Théo d'Or ’s Reviews > Les Choses > Status Update

Bonjour, Théo !

Ils étaient familiers avec L'Express et aspiraient à des divans Chesterfield.

Je ne suis pas allée chercher l'IA. Je suis en train de lire le livre.

....et aujourd'hui ils auraient aspiré à une Ferrari Purosangue, n'est-ce pas ?

Ah, ils seront éclairés, j'èspére.

... Aujourd'hui, ils pourraient rêver comme moi, de plages désertes et de voyages aux confins du monde.

Et vivre pleinement, surtout....

Existe-t-il encore à Paris ces lieux où le couple flânait en achetant des antiquités, Théo ?

(Y a-t-il une erreur de concordance dans ma phrase ?)

Mais bien sûr, Celeste. Ces endroits existent toujours. Les couples flânent encore dans les marchés aux puces, les petites boutiques, les galleries cachées...Le marché Paul Serpette est mon trésor adoré, mais aussi Village Suisse, plus proche de moi. La Golconde aussi...et beaucoup d'autres. Paris n'a pas changé sur ce point. Si tu reviens, Paris t'attend. Rien n'a vraiment changé. Peut-être est-ce là
son charme - il est resté le même depuis toujours.
Tu peux y revenir et revivres les mêmes émotions qu'autrefois...

Merci, Théo ! Tu est aussi un flâneur.

La dernière fois que je suis allée à Paris, j’avais 17 ans et je ne savais même pas comment demander de l’eau. J’ai étudié le français seulement deux ans en classe. Des verbes, encore des verbes...

Hahaha, ces verbes rebelles, jamais bien rangés, ils rient sous leur cape, prêts à te piegér 😄
Mais tu te souviendras, bien sûr, des temps où tu jouais avec tes pierres...

AH...AH... Il y a un autre souvenir du Louvre qui me revient… mais celui-là, je ne peux pas le partager en public.
C'était quelque chose que ma sœur a dit, et cela la poursuit encore aujourd'hui. Elle avait 5 ans, et moi 6. C'est la phrase la plus emblématique de ma sœur.

Laisse- moi deviner : elle a dit " Être ou ne pas être". C'est ça ?

Non. Même l’IA m’a laissé tomber. Elle a dit qu’elle ne savait compter que jusqu’à 18. Et toi, as-tu une idée de ce qu’elle comptait ? Cela n’a de sens qu’en portugais. Je n’arrive pas à trouver le mot juste en français.

Bien sûr. Elle comptait les rats qu'elle avait aperçus là -bas. Encore aujourd'hui, ils sont bien plus que 18 🤣

No.....
Petit indice...Tu es en train de lire un livre de Boris Vian, n'est-ce pas ?

Ouiiii....

Lis les quatre premières lettres du titre. Et voilà.

🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣
Pour de vrai?? 🤣🤣🤣🤣

Bonjour, Théo !

I am analyzing Jérôme and Sylvie from Georges Perec and the characters of Albert Camus. Perec does not encourage rebellion, n’est-ce pas ?

Pas du tout. Rather the illusion of freedom. The two dream of a life of sophistication, yet their desires ....goes downhill, faster than Sisyphus' boulder, trapping them in an permanent frustration.
Anyway, their determination with which they persist is very close to that of Sisyphus ...

Merci, Théo. À mon avis, the enemy is invisible. Or rather, it is within them—the happiness trap.

Well said, Celeste. The " enemy" - is not tangible. In fact, the enemy is they themselves, prisoners of their own aspirations, and their inability to break free from this cycle precisely said your idea - that the true enemy is within them,
and this is the effect of consumerism, that we will all feel, when we forget to live. Real life doesn't mean material, or shouldn't mean. Real life is when you're happy with what you have already, and cherish it.