: nanon de lartigues che sta con anna, e claire de cambes supporter della principessa. oltre alle trame politiche, a queste preme contendersi l'amore dello stesso uomo, un monsieur de canolles qualunque che invero, e come spesso capita, non ci pare meritare tutto 'sto zelo. ma il plot è plot e qui si legge con piacere. anche perché nel repertorio c'è tutto: intrighi, assalti, battute brillanti e scambi di persona come è giusto che sia. canolles finirà male (ma parecchio) mentre le due nobildonne si ritroveranno - con scena madre non esente da stereotipi - a cercar riparo dal mondo nella tranquillità di un convento a peyssac, dalle parti di bordeaux. e anche se come approccio letterario noi come monastero si preferiva quello delle carmelitane scalze dietro cui incrociavano le lame moschettieri e guardie del cardinale, a questo in cui le ex acerrime nemiche stringono al petto un medaglione coi capelli del caro estinto, dumas è sempre dumas, e non è che ci si annoi mai. stupita dall'aver nei giorni scorsi visto il libro in due vetrine diverse, una milanese e una d'oltralpe, l'ho ripreso in un pomeriggio che meteorologicamente chiamava a gran voce: feuilleton! beh, saltellando qua e là mi ci sono proprio divertita. anche del finale, dove dumas mette le mani avanti non escludendo un sequel, e avvertendo che la pretesa pace non è che una tregua, perché «la guerra delle donne non era ancora finita». più che un uomo, una casa editrice.
7 AUG 2016 - beginning the proofing of Volume 1 of 2. I am excited. Soon you will have the opportunity to download this book for free at Project Gutenberg.
27 AUG 2016 - Fantastic! This book has it all - intrigue, assumed identities, passions of the heart. I have completed the proofing of Volume 1 of 2. I will email asking for Volume 2 later today.
28 AUG 2016 - received Vol. 2 this morning. Will begin proofing this evening. I got so caught up in the "reading"/proofing of Vol. 1 that I had to start a section over because I just read over the errors (though there were not so very many).
11 SEP 2016 - Volume 2 completed.
Oh, goodness! What a great read this turned out to be. I loved every minute of it and my 5 stars reflect this. I am sad knowing these characters will not be waiting for me. I feel certain you will enjoy this novel, too. Please wait for it to be made available on Project Gutenberg (for free!). Enjoy!
Avevo scelto di leggere Dumas per trovare un po' di conforto, lo conosco bene e sapevo mi avrebbe intrattenuta a dovere, mi avrebbe regalato avventure e nobili sentimenti. E qui c'è tutto: azione, intrighi, politica, storia, amore. Mai un momento inutile, mai un momento di noia, ci sono tutti gli elementi che ci si aspetta di trovare dalla penna di Dumas. Ma il finale mi ha uccisa. A partire da pagina 500 non capivo più nulla, mi sono trovata avvolta in una nube di "che costa sta succedendo perché sta succedendo" e così in loop fino all'ultima pagina. Mi hai spezzato il cuore Dumas, ma grazie ancora per un'altra bellissima storia.
Pochi come Dumas sanno catapultare il lettore all'interno del romanzo appena dopo pochissime frasi e ne sanno mantenere l'interesse per tutto il tempo. Nonostante questo non sia certamente uno dei suoi migliori lavori, non facevo che pensare che avrei voluto che fosse più lungo, con più sottotrame e più approfondimenti. È difficile esserne sazi. Eppure è tutt'altro che un libro perfetto... Il suo principale difetto sta nella gestione dei personaggi, in quanto il lettore non riesce a seguire pienamente l'evolversi delle loro motivazioni. Certi passaggi risultano dunque affrettati o incompleti. Essendo un romanzo corale soffre particolarmente sotto questo aspetto perché non c'è un personaggio ad attirare l'attenzione su di sé. Usa la Storia per parlare d'amore, di tradimento, di gelosia e di sacrificio. Mentre dipinge una Francia spezzettata da guerre interne, non perde l'occasione di criticare i potenti che muovono i loro sottoposti come pedine nei loro giochi di potere, mai sfiorati dal peso delle morti che si lasciano alle spalle. La trama è sempre viva e la penna di Dumas fantastica. È un romanzo minore ma comunque una piacevolissima lettura.
