“« Plus personne ne pouvait dire "Allahou akbar" sur le sol de l’Andalousie, cette terre où, pendant huit siècles, la voix du muezzin avait appelé les fidèles à la prière. Plus personne ne pouvait réciter la Fatiha sur la dépouille de son père. Du moins en public, car ces musulmans convertis par la force refusaient de renier leur foi. »”
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Amin Maalouf,
Leo The African