“C’est de ta faute, Fabrice Picard. C’est de ta faute si tout est brun, gris, laid. C’est de ta faute si les fleurs ne sentent plus rien. Je suis affaiblie, c’est de ta faute aussi, et je t’emmerde. Laure Bastien, j’ai envie de te griffer. Sentir ta peau se rompre, ta chair se fendre, gratter tes os. Je te souhaite un virus douloureux. Vous êtes si présents, tout les deux, si lourds. Je suis chancelante, c’est votre faute. Je me traîne. Je vous traîne sur mon dos. »”
―
Rosalie Roy-Boucher,
Alice marche sur Fabrice