Ambientato nella Francia del Seicento durante il periodo della Fronda, “La guerra delle donne” è uno dei tanti piacevoli romanzi scritti da Dumas (padre). Nanon de Lartigues e Claire de Cambes – innamorate dello stesso uomo, rivali in guerra e in amore, che combattono senza esclusione di colpi – sono le protagoniste che reggono le sorti di una vicenda dall’intreccio appassionante e divertente ma anche fosco e tragico, su un'epoca remota e da riscoprire. Qui gli uomini sono sullo sfondo, relegati a un ruolo da comprimari. Il libro è godibile, la narrazione non è mai pedante e le emozioni, gli intrighi, le avventure si susseguono e rendono la lettura scorrevole. Parbleu, è pur sempre “Dumas-santosubito-padre”, e di Dumas non si butta via niente, ma questo romanzo è e resta un puro e semplice romanzo d'appendice in cui non c’è traccia dell'ironia, della potenza, della cialtroneria e del trascinate spirito avventuroso dei Tre Moschettieri. Decisamente meglio questi, a cominciare da lui, il tormentato, romantico Athos.
Non credete a chi dice che questo romanzo è l’alter ego femminile dei Tre moschettieri. Le donne al tempo di Dumas non facevano certo la guerra a cavallo e in pantaloni. Ma sono loro che in qualche modo muovono le fila di un piano strategico che vede attorno personaggi illustri, re, principesse, regine, Mazzarino e numerosi nuovi amici che combattono su vari fronti. Potremmo dire che il romanzo è riuscito nella misura in cui sei avvinto dalla trama, voi sapere cosa succede dopo, ci sono azione, amori, colpi di scena, intrighi e sotterfugi come nella migliore tradizione dumasiana. Però qui i personaggi sono poco caratterizzati, se non con cenni lievi e fugaci, l’introspezione psicologica quasi assente, se non nell’ultima parte del romanzo, pochi i personaggi riusciti: Cauvignac e fra le donne forse Nanon. La morale esiste: degli affanni del popolo il Regno non se ne cura. E forse le cose non sono poi così cambiate dopo tanto tempo.
Alexandre Dumas, Sohn des Porthos von Bonaparte, dem seine schöne Handschrift die erste Stelle beim späteren Bürgerkönig Louis Philippe eingebracht hat, soll sich das Handwerk des Schriftstellers durch die Übersetzung von Schillers Kabale und Liebe selbst beigebracht haben. Zwischen dem ersten Drama und dem ersten Roman liegen 15 Jahre, die Bühnenroutine ist auch diesem Bürgerkriegsroman noch sehr anzumerken: Es gibt ein paar potenzielle Aktschlüsse mit dem größtmöglichen Knalleffekt, eines der Markenzeichen des Erfolgsdramatikers, der in Sachen Durchführung, Psychologie und Charaktertiefe ziemlich viel den, leider nicht vorhandenen, Schauspielern überließ. Die Plastizität und Lebhaftigkeit der Figuren, die etwa die drei Musketiere positiv von de Vignys Cinq-Mars oder Verschwörung gegen Richelieu unterscheidet, fehlt hier vollkommen. Allenfalls der opportunistische Erpresser, Räuberhauptmann und spätere Condottiere Cauvignac vermittelt eine leichte Ahnung, bzw. wäre die männliche Paraderolle gewesen. Natürlich ist der Schuft, dem man einfach nichts übel nehmen kann, auch in zahlreichen Situationen der Doppelgänger des nominellen Helden Canolles, einem hugenottischen Edelmann, der auf Seiten von Königin Anna und des knausrigen Kardinal Mazarins steht, als das Drama beginnt. Cauvignac hat gerade die Daten des Stelldicheins des Schönlings mit seiner Schwester an den 55jährigen Gatten verkauft. Für eine Blankovollmacht des Herzogs von d'Epernon, Oberbefehlshaber der Königlichen Streitkräfte, die im weiteren Verlauf der Handlung noch einige Bedeutung beim Schürzen des Knotens bis zur tragischen Auflösung bekommt.
Die Musketiere d'Epernons, die von seinem Vater gegründet wurden, lauern schon vor dem Haus mit dem Gewehr im Anschlag im Gebüsch, während Canolles ahnungslos seinem Verhängnis entgegen reitet. Doch ein junger Reisender, die Hosenrolle im Drama, hat vom Hotelzimmer aus den Hinterhalt erspäht und warnt den schönen Reitersmann. Der platzt mit seinem Dank dann in die Vorbereitung zu einem Verschwörer-Diner, denn der junge Mann ist in Wirklichkeit die Vicomtesse de Cambes, eine enge Vertraute der Prinzessin de Condé, deren Gatten die Königin Anna in jenen Turm von Vincennes gesteckt hat, aus dem Athos und Aramis in Zwanzig Jahre danach den Herzog von Beaufort (angeblich der leibliche Vater des Sonnenkönigs) befreien werden. Im Krieg der Königinnen ist die Prinzessin das Haupt der Aufständischen und geht, im Namen der Staatsräson, schon mal über Leichen, der schöne Baron Canolles gerät dabei mehrfach zwischen sämtliche Feuer. Nanon de Lartigues, seine einflussreiche reiche Geliebte, die ihm gar nicht mehr so schrecklich viel bedeutet, seitdem er erst einmal Witterung von den weiblichen Reizen der Vicomtesse genommen hat, verschafft ihm hohe Ränge im königlichen Heer, um die Rivalin aus dem Feld zu schlagen. Die wiederum kennt Geheimgänge, - nicht nur zu seinem Herzen -, die auch die beste Strategie durchkreuzen. Doch zwischen den Fronten spielt auch noch Cauvignac, der seine Truppe regelmäßig an beide Seiten verkauft, Schicksal. Auch als Nanons leiblicher Bruder, da die Schöne aus dem Dunstkreis von Königin Anna nichts unversucht lässt, um ihren schönen Geliebten aus der Geiselhaft der Rebellen zu befreien, nachdem die Majestät mal wieder Unrecht vor Gnade ergehen lässt und einen unbescholtenen Rebellenkommandanten und besten Freund Canolles für die Verbrechen Cauvignacs hängen ließ. Im Moment sitzen aber der Schuft wie der Liebende in Geiselhaft, die Frage ist nur noch: welcher von beiden bekommt als Repressalie den Strang. Oder doch alle beide? Oder auch, wer ist nun der richtige Bruder?? Denn für dessen Freilassung wurde der Kerkermeister mit 40.000 Livres bestochen. Und die beiden sind für Uneingeweihte leicht zu verwechseln, denn in der ersten Verlegenheit nach dem verhinderten Stelldichein hatte sie das für Canolles vorbereitete und dann vom überraschend heim gekehrten Gatten verzehrte Souper als Einladung an ihren Bruder ausgegeben. Zum Frühstück hatte sich dann aber der leibliche Bruder Cauvignac eingestellt und zumindest mittels physischer Präsenz den Erklärungsnotstand der Schwester beendet... Und d'Epernon bekommt bis zuletzt nicht so recht mit, wer nun sein Schwager ist. Ziemlich verwirrend, manchmal fühlt man sich an Shakespeares Komödie der Irrungen erinnert. Wie eingangs erwähnt, es steckt ziemlich viel unreflektierte Bühnenroutine in diesem Roman, aber mit Königin Anna schon eine Ahnung von späterem Unheil und Undankbarkeit, die ein d'Artagnan bis zuletzt am eigenen Leib erfährt, während Aramis und Athos schon früh zur Gegenpartei übergehen. Der beste Musketier-Roman war der Hauptgrund für diesen spontanen Abstecher ins Frühwerk, die drei Sterne sind eher eine Höflichkeitswertung für einen Stoff, der in dieser Verarbeitung eher als Opernlibretto getaugt hätte. Zumal einem der zwischen zwei Bürgerkriegslager geratene Canolles, dem sein Herz keine Wahl lässt, streckenweise wie der Urahn von Verdis Radames daher kommt. Seine großen Romanerfolge hat Dumas ja in Zusammenarbeit mit Auguste Maquet geschrieben, dessen im Jahr darauf entstandener Roman Le chevalier d'Harmental so etwas wie den Auftakt zu den Großtaten darstellt, auch wenn der Sklave den Roman erst einmal im Alleingang geschrieben und der Meister erst nachträglich sein Genie und das verkaufsfördernde Etikett eingebracht hat. Wäre doch mal interessant, sich jenen vor dem Graf von Monte-Christo und Musketieren entstandenen Verschwörer-Roman aus dem Inter-Regnum nach dem Tod des Sonnenkönigs durchzulesen. Aber der Blick auf die Strukturen der Musketiere mit Prolog und vier Haupt-Episoden macht deutlich, wie viel Drama noch im Aufbau der reiferen Romane steckt. In Sachen Erkenntnisgewinn hat sich der Abstecher auf jeden Fall gelohnt, wer Opern mag und sich nicht an allerlei Ungereimtheiten und Verkleidungsnummern stört, über die einen sonst wunderschöne Musik hinweg tröstet, wird seinen Spaß damit haben. Im Vergleich zu Akt III und IV der Drei Musketiere und erste recht den Fortsetzungen, ist das Ganze schon eine alte Klamotte, wiewohl d'Artagnans Nächte mit Milady als Graf von Vannes noch so ein Echo sind, - aber gerade da trügt der Schein. Nachts sind alle Katzen grau beruht auf den Memoiren des echten Musketiers und wurde vom Bearbeiter Dumas um alle nicht jugendfreien Stellen bereinigt.
Plot twists, intrigue, characters intwined mysteriously in each other's past and current lives. I was lulled into an enjoyable read, following the political turns of war and loyalties, amazing escapes, both like-able and dastardly characters - then - Wham! - the pace took off and I couldn't expect what was coming or believe it when it did! Okay, I even teared-up a little. Nobody wraps up a plot like Dumas, and he is gracious enough to give conclusions to all his characters.
Del più noto romanzo di cappa e spada si celebrano in primis i protagonisti, multisfaccettati, vigorosi, intriganti. Cambierebbe qualcosa se fossero donne? Nel 1844 Dumas sorprende, se si pensa al suo testo celebre "I tre moschettieri" affiancando questo romanzo dal potere prettamente femminile, quasi fosse un esercizio di stile. Leggero e divertente, non rimane memorabile ma è indubbiamente appagante.
A los amantes de Dumas les gustará esta novela, pues contiene todos los elementos típicos de su estilo (el contexto histórico, el romance imposible, las intrigas de la corte, etc), aunque se extiende más en escenas románticas cursis que otras de sus novelas.
La edición de Mauro Armiño contiene una gran cantidad de información, que a veces llega a ser abrumadora, pero siempre es muy ilustrativa. Así que además del libro, recomiendo esta edición en particular.
Oh insomma siete due donne con i controcazzi, lasciate stare sto conollas che si diverte solo a fare l'eroe e a correre prima dietro a una e poi dietro all'altra. Potete avere di meglio, accidenti, e no, il meglio non è dio.
A parte tutto caruccio dai, si è fatto leggere bene.
My all times favourite. Slow at start but then it picks up pace and with Dumas distinguished descriptions and twists, unable to put down or even sleep before last page is read!
Collocato più o meno tra I tre moschettieri e Vent'anni dopo, è un classico romanzo a puntate prodotto dalle Premiate Officine Dumas, generalmente marchio di garanzia per intrecci elaborati e avvincenti, eppure non privi - anzi - di qualità letteraria sopraffina.
Nello specifico, si tratta chiaramente di un titolo minore, una specie di lungo copione \ soggettone, che di fatto è solo una sequenza di eventi, alcuni interessanti, altri meno, altri per niente, animati da figurine senza grande spessore. Chi ha presenti i grandi personaggi dumasiani, se li scordi, qui non ci sono. Se ne potrebbe trarre una bella serie tv (avendo budget e cast adeguati), ma non è certo alta letteratura. Il meccanismo come sempre gira, a tratti avvince (specie il sottofinale), ma non è il motivo per cui leggerei un libro.
In 600 pagine circa, inevitabilmente (direi, ovviamente) qualche perla si trova, qualche battuta fulminante, un paio di scene ben costruite e davvero all'altezza del marchio (vien da dire, forse quel capitolo è capitato quando il Padrone delle ferriere aveva un mezzo pomeriggio libero, così non l'ha subappaltato ai suoi celeberrimi "negri").
Donne ovviamente sugli scudi, dato il titolo, ed è forse la trovata più interessante, un "cappa&spada" egemonizzato da protagoniste femminili, principesse ribelli, viscontesse innamorate, regine vendicative, favorite senza scrupoli che seducono duchi \ principi \ baroni etc. Peccato che le gentildonne in questione, sommate, non fanno una Milady de Winter, anche se l'evoluzione parallela delle due antagoniste della sottotrama "rosa" (Claire de Cambes e Nanon de Lartigues) è la cosa migliore del romanzo.
Personaggi maschili a bizzeffe, memorabili onestamente nessuno, nel GDL virtuale è uscita una suggestione leoniana, a cui mi sono immediatamente accodato, per cui se il protagonista Canolles è il Bello e l'astuto Cauvignac è il Brutto, il Duca di La Rochefoucauld (sì, quello delle Spigolature o come si chiamava la pagina della Settimana Enigmistica), se non il Cattivo quantomeno è l'antipatico della situazione.
Confermo altresì a chi ha notato per primo questa cosa che sì, tutti noi che abbiamo visto la Trilogia del Dollaro un gazziliardo di volte abbiamo pensato che (in una delle scene clou)
Il finale lascia aperti molteplici sviluppi che purtroppo il cinema francese non ha colto, non avendo avuto un filone decamerotico come quello nostrano, altrimenti se ne sarebbero viste delle belle (idee per un casting: Gloria Guida per Claire e Edwige Fenech per Nanon, nata per la parte; se avete letto capirete, se leggerete, idem; se dovete chiedere, non voglio conoscervi perchè chiaramente non avete mai visto "La bella Antonia prima Monaca e poi Dimonia").
Detto questo, io avrei preferito una chiusa hardboiled con l'esangue Claire de Cambes che si trasforma nella Viscontessa di Montecristo e gira per la Francia facendo fuori principesse assortite e pure il tipo della Settimana Enigmistica, che (come detto) chiaramente è un po' il Lee Van Cleef della situazione.
"Ehi Canolles, lo sai di chi sei figlio tu? Sei figlio di una grandissima..."
This book features two steely and preternaturally modern heroines fighting on opposite sides of the wars that ravaged seventeenth-century France. Really funny while being a page turner!
Il regno del giovane Luigi XIV è traballante e se ne deve accupare la regina madre Anna D'Austria e il suo fido (e amato) Mazzarino. Ma dove li abbiamo già incontrati questi tre? Beh nella trilogia dei moschettieri, ma questo romanzo si insinua potente nella prima parte de "Il visconte di Bragelonne" e lascia più spazio a una caparbia regina pronta, in nome del re, a soffocare ogni tipo di ribellione. Ma dall'altra parte ci sono altre donne, prima fra tutte la principessa di Condé, a rivendicare ruolo e politica. Perché questa è la guerra che le donne conducono in nome dei loro figli o mariti scomparsi. Ed è anche un romanzo d'amore. Perché dove andrebbe Dumas senza metterci un amorazzo così?
Molto meno svenevole del suddetto visconte di Bragelonne, meno avventuroso de "I tre moschettieri", Dumas scrive un altro romanzo storico della Francia del XVII secolo, in cui le vicende militari e politiche di fame e potere della Francia fanno da sfondo a quelle molto più umane dei suoi protagonisti regalandoci un testo gradevole, ben scritto, che colpisce sul finale, regalandoci personaggi così diversi ma tutti complementari a rappresentare la visione femminile che ha Dumas.
A tratti ho trovato il romanzo estremamente avvincente, più spesso però, ho fatto fatica e ho dovuto lottare per ultimare la lettura. La scrittura è impeccabile ma questa volta il Dumas-padre non mi ha convinta. Dopo il Conte di Montesilvano, uno dei più grandi capolavori mai scritti, mi aspettavo qualcosa in più. Proverò con i tre moschettieri.
A partir del título, La Guerra de las Mujeres, me hice expectativas sobre el rol que tendrían las mujeres en la novela, y su participación real ha venido a ser una mezcla de esas suposiciones. Abundan las mujeres en puestos importantes en la historia, pero las que tienen poder político lo ejercen "pretendiendo ser hombres" o "reprimiendo su verdadera naturaleza", y aquellas cuya relevancia reside en su personalidad tienen también estos rasgos justificados no por ellas mismas, o bien son señaladas como excepciones. Hay una mujer definida por su fuerte carácter e inteligencia que pasa a ser "una mujer normal" cuando las circunstancias hacen que caiga en el llanto y los nervios, y a su vez tanto el comportamiento de esta como el de otra protagonista (que se torna audaz y decidida, opuestamente a su carácter anterior, a medida que aumenta su enamoramiento) parte de la influencia de su pasión por un hombre.
La conclusión a sacar de esto es que La Guerra de las Mujeres pretende alternar el foco de atención (y aún así durante parte del libro los personajes masculinos parecen llevar la historia), pero bajo esas atenciones hay muchas de las viejas ideas, y por tanto ofrece poco en ese aspecto.
Como lectura es irregular, ya que una vez ha instaurado a las protagonistas y su interacción empieza a cobrar carácter, traslada su atención a los personajes históricos, a quienes les lleva muchas páginas volverse mínimamente interesantes. Aún así se encuentran los rasgos más virtuosos de la escritura de Dumas como, ocasionalmente, los geniales intercambios hablados, y la composición final en la que van encajando admirablemente todas las piezas, a lo que se añade un desenlace que saca a la luz todo el cariño desarrollado por los personajes.
Seguramente sea la tendencia de Dumas de supervisar sus historias con un hilo de contexto histórico lo que da lugar al epílogo, donde suceden reencuentros y los personajes revelan sus corazones pero deja, por encima de ello, el recordatorio de los eventos generales (aquellos que más carecían de emoción y franqueza) como la última palabra. Ya que la historia de los protagonistas (y no las personalidades históricas) había tomado tintes de tragedia, y con desenvoltura además, las últimas páginas previas al epílogo hubieran bastado como un final más sentido y muy digno.
Dumas is the master of encapsulating physiognomy in writing. Reading Dumas feels like having a front row seat for a play. Characterization and dialogue are superb.
If you enjoyed The D’Artagnan Romances, including The Three Musketeers, you will likely also enjoy The Women’s War; another fabulous tale of historical fiction set during the early years of Louis XIV when Queen Regent Anne of Austria ruled France.
Although the main theme is somber with rebellious forces plotting to overthrow the throne, Dumas still manages to entwine witty humor throughout. I lost count of the number of times I laughed out loud. I empathized with nearly every character regardless of what side they were on; a clear sign of a job well done.
Several plot twists and turns exist, and some surprised me. The ending provides closure for all fo the focal characters. It was heart wrenching and I was in tears after finishing.
This was an interesting book in that it has much of the Dumas style and enters into a piece of French history I am not familiar with. The characters were all spirited and it was lovely to have women as the central force. Many of the books event pivot around possibilities and rash action which drove me nuts and the inconstancy of the men was irksome. However it is a recommended read if you've gone through other Dumas novels and found them favorable.
Debo decir que esperaba una situación diferente, pero no me disgustó en lo absoluto. Pensé que veríamos más acccion y mujeres tomar espadas y luchar entre ellas, pero fue una lucha más pasiva que incluso no hubo enfrentamientos, sino influencias.
Sentí tristeza por Canolles pero no tanta. Creo que si hubiera quedado con Claire tampoco habrían sido tan felices con el tiempo. Canolles era una persona enamorado de lo nuevo. Si alguien ama a dos personas a la vez, entonces no ama a ninguno. Se ama a sí mismo. y de mala manera.
Por eso no me dolió que no quedara con Claire o Nanon.
Direi che si può a pieno titolo parlare di una guerra tra donne, ma non solo per le scaramucce amorose. Le due rivali principali sono Nanon, rappresentante della fazione della regina, e la viscontessa di Cambes, campionessa della principessa di Condè; ma oltre alle battaglie per il potere ci sono anche gli amori del generale di Canolles che fanno da cardine principale del dramma.
La vicenda si svolge 20 anni dopo i Tre Moschettieri ma sono comunque ben percepibili i loro strascichi: gli scontri, i colpi d’azione alla fine di ogni capitolo e gli intrighi d’artagnaneschi ne fanno da padroni. Le due protagoniste (vice squadra delle due fazioni) sono descritte nelle loro vicende amorose, i loro caratteri si forgiano e cambiano a seconda di come mutano le loro situazioni sentimentali. Dumas riesce ad analizzare in modo magistrale il cuore femminile, le sue rivoluzioni, la sua volubilità, i suoi dolori più profondi. La guerra in sé e per sé prende tutto il libro, ne fa da sfondo principale. Si vede come, in questo caso, siano le donne la vere artefici degli scontri, delle morti e delle decisioni. La fine tragica del romanzo non fa concludere la Guerra vera e propria, ma fa sì che le due rivali in amore si riconcilino.
A differenza di molte altre opere di Dumas questo ha saputo prendermi un po’ meno. L’azione è enormemente presente, come di norma, ma non so come mai non sono riuscita ad affezionarmi e coinvolgermi con nessun personaggio, nemmeno coi protagonisti.